Leila La Lycéenne

Une envie de sexe. Très forte. Comme une montée de lait, rien de contrôlable. Je veux du sexe brut, pas de simulacre d’amour. Juste des cris et du lait nacré.
Internet, grand super marché de filles et d’hommes aux désirs non avoués. On a faim de consommer des corps, consumer des cœurs. Adopte un mec abonde en fantasmeuses. Une photo fera l’affaire. Ressemblante mais pas la mienne. Autant ne pas attirer l’attention. Un texte cru, récit d’une rencontre passée fera l’annonce. On sait pourquoi je suis là. Faire mouiller les timides, faire jouir les téméraires.
Le texte a son succès... Tiens ce mec sait écrire… Les mots sont crus et immoraux. J’ai des invitations. Une retient l’attention. Leila, 18 ans, lycéenne.
Ça fait bientôt 15 ans que je n’ai pas approché une lycéenne. J’aimais ça à l’époque, aimerais-je encore? J’imagine déjà cette petite salope me suçant dans les toilettes de son lycée. Je me concentre sur elle. Baiserai les cougars plus tard.


Je veux de la gorge fraiche, des fesses durs et des anus serrés. Des chattes épilées, des giclées au visage, je veux souiller la jeunesse de mon sale calibre. Leila écrit aussi, m’envoie un texte érotique… La petite écrit bien. Elle a des envies de domination.
Je suis prof à la fac et ça l’excite terriblement de devenir mon élève. C’est incroyablement pervers de vouloir baiser une lycéenne quand on est prof à la fac…

Quelques échanges de photos sur Facebook, elle adhère. On s'échange les nums.

La déferlante de textos a lieu pendant une semaine. Nos scénarios, nos envies de dominations, de gorge profonde, de trainées de sperme, s’écoulent dans les caractères de nos téléphones.

Je bande toutes les deux heures, dès que je lis un de ses textos. Cette petite pute va tellement loin dans ses textos que je crains qu'elle ne fasse faux bon au dernier moment. A 18ans, être une femme libérée c'est pas si facile ?

Je bande et je bande encore à en avoir mal aux couilles.

Elle m'écrit qu'elle prendra tout dans la bouche... Je bande mais ne me branle pas. Juste, je ferme les yeux, imagine ma lycéenne… Je veux garder tout mon jus pour elle…

Vendredi, après-midi, elle est là, sur le quai. Plus jolie que je ne l’attendais. On se parle un peu, je fais le mec gentil parce que je suis un mec gentil. Je l’amène chez mon pote qui est au courant. Il s’éclipse, les yeux dans les yeux, dans son décolleté, je la regarde. Elle est maghrébine, pas maigre et bonne, et j’adore ça. Je sais qu’elle va crier, je le sens et je le sais… Putain ce que j’aime l’immigration…
Je l’embrasse dans le cou, son odeur d'herbes enivrantes me rend fou. Je la prends par la main. Vite la chambre, le lit et mon nez dans sa chatte je veux respirer les parfums d’orient, faire couler sa Méditerranée entre ses cuisses. Son string est trempé, j’ai envie de gouter sa cyprine, aspirer le suc de ses lèvres de Marrakech. J’ai soif de son sexe brun qui sent l’excitation à plein nez. Elle se trémousse et se met très vite à crier. Ça fait une semaine qu’elle attend que je la baise à coup de pilon dans la chatte et là, elle se sent partir avec de ridicules petits coups de langue râpeuse sur le clitoris… j’agrippe ses seins, la regarde dans les yeux. Pose un pouce entre ses lèvres baveuses, elle crie, crache une flaque et se cambre, elle a déjà joui, une fois…

Cette petite a encore faim, ne veut pas de répit. "Baise moi Adam, Baise moi putain, m’ordonne-t-elle". Ma queue est chargée comme un 547magnum, les cris me tuent et m’excitent comme le plus jeune des puceaux de la messe du dimanche.
J’enfile ma Manix, regarde ses yeux de petite chatte qu’on doit achever.


Les premiers centimètres ouvrent son sexe inondé. J'ai envie de l'embrasser sur la bouche. Je n'ai plus envie de la déchirer comme promis.


Mes lèvres pulpeuses se collent aux siennes, je les ventouse. Pendant ce long baiser ma queue l'a pénètre entièrement.
Je la sens se crisper, retire mes lèvres des siennes et j’entends ce râle de chienne... "défonce-moi Adam, défonce moi j'en peux plus !!" Je mets ma main sur sa bouche. Je commence à pilonner sa chatte à grands coups de reins. Le lit rebondit et je me lâche totalement sur elle qui se débat. J'enlève ma main, elle crie. J'ai autant envie de la baffer que de l'aimer... Mes mouvements se font plus lents, je la regarde, elle m'excite et me touche. Je lui ferai l'amour si elle me le permettait. Mais non, elle ne veut pas ça, pas maintenant. Elle veut qu'un mec de 12ans son ainé la maltraite, la punisse de son vice. Elle veut sa levrette comme dans les films. Son cul est bon, bien arabe, ferme et brun, très brun. Sa chatte est bonne et je m'y fourre avec délice malaxant son gros cul ferme.


J'ai du mal à résister à cette vue, la chienne demande qu'on lui claque le cul.. "Plus fort, défonce-moi Adam.

_Ferme-la c'est moi qui commande" et me voila entrain d'être à ses ordres. Le prof succombe aux désirs de son élève... Ces yeux brillent quand elle se retourne.

Je lui tire les cheveux, elle aime ça, je sens sa chatte se contracter et se détendre à intervalles réguliers. Elle commence à partir complètement en live, se met à grogner et crier si fort que je crains voir la DASS débarquer pour maltraitance. J'att ses petits poignets qui ne font même pas la circonférence de ma queue. Elle se penche encore, la tête sur l'oreiller, le cul remonté. Une levrette sur deux pattes. Je noue ses mains derrière le dos... Je pose ma main sur sa nuque, la bloque, ma queue la martèle à en toucher le fond de son corps.. ses cris sont étouffés dans l'oreiller. Sous la pression ses genoux tremblent puis s'affaissent, elle cède, tend ses jambes, là voilà allongée sur le ventre, prisonnière. Se tortillant comme une chenille...derrière elle de tout mon poids je creuse son sexe de ma matraque en latex remuant l'intérieur de son corps. Mes couilles sont trempées de son liquide d'amour qui se déverse sur les draps.
..


Je lâche tout. Des spasme dans la queue, des dizaines... et le réservoir trop petit de ma capote en déborde. Une semaine de lait perdu, j'aurais dû tout lui faire boire mais j'étais trop bien en elle. Elle finit par tourner la tête, ses yeux sont pleins de larmes, l'oreiller est taché par son mascara, le drap par son plaisir... Ça va Leila ?

-Oui, c'est juste que j'avais jamais joui de là...



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