Amina 3
Un beau jour d'hiver, je parits en course avec ma mère faire les soldes. Nous étions à la fin de cette période, et si nous risquions d'avoir moins de choix, nous serions au moins plus tranquilles, le magasin étant moins bondé. En effet, lorsque nous arrivâmes là bas, nous constatâmes qu'il n'y avait plus grand monde. Tandis que ma mère allait chercher des affaires pour elle, je partis de l'autre côté du magasin, m'acheter des vêtements qui me manquaient.
Au détour d'un rayon, je croisais une fille que je connaissais : Amina. C'était une très belle jeune fille, grande à la peau noire, avec des seins énormes. J'avais déjà couché avec elle à deux reprises, aussi, j'étais ravi de cette rencontre inatendue... Lorsqu'elle me vit, elle vint vers moi en souriant. Nous nous fîmes la bise, et Amina me dit :
"Tu fais les soldes toi aussi ?"
"Oui, répondis je, tu trouves ton bonheur ?"
"Oui, et justement, j'allais essayer ce débardeur pour l'été prochain, ainsi que ce jean, tu m'accompagnes ?"
"D'accord, si tu veux."
Je suivis Amina jusqu'à une cabine d'essayage. Elle y entra et referma le rideau. J'attendis sagement devant, jusqu'à ce qu'Amina ressorte, vêtue d'un nouveau débardeur blanc, au décolleté généreux, et d'un jean moulant qui mettait parfaitement en valeur son magnifique postérieur... J'eus soudain très chaud... Mon trouble augmenta encore lorsqu'Amina me dit :
"J'ai un peu de mal à retirer ce jean, tu veux bien venir m'aider ?"
Ravi, et le sexe déjà en érection, je la rejoignis dans la cabine, elle referma derrière elle, et m'embrassa langoureusement, enroulant ses bras autour de mon cou, m'attirant contre elle, jusqu'à ce que nos deux corps soient collés. Ensuite, Amina se retourna et câla son postérieur contre mon sexe, avant le frotter ainsi, ma faisant trembler de la tête aux pieds. Sachant très bien que nous pouvions être découverts à tout moment, je tâchai d'abréger les préliminaires : je glissai une main dans le décolleté d'Amina, et lui malaxai ses énormes seins, l'un après l'autre, la faisant frémir à son tour.
Satisfaite de l'effet qu'elle m'avait fait, Amina se mit debout, et prenant appui sur le mur, me tendit ses magnifiques fesses... Ravi du message, je lui saisis les hanches, et lui retirai son jean, avec difficulté, tant il était serré.
"C'est vrai qu'il est dur à retirer... Faut dire aussi que t'as un tel gros cul... Dis je en la narguant."
Une fois son pantalon enfin baissé, je lui retirai sa culotte, et la pénétrai d'un coup sec, lui arrachant un gémissement qu'elle tenta d' tant bien que mal. Très excité par la vue de son magnifique cul, j'entamai ensuite des vas et viens puissants et rapides, m'enfonçant avec délectation en elle, nous faisant tous deux frémir de plaisir, et nous contraignant à presque retenir notre souffle pour ne pas lâcher de gémissement qui trahirait notre activité. Décidé à en finir au plus vite, j'accélérai le rythme rapidement, et n'hésitai pas à lui titiller le clito pour rendre le plaisir encore plus insoutenable. Nous ne pûmes tenir très longtemps dans ces conditions : Amina et moi eûmes un délicieux orgasme, qui nous fit tourner la tête.
Essouflés, mais ravis et comblés nous sortîmes l'un après l'autre (moi d'abord, puis Amina) de la cabine.
Ma mère nous rejoignit quelques minutes plus tard, ne se doutant pas de ce qui venait de se passer. Elle salua Amina, et celle ci lui dit :
"Madame, ça fait un moment que je suis amie avec votre fils, alors je voulais savoir, est ce qu'il peut venir dîner chez moi ? Mes parents seront ravis de le rencontrer.
"Mais bien sur, c'est une très bonne idée !"
Je sourirs, ravi moi aussi à l'idée d'aller chez Amina. Je le fus encore plus lorsque, après avoir dit aurevoir à ma mère, Amina me dit :
"En fait on sera tout seuls chez moi, mes parents ne sont pas là..."
Je compris donc qu'une nuit de plaisir inoubliable était à prévoir, et cela me ravissait d'autant plus que jusque là, je n'avais jamais eu l'occasion de baiser longtemps avec Amina, nos précédentes baises avaient été vite faites (très) bien faites, dans des endroits insolites. L'idée de faire l'amour à Amina pendant toute la nuit, avait quelque chose d'exaltant.
Une fois arrivés chez Amina, il faisait déjà nuit (nous étions en hiver, donc journée courte), et nous passâmes à table pour le dîner immédiatement. Une fois le repas terminé, Amina me dit :
"Tu veux je te fasse visiter la maison ?"
"C'est gentil, mais pour être franc, il n'y a que ta chambre qui m'intéresse, et même que ton lit en fait..."
Amina se leva de sa chaise, un sourire coquin aux lèvres, et se dirigea vers moi, je quittai moi aussi ma chaise avec impatience, et me jetai presque sur elle. Nous nous embrassâmes sauvagement, comme des morts de faim. Je plaquai Amina contre le mur de la cuisine, lui embrassai le cou, puis lui massai les seins avec vigueur. Je lui retrirai ensuite sa veste, la laissant dans son sexy débardeur blanc de tout à l'heure. Je lui embrassai et léchai le décolleté avec passion, après quoi, Amina reprit les choses en mains. Elle me plaqua à mon tour contre le mur, et me retira presque frénétiquement mon sweat, avant de m'arracher mon T-shirt, et de me dévorer le corps avec avidité, me léchant les abdos, met mordillant les pectoraux. Chaude comme la braise, elle m'attrapa par la ceinture du pantalon, et m'entraîna dans la chambre.
Là, elle me poussa sur le lit, et vint à califourchon sur moi, m'embrassa le corps me dévorant abdos et pectoraux, avant de m'embrasser sensuellement sur la bouche.
Après un fougueux baiser, la belle noire me retourna et prit le dessus, sourire aux lèvres. Elle retira son soutif, libérant enfin sa volumineuse poitrine, et retira ensuite sa culotte, restant ainsi nue devant moi. Amina me tira vers le bord du lit, je m'y assis sagement, attendant la suite... La bombe s'agenouilla devant moi, et prenant mon sexe, le câla entre ses gros seins, avant d'entammer une délicieuse branlette espagnole, allant et venant, faisant coulisser mon sexe entre ses deux belles collines. Je frémis de plaisir, et aggripa les draps comme pour me retenir de défaillir, et en tardai pas à pousser des cris de jouissance. Implacable, Amina poursuivit sa branlette, allant et venant à un rythme de plus en plus élevé. Arriva ce qui devait arriver : je jouis dans un jet puissant, innondant les seins d'Amina.
Même si j'avais joui, je n'avais pas vraiment eu d'orgasme, et j'étais toujours d'attaque. Je renversai donc Amina, et la retournant je la fis se mettre à 4 pattes. Puis je la pénétrai, et entammai des vas et viens en levrette. La tenant fermement par les hanches, je la pillonnai à un rythme soutenu, allant et venant en elle, me délectant de ses cris de plaisir, admirant son magnifique postérieur en mouvement, que je claquais régulièrement pour la stiumler. Amina gémissait très fort, mu suplliait tantôt d'arrêter car je lui faisais trop de bien, tantôt me suppliant d'aller plus vite encore. Moi, j'étais au paradis, j'adorais baiser cette magnifique noire, la voir se tordre de plaisir sous mes coups de butoir, et sentir le plaisir augmenter à chacun de mes allers retours. Vint un moment où Amina se redressa et s'agenouilla, j'enroulai alors mes bras autour d'elle, et lui pressai ses énormes seins. Puis, avec ma main, je lui malmenai le clito jusqu'à ce qu'elle pousse de grands cris de plaisir. Je continuai ainsi, tout en la baisant, jusqu'à ce qu'elle eût un puissant orgasme, qui la laissa écroulée et ivre de plaisir sur le matelas.
Nous nous embrassâmes langoureusement, jusqu'à ce qu'Amina soit à nouveau d'attaque. Le rythme de notre baiser augmenta progressivement, jusqu'à nous laisser hors d'haleine. Alors, Amina me plaqua contre le matelas, et sourire aux lèvres, elle s'empala sur mon sexe. Elle entamma des vas et viens, allant d'abord lentement, histoire de réveiller doucement le plaisir, avant d'accélérer plus franchement, et d'aller à un rythme élevé. Ses lourds seins se balançaient au rythme de ses attaques, tandis que son beau visage se décomposait sous le plaisir qu'elle s'infligeait elle même. Amina gémissait, me griffait le torse, me gifflait, et parfois se penchait pour m'embrasser. Je me redressai de temps en temps pour venir embrasser ses énormes et merveilleux seins, les léchant, ou enfouissant ma tête dans sa poitrine, avant qu'Amina ne me replaque contre le matelas, pour reprendre ses vas et viens infernaux. Elle accéléra encore la vitesse de ses attaques, et je sentis le plaisir me submerger, je tentais de le contenir, mais c'était peine perdue. Dans un énième et délicieux coup de reins, Amina eut raison de ma résistance, et je finis par avoir un dévastateur orgasme, qui me donna l'impression de m'évanouir de plaisir.
Epuisés, haletants et comblés, Amina et moi nous assoupîmes. Le lendemain, je rentrai chez moi, ravi comme jamais.
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