Pour Son Plaisir (14)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
14 Le voyage au Maroc
Les mois passent
Avant lété, Jacques mannonce que nous devons nous rendre à létranger en septembre. Il me fait faire un passeport, les vaccins, sans mindiquer où nous irons. Je passe avec succès ma licence et il minscrit aussitôt pour une maîtrise. Je passe mon anniversaire au volant dune audi, la nouvelle acquisition de Jacques. Il aura quand même une pensée pour moi, il moffre un nouveau « bijou » : deux pinces à seins reliées par une chaînette. Je devrai porter ce bijou quand il le souhaitera. Durant lété, nous continuons à tourner dans les différentes entreprises quil dirige. Pas de vacances cette année !
Je vais de moins en moins rendre visite à mes parents. Ma mère sest étonnée de mon changement physique. Les séances de sport imposées par Jacques mont sculpté le corps et il est vrai que ma carrure sest un peu élargie. Mes parents ne sont pas au courant de ma nouvelle vie. Ils pensent que je suis en colocation avec un copain
Au mois de septembre, Jacques mannonce que nous prenons lavion pour le Maroc. Il y a là-bas une entreprise à relancer et il veut que je men occupe avec lui. Si je réussis la mission, il me la cédera. Je suis aux anges ! Arrivés sur place, un chauffeur nous prend en charge et nous amène dans un hôtel à touristes. Belle chambre, piscine, sauna
Le rêve quoi !
Quelques visites dans lentreprise quil veut racheter. Il me présente comme son associé ce qui me flatte beaucoup ! Ces interlocuteurs semblent un peu gênés de traiter avec un jeune mais mes connaissances de léconomie et mes quelques notions darabe maident à les convaincre. Lors de notre dernière visite, il ne reste plus que quelques formalités avant les signatures. Jacques est très fier, moi encore plus ! Le soir nous dînons à lhôtel puis il soccupe de moi dans la chambre. Ce soir là jai droit à une soirée damour sans violence (ou presque) il joue avec moi, mon cul, me malaxant les fesses, membrassant la rondelle, mintroduisant sa langue, me titillant les seins.
Lorsque le garçon détage frappe à la porte, nous sommes toujours enlacés. Il me cache sous les draps et lautorise à entrer. Le garçon dépose un plateau sur lequel il y a une missive. Lorsquil est sorti, Jacques lit la lettre qui fixe un rendez-vous pour la fin daprès-midi. Il est très heureux. Il mannonce que si je réussis la conduite de cette filiale, il me la lèguera entièrement ! Ce sera ma récompense pour lui être resté fidèle. Je lembrasse tendrement, le remercie, mais lui indique que je suis encore très novice en la matière
Nous prenons une douche en nous caressant, puis je vais vers la piscine de lhôtel. Jenfile mon maillot de bain rouge. Il sagit dun slip, et même dun mini slip, Jacques ne voulant pas que je porte de short ou de bermuda. Je prends un débardeur pour traverser lhôtel et une serviette. Jacques ne voulait pas que je prenne un peignoir. Il aime me voir déambuler en slip. Je fais quelques longueurs. Je le vois mobserver à la fenêtre de la chambre, au troisième étage. Il a enfilé un short et un polo. Son bronzage ressort bien. Je le trouve superbe.
Après quelques longueurs, je sors de la piscine, enfile mon débardeur et mallonge sur un transat. Jacques nest plus à la fenêtre. Je suis alors abordé par un homme, de type arabe, qui me demande de le suivre, dans un très mauvais français. Il mexplique quil vient de lentreprise et quil aimerait quelques précisions. Je lui propose de nous rencontrer dans la chambre, mais il me fait comprendre quil nen a pas pour très longtemps et que nous aurons vite terminé. Je le suis donc, sans me méfier. Lorsque nous arrivons dans un endroit un peu retiré, où personne ne nous remarque, deux autres hommes arrivent sur moi et me bâillonnent.
Le véhicule sarrête à un moment. Jentends des voix mais je ne connais pas le dialecte utilisé. Cela semble être un contrôle, mais je nen suis pas sûr. Visiblement quelquun fait le tour du véhicule, mais personne ne regarde sous la bâche. Je tente de remuer, mais je suis bloquer par les deux autres. Le véhicule reprend la route. Ça secoue pas mal ! Il fait de plus en plus chaud !
Il sest passé au moins deux à trois heures quand on sarrête enfin. Un homme soulève la bâche et nous tire du 4X4, sans ménagement. Il enlève les liens des jambes et nous fait avancer vers une petite maison isolée. Nous devons être dans le désert, cest la seule maison aux alentours. Il ny a quasiment aucune culture autour, sinon quun petit plan deau et quelques petits arbres. Lhomme nous enlève les liens des mains et donne un ordre en arabe. Il veut que nous levions les bras. Il nous retire alors les baillons. Je le questionne pour savoir pourquoi je suis ici. Mais il ne répond pas à mes questions. Lorsque les baillons sont retirés, il nous fait signe de nous asseoir dans un coin de la pièce. Une vieille dame entre dans la pièce avec les bras remplis de linge. Un autre homme apporte une grande bassine et la remplit deau. La vieille dame sadresse à notre compagnon arabe qui se met tout nu et entre dans la bassine.
Jinterroge le petit arabe. Il parle français. Il sappelle Younes, il est tunisien et sest fait « ramassé » à la frontière, il y a trois jours. Cest la première fois quil mange depuis trois jours. Il est resté dans le 4X4 depuis tout ce temps. Lautre compagnon sappelle Jimmy. Il est écossais. Il ne parle quanglais, très peu le français.
Younes est très volubile. Cest un jeune garçon de 18 ans qui voulait passer au Maroc pour travailler. Sa famille est très pauvre. Lui est plutôt mignon. Très brun, avec des grands yeux noirs. Il a les traits assez fins et sil navait pas ses quelques poils de moustache et ses gros sourcils, il pourrait passer pour une fille. Il est petit, environ 1M65, mais assez costaud quand même. Jimmy, lui, est un peu plus grand, il doit arriver à peu près à ma taille, soit 1M80. Il a les yeux verts et les cheveux très blonds, et très courts. Il minterroge sur mon absence de poils. Je lui explique succinctement ce qui mest arrivé depuis ces deux dernières années. Lui était au Maroc en vacances, avec des amis. Il était sorti faire un jogging. Quelquun la abordé pour demander un renseignement puis il sest retrouvé dans le 4X4, et ce, la veille au soir de mon enlèvement.
Pendant tout ce temps, nous avons bu le thé, délicieux dailleurs, et manger les quelques fruits. Puis nous avons discuté de comment on pourrait sen sortir
Personne navait vraiment didée. Jimmy voulait aller aux toilettes
Younes appela un gardien, en arabe. Il lui expliqua quon devait faire nos besoins. Le gardien nous apporta une bassine en plastique. Il en profita pour reprendre la théière tout en laissant les gobelets en métal. Il déposa également une cruche avec de leau et dit quelque chose à Younes. Quand il fut sorti, Younes nous annonça que la bassine était pour nos besoins et la cruche pour boire. Nous naurions rien dautre avant demain.
Comme nous étions enchaînés, Jimmy dut se soulager devant nous. Il pissa longuement dans la bassine. Sa queue était longue et fine. Il nétait pas circoncis ce qui intriguait Younes qui découvrait ça pour la première fois. Younes prit le relais. Sa bite était brune et assez épaisse. Elle nétait pas très longue et le gland était assez gros. Quand il eut fini de pisser, jai moi aussi pris mon tour. Je les voyais me regarder. Quand jai eu terminé, la bassine était presque pleine. On la mise à lopposé de la petite pièce, puis on sest remis, à terre. En fait nous étions enchaînés par les pieds, ce qui nous permettait de nous déplacer, mais uniquement ensemble. Nos mains étaient libres de leur mouvement. La pièce nétait pas meublée. Il y avait juste quelques coussins sur lesquels nous étions. A terre, cétait une sorte de lino en mauvais état, sans doute posé sur de la terre. Un petit plateau sur lequel étaient la cruche et les gobelets, cest tout. Une petite ouverture laissait filtrer un filet de soleil. La porte par laquelle nous étions entrés était fermée à clefs et nous entendions des gens parler derrière cette porte. Il était donc inutile dessayer de fuir.
Le jour baissait. Personne ne venait nous voir. Jétais entre mes deux compagnons de galère. Nous avons décidé de nous allonger pour essayer de dormir. Il fallait coordonner nos mouvements. Nous avons bu un peu deau puis nous nous sommes assoupis non sans évoquer chacun nos vies. Jimmy ne parlait pas bien le français, il le comprenait à peine, Younes lui ne parlait pas langlais ! Je faisais les traductions. Puis nous avons fini par nous endormir.
Le matin, nous furent réveillés bruyamment par trois hommes qui voulaient que lon se mette debout. Ils ne parlaient quarabe. Cest Younes qui montrait lexemple. Lorsque nous furent debout, ils nous demandèrent de les suivre. Ils nous amenèrent à un lieu, péniblement à cause de nos chaînes. Cest là que nous pouvions faire nos besoins et nous laver sommairement, toujours enchaînés. Ce fut très gênant de devoir se soulager devant mes camarades et surtout devant les gardiens qui ne cessaient de nous regarder. Je les voyais sourire en nous regardant. Ils nous ont ensuite ramené à la cabane puis nous avons dû travailler : nettoyer de la vaisselle, trier des bouteilles
Younes nous a expliqué que cétait la condition pour manger. Le soleil commençait à chauffer vraiment, heureusement la pièce était plutôt fraiche par rapport à lextérieur. La vieille dame nous apporta à du thé et des gâteaux. Le soir nous avons eu droit à de la semoule et quelques légumes.
Lun des gardiens est venu nous détacher. Il ma emmené dans la pièce voisine où deux autres hommes étaient attablés. Il menleva mon vêtement et je me retrouvais nu devant ces trois gardiens qui très vite me touchèrent le ventre épilé. Ils mallongèrent sur la table, relevant mes jambes. Lun deux examina mon cul et y glissa un doigt tout en me tenant les couilles pour être sûr que je ne bouge pas. Jai fait comprendre que je ne voulais pas. Jai reçu une grande gifle, ce qui ma fait mabandonner. Jessayais de resserrer mes fesses mais lun deux a sorti sa queue et est venu pour menculer. Ils se sont relayés tous les trois entre mon cul et ma bouche. Ils ont tous joui sur mon ventre, en prenant soin de tout étaler. Quand ils ont eu terminé, ils mont lancé mon vêtement et mont à nouveau attaché à mes camarades. Je devais sentir le sperme car Jimmy, maintenant au centre, me la fait remarquer. Je lui ai expliqué ce qui venait de se passer et jai remarqué que ça le faisait bander. La nuit était noire. Jimmy ma demandé de le sucer. Sa bite était bien meilleure que celles des gardiens et jai avalé sans rechigner son sperme au goût sucré.
Notre captivité a encore duré quelques jours. Younes semblait de plus en plus inquiet, moi aussi je me demandais si Jacques faisait le nécessaire pour me retrouver. Chaque soir, lun des gardiens choisissait lun dentre nous pour samuser. Jétais le plus souvent choisi. Je crois que Younes na jamais été les rejoindre. Leurs jeux devenaient plus violents et javais maintenant peur quand je me retrouvais avec eux. Puis un matin, nous avons entendu une voiture. Jai tenté découter ce qui se passait. Visiblement, nous allions être vendus à un groupe. Younes avait donc raison !
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