Lui
Mon voisin me salua. Je demeurai interdite. Une main tenait sa tondeuse, lautre était appuyée contre son front. La clarté était aveuglante, il utilisait sa main comme pare-soleil. Jaurais pris plaisir à vous décrire un homme dans la quarantaine avec une chevelure grisonnante, un ventre bedonnant et quelques s en arrière-plan, des balançoires pis tout le kit: un petit papa qui tond le gazon tsé. Malheureusement, le voisin figurait dans le menu des hommes exquis un peu stéréotypés. Mon voisin était carrément bandant. Son bronzage foncé jouait dun contraste parfait avec ses yeux bleus. Ça ménervait. Ses cheveux étaient longs, une longueur à la mode, une coupe visiblement bien entretenue. Ça ménervait encore plus. Il navait pas quarante ans encore, mais il était plus vieux que moi, dans la trentaine environ. Pendant que je le détaillais, il attendait toujours une réponse quelque conque.
-Salut.
Je lui réponds sèchement, le détaillant de haut en bas. Ses shorts descendaient sur ses hanches, dévoilant ses boxers blancs. Un V sillonnait entre ses abdominaux, descendant droit sur son pubis. Une bosse apparaissait entre ses jambes, sous son short. Faut avouer que ça mavait toujours attiré lattirail masculin, même au repos, voir la silhouette du pénis dans des pantalons mexcitait étrangement.
-Jmappelle Francis.
Je ne réponds pas et je lobserve toujours.
-Ok, ben
Bonne journée. Si tu as de besoin, jhabite juste à côté, dit-il en arquant son pouce vers sa maison, arrogant.
Non! Jignorais que cétait sa maison! Il me prend pour qui? Imbécile! Un bel imbécile, sexy. Mais imbécile et je sens quil ménerve déjà. Je me retourne et entre chez-moi. Je sens déjà que il ne sera pas un facile. Je soupire et retourne à mon train-train quotidien : ménage, entrainement, devoirs.
Cest la fin de lavant-midi, mes activités étant terminées, jai enfin un peu de temps pour moi. Le soleil est de plomb. Je décide den profiter pour me faire bronzer et lire un peu.
-Jtaurais pas cru de même la coincée.
Jouvre les yeux, Francis se tient devant moi. Il porte encore comme seul vêtement ses shorts. Il tient dans ses bras un chat. Je me relève et agrippe ma serviette encore au sol. Je la jette sur mes épaules, ne couvrant ainsi que le haut de mon corps. Je croise mes jambes.
-Jvnais pour te dire que je lai trouvé chez-nous, tiens.
Il me tend lanimal.
-Je nai pas de chat, que je lui réponds sans sourire.
-Ah.
Il ne semble pas désappointé, comme sil savait dune certaine façon que je navais pas danimaux. Il jette le chat au sol.
-On ne ta jamais appris à respecter les messieurs? Tu pourrais me sourire au moins, tu serais plus cute.
Je ne réponds pas. Il savance vers moi. Il att mon visage entre ses doigts et tournes mon menton vers lui. Je devrais avoir peur. Pourtant, une sensation agréable parcourt mon bas-ventre.
-Souris-moi.
Obstinément, je demeure de marbre. Puis, javance mon visage vers le sien, pousse mes lèvres contre les siennes. Il ne me rend pas mon baiser. Je nai jamais été aussi excitée de toute ma vie. Je sens mes clitoris enfler, jai envie quil glisse sa langue entre mes lèvres gonflées de plaisir, quil me fasse jouir.
-Cest moi qui mène, dit-il en me poussant sur la chaise.
Il empoigne ma serviette et la projette au sol. Rapidement, il est au-dessus de moi, me clouant les mains contre le dossier de la chaise. Je lui offre mon cou. Il y dépose de petits coups de langue en suivant le creux qui le mène à mes seins. Durement, il prend mes seins entre ses mains et les malaxe. Il en prend un en bouche. Avec sa langue, il trace le contour de mon mamelon puis se met à téter. Je gémis et marque bouque. Je le veux en moi, maintenant.
-Tourne-toi, siffle-t-il entre ses dents. Je vais tapprendre à te comporter avec les hommes. La première étape est de satisfaire mes désirs.
Attrapant mes fesses, il les tire brusquement vers lui. Je me retrouve maintenant à 4 pattes, le cul ouvert devant lui. Je me sens soumise, ça mexcite. Rapidement, il entrouvre mes fesses. Il glisse sa main sur ma craque et appuie fortement celle-ci en la glissant entre ma vulve imbibée et mon anus. Il frotte de plus en plus fort, sans entrer en moi.
Je cris, il a entré un doigt en moi, dans mon anus. Il le tourne à lintérieur de moi et le ressort. Linsert encore puis le retire. Je sens un contacte mouillé. Ses doigts ont laissé la place à sa langue, je soupire. Il nettoie mon anus en frottant de plus en plus fort puis en enfonçant sa langue dans ma chair, entre mes fesses. Pendant ce temps, ses doigts sactivent dans mon vagin. Rapidement, son petit doigt se glisse entre mes fesses.
-Taimes ça que je te pénètre comme ça, doublement?
Jhoche la tête.
-Retournes-toi
Je me retourne et lui fais face, assise sur la chaise de plastique cheap. Il me pousse sur le dos et agrippe mes chevilles.
-Tiens, montres-moi ta vulve.
Il tient mes jambes dune main, les chevilles jointes ensemble. Il se penche et aspire mes lèvres qui dépassent de mes cuisses. Sa langue me sillonne lintérieur et il introduit un doigt en moi malgré la présence de son muscle buccal. Il glisse un deuxième doigt en moi.
-Deux cest mieux hein?
Jacquiesce en ondulant les hanches. Il dirige sa paume vers le haut, ses doigts se replient sur eux-mêmes. Je le sens danser contre mon point G. Promptement, il mouvre les jambes et appuie fortement sa main libre contre mon pubis et continue de remuer ses doigts en moi. Je sens la cyprine couler entre mes cuisses.
Il glisse maintenant son pénis sous ses doigts. Je gémis. Une légère douleur sinfiltre en moi, je nai jamais été possédée par plusieurs membres en même temps. Il bouge toujours ses doigts vers le haut de ma paroi vaginale. Soudain, il retire brusquement ses doigts. Il fait des vas-et-viens en moi de plus en plus rudes. Il enfouie un doigt dans mon cul. Cest bon de le sentir aux deux endroits. Il ne le bouge pas, mais le tiens courbé, de façon à me tenir bien en place.
Par terre, se trouve un marteau. Le manche est étroit, mais long et échancré au bout. Il le prend. Il retire son doigt de mes fesses et continue ses vas-et-viens. Puis, je comprends. Je gesticule.
-Comme si tavais deux queues pour toi.
Il introduit le manche en moi. Je me raidis. Cest nouveau, ça fait mal. Mais jaime ça. Jugeant ma réaction et enfonce le manche encore plus loin. Je me tortille de plaisir. Puis, il le maintien en place et continue de me pilonner avec son membre. Mon corps se cambre, je vais venir. Au moment où je me sens partir, il grogne en me labourant. Il jette le marteau au sol et sactive sur mes seins. Jatteins lorgasme en criant. Il me crible de coups de hanche en jouissant en moi. Il se retire puis se relève aussitôt.
-Ouin, alors, comme je disais...?
-Léane.
-Ah, Léane. Ouin, ben comme je disais, si tas besoin, jhabite juste à côté.
Je ne le réponds pas, encore dans le vide que ma laissé lorgasme. Jai les jambes ouvertes, du sperme coule entre ces dernières. Je nen ai rien à foutre, jvienne davoir la baise de ma vie.
-Mmm, comme je vois, on na toujours pas de bonnes manières? Grogne-t-il. Il se retourne, désinvolte et quitte mon balcon. Toujours couchée, je relève la tête pour lobserver. Je la repose en gémissant. Ouin, ça nen sera pas en facile celui-là
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!