La Débauche De Christelle 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Comme Christelle revenait encore et toujours après qu'il lui ait déchiré le cul, donné en pâture à ses collègues et baisé la gorge dans une rame de RER, Idriss se rendait compte que la bourgeoise était complètement dingue de lui. Pragmatique, il décida d'en tirer parti.
Une milf aussi classe exploserait la concurrence sur le boulevard Barbès. Les grosses Africaines n'auraient plus qu'à aller se cacher...Il lui exposa son projet:
" Si tu veux continuer à venir me voir, il faudra faire des allées et venues le soir sur le boulevard et ramener des mecs. Tu piges?
-Il est hors de question que je revienne le soir maintenant que mon mari est rentré...Je dois être à la maison à 19 heures.
-Je comprends, maugréa Idriss, qui préférait négocier que de perdre définitivement sa poule au cul d'or...A ce moment là, tu pourrais prendre des rendez-vous sur Internet! L'essentiel est que tu me ramènes 500 euros par jour. J'en ai putain de marre du chantier. OK?"
Peu disposée à se prosti, Christelle acquiesça tout de même, de peur de perdre son amant.
Elle mit donc des annonces sur différents sites web. Novice en la matière, elle se demandait comment attirer le chaland sans pour autant dévoiler son identité. Elle mit en ligne des clichés de ses seins, de sa chatte et de son cul. On ne voyait jamais son visage. Rapidement, elle eût des dizaines de propositions. Elle décida d'afficher des tarifs élevés: 500 euros de l'heure. Cela filtrerait les demandes et lui éviterait de bosser beaucoup. De fait, après 24h de publication, il n'y avait qu'un seul homme de suffisamment sérieux et de suffisamment riche pour la rencontrer.
Il s'appelait Henri, il était PDG d'une grosse société, il avait 72 ans. Il lui avait donné rendez-vous dans son bureau à la Défense, à l'heure du déjeuner. Elle s'habilla en mini-jupe, bas résilles et escarpins et s'y rendit.
Lorsqu'elle arriva, elle se trouva face à un homme petit, à moitié chauve et sérieusement bedonnant. Son costume avait beau avoir été taillé par le plus chic des tailleurs parisiens, Cifonelli, il échouait à lui insuffler un minimum de prestance.
Sans autre préambule que de lui mettre un billet de 500 euros dans le sac à main, il sortit sa queue et lui ordonna "suce". Problème: il ne bandait pas. Rien ne répugnait plus à Christelle que les petites bites molles, telle que celle de son mari. Elle préférait être déchirée jusqu'aux larmes par l'énorme bite d'une brute que d'être e à toucher ces espèces de flasques vermicelles. Inconsciemment, elle méprisait ces minables incapables de la plus élémentaire des virilités même si bourrés de pognon.
Qui plus outre, ce grand patron ne la respectait pas plus que les mecs vigoureux du chantier: il n'avait pas pris la peine de se laver le gland, qui puait la pisse.
Se demandant comment abréger ce moment fort désagréable, Christelle engloutit la totalité de la queue dans sa bouche et suça comme elle aurait sucé un bonbon. Elle suça longtemps sans qu'il ne se passe quoique ce soit. Le mec ne disait rien, ni pour l'encourager ni pour l'arrêter. Néanmoins, au bout d'une dizaine de minutes de fatigantes succions, elle sentit la bite se gonfler dans sa bouche. Ragaillardie par ce succès, elle accéléra. Enfin, une érection venait. Henri la stoppa et lui demanda de se mettre à plat ventre contre le bureau. Il lui arracha ses bas (sans se soucier du prix qu'ils lui avaient coûté), lui descendit la culotte et lui écarta les jambes. Christelle sentit alors une sorte de knacki-ball lui chatouiller la raie des fesses.
Cet untermensh entreprenait de l'enculer!
Plus dégourdi que Patrice, ce vieux dégueulasse n'hésitait pas à forcer pour arriver à ses fins.
"HAAAAAAAAAAAAA
-Vas-y tu peux te lâcher, les parois sont insonorisées" lui répondit-elle.
Il faisait ses aller-et-vient, elle pleurait. Elle craqua et supplia:
"Non pas comme ça, j'ai mal"
L'autre n'était évidemment pas du genre à se refuser un plaisir qu'il avait payé (l'annonce précisait bien que la sodomie pouvait être incluse dans la prestation) . Les geignardises de la pute l'excitaient même plutôt et il accéléra. Paralysée par la douleur, Christelle ne pouvait se débattre, seulement crier et pleurer.
"NOOONN, STOOOOP
-Hors de question, petite salope ça t'apprendra à avoir des regards condescendants sur ma bite. Tu n'imaginais pas qu'elle te ferait hurler à ce point, hein!"
Vaincue, la pute se tut et serra les dents. Soudain, Henri se retira brutalement, ce qui provoqua une douleur encore plus intense chez Christelle. Il fit le tour de son bureau, lui fit ouvrir la bouche et se branla. Très vite, il lui éjacula sur la face.
"Vous pouvez maintenant disposer"
Sur le visage de Christelle, le sperme se mélangeait aux larmes. N'osant pas demander l'accès aux sanitaires de son client, elle s'essuya avec un kleenex. Le cul explosé, elle repartit tant bien que mal, avec une démarche de canard.
Elle ne se voyait pas recommencer ça demain. Si elle continuait, il lui faudrait soit restreindre les pratiques autorisées, soit demander plus, beaucoup plus d'argent, de façon à ne pas avoir à se faire enculer tous les jours par des vieux dégueulasses...
Elle réfléchissait toujours à ça lorsqu'elle arriva chez Idriss. Elle lui fila le fric et lui demanda:
"Je t'en prie, ne touche pas à mon cul aujourd'hui".
Etait-ce l'argent qu'il respectait? Etait-ce le ton plaintif au fond de sa voix qui l'amadouait? A son grand étonnement, il ne la répudia pas.
"Tu aimes ma bite, hein
-Oui!"
Alors, il frotta son énorme gland contre son clito. Pour la première fois, il se préoccupait de son plaisir, utilisant sa queue comme un gode au service de Christelle. Elle ne fut pas longue à jouir. Alors, il la pénétra et l'enlaça. Bien qu'il lui sembla au comble de l'excitation, il ne cessait de la pilonner tendrement. Tant et si bien qu'elle eut encore deux orgasmes. Au moment du deuxième, Idriss jouit au fin fond de sa chatte. Celle longue éjaculation de son amant au plus profond d'elle-même colora l'orgasme de Christelle d'une tendresse inédite.
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