Drôle De Voisinage, Épisode Trois
Il est presque vingt-deux heures et Thomas nest toujours pas de retour. Je lui envoie un message pour prendre des nouvelles, mais pas de réponse, il doit être beaucoup trop occupé avec ses parents.
Je tourne en rond, jessaye de le temps, mais avec la chaleur et les effets de lalcool, je ne sais pas quoi faire.
Je vais à la fenêtre, je prends lair, Michel na toujours pas changé de position, il doit avoir chaud lui aussi. Il me regarde, je le regarde, lui fait un léger sourire. Jai toujours cette sensation gênante dêtre observé, mais il ressemble plus à une bête blessée, quà un mâle en rut prêt à sauter sur tout ce qui bouge.
Jhésite à le faire venir chez moi, histoire de prendre une bière ou autre histoire de passer le temps. Jai un peu peur des évènements qui vont suivre, même si voilà, avec le manque dattention de Thomas, je suis de plus en plus tenté de passer un cap dans ma vie de jeune fille.
Jessaye de remettre mes idées en place, je massois sur le canapé, je tiens à rester fidèle le plus longtemps possible, mais lenvie de sexe, le besoin de sentir une chaleur humaine me pousse à vouloir tenter une aventure dun soir.
Sincèrement, je préfère Robin, même sil nest pas parfait, même sil na pas de plaquettes de chocolat, je sens quil sait y faire, ayant entendu les gémissements de Florence lautre jour, je ne peux pas rester insensible à ce genre de choses. Les hormones travaillent beaucoup comme dirait lautre.
Jallume la télévision, je zappe, je mennuie, je mouvre une bouteille de bière que je bois tranquillement, puis je retourne à la fenêtre.
Puis, je passe le cap de la timidité, ou de la gêne et jinvite Michel à venir boire un verre.
En deux, trois mouvements, il traverse la rue, et le voilà devant ma porte. Je lui propose un whisky avec des glaçons, et je me sers une vodka caramel.
Nous discutons de tout et de rien, puis je lui pose une question qui se promène dans ma tête depuis le début de mon arrivée, et lui demande pourquoi il est toujours en train de regarder ou dobserver les filles à sa fenêtre.
Je prends ça pour un compliment, puis il continue en me disant quil avait trompé sa femme lors dun séminaire et que le divorce avait eu lieu à cause de ça.
Furtivement, je retourne dans mes pensées, et je me dis quen réalité, cest un homme à femmes, une sorte de séducteur compulsif. Bref, je sors de mes pensées, je me sers un autre verre, et il fait de même. Notre bavardage tourne à la dérision, comme si nous étions des copains décole.
Les études, le cadre familiale, quelques blagues un peu coquines animent cette soirée qui sannonçait bien terne en ce qui me concerne.
Ces dernières ont tendance à chauffer un peu les esprits.
A force de boire, plus que de raison, jai envie daller au petit coin. Je me lève, manque de trébucher en me cognant le genou contre le bord de la table basse, et Michel essaye de me rattr tant bien que mal. Je titube un peu, le sexagénaire me fait une remarque sur la beauté de mes courbes tout en souriant malicieusement. Sacré coquin ! Me dis-je.
En revenant dans le salon, je massois à côté de lui, nous nous servons un verre, puis dune voix un peu timide, je lui demande si parfois ses paroles ne dépassent pas ses pensées concernant mon physique. Il me dit que non, quil me trouve plutôt mignonne. Je rougis comme une adolescente recevant son premier baiser.
Je lui dis que malgré tout, nous avons presque quarante ans décart. Vingt en ce qui me concerne et soixante pour lui. Et je ne sais pas pourquoi, mais dans le feu de laction, je lui fais part de mes doutes concernant son aptitude physique à pouvoir satisfaire une jeune femme de mon âge.
Cette remarque le fait sourire, puis il me dit de ne pas minquiéter pour ça, il commence à baisser son short, je lui dis quil nest pas obligé de faire ça pour me le prouver. Je commence à rougir fortement, ça se voit très vite sur une peau blanche, jai le feu aux joues, ce qui ne passe pas inaperçu.
Puis avec les effets dalcool, je lui sors une réplique de film, en lui disant cap ou pas cap.
Michel prend ça pour une invitation, et enlève son short. Nayant pas de caleçon, je vois ce membre apparaître sous mes yeux, il commence à se masturber, lentement, son sexe grossit, et prend une proportion impressionnante, je dirais vingt centimètres sans exagération. Visiblement, je lui fais beaucoup deffet, puis il me demande de me lever, ce que je fais.
Il me demande de me tourner dos à lui, me soulève la robe, me claque les fesses, et me dit quil compte bien en profiter, après la remarque que je lui avais faite en revenant du pub avec Robin et Florence.
Il met ses doigts dans lélastique de mon string, pour lenlever. Me voilà, fesses à lair devant lui, il me penche en avant, et commence à renifler ma vulve déjà bien humide. Il me prend par les hanches, avance sa bouche, et commence à me lécher, je sursaute, sa langue est douce, puis il continue, me titille le clitoris. Jen ai les jambes qui tremblent, je dois avouer que Thomas ne pratique pas souvent cet exercice. Puis, il continue, en savourant mon petit trou, il me caresse à présent avec sa main, me pénètre avec ses doigts, il minvite à masseoir sur son membre.
Il glisse lentement, car je suis un peu étroite, puis avec un coup de reins me propulse vers une première jouissance.
Après quelques minutes de plaisir dans cette position, je mallonge sur le dos, enlève les bretelles de ma robe pour lui offrir ma poitrine, quil lèche, gobe, pince sans relâche tout en me prenant en missionnaire.
Cet homme est vraiment délicieux, il sait y faire, puis je me positionne à quatre pattes. Il me prend en levrette, jadore, et en plus en ayant la robe relevée sur les reins, je suis complètement offerte à lui, une vraie petite salope me dis-je!
Il tente une approche délicate pour me prendre par-derrière, mais je refuse, car je ne lai jamais pratiqué, donc il revient dans ma chatte étroite, les allers-retours sont de plus en plus rapides, je sens son gland gonflé de plaisir.
Nous jouissons en commun, son sperme inonde ma chatte, et moi, jenvoie plusieurs jets de cyprine au même moment, lextase totale. Nous essayons de retrouver nos esprits tranquillement en buvant un verre deau fraîche lorsque jentends à la fenêtre une sorte dapplaudissement mesquin.
Cest Thomas qui est revenu du dîner avec ses parents, nous nous rhabillons dans un temps record, et je sens que la suite de cette soirée va être mouvementée.
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