Eva 1
Lors de ma première année de fac, en Octobre, je rencontrai un très belle fille du nom de Eva. Elle était petite, brune, avait un beau visage et une poitrine généreuse. Elle ne suivait pas les mêmes cours que moi, mais je la croisais souvent à la cantine de la fac, ou encore à la bibliothèque. C'est là, que je l'abordai pour la première fois, et que je fis connaissance avec elle. Nous discutâmes un bon moment, et je la revis plusieurs fois après. Elle était très timide, semblait assez mal à l'aise avec moi, se touchait par exemple toujours les cheveux comme prise d'un réflexe nerveux (même si c'était assez sexy en fait), et se prenait parfois à bafouiller quand elle me parlait.
Malgré ces signes de timidité, je ne me décourageai pas : je me souvenais en effet de Francesca, une étudiante italienne avec qui j'avais couché en tout début d'année, et qui bien que très timide elle aussi, s'était avérée être une formidable amante. Ainsi, je continuai mes avances envers Eva, et nous nous rapprochâmes progressivement l'un de l'autre : nous déjeunions ensemble de plus en plus souvent, nous nous retrouvions à la bibliothèque, nous allâmes même au cinéma. Ce fut après note deuxième sortie ciné que j'eus une occasion d'aller plus loin avec elle : mes parents n'étaient pas chez moi, et j'avais oublié mes clés : j'étais enfermé dehors ! Eva accepta alors de bonne grâce de me loger chez elle pour la nuit, elle me précisa au passage que ses parents à elle, n'étaient pas non plus à sa maison...
Une fois chez elle, elle me proposa de regarder un film, on venait juste d'en voir un au cinéma, mais je dis oui : c'était une bonne occasion pour tenter un rapprochement. Nous étions devant la télé depuis une demi heure, et depuis le début, je me rapprochai lentement d'elle, jusqu'à la toucher. Sentant une légère ouverture, je lui effleurai la main, avant de carrément la prendre. Elle me regarda dans les yeux, et lentement approcha son visage du mien.
"Tout va bien ? Lui demandai je."
"Euh... il faut que je t'avoue quelque chose."
"Vas y, dis je intrigué."
"Je n'ai jamais... enfin je ne l'ai jamais fait quoi. Dit elle très gênée."
Je mis un peu de temps à comprendre.
"Tu es vierge ? Dis je surpris."
Elle rougit de plus belle, avant d'ajouter :
"Oui, alors désolée, mais si tu veux aller jusqu'au bout, ne t'attends pas à quelque chose d'excpetionnel...."
J'étais assez étonné : Eva était très belle, et malgré sa timidité, j'aurais pensé qu'elle avait déjà connu des garçons, à son âge (elle avait 19 ans). De plus, je n'avais jamais dépucelé de filles, je ne savais donc pas trop comment procéder. Je me remémorrai rapidement ma première fois : c'était avec Katherine, et comme d'habitude, c'était elle qui avait tout fait, ma première fois avait donc été super, devrais je faire pareil avec Eva ? Je me décidai : j'avais très envie d'Eva, et qu'elle soit pucelle ne m'arrêterait pas, et si je devais tout prendre en main, je le ferais.
Imitant Katherine, j'embrassai sensuellement le cou d'Eva, et lui murmurai à l'oreille, avec le ton de celui qui est sûr de lui :
"Ne t'inquiète pas, avec moi tout se passera très bien, et je parie qu'on passera une merveilleuse nuit, qui restera dans ta mémoire pour longtemps, et que tu sois pucelle n'y changera rien."
Eva rougit, mais c'était cette fois ci de désir. Lui souriant de nouveau, je me remis à l'embrasser, donnant une intensité nouvelle à notre baiser, Eva me répondit sur le même ton, et je perçus chez elle une excitation presque fiévreuse : je compris qu'elle était ravie à l'idée de connaître enfin les joies du sexe.
Nous allâmes sur son lit, et nous assîmes dessus, puis nous reprîmes nos baisers, nous embrassant de plus en plus passionnément, Eva enroulant ses bras autour de mon cou, tandis que moi, je la poussai doucement, l'allongeant sur le matelas, tout en continuant de l'embrasser. Je quittai ensuite sa bouche, et vins embrasser son décolleté, faisant frémir Eva de la tête au pied. Après quoi, je me redressai et retirai mon T-shirt, elle vint avidement lécher mon corps musclé, dévorant avec enthousiasme mes abdos et pectoraux. Je la laissai profiter de son premier corps d'homme, avant de passer à la suite : je lui retirai doucement son débardeur, la laissant en soutif devant moi. Je vis qu'elle était quelque peu mal à l'aise de se retrouver dêvétue devant moi, aussi je lui murmurai :
"Tu es tellement sexy Eva, j'ai grave envie de toi."
Cela lui donna un peu confiance en elle, et lorsque je vins l'embrasser sur son buste dénudé, ainsi que ses épaules, son ventre et son cou, elle frémit de plaisir. Puis, je l'allongeai à nouveau sur le matelas, avant de reccomencer à l'embrasser sur tout le corps, descendant cette fois ci jusqu'à son ventre plat, avant de déboutonner son jean, et de le lui retirer doucement. Eva trembla, comprenant que le moment fatidique approchait... Je lui embrassai ses jambes doucement, avant de lui retirer sa culotte. Doucement, j'approchai ma bouche de son intimité, et entammai un brûlant cuni, ma langue tourbillonnant sur son intimité. Eva se mit à se cambrer et à gémir très fort, vibrant de la tête aux pieds. C'était la première fois qu'elle subissait ce genre de traitement, et elle semblait adorer ça.
Une fois le cuni terminé, je me levai et retirai mon jean et mon caleçon, me dévoilant ainsi intégralement.
"Elle est énorme !"
"Ca te fera d'autant plus de bien, dis je d'un ton rassurant."
D'un geste un peu maladroit, Eva prit mon sexe, et commença à le caresser doucement, puis, elle se mit à le prendre en main et à me branler, découvrant progressivement le premier sexe qu'elle avait entre les mains, me branlant de plus en plus rapidement, testant mes réactions. Timidement, Eva rapprochait aussi sa bouche de ma queue, avec l'idée visiblement de la sucer, mais elle semblait ne pas trop oser. Elle commença par donner quelques bisous dessus, puis sortit sa lange donna et entreprit de la passer sur ma verge tendue, s'arrêtant de temps en temps sur mon gland, me faisant trembler de plaisir.
"Vas y, lui dis je, c'est trop bon, passe aux choses sérieuses."
L'air un peu hésitant, Eva prit ma queue en bouche, et commença des vas et viens, d'abord doucement (c'était nouveau pour elle, il fallait qu'elle s'habitue), puis de plus en plus vite, ses longs cheveux noirs tombant en cascade autour d'elle, jusqu'à ce qu'elle décide de se les attacher, mettant en valeur son beau visage, et me laissant apprécier le spectaclde de sa bouche avalant ma partie la plus sensible sans aucune gêne. Bien sur, c'était sa première fellation, j'avais déjà connu largement mieux, cependant, le plaisir qu'elle me procurait était déjà très grand, et son enthousiasme de débutante était très désarmant. Je ne tardai pas à lâcher quelque cri de plaisir, qui rendirent Eva très fière d'elle même, et qui l'amenèrent à accélérer encore le rythme de sa pipe, me faisant littéralement fondre de plaisir.
Lorsque cette pipe magistrale fut terminée, Eva était cette fois plus confiante, et ne tremblait plus, redevenue maîtresse d'elle même. Elle se détacha les cheveux, et retira son soutif, libérant ses beaux seins, sans être gênée le moins du monde. Je vins sur elle et l'embrassai à nouveau, puis, je la pénétrai doucement.
"Oh mon Dieu c'est trop bon ce que tu me fais ! Continue s'il te plaît !"
Dopé par ses encouragements, je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules, pour pouvoir la baiser en enclume, et ainsi aller plus profondément en elle. J'entamai alors de puissants vas et viens dans cette nouvelle positions, allant jusqu'au fond d'Eva, lui apportant le plus grand frisson de plaisir de sa vie. J'allais et venais en elle à un rythme énergique, la culbutant, la ballotant de mes coups de butoir. De temps en temps, je me penchai sur elle pour l'embrasser langoureusement, jusqu'à lui faire perdre le souffle. Eva gémissait, criait, s'aggripait à mon cou lorsque je me penchais sur elle, me soufflait à l'oreille entre deux gémissements : "c'est trop bon ce que tu me fais, j'ai l'impression d'être au paradis". J'adorais contempler son beau visage défiguré par le plaisir, son corps magnifique vibrer sous mes assauts, je prenais un pied énorme !
Sentant l'orgasme pas loin, je retournais Eva, et la fis se mettre à 4 pattes : on était prêts pour le bouquet final, la levrette. Je la saisis par les hanches, et la pénétrai d'un coup sec, j'entamai ensuite des vas et viens rapides et puissants. Le corps d'Eva se raidit et se cambra sous le plaisir que je lui infligeais, elle aggripa les draps comme pour se retenir, et poussa à nouveau des cris de plaisir. Tout en allant et venant en elle, je lui claquais les fesses, et lui tirais un peu les cheveux pour la stimuler, elle semblait adorer, étant donnée que ses cris redoublèrent. Elle se redressa, et se mit à genoux, j'interrompis quelques temps mes vas et viens, mes lèvres coururent sur son épaule, sa clavicule, et pour finir sa nuque, avant de lui lécher l'oreille, lui apportant un énième frisson de plaisir. J'enroulai ensuite mes bras autour d'elle, et reprit mes vas et viens, allant à un rythme élevé, tout en lui embrassant la nuque. Avec ma main gauche, je lui malaxai ses seins, tandis que la droite, lui titillai le clitoris, Eva se mordit les lèvres pour ne pas gémir, et son corps se raidit à nouveau, dans l'effort qu'elle faisait pour ne pas jouir tout de suite. Sentant moi aussi le plaisir monter en une vague irrépressible, je compris qu'il était inutile de chercher à prolonger les débats : je saisis Eva par la nuque, et la forçai à se remettre à 4 pattes, puis je repris mes vas et viens, la baisant à nouveau en levrette, plus sauvagement que jamais, allant et venant en elle, tremblant un peu plus de plaisir à chaque aller retour, ma vision se brouillant à mesure que l'orgasme approchait. Eva se mit à crier "Oooh ! Qu'est ce que c'est BON ! Oh mon Dieu, stoop tu vas me !" Ravi d'entendre ça, j'accélérai encore plus, jusqu'à rendre le plaisir réellement insupportable. Nous finîmes Eva et moi par exploser de plaisir dans un orgasme dévastateur, qui nous laissa effondrés et essouflés sur le matelas.
"C'était tellement bon ! Soupira Eva, on reccomencera pas vrai ?"
"Aussi souvent que tu voudras, ne t'inquiète pas, lui dis je en souriant."
Epuisés et heureux, nous ne tardâmes pas à nous assoupir.
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