Le Samedi À L'Entreprise.
Bonjour, je m'appelle Benoit, j'ai 19 ans, j'habite chez mes parents et j'ai des rapports sexuels avec un copain de mon âge en toute discrétion. Je travaille comme magasinier dans une grosse entreprise pas très loin de chez moi, et un beau jour mon pote est venu nous livrer du matériel. La tentation était trop forte, nous sommes allés dans le fond du dépôt à l'abri des regards, et je me suis agenouillé pour lui faire une pipe. C'était super trop excitant de faire ça pendant les horaires de travail. Ce que je ne savais pas, c'était que des caméras de surveillance parsemaient les hauteurs de l'entrepôt et que les images arrivaient directement dans le bureau du patron! Je l'ai appris au soir juste avant de partir quand il m'a demandé de le suivre pour me montrer la scène.
Du matériel de pointe avec lequel il pouvait zoomer et faire un gros plan, pas de doute c'est bien moi en pleine action.
D'abord c'est la honte qui m'a envahi, ensuite la crainte d'être licencié, mon père n'aurait certainement pas apprécié le motif. Je ne savais ni quoi faire ni quoi dire pour ma défense, j'attendais la sanction en me faisant une raison, quand la solution est apparue sans que je m'y attende et je fus bien surpris. Pour garder mon emploi il fallait lui faire la même chose. Je n'ai pas hésité trop longtemps, d'abord parce que ça faisait déjà un bon moment que j'avais envie de faire ça avec un homme, et aussi pour éviter des explications avec mon père. C'est comme ça que tout à commencé.
Ça fait maintenant plusieurs mois de cela, et les choses ont bien changée. Petit à petit il est devenu de plus en plus exigeant et j'étais loin d'imaginer que j'étais aussi salope! J'ai découvert que j'étais fait pour obéir, de passif je suis devenu soumis au point d'être maintenant un vide couilles docile, un vrai cochon qui se déplace le samedi après-midi sur son lieu de travail pour parfaire mon éducation. Il a très vite vu que j'avais des dispositions et des doutes sur mon homosexualité, des doutes vite tombés quand je lui ai avoué que j'avais un copain.
C'est un homme autoritaire qui aime commander, il a une cinquantaine d'années, assez musclé et bien conservé.
Il m'aime bien, faut dire que je passe tous ses caprices. Mes parents sont heureux de me voir partir de bonne heure, pour eux, je suis motivé d'aller bosser, ils ne savent pas que je commence ma journée à genoux! Tous les matins j'arrive une demi heure avant les autres. Une demi heure qui n'est pas payée suite à celle passée avec mon copain dans le fond du dépôt. J'entre dans son bureau, je lui tends son café pris à la machine juste avant, et je m'agenouille entre ses jambes. Il ouvre sa braguette, sort sa jolie queue et je m'en occupe avant la venue des collègues. Il prépare sa journée, trie des dossiers, écoute ses messages, ouvre son ordinateur sans se soucier de moi. Je le suce amoureusement sans oublier de lécher ses couilles, je m'applique en bon soumis, je branle cette queue qui me donne tant de plaisir le samedi. Je connais le moment où il va jouir car il arrête de bricoler et pose sa main sur ma tête pour m'indiquer la vitesse à laquelle je dois opérer. J'accélère le mouvement, il est temps, j'entends les véhicules se garer sur le parking, bientôt le personnel va entrer dans l'atelier. Les portières claquent, c'est l'instant qu'il choisit pour éjaculer. Sa semence inonde mon palais de plusieurs jets, je m'empresse de tout avaler c'est la règle! A peine son pantalon reboutonné on frappe à sa porte, je fais semblant de rien, mais je sais que derrière mon dos ça jase. Je passe pour un lèche-cul au sens figuré alors, qu'en fait, je le suis au sens propre et j'adore ça être considéré comme le petit pédé personnel du patron.
Je ne sais pas si c'est à cause de la cage de chasteté, mais ma libido a considérablement augmenté.
La plupart du temps c'est dans l'atelier qu'ils opèrent. Nu, à genoux sans ma cage de chasteté, ils viennent titiller ma glotte, la dépassant généreusement sous la houlette du patron qui les invitent à m'exploiter sans modération. Cette exercice consistant à me gaver comme une oie déclenche en moi une terrible érection, pourtant, elle est assez pénible. J'étouffe, je m'étrangle, je bave, on me vide l'estomac de manière brutale en me tenant par les cheveux, les couilles viennent buter contre mon menton, mon nez s'écrase contre les poils de leurs pubis et pourtant je bande toujours. Si devant leurs assauts répétés j'ai le malheur de poser mes mains sur leurs cuisses pour les repousser, on m'attache les mains dans le dos, je dois être réceptif et disponible. Interdit de les toucher ni de me masturber, c'est la règle.
Ça c'est que le début! Une fois partis on ne les retient plus. Mon cul est mis à contribution aussi. Un joli petit cul qu'on se charge de remplir et comme j'ai deux orifices, on les comble en même temps. A quatre pattes ou à genoux, dans toutes les positions je les honore jusqu'au moment où ils jouissent. Là aussi mon patron a instauré des règles, aucune goutte de sperme ne doit être perdue, je dois tout avaler.
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