Un Pousse Café Plein De Goût (Alice Et Margot 9)
-Vous voulez encore boire quelque chose ?
Cest le serveur dans lencadrement de la porte qui venait de poser cette question. Comme la première fois, il ne semblait pas du tout étonné par la scène quil découvrait. Sans doute avait-il lhabitude des frasques de sa patronne et sen accommodait-il très bien.
-Apporte le 25 ans dâge, sept verres et la cuillère
Frédérique sétait relevée et sappuyait sur un coude. Elle lui avait lancé lordre avec lautorité dun chef de brigade.
-Vous verrez, cest un très bon rhum. Il va tous nous remettre daplomb.
Le serveur apporta presquaussitôt la bouteille, plusieurs verres et une petite cuillère en argent ciselée.
Frédérique servit six verres. Chacun but le sien dune traite.
Yvan et Marie ne sétaient pas mêlés à nous jusquà présent. Mais ils semblaient avoir changé davis. Ils sapprochèrent de nous. Yvan présenta sa bite devant les bouches dAlice et de Frédérique, toujours couchées sur la table. Marie prit la cuillère et le verre resté vide et se dirigea de lautre côté de la table. Frédérique et Alice prirent la queue dYvan en bouche et commencèrent à le sucer avec force. Marie de son côté avait passé lune des serviettes posée sur la table sur les fentes des deux filles, en essuyant le sperme qui y avait. Elle commença ensuite à caresser ses deux amies.
Frédérique et Alice accélèrent rapidement la cadence sur la bite dYvan. Les caresses de Marie semblaient faire leur effet. Je voyais mal ce que faisait Marie.
Margot se leva et memmena vers le canapé. Elle my fit assoir. Debout, elle déboutonna son pantalon et le descendit jusquaux genoux. Je vis pour la première fois lensemble de son harnais de cuir noir qui retenait le gode entre ses cuisses. Elle enleva lattirail. Elle ne portait rien en dessous. Margot sassit à moitié sur moi et saisit ma queue. Elle lastiquait lentement. Le ventre vers le haut, sa chatte nattendait que mes doigts.
-Branle-moi.
Je mexécutai aussitôt tout en observant létrange manège de Marie que je pouvais maintenant voir.
La cuillère faisait des va-et-vient dans le minou de Frédérique. A chaque fois que Marie len sortait, un liquide blanchâtre, presque transparent restait sur le couvert. Marie lapportait alors au verre et ly versait avant de recommencer la pénétration. Au moyen de la cuillère, elle recueillait la cyprine de la patronne du restaurant.
Elle se tourna ensuite vers le sexe de Alice. Délicatement, elle passa le couvert entre ses lèvres. Elle remontait lentement entre les ourlets de chair du vagin. A la fin de chaque remontée, un liquide visqueux et trouble restait dans loutil. Marie le versait ensuite dans le verre que nous avait apporté le serveur. Elle recommença plusieurs fois lopération sur les minous de lune et puis de lautre. Estimant sans doute quelle avait récolté ce quelle pouvait, elle posa un baiser sur les deux fentes et vint sasseoir dans le canapé. Elle sassit à nos côtés et porta la cuillère à sa propre chatte. Elle lenfonça à plusieurs reprises, comme elle lavait fait avec Frédérique, versant à chaque fois le liquide quelle récoltait. Elle fit passer la cuillère de la même manière quelle lavait fait avec Alice et versa à nouveau le liquide dans le verre.
Yvan pendant ce temps là éjacula. Son foutre vint sétaler sur les visages, et les poitrines des deux femmes. Elles le récoltèrent en riant, heureuses davoir fait jouir Yvan aussi vite.
Je sentais sous mes doigts la chatte de Margot humide. Mon doigts passait de son petit bouton à sa fente tournoyant sur lun, pénétrant lautre. Ce manège faisait son effet. Marie sen approcha et recommença lopération quelle avait mené sur elle-même et les deux autres filles. Le petit verre était bien rempli désormais.
-Ceci est une cuillère qui aurait appartenue à Madame de Montespan. Elle laurait fait forgée pour récupérer la mouille des autres maîtresses de Louis XIV, comme je viens de le faire.
Elle se leva et retourna vers la table. Margot se leva à son tour. Elle remonta son pantalon et le referma. Elle me prit par la main et nous emboitâmes le pas à Marie.
Nous étions tous réunis autour de la table. La femme dYvan répartit le liquide quelle avait récolté dans les différents verres restés vides sur la table. Elle en tendit un à chacun. Je portai le verre à mes lèvres et en renversai doucement le contenu. Je bus le nectar avec délectation. Jy reconnus des senteurs et des odeurs différentes mêlées les unes aux autres. Je revoyais ces instants où mes lèvres sétaient posées pour la premières fois sur les chattes de Margot et dAlice dans le parc de ce mariage. Je reconnus le goût mielleux de Frédérique. Par contre jignorais jusquà cet instant celui de Marie que je découvris mélangé au foutre des mes autres maitresses.
Margot sétait penchée devant moi vers le visage de Frédérique et Alice. Leur langue se mélangeaient les une aux autres échangeant ce quil restait de cyprine dans leur bouche. Son cul vêtu de cuir était tendu vers mon sexe. Ses fesses rondes et rebondies étaient moulées de manière très excitante par la matière noire et légèrement réfléchissante.
Voyant mon regard posé sur cette chute de rein, Marie saisit mon sexe. Elle me branla vigoureusement. Jallais venir, vite. Et jallais venir sur le cul de Margot. Un jet blanc sortit de ma queue et vint sécraser sur le cuir noir du pantalon. Jagrippai les hanches de la belle et serrai mon dard entre ses fesses. Je mastiquais dans sa raie de cuir. Mon sexe ne cessait de cracher. Le sperme sétalait sur le pantalon de manière indécente. Margot avait relevé la tête et samusait de ce que je faisais à son derrière. Marie se pencha sur les reins de son amie tandis que Alice et Frédérique avaient bougé sur la table pour venir à la hauteur des fesses de Margot.
Elle garda la même position.
Nous nous laissâmes tous tomber sur la chaise la plus proche de nous ou dans le canapé. Tandis que Frédérique nous resservait un nouveau verre de rhum. Elle le leva à ma santé « à ce nouveau venu dans notre petit groupe ». Et nous le bûmes chacun afin de trouver les forces nécessaires pour rentrer chez nous.
Frédérique nous raccompagna jusquau parking. Elle ne se rhabilla pas. Le restaurant était maintenant vide et la haie qui encerclait létablissement cachait sa nudité à la rue. Je la vis nue sur le pas de sa porte nous faisant des grands signes dans mon rétroviseur.
-On sort, tu viens avec nous ?
Je devais travailler très tôt le lendemain. Pas question de répondre positivement à cette proposition pourtant alléchante.
-Non, je dois rentrer chez moi.
-Dommage. On sétait dit quon tamènerait dans un de nos repères préférés.
Les filles mamenèrent devant une vielle maison à côté du centre ville. Une plaque discrète, semblable à celles quinstallent les médecins sur leur façade, était la seule manière de comprendre que cétait un club.
-Tu vas manquer une grande soirée. Mais on reviendra un autre jour avec toi.
Margot et Alice descendirent de la voiture. Elles vinrent chacune membrasser. Alice sonna.
Un type patibulaire en costume sombre ouvrit. Il était costaud et impressionnant. Reconnaissant les deux filles, il sécarta de la porte sans sourire leur laissant le passage. Margot et Alice se retournèrent. Elles me regardèrent, se prirent dans les bras et sembrassèrent profondément de longues secondes devant le sorteur avant de sengouffrer dans la maison.
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