Fouzia 5

Fouzia a rapidement obtenu le divorce d’avec Fred pour non consommation. Comme il était à mille lieues de se douter que, journellement, je bourrais l’abricot de la belle en l’inondant de mon sperme en toute discrétion, il a été d’une sincérité totale et non feinte pour emporter en un temps record la décision de la juge apitoyée par cette brave fille privée de ses droits légitimes au plaisir conjugal.
L’erreur de casting est maintenant réparée. Comme la tradition l’impose, Fred et Fouzia sont allés prendre le verre d’adieu au bistrot en face du Palais de Justice question de se quitter bons amis. Comme dans un bon scénario de film, elle disparaît à la vue de l’ex-mari en dévalant les escaliers de la station de métro. Elle m’appelle sur mon portable … La voilà qui court à ma rencontre quatre stations plus loin. Libres ! On pourra dire ce qu’on veut mais le poids d’une institution comme le mariage, ça pèse. Cela provoque une certaine gêne et là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.
Sans rien nous dire, nous sommes émus en sentant le désir qui monte. Quelque chose de plus, d’indéfinissable s’est ajouté à notre envie de baiser. Ce doit être l’amour qui s’exprime, le coup de foudre tout de suite réprimé qui nous avait étreints lors de notre première rencontre revient au grand galop (voir Fouzia 1). Ce matin, il y a un avant et un après, c’est clair.
Nous avions décidé de nous offrir un petit resto pour fêter l’événement. Nous touchons à peine aux différents plats qui sont cependant excellents. Sans un mot nous nous levons. Je règle l’addition. Un hôtel de rencontre … Le regard admiratif de la réceptionniste vers Fouzia … Nous avons pris la chambre rouge aux miroirs …
« Vous avez fait un choix excellent, j’adore cette chambre ! » me glisse la fille, une superbe black. Elle continue avec une petite moue nostalgique « Je vous demanderai de bien vouloir régler parce que je termine mon service dans une heure » Est-ce une demande à double sens ? Fouzia qui n’a rien perdu de cet échange revient sur ses pas alors que nous attendons l’ascenseur et souffle à la fille avec un clin d’œil : « A tout à l’heure ? » Regard interrogateur de la réceptionniste vers moi … Je fais oui de la tête … Large sourire au moment où elle nous voit disparaître dans l’ascenseur.

L’après-midi sera chaude …
La chambre est superbe ! Les murs sont faits d’une alternance de miroirs et de panneaux de peintures en trompe - l’oeil de copulations en tous genres, dans la nature, sur fond rouge. Le plafond est entièrement revêtu de miroirs en carrés biseautés qui renvoient des images à l’infini. Le lit rond fait bien quatre mètres de diamètre, avec des draps et des oreillers en satin couleur grenat. La lumière est diffusée par des halogènes dissimulés dans la cimaise.
Instinctivement, Fouzia jette un regard gourmand vers ma ceinture et passe son doigt sur le zob impressionnant d’un des personnages des scènes de sexe qui nous entourent comme une invitation à nous fondre nus à notre tour dans ce paysage sylvestre.
Je m’empresse de faire tomber la chemise. Déjà ma future ex-maîtresse s’est débarrassée du dessus. Elle n’avait pas mis de sous-tif et un saroual retenu par un simple élastique pour aller plus vite la coquine. Elle n’a plus que son saroual et ses mules qui mettent en valeur ses jolis pieds nus soigneusement manucurés. Ses aréoles énormes entourées d’un fin duvet noir font ressortir sa peau mate de brunette. Une bouffée de chaleur nous envahit en même temps. Elle me jette un regard de braise presque agressif comme si nous étions deux étrangers.
Libérés de tous les faux-semblants qui tournaient autour de ce mariage blanc, notre désir animal s’exprime éternel. Nous ne sommes plus que mâle et femelle. C’est elle qui donne le coup d’envoi. Elle approche. Sa main saisit fermement mes couilles en signe de possession à travers le tissu de mon pantalon. « Mon bien ! » De mon côté je ne perds pas de temps. Mes deux mains se sont infiltrées en bas de sa croupe entre ses fesses et l’élastique du saroual pendant qu’elle déboucle ma ceinture et fait de même. Nous rions en découvrant que nous avons eu la même idée : pas de slip et pas de string. Ce qui reste des vêtements gît sur le sol.
Cette fois nous nous passons des préliminaires.
Elle me tourne le dos et va vers la couche. Avec les miroirs qui nous entourent. Elle voit ma queue se dresser. Elle jette une exclamation sauvage, est-ce un rire, cri de triomphe de la femelle qui suscite le désir du mâle. Elle est à quatre pattes. De la chatte impatiente, je vois déjà perler la mouille. Elle est prête pour la saillie. Je la saisis par les anches. Je caresse les lèvres tuméfiées avec mon zob. Elle gigote pour ajuster mon gland à l’entrée de sa grotte. « Viens habibi ! » Je la pénètre d’un seul coup. Elle se cabre sous la douleur des muscles du vagin qui se distendent d’un coup sous la poussée de ma queue. « Ouiiiii ! Elle est grosse ! C’est bon ! J’adore quand tu me déchires ! »
Arrivé au fond, je me retire lentement. Depuis que je l’ai déflorée il y a quelques mois, elle a travaillé consciencieusement les muscles qui entourent le vagin. Quelle jouissance de sentir le fourreau serrer compulsivement ma bite ! Surtout le base du gland est sensible à cet étau qui le serre et le relâche en rythme. Un flash parti des zones le plus sensibles traverse mes couilles, remonte le long de ma colonne vertébrale, m’envahit le cerveau, me fait perdre à moitié conscience. Envahi par une jouissance fulgurante. je suis saisi d’un énorme tremblement qu’elle ne peut que percevoir. Son bonheur de me donner du plaisir ne fait qu’accroître sa propre jouissance. Elle perd le contrôle à son tour. Elle va partir dans un premier orgasme. Mon zob est presque sorti de la grotte, je la pénètre à nouveau et je commence un lent va-et-vient. Nous prenons le rythme, attentifs à nous donner du plaisir mutuel. Nous ne sommes plus que deux sexes synchronisés.
Ma femme a ouvert les yeux, les miroirs qui couvrent les murs et le plafond renvoient notre image. Elle retrouve sa lucidité ô combien féminine pour une seconde et me sort « Chéri ! Je n’avais jamais vu tes fesses quand tu me fais l’amour … il faudra ça chez nous quand on sera mariés » … ça y est ! le mot est lâché et je ne la contredis pas du tout, au contraire ! « On aime le sexe toi et moi mon amour, tu te rends bien compte que je ne vais pas lâcher une femelle aussi chaude que toi ! ».
Et voilà une demande en mariage rondement menée qui a le don de décupler l’ardeur de la pouliche qui cambre sa croupe pour mieux sentir mes couilles qui viennent frapper sa chatte à chaque coup de butoir.
Nous nous devinons à merveille. Je commence à la pilonner en accélérant le rythme. « Tes couilles contre ma chatte à chaque coup c’est bon ! J’adoooore ! Je vais te les vider à fond, t’inquiète ! Je veux sentir la chaleur de ton jus m’envahir ». Nous nous étions pris, envahis d’amour. J’aimais sa peau brune et matte, avec des gouttes de transpiration qui perlaient au bas de sa groupe, à la hauteur des omoplates. Tout en la pilonnant je me penche en m’appuyant sur mes mains et mes bras. Elle a les bras allongé vers l’avant, ses mains se crispent sur l’oreiller. Je lèche sa sueur sous les aisselles. Elle frémit, chatouillée. Son odeur corporelle décuple mon désir. Je passerais ma vie avec mon zob emprisonné dans la chaleur de sa grotte humide. Le désir est trop fort, nous ne pouvons plus nous arrêter. Il faut aller au bout de la baise.
Elle a encore la force de me dire : « Habibi je n’ai pas pris la pillule depuis plusieurs jours ! ». Là, son honnêteté m’achève. « On s’en fout, je t’aime ». « Oui ? » « Oui ! » Là, il n’y a plus de retenue. Elle replie le bras sous son corps et att fermement mes couilles. « Alors viens lâche-toi » Je la pilonne maintenant comme un dingue. Elle perd tout contrôle sous mes assauts. Sa langue maternelle revient elle crie en arabe : « Taaaal ! Lâche-toi !» Je lui réponds ce mot qu’elle m’a appris : « Jaiiiii ! » Elle halète « Prends-moi mon amour. Je t’appartiens, viens. Baise-moi. Arrose ton jardin ! Encore, encore je viens ! » Mon sperme gicle en jets compulsifs. Elle est saisie de tremblements. Elle presse mes couilles dans sa main comme un citron jusqu’à me faire mal pour en avoir jusqu’à la dernière goutte. « Ôh ! chériii ! C’est bon, c’est chaud ! Mon mâle ! »
Elle s’allonge sur le côté. Je reste en elle.
Tout en continuant de lents mouvements de pénétration. Je me soulève un peu. Elle tourne la tête, nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent ? Nous reposons maintenant apaisés. Mais c’est loin d’être fini.

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