Amour Caussenard
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Malgré la beauté du site, la jeune femme se sent inquiète d'être ainsi recluse dans cet univers caussenard, perdu au milieu de nulle part. La route la plus proche est à plusieurs kilomètres dun étroit chemin qui serpente dans la végétation méridionale. Le village est lointain. Le voisin immédiat gîte à une demi-heure de voiture. Mais la magnificence du site incite au repos.
Lors de son arrivée tardive en compagnie de son nouvel ami, ils nont dautre choix que de se laisser aller à un sommeil réparateur dans limmense chambre blanchie à la chaux. Elle est située au premier étage de cette ferme typique, à peine entrevue la veille dans le faisceau des phares de la voiture. La chaleur est telle quils sendorment difficilement après sêtre totalement dénudés.
A son réveil, la lumière est intense à travers les volets à claire-voie. Elle est seule dans la chambre blanche. Elle tarde à se lever tout au plaisir sensuel de la fraîcheur matinale. Quand enfin elle se décide, elle sétonne de ne plus trouver ni valise ni vêtement. Elle quitte la pièce et descend lescalier à vis jusquà limmense salle de séjour, vaguement gênée par sa nudité. Elle naime pas vraiment son corps massif et laiteux, aux seins lourds, son ventre légèrement arrondi. Seuls sa toison et ses cheveux blonds, ses yeux bleus et son visage poupin aux traits réguliers lui conviennent. Elle aime aussi ses fesses rebondies qui aimantent le regard des hommes.
La maison semble vide et la voiture a disparu de la cour. Elle simagine que son ami la empruntée pour faire quelques courses et suit lodeur du café et du pain grillé jusquà la cuisine où elle se sustente. Le temps passe sans que la demeure ne bruisse de quelque occupant. Elle la visite et ny trouve aucune trace de ses affaires à lexception de sa trousse de toilette soigneusement rangée dans la salle de bains. Les armoires et certaines portes sont fermées au moyen de serrures de sécurité.
Lorsque le désir mâtiné de crainte monte, elle sengage sur le chemin daccès dans lespoir dy trouver son ami. Ses pieds nus sont blessés par les pierres tranchantes qui le recouvrent, le soleil agresse sa peau nue et elle doit rapidement renoncer à son projet. Elle rentre et sinstalle dans un profond divan ou elle sendort à demi en position ftale. Il est à peu près midi, lorsqu'elle est brutalement réveillée par le crissement d'un pas lourd sur le gravier de la cour. Son compagnon est de retour à pied, vêtu d'une étrange tenue paramilitaire, équipé d'un lourd sac à dos rempli de victuailles.
Il la contemple dun il égrillard mais, quand elle fait mine de lui adresser la parole, il lignore et se rue dans la cuisine pour décharger son sac. Lorsqu'elle lui réclame ses vêtements, il lui affirme quelle devra désormais sen passer et lui intime l'ordre de préparer le repas. Alors qu'elle sessaie à lui résister, il la saisit à la taille et plaque son torse sur la table de la cuisine, pieds au sol, jambes écartées et fesses offertes. De son doigt enduit de saindoux pris dans un pot tout proche, il lui caresse la raie culière puis la pénètre dun puis deux de ses gros doigts. Elle se sent humiliée et pourtant terriblement excitée. Lorsquelle commence à se tortiller, il baisse son pantalon et la sodomise sans ménagement. Elle grimace de douleur. Il la bâillonne de sa main et continue son ouvrage.
Dans un premier temps, le corps de celle-ci se révolte contre l'agression. Puis ses sensations changent, ses sens s'échauffement, son cul soffre et tout son être se soumet au point que son bourreau allège son étreinte.
Lorsqu'il sort de ses fesses, elle est au comble de la honte. Son étonnante jouissance, dont le masochisme s'explique difficilement, la met terriblement mal à l'aise. Elle n'ose regarder son agresseur et se précipite ainsi, nue et souillée, pour préparer le repas du midi. Celui-ci terminé, il la traite de « souillon » et lui impose un débarbouillage un peu particulier dans la baignoire. En effet, au jet brutal de la douche succèdent mille caresses intrusives au cours desquels ses orifices sont brutalement pénétrés par les doigts et le sexe du garçon. Encore une fois, à la répulsion succède le plaisir et au plaisir la honte. À l'heure de la sieste, il lui lie mains et jambes écartelées au montant du lit, la fouette doucement sur les seins et lentrecuisse dune badine de genévrier. Elle se tord dun mélange de douleur et de plaisir. Après quelques minutes, il se lasse et s'endort à ses côtés du sommeil du juste. Elle somnole la tête peuplée d'images tantôt jouissives, tantôt cauchemardesques.
Les jours se suivent en apportant leur lot de honte et de plaisirs coupables. Elle ne peut se vêtir et ne connaît de repos que lorsqu'il quitte la maison. À ces moments-là elle est trop fatiguée pour tenter de s'enfuir et s'effondre d'un sommeil tourmenté. Elle ne voit plus de solution à son esclavage. Plus les jours avancent, plus il s'enhardit. Les s deviennent raffinées sans jamais laisser de traces et sont immédiatement suivies d'un de ces étonnants moments de plaisir intense. Désormais il filme leurs ébats dans le but de les vendre à des sites pornographiques. Du coup, son imagination na plus de limites et le corps de son amante est martyrisé sans vergogne. Sa gorge est envahie de son phallus, son sexe et son cul fistés en dilatation maximum, les sex-machines, les cordelettes et le bondage font leur apparition.
Et sans relâche elle alterne entre douleur et plaisir, puis seffondre de honte. Plusieurs fois, en labsence de son tourmenteur, elle s'éloigne pour fuir cet enfer mais la souffrance de ses pieds nus et labsence de tout vêtement l'incitent au retour. A moins que ce ne soit cet attachement bizarre qui les lie, mélange de désir et de répulsion. Par la suite elle se sentira terriblement coupable et n'osera même plus envisager de quitter la maison et encore moins d'en parler à quiconque. Les badines et les chaines lui sont devenues familières.
Après plusieurs semaines de ce traitement, il revient accompagné de deux jeunes hommes de son acabit. Elle est offerte à eux et, fataliste, se soumet sans résistance. Ils vont toute une nuit r d'elle sans lui laisser une seconde de repos. Elle va les servir à table totalement nue. Elle doit se tenir debout auprès deux pour quils puissent envahir ses seins, son sexe et ses fesses de leurs mains. Ils ne sen privent pas puis lenchaînent et la contraignent à de douloureuses promenades claudicantes dans la garrigue. Lorsquils papotent autour dun verre, elle doit se glisser sous la table et sucer leurs queues.
Ils vont la battre, la souiller, lui pénétrer la bouche, se succéder dans son cul écarteler sa vulve, pincer clitoris et tétons, la photographier dans mille positions humiliantes. Elle sera surprise par l'orgasme, le cul et le sexe envahi par leurs deux vits. Sous l'effet de la honte, son malaise va grandissant. Son « ami » ne cesse de lui dire combien il est fier de sa totale soumission, combien il trouve son corps servile agréable et son enthousiasme communicatif.
Maintenant, lorsqu'il s'absente, il la laisse en compagnie d'un impressionnant personnage de petite taille, velu comme un singe et étonnamment muet, quil a soustrait à la vindicte des habitants du village le plus proche. Ce dernier, dabord spectateur de leurs ébats, en vient à participer au jeu sexuel. Un jour ou, une fois de plus, elle le caresse tendrement, elle perçoit son excitation sexuelle.
Mais très vite les choses changent. Lhomme est d'une telle énergie qu'il arrive même à lui faire ressentir des orgasmes multiples. Tantôt il prend sa vulve et tantôt son anus. Souvent son désir monte alors qu'il lui lèche une main, une jambe ou le visage. Progressivement sa langue évolue le long de son corps, écarte doucement ses cuisses et ses fesses jusqu'à pouvoir en respirer lodeur, puis y pénétrer. Son puissant organe envahit sans problème sa vulve qui se dilate pour l'accueillir. Il sait détremper son cul et en dilater le sphincter. Parfois, lorsque la jeune femme tente de le repousser, il émet des grognements menaçants. Immédiatement elle se met à sa hauteur et lui présente sa croupe.
Chaque fois que cela arrive en sa présence, son ami contemple le spectacle avec envie puis l'humilie en la traitant de « chienne immonde ». Malheureusement, dans ce cas aussi, elle ressent un violent plaisir suivi d'une épouvantable honte. Il se refuse désormais à pénétrer autre chose que sa bouche pour éviter la rivalité avec lhomme. Chaque fois quil essaie de lapprocher, celui-ci grogne et menace. Sa jalousie ne fait aucun doute.
Rapidement, le lilliputien velu manifeste de la reconnaissance à celle quil a soumise et devient progressivement le rival du jeune homme. Lorsqu'un jour ce dernier perd son sang-froid et commence à la battre, ce nouvel amant, pour la défendre, lui saute à la gorge comme pour l. Ses yeux, injectés de sang, lui donnent un air féroce.. Le jeune homme va devoir utiliser toute sa force pour se dégager. Saisi de peur, il ramasse quelques affaires et quitte le domaine. Lorsquelle essaie de le retenir, le muet sinterpose avec force. Elle hésite et essaie de lamadouer en lui montrant sa soumission, ventre à terre. Rien ny fait ! Peu de temps après, on entend le bruit du moteur de son véhicule, sans doute garé hors de vue, à proximité.
Bientôt, le nouveau maitre des lieux exige de sa partenaire un témoignage de reconnaissance qui la laissera épuisée et souillée à lextrême. Il faut dire que sa connaissance des besoins sexuels de lintéressé s'est considérablement affinée au gré du temps. Pendant des heures, il va lécher chaque centimètre carré de son corps soumis, aplati sur le sol, en insistant sur les recoins les plus intéressants. A plusieurs reprises, il va posséder son cul et sa vulve quelle lui présente à quatre pattes, bras fléchis et fesses en lair. A chaque fois quelle essaie de se relever, il la plaque au sol et glisse à nouveau son visage entre ses fesses. Il enduit son corps de son abondante salive. Sa langue sinsinue au-delà de petites lèvres et du sphincter anal. Elle na plus peur de lui et va dorgasme en orgasme.
Ils ne se quitteront plus. Elle lui offrira pendant bien des années son corps nu, sans cesse prêt à tout, sans cesse disponible à ses moindres désirs. La honte la quittée et elle aime ces moments amoureux avec son complice poilu. La nuit, il se glisse jusquà sa couche et la réveille de sa langue en attendant quelle lui offre sa croupe. Lorsquelle dort profondément, il peut pénétrer ses orifices dix fois de sa langue. Parfois, elle jouit dans son sommeil. Souvent elle prend la position et se soumet à son assaut.
Au jardin, il la bouscule et la fait tomber à quatre pattes pour la prendre. Elle écarte les jambes pour régler la hauteur et se rendre plus accessible. Il peut ensuite la pénétrer pendant de longues minutes sans éjaculer trop tôt. Quand ils quittent la maison, il naccepte pas quelle revête un pantalon ni même une culotte. Lorsquelle a essayé, il a déchiré le vêtement de ses mains courtes et noueuses. Il veut pouvoir glisser sa main sous la robe, effleurer son cul longuement et caresser sa peau nue en toute circonstance. En hiver, elle nest couverte que dun manteau de laine et dépais bas qui lui montent à mi-cuisse. Son corps ne connaît point dentrave et elle se sent aussi nue quen été.
A plus dune occasion, il a soulevé en public le vêtement de son amante et dévoilé ses fesses rebondies et son sexe blond, pour affirmer sa dominance sur elle. Les garçons du village se réjouissent de ces moments de grâce. Parfois, lorsquils se déplacent en voiture, il lui pince la cuisse pour quelle sarrête et se dénude. Il la pénètre au bord de la route ou du chemin et lèche soigneusement ses souillures avant quils ne repartent. Un agriculteur voisin a même réussi à filmer la scène sur son portable et à la diffuser sur Internet. Limage est étonnante : le minuscule petit homme y chevauche un grand corps laiteux orné de blond, tout en contraste. Mais les acteurs sont difficiles à reconnaître.
Les deux nouveaux amants couleront des jours heureux jusqu'au décès de son minuscule amant. Elle redoublera dingéniosité, lors de son grand âge, pour continuer à satisfaire ses sens. Certains disent quils lont vue saplatir sous lui et aider de sa main à la pénétration de sa vulve. Consciente de ne pouvoir réfréner les désirs de celui-ci, et paradoxalement heureuse de sa soumission, la jeune femme limitera les contacts avec les autres humains. Quant à son amant de jadis, nul ne sait ce quil en est advenu...
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