Le Mariage
Comme chaque année, l'été est propice aux mariages et 2015 ne fait pas exception. C'est donc après les vacances et en famille que je pars célébrer l'union de 2 amis. Elle, elle n'est pas très jolie, assez austère, bref je ne la porte pas dans mon cur. C'est le marié qui est un bon copain, surtout, c'est lui que je suçais quand nous étions au collège, lui qui fut le premier à me donner sa bouche et à me faire découvrir les plaisirs de la fellation. Lui enfin, dont j'ai abondamment bu le foutre et à qui je pensais quand je me branlais, avec un, deux voire trois doigts dans mon fondement.
J'ai aujourd'hui 35 ans, je suis marié, j'ai des s mais j'avoue que j'ai toujours la nostalgie de ces moments où nous étions obligés d'être discrets mais pendant lesquels j'ai connu mes jouissances les plus intenses et surtout pendant lesquels j'ai vraiment perdu l'esprit. C'est en suçant un homme qu'on se laisse aller, car on doit faire tomber les inhibitions, oublier les codes de la société quand on est hétéro, pour se laisser aller au plaisir de prendre en bouche un sexe d'homme. Quand nous étions nus l'un à coté de l'autre, nos sexes tendus, quand je me jetais sur sa queue, d'un coup plus rien autour n'existait que son souffle, le gout de son vit dur dans ma bouche, les soubresauts de sa queue contre mon palet. Je l'ai supplié plusieurs fois de m'enculer mais jamais il n'a voulu. Je me contentais donc de sa semence et des 4 ou 5 petites fois ou il a daigné me pomper, sans jamais aller plus loin.J'étais un peu sa chienne dans ses moments là, mais lui ne voulait pas se l'admettre, il était hétéro ! Il aurait pu me baiser comme il le voulait, partout, dans toutes les positions, je n'étais que salope quand nous nous branlions ensemble.
Bref, aujourd'hui il se marie, depuis 10 ans, toutes les fêtes dans lesquelles nous sommes sans nos femmes, il évite soigneusement de dormir avec moi, sachant que je lui prodiguerais surement des plaisirs qu'il s'interdit.
- Je vois que vous vous êtes trouvé, c'est cool, et il s'en va
- Sylvain (le marié) m'a beaucoup parlé de toi, me dit Nico
- En bien j'espère, lui répondis-je
Il se penche vers moi pour chuchoter
- Surtout de ce que vous faisiez ado et du fait que tu as une belle bite
Je suis estomaqué. Je savais qu'il en avait parlé à sa femme, ce qui explique peut être pourquoi elle ne m'aime pas trop, mais à un de ses potes. Voyant mon air surpris et un peu énervé, il me chuchote à nouveau
- On a fait pareil ensemble, c'est pour ça
On reparle maintenant normalement et essayons de faire attention
- Ah oui ? Je savais pas ça
- Et si, mais comme avec toi, il a coupé court, tu connais son côté "C'est dégueu" juste après avoir passé un bon moment
- Oui, frustrant hein ?
- Assez mais il m'a parlé en bien de toi, tu crois que je pourrais profiter un peu ce week end de ton gros attribut ?
Heureusement que nous sommes assez éloignés de nos premiers "voisins" car niveau discrétion, c'est assez raté.
- Pourquoi pas, je suis avec ma femme, donc ça va être assez tendu
- Ok, mais je suis là si tu as besoin ou envie
Le repas est servi, nous passons à table, je le vois car il est à la table en face, nous échangeons régulièrement des regards et j'avoue que mon sexe commence à me démanger.
- Sylvain n'avait pas menti, elle est belle, elle mesure combien ?
-19 cm
Il regarde derrière et sans prévenir se penche et prend mon gland dans sa bouche. Il me suce doucement quelques secondes puis se relève
- On devrait rentrer, mais j'espère bien pouvoir la goûter à nouveau plus tard.
Il me laisse là en plant, je bande à fond, j'ai envie de sa bouche. Je me rhabille et retourne à table. La soirée avance, nous dansons maintenant, les petits sont couchés, et vers 3h, ma femme m'annonce qu'elle va avec une copine dormir dans le gîte et que je dois bien profiter de la soirée avec les potes. Je l'embrasse et à peine est-elle partie que je scrute la salle et le coin fumeur, éclairé, pour voir où est Nico mais il n'est nulle part. Déçu, je pense qu'il est parti se coucher. Je danse encore, sort avec des amis fumeurs quand je le vois revenir. Je suis à la fois soulagé et tendu, je ne sais pas trop comment agir. Il vient discuter avec nous, un ami parti uriner longuement revient en se faisant chambrer "tu t'es perdu, etc" mais l'alcool aidant, chacun a perdu la notion du temps et je compte bien tirer partie de ce fait.
- Quelqu'un vient pisser, demande Nico
J'attends quelques secondes voir si quelqu'un veut venir et répond, voyant tout le monde refuser
- ouais, je vais t'accompagner
On se dirige donc vers un coin sombre et je vois Nico pisser, je suis à ses cotés j'urine, je regarde sa bite, mais surprise, il la range et s'en va, enfin il fait quelques mètres et revient :
- t'as eu peur hein ? Tu veux te faire sucer alors ?
- Ouais, j'attends que ça depuis tout à l'heure
Il s'approche de moi, ressort son sexe de son pantalon, et prend le mien dans sa main.
- Elle est grosse ta queue, j'en peux plus il me la faut dans la bouche
Et joignant le geste à la parole, il se baisse et prend mon gland entre ses lèvres, lèche doucement mon prépuce, embrasse ma queue et finalement l'engloutit et commence ses aller-retours. Il sort un mouchoir, l'étale par terre et s'agenouille dessus reprenant de plus belle son affaire. Je suis aux anges, il suce comme un dieu.Je prend sa tête entre mes mains et baise sans retenue sa bouche
- Tu suces bien salope, vas-y fais moi jouir avec ta langue
Je regarde le chemin en lui bourrant la bouche et finalement, je lui remplis la gorge avec mon foutre chaud. Il me regarde et avale tout, nettoie ma queue et se relève. Il se penche pour reprendre son mouchoir mais je lui dis :
- laisse le, je veux pas salir mon costume
Il sourit et me regarde genre, "ok, tu veux jouer à ça". Je m'agenouille alors et prend son sexe qui est toujours sorti et bien dur.Je m'applique et tourne ma langue autour de son gland, soulève sa queue et vient bouffer ses belles couilles qui me semblent bien pleines, je vais surement recevoir une belle quantité de foutre dans la bouche, j'ai hâte, ça fait tellement longtemps. Et voilà que je retrouve cette sensation, le fait de me sentir chienne prêt à tout pour faire jouir cette queue. J'enfourne cette belle bite et alterne les aller-retours rapides et lents, lui fais une gorge profonde pendant laquelle je l'entends souffler très fort. Je le suce tout en le branlant accélérant la cadence
- je vais pas tarder, tu vas me faire jouir salope ! Fais moi jouir dans ta bouche de chienne
Ces mots chuchotés me galvanisent et je continue jusqu'à sentir les soubresauts annonciateurs de l'éjaculation.
- Toujours avoir un alibi pour les longs moments, me dit-il en souriant
Nous fumons tranquillement quand 2 amis arrivent
- A ben voilà, on se demandait ce que vous foutiez
- Ben tu vois, répond Nico, on se fait un petit plaisir
Nous retournons à la salle, Nico dragouille une fille, les gens vont petit à petit se coucher. Le jour ne va plus tarder, je suis crevé. Nico vient me voir et m'annonce qu'il va aller se coucher dans son gîte. Je lui dis que je l'accompagne. Je salue les derniers fêtards qui ne savent plus trop où ils habitent. Mon gîte est à 15 minutes de marche, celui de Nico est sur la route et nous profitons du trajet pour faire un peu plus connaissance car comme il l'a si bien dit, "à part ta queue et ta bouche, je connais pas grand chose de toi". Arrivé devant son gîte, il me dit :
- je t'aurais bien invité boire un dernier verre mais je ne suis pas seul
- pas grave, mais j'aurais accepté
Un silence se crée, j'ai envie de sa bouche, de son sexe, bref je le veux. Autour de nous, tout est calme, nous sommes au bord d'une petite route bordant des champs et la campagne.
- Si on va par là, me dit-il, on trouvera peut être un coin calme pour pisser, tu crois pas ?
- Surement, je te suis
Nous trouvons un petit chemin et nous passons entre 2 champs, dans ce qui semble être un chemin de rando. Bref, quelques centaines de mètres et nous sommes cachés, sans attendre il se plaque contre moi, m'embrasse et sa main se plaque directement sur mon paquet
- Hors de question que je n'y regoûte pas, me chuchote-t-il à l'oreille et sans attendre, il se met à genoux et ouvre mon pantalon, faisant sortir mon sexe qu'il enfourne fougueusement.
Il me suce avec passion
- elle est bonne, j'adore ta bite
- Ca se voit, tu aimes la pomper hein ?
- Oui, et il reprend de plus belle comme une belle salope qu'il est maintenant.
Je nage dans le bonheur, le seul bruit que l'on entend est celui de sa bouche sur ma bite, le plaisir monte mais je ne veux pas encore jouir. Je lui dis mais il me répond :
- Laisse-toi aller, on a le temps
Je suis son conseil et pour la deuxième fois de la soirée, il boit mon foutre en me regardant droit dans les yeux. Il se relève, enlève son pantalon, son caleçon et ses chaussettes, grimpe sur une souche :
- Viens me pomper le dard, j'en peux plus, ton foutre m'a rendu fou
Je m'approche, enlève le bas également et me jette sur sa queue que je pompe avec entrain, je suis une chienne en chaleur qui a besoin de son jus. Tout en le suçant, je caresse ses couilles avec ma main et il écarte légèrement les jambes. J'en profite pour aller explorer un peu plus loin et petit à petit, je caresse ses fesses, l'endroit sensible entre ses couilles et son anus puis je passe ma main dans sa raie. Sa queue sursaute lors de ce passage, que je réitère de suite, laissant traîner mon index sur son petit oeillet. Je le suce toujours mais mon esprit est entièrement tourné vers mon doigt qui tourne autour de cet orifice qui se détend petit à petit laissant bientôt entrer ma première phalange, puis tout le doigt. Je commence un va-et-vient doux dans son antre et bientôt je laisse sa bite pour seulement le doigter, en le regardant droit dans les yeux. Il a la bouche ouverte, les yeux mi-clos
- descend et tourne-toi
Il obtempère, et je remets mon doigt en place dans son trou, puis un deuxième. Il se met entièrement nu et je l'imite rapidement. Je ne tiens plus et colle ma langue dans sa raie et je lèche sans retenue ce cul imberbe, rebondi, magnifique. Je malaxe ses couilles pendant la feuille de rose, il gémit, se tortille et bientôt supplie
- Prend une capote dans mon fute et baise-moi
- Tu la veux ?
- Oui, je veux que tu me mettes ta grosse queue vite
Je prend un préservatif, je l'enfile et présente mon gland ma je fais durer le plaisir, je ne pousse pas, reste à l'entrée. Il essaye de reculer, de s'empaler sur ma queue tendue, mais je remonte mon sexe qui frotte sa raie
- Mets-la, mets-la moi, j't'en prie
Il est à ma merci
- Tu veux que je t'encule salope ? Tu veux que je te baise ?
- Oui, depuis que je l'ai sucé tout à l'heure je la veux dans le cul, je veux que tu me prennes
- Je vais te baiser, mais tu vas attendre
- Non je peux pas, je la veux
Je passe devant lui et lui présente ma queue qu'il gobe sans retenue
- Ecarte ton cul
Il suce tout en écartant ses fesses. Je lui baise la bouche, enfonçant à nouveau 2 doigts dans son cul
- Baise-moi, prends-moi s'il te plaît
Je passe derrière lui et m'enfonce doucement mais sans m'arrêter dans ses entrailles. Il gémit et doucement je commence les aller-retours qui se font de plus en plus amples
- Tu sens comme je te remplis le cul ?
- Oui, encore, plus fort, plus fort
- Tu veux que je te défonce ?
- Oui défonce-moi
J'accélère alors franchement le rythme et je fais claquer mes couilles sur ses fesses, son bassin avance à chaque coup de rein et ses cris étouffés redoublent
- C'est comme ça que tu aimes qu'on te baise, bien fort ?
Il ne répond pas mais ses gémissement sont maintenant plus prononcés, et je pense qu'on nous entend de loin maintenant. Je continue à un rythme élevé et lui prend le sexe que je branle. Rapidement, il inonde mes doigts de foutre épais, la jouissance le terrasse et il tombe à plat ventre à coté de la souche. Je suis sur lui, et je continue à le pilonner, il tourne la tête et ses yeux sont plein de bonheur et son sourire montre le pied qu'il vient de prendre. Ce regard me chamboule et je sens le jus venir, je ralentis un peu
- Non continue, vas-y fort et jouis en moi
Je reprend donc de plus belles et quelques secondes suffisent pour que je remplisse la capote. Je m'effondre sur lui, je me retire et nous nous embrassons fougueusement à même le sol, il est sur moi, j'écarte les jambes et sens son sexe mou passer sur mon anus. Je le prend et passe son gland sur mon trou, doucement, le regardant dans les yeux. Je le veux en moi. Mais la fatigue est trop grande et nous n'arrivons plus à bander. Au bout de longues minutes, nous nous relevons, nous rhabillons, fumons un dernier joint et allons chacun nous coucher.
Le lendemain, c'est avec difficulté que je maîtrisais l'envie d'aller l'emmener dans les fourrés pour le prendre à nouveau. Nous partîmes chacun de notre coté le soir, Sylvain lui a filé mon numéro, alors j'espère bientôt le revoir.
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