Un Resto Intimiste (Alice Et Margot 8)
Je neu pas à attendre longtemps avant davoir des nouvelles de mes nouvelles amies. Dès le mercredi, la petite chatte rousse dAlice éclaira mon gsm. Je me dis quil fallait que je change cette photo de profil. Ce nétait pas vraiment discret si mon téléphone, posé sur la table sonnait en pleine réunion
-Salut, ça va, chéri ?
-Oui. Je suis content de tentendre. Comment vont mes deux petites furies ?
-On voulait aller manger dans un resto quon connait bien vendredi avec des amis. Tu viens avec nous ?
-Daccord. Je passe vous cherchez vers 20h00 ?
Le rendez-vous était pris.
Vendredi 20h00, je sonnais à la porte de mes amantes. Cest Alice qui mouvrit. La blancheur de sa poitrine nue réveilla tout de suite le feu de mon bas ventre. Elle membrassa sur la joue et déguerpit aussitôt. Elle moffrit ainsi une vue imprenable sur ses fesses fendues par un joli string blanc et ses jambes vêtues de bas de la même couleur qui remontaient jusquà la jarretière quelle avait tatouée sur le haut de sa cuisse gauche.
-Je suis pas prête. Installe-toi et fais comme chez toi.
Elle remonta finir de shabiller dans sa chambre. Margot sortit de la sienne. Elle portait un pantalon en simili cuir noir très serrant et était perchée sur des hauts talons indécents. Une chemise ample blanche tombait sur ses hanches couvrant ses fesses. Javais, moi, jeté un blazer bleu sur une chemise et un jeans et portais des sneakers bleues également.
Quelques minutes plus tard, Alice revint vêtue dune robe courte volante noire qui tranchait volontairement avec le blanc de ses bas. Si elle ny prenait pas garde, certains mouvements dévoilaient le haut de ses bas, larrondi de ses fesses ou même la blancheur du tissu posé sur son entre-jambe. Nous partîmes vers le restaurant.
Cétait un bel établissement du centre de la capitale. A leur arrivée, les filles firent la bise à la serveuse. Une jolie blonde en tablier portant une coupe garçonne.
Marie et Yvan ne mirent pas longtemps à arriver. Le couple avait une petite quarantaine dannée. Lui avait un air intellectuel. Lunettes fichées sur le nez, il était réservé et discret. Sa femme était une splendide brune. Très grande, elle arborait une poitrine généreuse et ferme sous un tailleur classe. Tout indiquait quelle venait des milieux aisés de la capitale.
Nous commandâmes et commençâmes le repas. On parlait de tout et de rien. De politique, de bouquins, de films, de philo aussi. Jétais en charmante compagnie et je découvris quen plus de jolis corps, les filles étaient dune conversation très agréable. Jappris que Margot était styliste dans un atelier qui fournissait plusieurs grandes maisons parisiennes. Alice, elle, finissait la psychiatrie. Yvan et Marie venaient douvrir un bar à vin dans les beaux quartiers. Je découvrais mes deux maitresses sous dautres contours que ceux parcourus le week-end précédent. Et ce que je découvrais ne me déplaisait pas du tout.
Entre lentrée et le dessert, Alice disparut quelques instants. En se rasseyant à ma droite, je sentis sa main aller fouiller dans la poche de ma veste. Elle y laissa quelque chose et me sourit dun air coquin en effleurant ma cuisse. Je méclipsai quelques instants à mon tour pour profiter des toilettes. Je saisis loccasion pour découvrir ce que la rouquine avait plongé dans mon blazer. Je sortis le bout de tissu blanc. Cétait la culotte de la belle. La petite cochonne se baladait donc la chatte à lair et voulait me le faire savoir. Imaginer ce petit minou dénudé sous sa robe fit naître un feu de braise dans mon pantalon. Alice le savait. Et sachant désormais que je savais, narrêtait pas de menvoyer des coups doeils allusifs. Pour maguicher plus encore, régulièrement, elle samusait à écarter légèrement les cuisses sachant que moi seul autour de la table pouvait lapercevoir.
Après avoir dégusté une excellente cuisine, la serveuse apporta les cafés. Elle avait déposé sur le plateau non pas cinq mais six tasses.
-Ca va. Le resto se vide, le coup de feu est passé. Ils nont plus besoin de moi les petits.
Elle sassit en bout de table, à ma gauche. La jolie blonde que javais prise pour une simple serveuse était en fait la patronne de létablissement.
A la fin des cafés, Frédérique se leva et alla chercher une bouteille dalcool artisanal.
-Un petit pouce ? Cest pour la maison.
Elle servit 6 verres et se rassit.
Alice but le sien dune traite. Elle se leva et vint se placer derrière la blonde à la coupe garçonne. Ses mains se posèrent sur ses épaules et mon amie entama un massage. Frédérique. pencha la tête en arrière, les yeux fermés savourant le moment. Elle vint la poser contre la poitrine de la rousse. Alice abaissa ses lèvres vers la bouche de la jeune femme et lembrassa délicatement. Frédérique répondit aux lèvres de la belle et lui rendit le baiser. Leurs langues bataillaient doucement dans la bouche de lune et ensuite de lautre. Tandis que les mains dAlice descendaient et se glissaient sous le tablier et le chemisier blanc de la restauratrice.
Un serveur entra. Il détourna mon regard vers lui.
Je maperçus alors que Marie avait quitté sa place et était venue sagenouillée entre les cuisses de son mari assis en bout de table. Elle avait sorti sa queue de son pantalon et lui léchait les couilles avec passion. Loin dêtre choqué par la scène, le serveur se contenta de débarrasser la table comme sil navait rien vu détrange à la situation. Margot me regardait amusée par cet étonnement quelle vit sur mon visage. Elle me lança des lèvres un « tinquiète » sans quun mot ne sorte de sa bouche. Les bras croisés elle regardait les deux femmes se caresser et sembrasser avec un petit sourire de satisfaction.
La table débarrassée, Alice passa devant Frédérique. Elle sassit en face delle, les fesses posées sur le bois. Ses mains vinrent prendre les rebords de sa robe noire. Elle regardait Frédérique dun air malicieux et provocateur. Doucement, elle releva les pans de tissus noir.
Son pubis nu était à quelques centimètres du visage de la blonde. La belle approcha sa chaise, tendit la langue et vint la perdre dans les ourlets des lèvres de la rousse. Toujours assise, Frédérique passa ses bras en dessous des jambes de son amante et enfouit sa tête entre ses cuisses. Alice se laissa choir en arrière. Elle posa le dos sur la table. Sentant la langue venir jouer avec sa chatte, elle se cambra et jeta la tête en arrière. Ce qui eu pour effet de denfouir plus encore le visage de Frédérique dans son vagin. Sa langue remontait le long du minou épilé et redescendait aussitôt tirant des râles de plaisirs à la jolie rousse. Bientôt, je vis la tête de Frédérique monter et descendre entre les cuisses de sa maitresse. Elle pénétrait Alice de sa langue.
En bout de table, Marie sétait attaquée à la queue de Yvan. Elle plongeait entière dans sa bouche. Marie semblait vouloir lenfoncer le plus profondément possible. Les mains posés sur la tête de sa femme, Yvan accompagnait les mouvements du crâne et poussait le cuir chevelu de sa maitresse pour enfouir la bite plus loin encore. Sans quelle ne quitte le plafond des yeux, sans quelle ne relève sa tête jouissant toujours de bonheur, Alice posa sa main sur mon pantalon. Elle caressa mon sexe à travers le jeans. Je me déboutonnai et sortis ma queue. Alice la prit à pleine main et commença à me branler. Seule Margot restait inactive.
Je mattendais, certes, à une soirée de baise avec ces deux là. Mais je ne pensais pas quelle aurait lieu au restaurant même.
Dun coup, Alice se redressa abandonnant tristement mon dard. Elle releva la tête de Frédérique. De lun de ses pieds posé sur son buste, elle la recula.
-Déshabille-toi et mets-toi sur la table.
La blonde sexécuta. Sous le regard coquin dAlice, son tablier de cuisine tomba au sol. Elle ouvrit sa chemise sur une petite poitrine nue. Sa robe rejoint le tablier abandonné. Frédérique se coucha sur le dos sur la table, dans le sens de la largeur. Son visage pointait vers Margot, ses jambes appuyées sur les bords de part et dautre de moi. Javais une vue plongeante sur son boxer blanc. Et je ne fus pas étonné dy voir une marque humide de mouille importante. Il était désormais légèrement transparent. Je pouvais distinguer les plis de son mont de venus à travers le tissu. Javais une furieuse envie dy plonger ma langue. Alice était venue se placer par au dessus de la blonde. Sa tête était tournée vers moi et son cul faisait face au visage de Margot. Alice avait abandonné sa robe, ne portant plus que ses bas blancs. Elle présenta sa chatte aux lèvres de Frédérique qui continua ce quelle avait commencé. Les reins de la rousse se creusèrent mettant accentuant leffet des fleurs de lotus bleutées quelle y avait faites tatouer. Alice releva la tête et me regarda.
-Tu viens maider ?
Ses doigts plongèrent vers le boxer de Frédérique et elle commença à caresser cette petite chatte sans enlever son sous-vêtement. Elle enfonçait un peu le tissu entre les lèvres du minou de la belle. Je me joignis aux doigts dAlice et commençai de grands coups de langue le long de la fente de la blonde. Le goût de son tissu empli de cyprine accentua la tension de ma queue déjà bandée. Les doigts de ma rousse passèrent sous le bout détoffe blanche. Je les sentais en dessous de ma langue saffairant sur le bouton de la belle.
Marie sétait à son tour assise sur la table. Et cétait désormais Yvan qui soccupait de la faire dégouliner de sa langue. Il semblait habile à ce jeu-là. Pour preuve, les bruits que faisait sa femme. Yvan était finalement bien moins réservé que je ne le pensais. Et le vocabulaire quutilisait sa femme était fort éloigné de celui des beaux quartiers bruxellois.
Très vite, jenlevai le boxer de la serveuse de mes dents. La langue dAlice et la mienne se rejoignaient sur la chatte de la belle blonde. Nous nous embrassions au dessus de son minou avant dy revenir de plus belle. Tantôt Alice léchait son clitoris tandis que je moccupais de ses lèvres, tantôt Alice me poussait pour prendre sa place sur la fente de son amie me reléguant aux parties plus reculée de son entre-jambe. Dun coup de pied, je reculai la chaise pour avoir plus damplitude encore pour cette minette en duo.
Margot se leva et vint se placer derrière moi. Son bras passa sur mon ventre juste au dessus de ma bite laissée à labandon. Elle se pencha vers moi.
-Tu vas les baiser pendant que je te baise.
Elle me tira vers elle et plaqua son bas-ventre contre mon cul. Je sentis alors quelque chose de long et dur contre mes fesses. Je relevai la tête dun air interrogatif. Alice releva la tête. Elle me regarda arborant toujours son sourire coquin. Elle savait, elle. Elle replongea aussitôt vers la chatte de Frédérique pour continuer à donner du plaisir à la blonde. Alice semblait pourtant avoir de plus en plus de mal à satisfaire la serveuse tant elle prenait elle aussi du plaisir. Debout, je pouvais maintenant apercevoir le haut du crane de Frédérique plongé dans lentre-jambe de la rousse. Son pouce venait titiller son anus écartant ses fesses avec habilité. La scène était plaisante à regarder mais je voulais comprendre ce que javais senti venir se frotter à mon derrière.
Je me retournai vers Margot. Elle avait enlevé sa chemise et était désormais seins nus. On pouvait apercevoir distinctement la forme dune queue sous son pantalon noir. Elle était restée dissimulée jusquici par le haut de la friponne. Délicatement elle prit ma main et la porta à son entrejambe. Elle me fit caresser la bosse de son pantalon. De haut en bas, de bas en haut. Son regard déterminé planté dans le mien.
-Ne tinquiète pas. Je suis sûre que tu vas aimer. Jirai doucement.
Je défis sa fermeture éclaire. Un gode bleu nuit sortit du pantalon de cuir. Elle prit ma main et la posa dessus. Elle le branla avec moi comme sil sagissait dune vraie bite.
-Et tu portes ça depuis tout à lheure ?
-Oui.
-La chemise cétait exprès pour ne pas que je le voie ?
-Oui.
-Tas bien préparé ton coup, ma belle.
-Oui.
La situation mexcitait autant quelle meffrayait. Margot lavoir compris. Elle caressa lentement ma queue. Nous étions lun face à lautre. Moi le gode entre les mains, elle branlant mon sexe.
-Tu vas voir, je vais être douce. Je vais rentrer lentement. Moi aussi, la première fois jai eu peur davoir mal. Cétait il y longtemps. Depuis, il ny a pas un jour où jai regretté. Jouir par le cul est tellement fort. Et puis, tas aimé mes explorations lautre soir
Elle avait lart de me mettre à laise.
Marie, observait la scène en souriant. Debout face à nous, les mains posées sur la table, Yvan sétait placé derrière elle. Il prit sa bite en main pour mieux la diriger. Il fléchit les jambes. Une fois à la bonne hauteur, il enfonça sa queue dans le sexe de sa femme, en une fois. Sagrippant à ses hanches, il semblait vouloir rentrer sa queue le plus profondément possible. Tout comme il lavait fait alors quil se faisait sucer.
Margot lâcha mon sexe et sagenouilla. Elle enleva mon pantalon et mon boxer. En remontant, elle déposa un baiser chaste sur ma bite. Elle finit de me déshabiller et dénuda mon torse.
Elle me retourna vers les filles. Elle se colla à moi. Nu, le gode découvert, je sentis très distinctement la queue de latex posée entre mes fesses. Margot me pencha et poussa ma tête vers la chatte de Frédérique. Elle sécarta de moi et se mit à genoux. Ses mains écartèrent mon cul. Son visage sapprochait de mon petit trou. Sa langue vint jouer avec mon anus. Elle commença à tournoyer autour de lorifice, lentement. Puis, accélérant le mouvement approcha lun de ses pouces. Il vint se placer tout juste à côté de mon petit trou. La langue de Margot entrait maintenant en moi. Elle tentait de lenfoncer le plus loin possible. Cétait la première fois que lon me faisait une fleur de lotus. Une sensation très agréable menvahit. Comme par mimétisme, je descendis ma propre langue du côté de lanus de Frédérique pour lui prodiguer la même caresse. A ses gémissements, cela ne laissait pas la blonde insensible.
Margot quitta mon anus et se releva. Elle alla vers son sac. Elle en revint, un tube entre les mains. Un gel en sorti quelle appliqua sur le gode. Elle fit sortir une nouvelle noix gélatineuse. Je sentis ses doigts plonger entre mes fesses. Le contact froid du gel contracta dans un premier temps mon anus déjà bien humidifié par ses coups de langue. Le bout de la bite vint se placer contre mon petit trou. Perchée sur ses hauts talons, Margot avait la taille idéale. Je retins ma respiration tandis que la brune commença à senfoncer en moi. Elle navait pas menti, elle y allait tout doucement. Mon sphincter se crispa. Il ne voulait pas laisser entrer le gode. Mais sous linsistance de la pression de Margot, il dut céder. Et bientôt je sentis la bite glisser dans mon tréfonds. Arrivée au bout, Margot attendit quelques instants le temps que je mhabitue à cette nouvelle sensation. Jugeant mavoir offert assez de répit, elle recula. Et revint aussitôt. A nouveau, je dus reconnaitre quelle navait pas eu tort. La sensation était très agréable.
-Maintenant que je suis rentrée, je veux te voir les baiser.
Alice releva et membrassa. Je perçus dans ce baiser le goût de Frédérique, mielleux et aigre à la fois. Elle se retourna. Elle vint poser sa chate contre celle de Frédérique. Les deux filles sembrassait, échangeant salive et cyprine. Leurs mains se perdaient sur la poitrine de lautre. Leur sexe se frottait lun à lautre. Leur clitoris se frôlaient, se frottaient doucement. Elles moffraient leur chatte et leur cul dégoulinante de mouille, de salive et de plaisir. Je menfonçai dans celle de Frédérique. Mon doigt parcourait le texte en latin qui courait le long de sa colonne vertébrale. Je me dis quil faudrait un jour lui demander la signification de ce tatouage.
Margot entrait et sortait lentement. Je marquai mon rythme sur le sien en prenant la patronne du restaurant. Ses gémissements étouffés me faisaient comprendre quelle aimait.
Je sortis ma bite et la plaçai à lentrée du sexe dAlice. Dun coup, suivant la pénétration de Margot, je rentrai dans la chatte de la rousse. Et recommençai mes va-et-vient comme je lavais fait avec Frédérique. Jalternais ainsi entre les deux filles sortant de lune entrant dans lautre tout en suivant la cadence imposée par Margot. Je sentis que ne pourrais tenir longtemps. Cette bite dans mon cul me faisait bander comme je navais jamais bandé. Ce bout de silicone me faisait jouir comme je navais jamais joui. Je me sentais comblé de baiser deux jolies femmes tout en me faisant pénétrer moi-même.
Margot naccélérait pas la vitesse. Elle venait et sortait de plus en plus loin. Désormais, à chaque coup de rein, elle le sortait complètement, provoquant à chaque fois une sorte de manque chez moi. Il disparaissait à chaque reprise dans la seconde quand le dildo revenait en moi. Les trois filles criaient maintenant. Deux sous mes assauts et la troisième grâce à lexcitation de me sodomiser.
Jétais dans la chatte dAlice lorsque je vins. Je my enfonçai le plus possible pour lâcher mon foutre. Margot qui avait senti que je giclais senfonça immédiatement elle aussi au plus profond. Elle stoppa ses aller et venue me laissant le temps de profiter de linstant. Elle me serait fort pour que je sois le plus proche delle. Je gémis de plaisir en éjaculant toute la jouissance retenue depuis le début de la soirée. Alice ne put retenir ses dents et mordilla un peu plus fort le téton de Frédérique. La blonde grimaça légèrement ressentant la douleur sur sa poitrine. Je vis les traces de ses dents par-dessus son épaule lorsquelle retira sa bouche du sein de la blonde.
Observant la scène et semblant avoir attendu ce moment prévis, Yvan retira son sexe du vagin de sa femme. Il sastiqua avec frénésie. Il finit par éjaculer dans les reins de Marie qui se cambra comme pour garder ce sperme dans le réceptacle formé par le bas de son dos. Elle y trempa les doigts et les amenèrent à sa bouche. Les deux ne nous avaient pas quitté des yeux une seule seconde profitant de lexcitation provoqué par le tableau quils avaient devant eux.
Margot se retira et mécarta des deux filles. Elle plongea sa tête vers la chatte dAlice. Mon foutre en dégoulinait et tombait sur la fente de Frédérique. La brune fourra sa tête entre les fesses de ses amies et se mit à laper mon sperme. Il dégoulinait de sa bouche à son menton, de son menton à sa poitrine.
Margot pris ma bite en main et me fit contourner la table. Nous arrivâmes au dessus des visages des deux filles. Frédérique saisit mon membre et le mit en bouche. Une de ses mains vint masser mes couilles tandis quelle nettoyait mon sexe du sperme qui en était sorti. Margot avait pris Alice à pleine bouche. Mes deux maitresses sembrassaient goulument. A la commissure de leurs lèvres, mon foutre dégoulinait. Elles jouaient avec , se le faisant passer dune bouche à lautre. Alice pris à son tour ma bite dans la bouche. Margot vint elle, avec sa langue, chercher les lèvres de Frédérique avant de revenir vers mon sexe. Trois bouches soccupaient de mon membre qui refusait de dégrossir.
Je maffalai dans la chaise abandonnée derrière mois. Margot vint sasseoir sur mes genoux et membrassa. Je goutai mon propre sperme sur ses lèvres. Ce qui ne me fit pas débander. Frédérique, la tête posée sur la table, caressait les cheveux dAlice posés sur sa poitrine. Yvan et Marie étaient assis dans un petit canapé posé dans le coin de la pièce. Le calme après la tempête.
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