Aux Tropiques Avec Mon Frère
Durant les premiers jours qui précédèrent, notre arrivé, nos regards se croisèrent à plusieurs reprises dans les couloirs de lhôtel, sans que jose lui parler. Mon frère lui aussi de son côté, lavait abordé à plusieurs reprises, accompagnant son regard de séducteur de quelques bons mots qui la firent rire. Elle accepta lidée de son invitation, à prendre un verre avant la fin du séjour.
La veille du départ, elle apparue soudain, rayonnante, traversa le hall dentrée en direction du bar de lhôtel. Mon frère, et moi discutions au comptoir de la réception à cet instant, notre conversation sinterrompit pour la suivre des yeux. Passant à notre hauteur elle nous gratifia dun large sourire, qui illumina son visage cuivré par ces quelques jours de soleil.
Cette fille, avait un regard envoûtant, ce genre de regard qui peut remplacer maintes paroles. Sa démarche avait quelques choses dindéfinissables. Gracieuse et féline elle ne laissait aucun regard masculin indifférent. Ses fesses étaient bien rondes. Sa longue robe moulante noire lui donnait un charme fou. Javais aussi remarqué quelle ne portait certainement pas de culotte, ce qui renforça mon excitation.
Parfois, les femmes savent exactement ce quelles veulent et ne manquent pas dimagination pour nous le faire savoir. Sans la lâcher une seconde des yeux, mon frangin me dit :
- Tu es prêt ! Je crois que lon devrait y aller !
Elle sinstalla sur la terrasse, au bord de la piscine et abrita son regard de braise derrière des lunettes de soleil qui avant, lui maintenaient les cheveux. Elle pencha sa tête en arrière laissant ainsi libre cette magnifique chevelure dont les reflets brillaient au soleil.
- Quelle femme murmurais-je, je te suis !
- Vous permettez que lon partage votre soleil ? lui dit mon frère.
Remontant ses lunettes elle répondit dans un superbe sourire :
- Le partage est une idée qui me plaît assez ! Le soleil brille pour tout le monde vous savez !.
- Vous ne voyez pas non plus de partager une bouteille de champagne !
- Avec le plus grand plaisir !
Nous étions assis tous les trois sous le parasol, mon frère et moi encadrant celle qui avait attisé le feu dans mon esprit durant ces derniers jours. Les présentations faites, elle nous apprit quelle travaillait pour un important cabinet de recrutement sur Paris et quelle assistait souvent à ce genre de séminaires de cadres commerciaux, dans le monde entier.
Nous ne faisions que bavarder de tout et de rien, tout en reconnaissant la chance que nous avions de pouvoir profiter de ce soleil, à cette époque de lannée, quand, à Paris sévissent déjà le froid et la pluie.
Cétait la dernière journée, nous vidions pour loccasion une bouteille de Champagne entre francophones. Après un début de discussion très professionnelle, concernant les modes de recrutement, quelques coupes de champagne, je linterrogeais :
- Y- aurait- il une chance pour que votre choix se porte sur lun de nous ?
A peine ma question posée, je me rendis compte de léquivoque que ma question pouvait susciter. Elle qui avait porté son verre à sa bouche, le reposa lentement sur la table, et me regarda. Ses yeux étaient pétillants, le mélange dalcool et de soleil leur donnait un éclat éblouissant.
- Oui ! Disons que les premiers tests sont plutôt concluants et que je suis assez tentée de vous retenir tous les deux pour les autres épreuves.
Son regard se fit interrogateur et scruta nos réactions. Elle dégageait une telle assurance, un tel magnétisme que son invitation prenait lallure dun défi.
- Etes-vous de simples dragueurs ou vous sentez-vous capables dassumer vos sous-entendus ?
Elle se leva avec grâce, saisit la clé de sa chambre quelle avait posé sur la table, regarda mon bavard de frère le prit par la main et lentraîna en direction du hall dentrée. Elle me fit signe de les suivre.
Elle avait mené le jeu à sa guise. Adaptant sa stratégie de séduction à chacun de nous deux, pour un résultat programmé. Mais quil fut bon de se faire manipuler de la sorte par une experte en psychologie masculine et en son anatomie.
Poussant la porte, mon frère linvita à passer devant, me fit un clin dil, qui me laissa comprendre quil navait en rien perçu le stratagème de la fille. Sa fierté masculine laveuglait et mamusa.
Après avoir glissé un CD dans le lecteur de la chaîne, il lui embrassa la nuque tout en lui caressant délicatement la poitrine. Prenant linitiative, jembrassais ses seins et je descendis mes mains sur son ventre, remontant sa robe pour atteindre finalement son sexe déjà humidifié par lidée davoir deux hommes pour la satisfaire.
Elle émettait des petits soupirs de plaisir. Je vis mon frère se déshabiller. Je fis de même, tout en faisant glisser sa robe le long de son corps, caressant ses épaules, embrassant son cou je laissais mon sexe durcir contre ses cuisses chaudes.
Mon frère passa derrière elle, lui arracha dun geste sec son soutien-gorge. Un petit cri de surprise précéda un soupir de satisfaction. Ses seins durcis par le désir, commençaient à pointer maintenant sur mon torse et sous mes doigts. Nous nous étendîmes sur le lit. La fille, lesprit embrumé par les bulles du champagne embrassait mon frère à pleine bouche pendant que je continuais à lui sucer le bout des seins.
Ceux-ci sétaient encore durcis et frémissaient en réponse aux petits cercles que je dessinais autour des mamelons avec ma langue. Elle commença délicatement à masturber mon frère, faisant aller venir lentement sa verge entre ses doigts, caressant et suçotant ses bourses gonflées. La taille que pris peu à peu lengin lui fit dire admirative, entre deux profondes aspirations :
- Dis donc la nature ta sacrément gâté, toi !
- Tu nas pas as te plaindre non plus, on dirait, lui murmura-il.
Pendant ce temps, je me mis à lui lécher le sexe avec application. Sensation très agréable ! Elle sentait si bon ! Son sexe était épilé avec soin et laissait apparaître des lèvres mouillées par le désir. Ecartant avec soin les replis de ses lèvres jagitais ma langue dans toutes les entournures, glissant délicatement, les uns après les autres mes doigts dans sa fente carrément trempée. La maintenant écartée avec deux doigts, sa vulve rose, offrait un contraste saisissant avec sa peau ambrée Son goût exotique augmenta encore mon désir. Je me redressai et vins lui présenter mon sexe devant sa bouche.
Mon excitation était-elle que ma verge était tendue à son maximum.
- Jai beaucoup de chance avec vous deux laprès-midi sannonce bien.
- Suces nous bien, après on va te rendre folle ! répondit mon frère très à laise dans ce genre de situation.
Pour linstant cest moi qui devenais fou. A chaque pression de sa bouche sur mon gland, javais limpression dêtre littéralement aspiré. Une sensation exquise dans sa bouche experte. Elle prit alors longuement le temps de nous faire une double fellation. Vision incroyable que cette superbe femme avec deux sexes dans la bouche.
Nos deux queues se touchaient et je regardai mon frère qui lui passait la main dans les cheveux lencourageant à continuer de la sorte.
Aucune parole nétait prononcée, chacun prenait un plaisir égoïste à se voir se toucher. Les gémissements de la fille qui nous offraient un caractère dexcitation sans communes mesures.
Cétait la première fois que je participais à ce genre de triolisme et en plus avec mon frère ! Cela me gêné presque, ce séminaire devenait de plus en plus passionnant. Je pris la fille en levrette pendant quelle le suçait.
Mon frère me regardait avec un malin plaisir et elle me priait de bien vouloir appuyer plus fort mes allers-venus. Je me sentais parfaitement à laise dans son vagin.
- Allez ! Maintenant, je veux te sentir derrière moi !
Il passa derrière elle et tenta de la pénétrer avec un peu de salive. Bien que faisant attention, la pénétration avait du mal à se faire.
- Va voir dans la salle de bain, jai quelques huiles de massages me demanda-telle.
Je revins rapidement et préparais moi-même son anus avec un, puis deux, puis trois doigts. Lhuile facilitait considérablement lentrée. Ensuite, mon frère qui continuait à se faire sucer, tenta avec succès une nouvelle pénétration.
Ses coups de butoirs la firent hurler de plaisir, et elle mordit loreiller à plusieurs reprises. Pendant ce temps elle me suçait à nouveau. Elle était une remarquable pompeuse. Elle me regarda et me dit :
- Ça te plait, taimes ça, hein ?
Je ne répondis pas et lui fit seulement un petit signe dapprobation de la tête. Les yeux dans la vague, ivre de jouissance, elle réclamait du plaisir avec des « encores » prononçaient dans un souffle, entre deux gémissements.
Limpressionnant membre de mon frère disparaissait complètement en elle, et ses couilles venaient frapper lentrée de sa fente, provoquant chez sa partenaire maintes jouissances. Insatiables elle en redemandait toujours.
Couché sur le dos, je glissai mes jambes entre celles de la fille et de mon frère qui la sodomisait avec application. Je vins mintroduire dans son vagin mouillé. Le mouvement de va-et-vient de nos deux queues était si bien coordonné que nous fûmes saisis par une transe dont je mesure aujourdhui encore mal lintensité. Je sentais les grosses burnes poilues de mon frangin se frotter aux miennes.
La fille nétait plus réduite quà une fine partie de chair entre nos deux membres qui sactivaient dans ses entrailles. Hurlant de jouissance, elle était retenue prisonnière dune magistrale double pénétration.
Ne pouvant plus se retenir, mon frère éjacula dans son anus, puis se retira complètement vidé ! La fille et moi continuâmes à faire lamour. Et dans un dernier spasme, je me retirais et jouissais dans sa bouche. Ses lèvres aspiraient mon sexe qui disparaissait au fond de sa gorge. Ses doigts caressaient et pressaient doucement mes bourses, ce qui me fit tressaillir à plusieurs reprises. Elle me laissa complètement vidé et exténué par tant de plaisir, elle roula sur le côté et vint se coucher entre nous deux.
Le souffle court tous trois nous tentons de récupérer de cette intense séance.
Lentement elle continua à nous caresser, se laissant aller à quelques petits coups de langues sur nos membres transpirant un délicieux mélange de foutre et de sa plus profonde intimité.
Quelques instants plus tard, elle se leva sans un mot ramassa ses affaires et disparue dans la salle de bains. Elle réapparue, élégante et radieuse .Elle se contenta de nous dire :
- Messieurs, mon avion décolle dans 2 heures, je dois partir.
Médusés par la vitesse des évènements nous restions sans réactions.
A cet instant-là, nous eûmes vraiment limpression davoir été utilisés, comme si nous nous inscrivions dans un scénario écrit depuis quelque temps déjà.
Qui était-elle vraiment ? Etait-ce sa véritable profession ? Nous navions aucune information sur elle.
A défaut de réponses à toutes ces questions, elle nous laissa un souvenir tenace. Une fois rentré, à Paris je me mis en quête de la retrouver. De clubs en boites en tous genres je guettais son éventuelle présence. Sans succès.
Bien des mois plus tard, alors que je me promenais seul un dimanche après-midi au jardin des Tuileries, je la revis accompagnée de deux s. A la fois surpris et content de la revoir, je mavançais vers elle un peu hésitant.
- Bonjour vous vous souvenez de moi ?
Avec un naturel désarmant et tout en me serrant la main elle me répondit en riant :
- Mais bien sûr, comment allez-vous depuis lIle Maurice ?
A ce moment-là, arriva un homme dans mon dos :
- Chéri, je te présente une personne qui faisait partie du séminaire à lIle Maurice !
- Enchanté ! Me lança-t-il avec un large sourire et dune chaude poignée de mains.
Elle enchaina avec un aplomb surprenant.
- Saluez bien votre frère de ma part et nhésitez pas à passer à lagence.
Je bafouillais un :
- Oui ! Au revoir madame.
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