Ma Filleule, Merveilleuse Amante ..
Béa, ma filleule, cela fait trois ans que je ne lai pas vue, a lépoque elle était fine et jolie avec des boutons dacné sur le front, plate de poitrine les genoux cagneux, bref une fille pas encore sortie de la puberté, aujourdhui je ne sais pas a quoi elle ressemble
Nous allons la recevoir pour huit jours, elle et son petit copain actuel pour la récompenser de son succès avec mention au bac, ça na pas lair demballer ma femme Murielle, elle dit que nous allons être bloqués une semaine, a nous ennuyer avec ces jeunes, il est vrai que nous avons quinze ans décart, lépoque des tablettes est pour nous encore de lhébreu !
Il est dix heures, le temps est venu daller les récupérer à la petite gare régionale, ce qui pose moins de problèmes pour les repérer, seulement deux couples descendent du t e r, deux vieux et
. Non
ce nest pas elle ? Une ta habillée ras le cul et la poitrine à moitié découverte par un sweate a bretelles ? jen tombe des nues, son copain aux cheveux mis-longs est plutôt beau gosse, baraqué dans son jeans moulant et son débardeur genre marcel
- Parrain ??
- Béa ?? Je nen crois pas mes yeux ! Quelle belle jeune fille tu es devenue !
- Le vilain crapaud est devenu princesse !
- Par contre fait gaffe ici il y a toujours du vent
- Et alors ?
- Hé bien... tu es quand même habillée court
- Ha ! ne commence pas avec ça ! mes vieux me tarabustent assez avec ces sottises ! jai de belles jambes je peux les montrer
- Excuse moi ce nétait quune suggestion et toi tu es donc Nicos ?
- Effectivement, bonjour Mathieu Béa ma souvent parlé de vous lorsque vous la faisiez sauter sur vos genoux
- Tu le feras encore parrain ?
- Tu es trop grande voyons, on me traiterait de pervers !
- Pourtant jaimerais bien ! hein Nicos ?
- jaimerais voir ça !
- Allons à la maison voir Murielle
A larrière de la voiture ils narrêtent pas de sa bécoter, par pudeur je dérègle mon rétro car je pourrais voir très haut entre ses cuisses blanches où se balade dailleurs une main ! Je me doute que le fond du slip doit être humide, ce gamin ma lair dêtre un chaud lapin, ya plus dâge pour le vice ! Les présentations faites ils défont leurs bagages, en déjeunant Murielle fait le point pour laprès midi
- Mathieu, cet après midi noublie pas daller chercher les coquillages que tu as commandés, moi je vais aller faire des courses
- Moi je vais avec parrain et Nicos avec toi Murielle
- Comme vous voulez, ce soir ce seras plateau de fruits de mer, ça vous va ?
- Muuuummmm ! super !
Ce qui fut dit fut fait, Béa monte dans ma voiture et nous laissons ma femme et Nicos partir aux courses, elle ne sest pas changée, toujours aussi court vêtue
et là impossible de ne pas voir ses cuisses découvertes et ses seins à moitié sortis de leur cages
mais au fait ? ils nont plus de cages ? je regarde a plusieurs fois pour men assurer ce qui néchappe a la jeune fille qui sourie de mon désarroi
- Que regardes-tu parrain ?
- Ton
tes
tu nas aucune retenue toi !
- Quoi ? mes nichons ? il fait chaud et jai dût grossir de poitrine, mes soustings me serrent tous
- Alors Murielle ten achèteras, et tes jupes ? tire un peu dessus sinon je vais voir la couleur de ta petite culotte
- Ça métonnerait que tu puisses la voir !
- Pourquoi ?
- Parce que je nen aie pas, regarde
- Veux-tu te couvrir sinon nous allons finir dans le fossé
- Daccord mais sans la voiture !
- BÉA !!
- Quoi ? si jétais toi je me demanderais plutôt ce que peuvent bien faire Murielle et Nicos en ce moment ! cest un vrai tombeur de couguar mon mec !
- Bah ! sil na jamais reçu de baffe il na quà sattaquer à ma femme !
- Huuummm-hum !! méfie-toi parrain
mais ?
- Quoi encore ?
- Tu bande ?
- MAIS ? MAIS NON !!! cest la forme de mon short qui fait cette bosse
- Tu parie que non ?
- Béa laisse moi ! ôte ta main de là voyons
- Tu bande ! jen étais sûre
- Laisse ma braguette tranquille
- Regarde plutôt la route
wouuuuuuuh quelle belle bite !
- Béa je ten prie
- Repousse un peu le siège afin que je puisse te sucer, nen fait pas un drame, je te parie quen ce moment Murielle suce Nicos ! tu veux que je lappelle ?
- Non
- Bien enfin raisonnable, roule doucement, tient bien le volant, je passe dessous !
- Aaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuiiiii
.
- Mmmmuuuuuummmmm
muuuummmm
elle est boooooonnnnnne !
Je me suis garé dans un petit chemin pour savourer la pipe magistrale pour son âge et décharger à longs jets dans sa bouche qui ma tété jusqu'à la dernière goutte, désormais je ne regarde plus Béa comme étant ma filleule
Lorsque nous somment rentrés ils étaient de retour, Murielle fuyait mon regard inquisiteur, et si cétait vrai ? et si ma femme avait sucé ce jeune, voire plus ? par contre Nicos et Béa chuchotent et rient de voir notre désarrois, il lembrasse à pleine bouche, comme sil cherchait des traces de mon foutre avec sa langue
- Murielle ? Jai à te parler, suit moi sil te plait
- Que veux-tu ??
- Suis moi je te dis !
Je la coince dans le couloir et lui roule une pelle denfer
tout en cherchant la même chose que Nicos, et je le trouve ! Pas de doutes, il y a des relents de foutre sous sa langue, dabord surprise elle réagit et participe en passant son genou entre mes cuisses pour y trouver une érection triomphante
- Allons dans la chambre, jai trop envie de te baiser !
- Que tarrive-t-il chéri ?
- La même chose qua toi salope, enlève tes fringues et vite, donne moi ton slip
. Eh bien ? cest la chaleur qui te fait mouiller autant ?
- Oui
sûrement
- Ce nest pas plutôt le petit Nicos ??
- Et toi ? Béa ne tas pas sucé ? son copain ma avoué ce quils tramaient, montre moi ton slip aussi je vais sans doute y trouver des restes déjaculation !
- Inutile, javoue, nous avons fauté tous les deux
- Je préfère ça, je te jure que lorsquil ma mis sa verge bandée sous les yeux je nai pas pu résister devant cette queue raide quil décalottait lentement
- Pareil pour moi, cette petite dévergondée ma carrément montré sa chatte et sest jetée sur ma braguette pour, ne pas risquer un accident je me suis laissé faire
- Que vont-ils imaginer à présent ?
- Boff, ils se sont fait plaisir ça niras pas plus loin, écarte tes cuisses que je te pénètre
aahhhhhhhhhhhhhhh que cest booooooonnnnnnnnn
- Oooooohhhhhhoooooouuuuuiiiiiii !!
Une fois les couilles à nouveau vidangées, main dans la main nous avons rejoint les jeunes qui venaient certainement de faire comme nous sur la table de jardin, Béa encore rouge de son orgasme rajustait sa jupe
- Ça va mieux parrain ?
- Impeccable et vous ?
- Huuuummmmmm si tu savais ! Nicos ma
- Stop ! inutile de donner des précisions !
- Dommage !
Pour donner le change jai plaisanté sur notre vie sexuelle plutôt plate, le soir venu après une douche bien méritée, nous avons diné sur la terrasse à l abri du vent et des regards des voisins, heureusement car le vin aidant ils auraient étés surpris du comportement plutôt olé-olé des femmes, assises cote-a-cote la petit Béa ne se privait pas de toucher les seins libres de ma femme
- Quelle belle poitrine tu as Murielle, moi jai deux ufs sur le plat
- Ooooh ? ils ne sont pas si petits que ça
- Tu crois, regarde
montre moi les tiens ?
- Ooooh pas devant ton copain voyons !
- Tu plaisante ? tu as vu sa queue il peut bien mâter tes nichons !
- Elle a raison chérie je tautorise à le faire
- Non et non !
- Lève toi Murielle, je me mets devant ainsi il ne verra rien
Les deux femmes face à face, cest Béa qui dépatte entièrement le corsage et en écarte les pans, évidement nous pouvons tous voir les bouts érigés que la jeune fille pince entre ses doigts, Murielle se mord la lèvre inférieure mais se laisse faire
- Tu bande des tétons dit donc ! Moi aussi, touche ! Fais-moi plaisir
.
- Tu es incorrigible !
jadore tes petits mamelons
- Tète-moi
- Non
- SI ! va-y ... hé bien voilà ! muuuum cest bon !
Murielle colle sa bouche sur le sein droit et continue à peloter lautre, elle ne peut voir Nicos qui passe derrière elle
avant de poser ses mains sur le cul offert il demande mon consentement du regard, jacquiesce... malgré les mouvements peut convaincants destinés à stopper le geste, la jupe remonte lentement sur les reins jusquà dévoiler le string noir, le jeune homme se baisse pour embrasser les fesses tandis que le sous-vêtement quitte lintimité quil est sensé protéger, dés quil est a terre les pieds se séparent ouvrant suffisamment le compas de lentrecuisse, je recule ma chaise de la table pour pouvoir baisser mon short et me masturber a laise lorsque les doigts de Nicos fendent les lèvres que jimagine juteuses
Béa qui jusque là était accrochée au cou de ma femme jette un il vers moi, au vu de ma queue que dont je découvre et recouvre le gland ou perle une rosée de plaisir, elle lâche Murielle et vient a moi
- Parrain, ta femme na plus besoin de moi, mais toi tu as besoin de moi, maintient ta queue droite je vais massoir sur tes genoux
Je nai pas le courage de refuser, la fille passe ses mains sous sa jupe et tire sur sa petite culotte quelle laisse a terre, je vois que le fond en coton est trempé, je nai pas le temps de lui demander de me le poser sous le nez quelle menjambe la jupe roulée autour des reins, quelques doigts a la base de mon pénis pour le dresser a la verticale, la voilà au dessus de mon nud, je le passe sur ses lèvres entrebâillées qui enveloppent délicieusement mon gland, Béa sassied lentement, la bouche ouverte cherchant lair lorsque je lui remplis le ventre de ma queue bandée a mort
- Parrain ! Cest booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn !
- Assied toi et ne bouge plus, apprécie et serre ta chatte sur mon membre
- Tu métire vachement le vagin
- Tinquiète, il verra sûrement de plus grosses verges
- Jespère bien ! baise moi fort, fait moi sauter sur tes genoux comme autrefois
- Daccord, à la différence que tu es embrochée, tu ne risque pas de tomber
- Regarde Murielle !!
Ma femme me fait les gros yeux, elle me reproche sans doute de baiser Béa, mais au moment ou elle va parler Nicos lembroche dun coup de rein magistral, les yeux révulsés elle se cramponne des deux mains à la table et attend les autres chocs quil prend plaisir à lui administrer, accrochée a mon cou ma filleule fait des bonds sur mon membre qui se calle au fond de sa matrice pour décharger des litres de jus brulants
Cette nuit là nous avons fait échange de partenaires dans les lits, au matin jai entendu les cris de Murielle qui se fait réveiller par une énième pénétration, la queue tendue je me tourne vers Béa pour minsinuer entre ses fesses
.
La semaine sest finie en apothéose par une partie à quatre, sans distinction de partenaire
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!