Le Frère, La Soeur Et Le Beau Cul
Richard Dassot s'était laissé entrainer par sa soeur et son beau-frère dans une visite d'une abbaye proche de leur lieu de vacances. Avec ennui mais fatalisme. Divorcé depuis six mois, il n'avait trouvé mieux pour occuper ses deux semaines d'été qu'accepter l'invitation de Mylène et Gabriel, histoire de ne pas se retrouver seul. A 45 ans, il avait l'impression de retourner en enfance, comme au temps où on l'envoyait chez son oncle et sa tante fin août, juste avant la rentrée des classes. Sauf que sa soeur, âgée de 50 ans, avait seulement trois ans de plus que lui. Cette belle (fausse) rouquine bcbg, aux ongles laqués rouges, très soucieuse de conserver son corps mince et bronzé qui la rendait "performante" comme cadre, disait-elle, élue dans un conseil municipal, l'avait pris en charge comme une mère, ce qui l'agaçait parfois. Mais comme il l'adorait, il lui passait à peu près tout. Gabriel était un bon gros barbu avec lequel il était difficile de ne pas s'entendre.L'abbaye offrait à ses visiteurs un spectacle vivant avec des acteurs professionnels en tenue d'époque. Il regardait leurs évolutions d'un air las, parmi les autres spectateurs en tenue d'été. Des couples d'âges divers, parfois avec des gamins qui avaient l'air de s'ennuyer autant que lui. Quand soudain apparut dans son champ de vision... un cul. Réveil brutal. Des culs, Richard Dassot en avait vu un certain nombre dans sa vie. Des jolis, bien moulés dans des jeans étroits, tels deux grosses pommes. Des vilains, genre portes d'armoire, qui pesaient sur le haut des cuisses et tiraient le torse vers le bas. Des minuscules en tête d'épingle qui faisaient pitié, des monstrueux, indécents par leur volume et les plus courants souvent résumés par l'expression "culotte de cheval". Il en avait caressé, léché et sodomisé à peu près de toutes les sortes.Mais ce cul là était différent. C'était un cul à la fois large et haut, tonique, musclé, arrondi, qui tendait un mince pantalon de toile blanche à en menacer les coutures.
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Deux ou trois jours passèrent. Gabriel était rentré à la ville en raison d'un travail urgent à poursuivre et Richard se retrouvait donc seul avec sa soeur dans leur gîte rural. Celle-ci, peintre amateur, se consacrait à sa vie d'artiste devant des paysages bucoliques qu'elle transformait au gré de son humeur, entre deux séances de bronzage à poil cheveux attachés dans son jardin clos. Richard s'emmerdait copieusement. Il se demandait comment il pourrait croiser à nouveau la femme au beau cul. Et après ? Elle était mariée et resterait inaccessible. Misère !Un matin, Richard et Mylène s'en allèrent faire leurs courses au marché d'un village voisin. C'est en faisant la queue devant le primeur qu'il aperçut le cul. On ne pouvait pas le rater. Il était moulé par un mini short cerise, juste au-dessous d'un débardeur de même couleur, à même la peau, et au dessus d'une paire d'escarpins qui allongeaient ses jambes musclées. Nadia tourna ses lunettes noires vers lui, l'aperçut, et le salua. Richard se sentit rougir.
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Comme ils l'avaient annoncé, Philippe et Nadia passèrent au gite de Richard et Mylène afin de découvrir les oeuvres de cette dernière. Philippe se répandit en propos aimables et techniques, ce qui le rendit définitivement séduisant aux yeux de Mylène. Les deux couples dînèrent ensemble et Richard ne perdait pas une occasion de mater le cul, dès que Nadia se levait de son siège. On se quitta en se faisant la bise, signe qu'une certaine intimité était née. Une fois seuls, Mylène et Richard ne tarissaient pas d'éloge sur leurs nouveaux amis. Il avait été convenu de se retrouver pour une baignade en rivière dans un endroit précis, assez difficile d'accès, afin d'être tranquille. Richard et Mylène avaient fini par le débusquer au terme d'un chemin escarpé, assez dangereux pour les chevilles et aboutissant à une sorte de gorge où la rivière offrait des trous profonds propices à la baignade. Ils y arrivèrent les premiers et se mirent en maillot de bain, Mylène dans un bikini minimaliste qui mettait son bronzage et sa silhouette en valeur, Richard dans un short classique.- J'espère que c'est bien là, déclara le frère.- Et qu'ils vont venir. Sinon, on se baignera seuls, voilà tout.Ils n'attendirent pas longtemps. Le couple Nadia-Philippe déboula quelques minutes plus tard.- Ah, vous êtes en maillot ? Nous, on se baigne nus, j'espère que ça ne vous gêne pas, glissa Nadia.Le frère et la soeur se regardèrent. Evidemment, ils auraient dû s'en douter. On ne va pas dans un endroit aussi isolé pour jouer les "textiles". - Non, ça ne nous gêne pas et ça nous gêne d'autant moins que je vais me mettre à poil moi aussi, rigola Mylène et se débarrassant de son bikini, exhibant un corps encore ferme et de couleur pain d'épice à peine éclairci au niveau de ses petites fesses rondes. Philippe siffla :- Voilà un bien joli corps...- Merci. J'aime le soleil.En revanche, Richard dévoila une peau albâtre dont il eut un peu honte. Mais cet état d'esprit fut bref car Nadia venait de se dépouiller de ses maigres atours, libérant son prodigieux fessier d'un short sous lequel elle était nue. Littéralement hypnotisé, Richard eut toutes les peines du monde à détacher son regard des deux glorieux hémisphères café au lait, signe que la propriétaire pratiquait également le "bottomless". Surtout ne pas bander ! De son côté, Mylène put apprécier l'épais pelage brun sur la poitrine de Philippe, son ventre ferme et plat, ses cuisses musclées, ses fesses comme deux grosses noix, mais surtout sa queue particulière, longue et fine, terminée par un gland étonnamment volumineux, tel le noeud d'une corde. "Voilà une bite qui doit faire du bien par où elle passe", se dit-elle in petto. Elle ressentit une petite contraction vaginale qui, heureusement, ne pouvait se voir... L'homme était lui aussi intégralement bronzé si bien que Richard fut le seul à se distinguer. Encore heureux qu'il ne fût pas trop mal fichu. Son pénis, court mais épais, était en général apprécié des dames lorsqu'il se trouvait en érection.Afin de couper court à toute réaction inappropriée, Richard choisit de se jeter à l'eau en premier.- Hou ! Elle est froide ! De là, il regarda les trois autres entrer avec précaution dans la rivière. Il eut alors tout le loisir de détailler le corps de Nadia, la queue à l'abri dans l'onde. Il constata qu'elle avait de fortes cuisses musclées, le pubis rasé, des hanches en amphore, un ventre à peine arrondi et des seins larges aux pointes rebiquant vers le haut. "Un corps imparfait mais fait pour l'amour, comme une femme d'un tableau de Rubens", se dit-il. Les deux couples jouèrent dans l'onde comme des gamins jusqu'au moment où Nadia sortit la première. Alors, Richard s'avança pour observer le cul le plus près possible. L'eau ruisselait dans la raie profonde et faisait comme des perles sur la peau brune des fesses parsemée de petits creux dus à la cellulite. Nadia s'ébroua et Richard put observer le frémissement des deux globes affermis par l'eau. Il n'avait qu'un léger mouvement du visage à faire pour mordre dedans comme on mord dans une nectarine juteuse. Ou mieux encore, à fourrer son nez dans son anus dont il percevait la couleur ambrée. Au lieu de quoi il se mit la tête sous l'eau afin de rafraichir son cerveau en ébullition. Heureusement, personne n'avait remarqué son trouble. Mylène et Philippe était trop occupé à chahuter, pour ne pas dire à se peloter mutuellement. D'ailleurs, quand ce dernier sortit de l'eau à son tour, une légère érection témoignait de son excitation, ce qui ne provoqua aucun commentaire.Allongés au soleil sur un rocher lisse comme une peau de bébé, les deux hommes et les deux femmes devisèrent chacun de leur côté. Philippe et Richard évoquaient la rivière et ses sautes d'humeur. Mylène et Nadia parlaient esthétique.- Je vois que tu es rasée, dit Mylène. Moi, je préfère garder un peu de poils...- Je me rase parce que je suis très brune et l'été, je n'aime pas porter de slip. J'aime être nue sous le pantalon ou le short, parfois même la jupe ou la robe. Et à travers la toile, on peut voir les poils...- Et ton mari, qu'est-ce qu'il pense ? Moi, le mien aime bien un peu de fourrure...- Je ne vais pas entrer dans les détails mais bon, entre femmes, on se comprend. Pour le cunni, il trouve ça mieux.- Oui, c'est une question de goût. Vous êtes mariés depuis longtemps ?- Non, deux ans seulement. Nous sommes tous les deux d'anciens divorcés.- Et vous vous êtes rencontrés au boulot ?- Euh... pas vraiment. Entre nous soit dit, on s'est rencontrés dans un club libertin. Nous sommes libertins tous les deux. C'est le hasard si nous faisons le même boulot.- Ah vous êtes libertins ? Moi et mon mari, on ne l'est pas vraiment, mais chacun est libre de son corps, l'essentiel étant que les sentiments restent intacts.- Donc, vous êtes libertins à votre manière, même si vous n'allez pas en club. Et Richard ?Mylène baissa la voix.- Oh lui, il ne s'est pas remis de son divorce. Il a maintenant un problème avec les femmes. Il ne fait même plus l'amour. Et pourtant, à une époque, c'était un grand amoureux. Celle qui réussira à le décoincer méritera une médaille.Mylène travestissait légèrement la vérité. En fait, depuis son divorce, Dassot était devenu un fou du cul et tirait tout ce qu'il pouvait. Mais sachant l'intérêt qu'il portait à Nadia, et surtout à son arrière train, elle faisait en sorte de lui donner les meilleures chances, en soeur aimante.- Ah oui, je vois, répliqua la kiné. C'est un phénomène courant. Vraiment dommage pour lui, il est bel homme.- Et Philippe, c'est, euh... un bon amant ?- Ah ah ! ça t'intéresse ?- Euh, non, je demandais ça comme ça...- T'inquiète, je ne suis pas jalouse. Comme toi et ton mari, nous sommes libres de nos corps. Mais oui, pour répondre à ta question, c'est un très bon amant. Viril et endurant. On se fait plein de plans culs. Ici, par exemple, on a souvent baisé.- Eh, oh, les filles vous parlez de quoi, là ?Au mot "baisé", l'oreille de Philippe s'était mise en alerte.- Des histoires de filles. Occupez-vous de vos histoires de mecs, répliqua Nadia.Sur ce, Philippe se leva, attrapa Nadia, la mit sur son épaule et la projeta dans l'eau. Puis il plongea à son tour et le couple s'agita en riant. Mylène se demanda si ce n'était pas le prélude à un accouplement. Mais non, c'était un simple jeu. Elle les rejoignit, puis Richard et l'après-midi se poursuivit ainsi par des bains, des rires et des séchages nus au soleil. Richard, qui n'avait pas apporté de crème solaire, découvrit la peau écarlate en plusieurs endroits, en particulier les fesses, peu habituées à voir le jour. Nadia lui proposa de l'enduire d'une crème apaisante et il s'empressa d'accepter.
********A plat ventre sur sa serviette posée sur le rocher, Richard s'abandonna aux mains expertes de la kinésithéute. Non contente de lui apaiser la peau, celle-ci insistait sur les raideurs de ses épaules et du bas de son dos. Dassot baignait dans la béatitude. Nadia descendit et atteignit les fesses rougies par le soleil. Une tension s'installa sur le rocher, non seulement chez le massé mais aussi chez la masseuse et même chez les deux autres personnages du lieu, attentifs à la progression des mains. La kiné entreprit un mouvement tournant sur les fesses musclées de l'homme. Puis sans marquer la moindre hésitation, son majeur s'insinua dans la raie des fesses et s'attarda sur l'anus. Là, il n'était plus question d'apaiser les coups de soleil, chacun en était bien conscient. Richard Dassot se crispa mais resta passif. Après un massage prolongé, le doigt quitta son anus pour ses couilles, très légèrement, mais cela suffit pour valider définitivement le soin en préliminaire érotique. La kiné revint à l'anus et enfonça cette fois le doigt dans le rectum, à la recherche de la prostate. Dassot gémit mais écarta les jambes, signe qu'il adhérait à l'opération. Sur les serviettes d'à côté, la situation avait évolué. Philippe s'astiquait en regardant sa femme opérer et Mylène décida que ce gland proéminent méritait une visite approfondie de sa part. A genoux entre ses jambes, elle pompait Philippe avec ferveur, la queue de cheval en bataille, ses ongles laqués rouges entourant le précieux organe. Quand Richard ouvrit les yeux, il eut la vision inédite de sa soeur en pleine activité buccale et décida que lui aussi pouvait désormais libérer son pénis congestionné par la pression prostatique. Et il se retourna.Nadia le regarda en souriant :- Tu veux que je te suce, moi aussi ?- Hon hon... Mais en 69.Dassot ne perdait pas de vue le cul. Il voulait le voir de très près, le plus près possible, afin de l'honorer comme il le méritait. Nadia s'exécuta et offrit sa vulve charnue aux lèvres de son partenaire sexuel, tout en poursuivant sa fellation. L'homme empoigna les deux globes, les caressa, les palpa et les écarta afin que sa langue puisse occuper l'anus et s'y attarder. Un frisson parcourut l'échine de la kiné en dépit du rayon de soleil oblique qui éclairait sa peau. Dassot avait atteint le point sensible de son anatomie. Pas étonnant qu'elle se fût aussi occupée de son petit trou... Alors, il lécha, titilla, lécha encore si bien que la kiné se mit à gémir, à onduler, à lâcher la bite, à se cambrer et à connaître un premier orgasme qu'elle exprima par un "ahhh" sonore. Mylène en interrompit sa succion, assez fière de la performance de son frère et bien décidée à lui emboiter le pas, si l'on ose dire. S'accroupissant sur la bite de Philippe, elle s'empala lentement, laissant le noeud trouver sa place, et commença à onduler, les mains en appui sur la poitrine velue de son partenaire. Très vite, un bruit aqueux s'échappa des deux sexes joints. Mylène dansait sur la bite, savourant le travail intime du gland proéminent dans son tréfonds.- Oh, c'est bon, je baise, je baise... lâcha-t-elle, enthousiasmée.Dassot n'avait évidemment jamais vu sa soeur dans un tel état et surtout dans une telle situation. "Ma parole, mais c'est une vraie salope !" se dit-il.A dire vrai, lui-même était en train de se comporter comme un gros cochon. Après avoir empoigné avec volupté les deux fesses de Nadia, les avoir bien palpées et pétries, il les écarta, humecta une nouvelle fois son anus et prévint l'intéressée :- Je vais t'enculer, prépare-toi.A quatre pattes sur le rocher encore brûlant du soleil d'été, la kiné se cambra en écartant ses cuisses et en se disant que, décidément, pour un type qui ne savait pas s'y prendre avec les femmes, ce Richard était drôlement directif. En tout cas, la perspective d'être pénétrée par le petit trou avait tout pour lui plaire. Dassot ne le savait pas mais elle était fan de la "sodo". Fascinés par son cul, ses amants et bien sûr son mari commençaient toujours par là. C'est pourquoi Dassot, après avoir pris son temps, entra sans difficulté dans le rectum de la belle qui multiplia les interjections sonores et les encouragements quand l'homme adopta un rythme soutenu. A dire vrai, elle ne voulait pas être en reste à côté de la quinquagénaire Mylène. Celle-ci, dos sur le rocher, se tenait les pieds par les mains pendant que Philippe la besognait bras tendus, imprimant à son bassin un mouvement rotatif extrêmement jouissif pour sa partenaire, et subjugué par le vice de cette rouquine qui le houspillait de mots crus afin de le rendre encore plus viril. Entre les exclamations de Nadia et les propos salaces de Mylène, le lieu bucolique avait pris l'allure d'un sauna libertin un samedi soir.Pilonnée avec ardeur, Nadia connut un deuxième orgasme et s'affala, rompue de plaisir :- Tu me tues, Richard ! Tu as trouvé mon point faible, salaud ! Leurs lèvres et leur langue se rencontrèrent. La main de Nadia s'attarda sur le pénis de son amant, toujours gonflé de désir. Ils regardèrent le couple à côté d'eux sur le rocher. Philippe était maintenant couché jambes en l'air et Mylène occupée à lui lécher couilles et anus tout en le branlant de ses doigts carminés :- Ta soeur est une sacrée baiseuse mais je m'en doutais un peu. Quand une femme regarde la braguette et les fesses d'un homme après son visage, c'est qu'elle aime le cul. Comme moi, gloussa Nadia.Et sur ce, elle prit la main de son amant et l'entraina avec elle dans l'eau en plongeant.
*********Dans l'onde, Dassot regarda avec concupiscence Nadia nageotter à plat ventre. Ses deux fesses émergeaient comme deux petites bouées sur lesquelles il avait envie de se vautrer. Il la rejoignit et Nadia fit mine de se débattre. Elle savait que son amant bandait toujours et qu'il allait encore la servir, mais elle voulait le maintenir en éveil. Elle désigna le couple qui, sur le rocher, poursuivait ses ébats :- Regarde-les, ces deux là, deux vrais cochons !A quatre pattes, Mylène subissait en levrette les assauts de Philippe dont les fesses musclées se contractaient sous l'effet de son pilonnage. La quinqua exprimait bruyamment et vertement, comme pour en informer la cantonade (qui se résumait à son frère et à Nadia), toute la satisfaction que lui procurait le gland proéminent de son partenaire sexuel, dont elle ne cessait de célébrer la vitalité, d'où l'engagement forcené de l'intéressé.- Ta soeur est vraiment très chaude. Tu le savais ? interrogea Nadia.- Euh, non, pas à ce point. Je savais qu'elle aimait ça, je l'ai déjà entendue baiser, mais là, ton mec la met en transes. Cela ne te gêne pas de le voir faire jouir une autre femme ?- Non, au contraire, ça m'excite et lui aussi ça l'excite de me voir baiser avec un autre. D'ailleurs, tu pourrais t'occuper un peu de moi, non ? J'ai encore envie. Et tu bandes comme un âne en rut ! gloussa-t-elle en se saisissant de son membre sous l'eau, tu as une belle bite, bien épaisse, différente de celle de Philippe et c'est ça qui est chouette dans le libertinage.Et sur cette déclaration, elle plongea la tête sous l'eau et Dassot sentit sa bouche l'envelopper aquatiquement, en apnée. Curieuse sensation ! Puis elle sortit la tête, prit une goulée d'air, et recommença et ainsi plusieurs fois de suite. Pendant ce temps, le couple sur le rocher avait changé de position et Mylène chevauchait maintenant son amant en lui montrant ses fesses, le visage tourné vers l'eau, si bien que Richard avait tout loisir d'observer son rictus de plaisir, ses seins en ballotage et le travail de la queue coulissant de toute sa longueur dans l'antre en ébullition de sa soeur.- Oh que je la sens bien, oh que je la sens bien ! répétait Mylène en cavalant.Nadia jaillit une nouvelle fois des profondeurs et Richard décida que le petit jeu avait assez duré. Il l'entraina sur un rocher à demi immergé sur lequel il l'allongea. L'eau faisait comme de petits ruisseaux sur son ventre et ses seins étalés. Richard lui prit les cuisses et la souleva de manière à ce que les deux sexes fussent hors d'eau et l'enfila dans les éclaboussures, le bassin de sa partenaire bien assujetti au sien :- Mmmh, tu es gros, c'est bon... lâcha la naïade qui l'encercla de ses mollets et le saisit aux bras pour bien lui renvoyer la balle. Richard prit un bon appui sur un caillou rond. L'angle de pénétration était parfait et le couple surexcité se mit à rivaliser d'exclamations de plaisir, histoire de ne pas être en reste de la volubile Mylène. Richard mitrailla sa partenaire de coups de reins puissants. Les peaux humides clapotaient l'une contre l'autre. Mais le contact de l'eau froide décuplait le plaisir de Mylène et l'effet de l'onde conjugué avec l'activité du gland dans son intimité la conduisit à un troisième orgasme, encore plus violent qu'elle traduisit par un "ouiiiiiii" sonore. Alors, Richard s'abandonna et de fines pellicules blanches firent leur apparition à la surface de l'eau. Le couple prolongea l'étreinte quelques minutes, le temps de reprendre ses esprits et de s'apercevoir que l'autre couple les regardait, sans doute apaisé depuis quelques minutes...- Eh ben Riri, tu peux te reconvertir en poisson ! lâcha Mylène, et tout le monde se mit à rire...
*********Ce soir là, les deux couples dînèrent ensemble et décidèrent de ne pas se quitter pour la nuit. Au terme du repas, les deux femmes s'étaient glissées sous la table pour réveiller l'ardeur de leur mâle et l'activité sexuelle s'était poursuivie dans deux chambres différentes. Tous les quatre voulaient se retrouver le lendemain à la rivière mais un orage éclata dans la nuit et brouilla le temps. Puis le couple Nadia-Philippe reçut de la visite familiale et la relation avec Mylène et Richard fut interrompue. Le séjour s'achevait et le frère et la soeur effectuèrent une brève visite à leurs amis pour leur souhaiter une bonne fin de vacances.- Cela me rappelle notre jeunesse, quand on disait au-revoir à nos amoureux de l'été en se promettant de s'écrire... avoua Mylène, un rien émue.Pour elle et Richard, le temps était venu de se remémorer la grandiose partie de cul de la rivière.- Tu m'as épaté, reconnut le frère, je n'aurais jamais cru que tu puisses baiser avec des mots aussi crus. Ton vocabulaire est plus étendu que je le croyais. - Quand je fais l'amour, je sors de ma carapace, je laisse parler l'animalité qui est en moi, expliqua la soeur.- Ton maire ne sait pas qu'il a fait entrer une louve dans sa bergerie...- Oh, ça va ! Et puis dis donc, toi aussi, quelle vulgarité ! "Maintenant, je vais t'enculer". Bonjour la poésie...- Ah parce que c'est poétique de lécher le trou du cul d'un type que tu connais à peine ?Mylène fit mine de gifler son frère et tous deux s'esclaffèrent. Ils avaient révélé l'un à l'autre, dans des circonstances improbables, l'autre face de leur personnalité, celle qu'on cherche en général à cacher. Et leurs liens en seraient d'autant plus forts.
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