Ballade À Vélo 1/2

Nous roulons depuis maintenant 1 heure à travers les champs sur de petites routes de campagne. Le soleil est présent mais pas assommant. Un peu d'air circule, rendant l'atmosphère respirable et ce petit périple sympathique. Tu as fière allure sur ton vélo équipé de son panier où sont entreposés draps de plage, crème solaire, bouteille de soda et petits biscuits. Un joli chapeau de lin sur la tête, tes lunettes de soleil sur les yeux, tu portes une petite robe aux couleurs vives et à fines bretelles. Pour ma part je suis vêtu d'un bermuda marron et d'un t-shirt blanc.

Je roule à côté de toi sur mon vélo, nous avons un moment rien que pour nous 2. En roulant nous parlons de choses et d'autres. Une voiture arrive en face parfois et m'obligent à passer devant toi pour lui laisser suffisamment de place pour nous dépasser. Puis je reviens à ton niveau. Quelques kilomètres plus loin, il s'agit d'une voiture qui nous suit, tu te relèves sur tes pédales et commences un petit sprint en te mettant en "danseuse", je me décale derrière toi et profite de ce petit spectacle. Le vent de l'accélération créé quelques remous, ta petite robe se montre un peu volatile et découvre une partie de tes fesses. Je suis charmé par ce string que je pense avoir aperçu. D'ailleurs je ne suis pas le seul car le véhicule qui nous dépasse se met à klaxonner ; ses occupants, le sourire aux lèvres, t'encouragent à poursuivre ton effort en espérant que cela en dénudera davantage.
Lorsque ce véhicule s'éloigne je reviens à ton niveau, tu sembles surprise par leur comportement et ne semble pas comprendre pourquoi ils klaxonnaient. Je t'explique donc que tu roulais un peu les fesses à l'air pour notre plus grand bonheur de primates écervelés. Tu souris et je vois dans ton regard que tu es contente d'avoir ainsi pu plaire et charmer l'assistance.
Nous continuons notre trajet en direction de la mer, le revêtement de la route empruntée d'habitude par les tracteurs est un plutôt dégradé, les secousses font glisser en roulant l'une de tes bretelles le long de ton épaule jusqu'à ton coude.

Vu les nids de poule il est plus prudent de se focaliser sur les trous à éviter plutôt que sur cette tenue capricieuse. L'autre bretelle ne tarde pas à en faire autant mettant tes deux épaules à nu ainsi que le haut de ton dos. Concentré, pour ma part, sur les trous à éviter je ne profite pas de ce désagrément. Encore quelques mètres et voila que les secousses font descendre le haut de ta robe sur le bout de tes seins te faisant un décolleté de plus en plus prononcé.

Consciente de ce qui se passe tu m'interpelles :
- "Regarde! Je ne fais pas du vélo sans les mains, je le fais sans le haut!"
- "Sans quoi?" Dis je en te regardant finalement.
A ce moment j'aperçois l'un de tes petits seins complètement nu et l'autre qui ne va pas tarder à l'imiter.
- "Je t'ai dit sans le haut, on est secoué comme y'a pas et ma robe ne tient pas en place…"
Malgré tout tu continues ton chemin le vent faisant pointer tes seins et soulevant tes cheveux sur tes épaules.
- "Je suis sur que ça t'excite de voir ça?!"
- "qui ne le serait pas devant pareil spectacle, mais j'arrive à me contrôler pour pas te sauter dessus et te les dévorer... coquine"
- "arrêtons nous que je puisse boire un peu et retrouver une tenue correcte…"
Quelques dizaines de mètres plus loin nous stoppons nos machines à l'ombre de trois gros arbres, tu poses un drap de plage au sol pour que l'on puisse s'asseoir. Tu prends la bouteille de soda et t'hydrates. Tu me la tends, je bois à mon tour comme tu es proche de moi tu approche ta main de mon entre jambe, la place sur mon sexe en disant:
- "Effectivement tu ne mentais pas, t'es bien excité mon loulou !!!" ce geste me fait boire de travers et toussoter à plusieurs reprises… d'une main tu ouvre la braguette de mon bermuda et de l'autre tu t'introduis jusqu'à mon caleçon. Mon membre présente une belle érection "Mais dis moi tu bandes rien qu'à entrevoir un bout de fesse et mes seins ?"
- "C'est vrai qu'il m'en faut peu pour me faire de l'effet, mais ces situations sont tellement suggestives que ça m'émoustille et plein de choses traversent mon esprit…"
- "A quelles genres de choses penses tu?" me réponds tu en faisant maintenant aller ta main à l'intérieur de mon caleçon. "t'imagines que tu vas venir en moi ? comment ?"
- "L'idée de voir tes fesses dénudées par le vent je trouve ça tendrement érotique, ensuite que d'autres les aient vu… je suis partagé, qu'ils aient apprécié le spectacle me plait, car ça signifie que je n'ai visiblement pas de mauvais goûts… par contre qu'ils te désirent me gène un peu et me rend un peu jaloux car je te veux rien que pour moi… Enfin de voir tes seins nus vibrer et ta robe descendre le long de ton corps était très esthétique et comme je te l'ai déjà dit j'aime te voir habillée car tu as beaucoup de goût dans ta façon de te vêtir, mais ton corps est tellement beau qu'il se suffit à lui seul…"
De la main qui est libre, au fur et à mesure que je te réponds tu refais glisser les bretelles de ta robe, étant debout et les bras vers le bas, les bretelles ne tardent pas à descendre ainsi que le haut de ta robe jusqu'à tes hanches, laissant de nouveau apparaître tes petits seins fermes et ton petit ventre. tu retires ta main de mon sexe, dégages les bretelles de tes poignets, puis laisse ta robe glisser le long de tes cuisses jusqu'à tes chevilles.
- "C'est comme ça que tu aimes me voir ?" dis tu simplement vêtue de ton string et de ton chapeau.
Je suis un peu abasourdi par tant d'assurance de ta part.
- "Oui… comme ça… ou même sans ça…" je balbutie, et montre ce qui recouvre ton sexe.
- "Ah oui ! mais tu ne penses pas que c'est un peu déséquilibré ? moi aussi j'aime te voir sans tout ça ! alors mets donc tout ça à l'air, ça risquerait de sentir le renfermé !" D'une main tu déboutonnes mon short, puis tu tires dessus pour le faire descendre jusqu'à mes pieds. Ensuite tu passes tes mains sous mon t-shirt, caresses mon ventre en faisant remonter tes mains et mon t-shirt. Je t'aide à retirer mon t-shirt blanc et me retrouve torse nu, en caleçon face à toi nue à 98%.
Je pose mes mains sur tes hanches et commence à faire glisser ton string, tu en fais autant avec mon caleçon qui est un peu plus compliqué à retirer compte tenu de mon érection.
Nous voila maintenant face à face, nus comme des vers, tu me prends par la main et nous nous installons sous les arbres, sur ton drap de plage. J'avais imaginé avant de partir qu'un petit moment érotique se déroulerait sur cette plage quasi déserte où nous aimons flâner plutôt dénudés, où dans l'eau où mon sexe t'aurait pénétré au rythme de la houle, mais je n'avais pas pensé un instant que nous nous serions arrêtés au bord d'une route déserte de campagne à l'ombre de vieux chênes centenaires. Ta bouche s'approche de la mienne et ta langue vient en contact avec la mienne, nos langues sont sucrées et se caressent tendrement et goulument. Nos corps viennent l'un contre l'autre, tes seins touchent mon torse velu, nos ventres se touchent eux aussi puis nos hanches. Mon sexe touche ton bas ventre tandis que ton pubis vient au niveau de mes testicules. Je glisse une main au niveau de ta nuque pour retenir ta tête et continuer à te manger la langue. De l'autre, je viens dans ton dos pour te plaquer un peu plus près de moi.
Ta main droite, la plus agile vient jusqu'à mon sexe, l'autre descend le long de ma colonne vertébrale avec un doigt jusqu'à la raie de mes fesses puis remonte, faisant ainsi plusieurs aller-retours. Je glisse ma main entre nos bassins en m'écartant un peu de toi, le dos de nos mains se touchent, ma main cherche ton petit triangle brun velu. Inutile de chercher longtemps, je connais ton corps et ne tarde pas à faire glisser mes doigts sur ta douce toison humide. D'un geste nonchalant nos pieds se déchaussent et se frottent permettant ainsi une petit ouverture de tes jambes et facilitant ainsi les caresses de mes doigts jusqu'à tes petites lèvres humides.
Ta main caresse mon sexe en descendant jusqu'à mes petites boules, tu malaxes ça de façon habile, puis remonte jusqu'à mon sexe sur lequel tu entreprends des va-et-vients de façon vigoureuse. Nos bouches se décollent l'une de l'autre, tu en profites pour me dire :
- "embrasse moi dans le cou et caresses mes seins avec ton autre main !"
Je m'exécute, docile, je ne souhaite pas te contrarier dans un tel moment. Tes mouvements de poignet s'accélèrent, tu sers mon sexe fermement entre tes doigts. Quant à moi je glisse mes doigts entre tes petites lèvres très humides jusqu'à ton anus et dessine un petit rond tout autour avant de retourner surfer entre tes petites lèvres, puis je remonte sur ton clitoris que je fais ressortir en tournant autour. Ton bassin commence à montrer des signes d'approbation en imprimant de légères ondulations. Tu continues à me branler de main de maitre, et tout en faisant aller mon sexe vers le bas tu remontes ton bassin en me disant:
- "Continues de caresser ma chatte avec ton sexe, je veux le sentir tout contre elle…"
- "tu la veux en toi ? ou juste sur ton clitoris ?"
- "Non pas en moi, tapote la juste sur mon bâtit bourgeon et frotte ton gland entre mes lèvres" me dis tu d'une voix légèrement essoufflée
Je m'active malgré la petite longueur de ma bite pour manoeuvrer sur toi et continuer à te donner du plaisir, je suis quant à moi très excité, un peu de sperme sort de mon gland, le rendant luisant. Tu tiens ma verge en érection et fait de petits mouvement sur ton clitoris, cette sensation me donne de petites douleurs car je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.
- "Je ne vais pas tarder à jouir, alors c'est comme tu veux, soit tu m'achèves, soit tu relâche la pression et je continue à m'occuper de toi si tu es loin de jouir…"
- "Non ça vient, je veux te sentir entrer en moi, mais ne crache pas en moi, sinon ça va couler quand je vais reprendre le vélo…" Tu continues cette agréable en faisant glisser mon gland entre tes petites lèvres pleines de cyprine.
- "OK pour venir en toi, mais un ou 2 aller-retours car je ne tiendrai pas beaucoup plus, surtout si tu te resserres sur moi…"
Tu introduis mon pénis millimètre par millimètre en toi, tes jambes écartées, en laissant ta main sur mes bourses, de mon côté j'essaie de me concentrer pour ne pas jouir en toi, et tente de réguler ma respiration tout en posant mes mains sur tes fesses. De ta main, tu abandonnes progressivement mon sexe pour lequel tu as de moins en moins de prise pour venir sur ton clitoris afin de te caresser. Ton souffle s'accélère au fur et à mesure que tu frottes ton petit bourgeon, j'entreprends une sortie de mon sexe puis entame une nouvelle descente au creux de tes reins. L'exercice devient de plus en plus périlleux pour moi, je tente de maitriser l'insoutenable, toute ma concentration est mobilisée pour ne pas jouir en toi en attendant que tu jouisses, le rythme de ta main s'amplifie et accélère considérablement, tu laisses fuite quelques petits cris de satisfaction. Ma respiration est lente et de plus en plus profonde alors que j'entame le 3me aller retour dans cette chatte douce, humide et ô combien hospitalière. Je ne te pilonne pas, on croirait du slowmotion vu la lenteur du geste, je te supplie d'en finir avec moi, je ne me sens pas capable d'un 4me forage.
- "ça vient mon loulou… encore... une dernière fois... en moi... ça vient... pour moi..." me dis tu dans un essoufflement, en rajoutant quelques petits couinements difficilement transposables par écrit. Je sors de ton sexe ma petite bite excitée, j'ai à peine le temps de me décaler que le sperme sort par jets à 4 reprises directement sur l'herbe proche de la serviette.
- "Il s'en est fallu de peu pour que tu m'inondes mon loulou… bravo pour cette maitrise !" me dis tu avec un sourire narquois "tu m'as fait beaucoup de bien, mais je ne me sens pas la force de repartir tout de suite en vélo, j'ai les jambes en coton"
- "Soufflons un peu avant de repartir pour la plage, à moins que tu ne souhaites rentrer directement à la maison ?"
- "Oh non, on a pas souvent l'occasion d'être que tous les 2, je n'en ai pas encore fini avec toi, on mange un petit gâteau pour reprendre des forces et on va à la plage, c'est juste à coté, il ne nous reste que 5 minutes de route"
J'acquiesce, te caresse un sein puis la hanche avant de déposer un baiser sur ta bouche. Nous profitons du calme alentour pour souffler et récupérer encore nus comme adam et eve avant qu'ils ne croquent la pomme. Le vent caresse tes seins en les faisant pointer, tandis que mon sexe reprend ses proportions habituelles au repos.

La suite viendra plus tard, en espérant que vous vous serez bien caressé en lisant ce récit...