Un Prof Et Un Élève 3 : Quand Economie Rime Avec Orgie
Après ce fameux remplacement de prof de sport, ma relation avec Anthony changea : nous nous voyions bien plus souvent, généralement une fois par semaine, et pas que pour du sexe. Nous étions à la limite entre le couple et les "Sexe Friends" et pour le moment ça ne semblait déranger ni lui ni moi.
Il avait même trouver une ruse pour être sûr que l'on se voit et pour pouvoir jouer de l'attirance qu'il y avait entre nous. Une fois par semaine je donnais un cours de soutien en éco à ceux de ma classe qui en avait besoin et il avait réussi à s'y incrusté. Officiellement ses amis de ma classe l'avaient invité et sa professeur principale était favorable vu son potentiel. Officieusement je suis sûr que le jour où il en a parlé à sa jeune trentenaire de prof principale célibataire depuis 5 ans, il devait porté un de ses polos ultra moulant dans lequel son torse était plus que sexy et que son regard charmeur avait dû jouer.
Quoi qu'il en soit grâce à ça on était sûr de se voir souvent, et comme l'objectif de ces cours est le travail individuel avec les élèves, il était facile de communiquer discrètement. Il m'arrivait souvent par exemple de venir corriger son travail et de voir écrit au milieu d'une dissertation : "J'ai envie de toi Beaugoss", ou alors "Ton pantalon te fait un cul d'enfer ! Mais je préfère quand tu n'en porte pas". Tout ça agrémenté d'une main sur son entrejambe et de son fameux sourire.
Heureusement pour nous personne ne remarqua jamais le petit jeu à l'intérieur comme à l'extérieur de la classe. En plus même si ce n'était pas le cerveau d'Anthony mais son sexe qui dirigeait son attitude pendant ces cours, il semblait progresser au fur et à mesure. Comme quoi il m'écoutait...un peu trop parfois apparemment.
Ce jour-là j'avais prévu de faire réviser certaines notions.
- Aujourd'hui le programme c'est la loi de la productivité décroissante des facteurs de production. Est-ce que ça dit quelque chose à l'un de vous? (silence) C'est une notion de première.
- La quoi? demanda Arthur, le beau blond dont T-shirt tombait apparemment facilement en cours de sport.
- Bon on va reprendre à zéro. Sur le papier on peut se dire qu'augmenter le nombre de machine c'est augmenter la production, et donc la richesse. Plus il y a d'unité qui produisent, plus on produit. Vous êtes d'accord?
- Jusque-là ça va monsieur, dit Anthony dont le regard était à la frontière entre la concentration et l'excitation.
- Bien. Mais il faut en fait prendre en compte le fait que ces machines en plus ont un coût : il faut les acheter, les entretenir, leur donner de l'électricité, un mécanicien, etc. L'idée de la loi de la productivité décroissante des facteurs, c'est le fait que quand le coût de la machine que l'on voudrait acheter en plus, est plus élevé que ce que cette machine apportera en plus en terme de richesse produite, la productivité totale diminue puisque la nouvelle n'est pas rentable. Vous voyez de quoi je parle? (silence gêné).
- Monsieur vous savez l'année dernière notre prof n'était pas très...
- Oui je sais Arthur, mais bon c'est de cette année que l'on parle, et puis le correcteur de ton Bac ne le saura pas ça. J'ai prévu un exercice avec un exemple chiffré et un texte pour que vous compreniez ce principe. Je vais passer pendant que vous le ferez et je verrai ce que vous comprenez.
Pendant les 15 min suivante mes élèves très concentrés au moins en façade étaient plongés dans leurs livre.
Je passais entre les rangs et observait ce qu'ils faisaient, les aidant de temps en temps. Anthony avait l'air concentré du coup j'évitai de passer le voir, observant de loin pour mon plaisir les courbes magnifiques de son corps.
- Alors on va voir si l'un de vous peut nous expliquer ce qu'il a compris. Arthur tout à l'heure tu avais l'air perdu, Est-ce que ça va mieux?
- Euh...disons que...bon en fait j'ai pas tout compris les chiffres ça aide mais bon c'est compliqué quand même.
- Oui c'est vrai, mais Est-ce que tu as compris l'idée générale sans parler de l'exemple?
- ...
- Bon comme disais Napoléon, un bon croquis vaut mieux qu'un long discours, je suppose que ça vaut aussi pour les exemples simples. Voyons....Ah j'en ai trouvé un qui devrais te parler, et aux autres aussi d'ailleurs. C'est pas très académique mais bon ça fera l'affaire. Imaginons que tu veuilles organiser une orgie pour avoir la plus grande quantité possible de plaisir. (Rires) Je vous avais prévenu. Sur le papier tu voudrais faire venir toutes les personnes possibles. Après tout plus on est de fou plus on rit. A chaque personne en plus, il y aurait une dose de plaisir en plus. Sauf que les positions possibles sont limitées par le corps, de ce fait il est possible qu'à trop vouloir inviter de personnes, certaines viennent mais ne participent pas, et s'ennuient donc. Or l'ennuie ferait baisser la quantité de plaisir totale. Donc quand tu invites les participants il faut veiller à ne pas atteindre un nombre qui fasse qu'il y en ait qui restent seuls. Donc la productivité en plaisir de chaque participant en plus, le facteur de production du plaisir, finie bien par être décroissante.
Vous voyez ce que je veux dire maintenant?
- Oui monsieur c'est beaucoup plus clair, quoique avec un petit diaporama ça aurait pu l'être encore plus. (rires) En plus vous avez l'air de vous y connaître en orgie.
- Très drôle Arthur mais ne va pas trop loin quand même d'accord? Bon mon exemple ni parfait ni académique, ne le ressortez pas dans vos copies ! Mais bon si vous avez compris l'idée c'est déjà ça. (la sonnerie retenti) Bon du coup pour la semaine prochaine rédigez l'exercice du livre, on corrigera et on passera à autre chose si vous avez compris. Vous pouvez sortir.
Tous les élèves sortirent de la salle, groupe dami par groupe dami. Arthur et Anthony riaient et sortirent de la salle ensemble.
Au moment de sortir à mon tour, j'aperçu un petit papier posé sur le bureau d'Anthony.
Il adorait parlé par message faussement oublié. Une surprise? Qu'est-ce que ça pouvait bien être.
Le vendredi en question, j'avais rendez-vous chez lui à 19h30, ses parents étaient partis pour le weekend, nous avions la maison pour tous les deux, de quoi passer un bon et mouvementé weekend.
Après être resté au lycée jusqu'à sa fermeture à corriger des copies je le quittai et me dirigeai vers la maison d'Anthony. Heureusement il habitait assez loin du centre-ville, on ne risquait pas de croiser quelqu'un tous les deux. Devant sa porte dans ma chemise moulante ouverte pour laisser voir le haut mes pecs et mon pantalon qui me faisait un cul magnifique, je sonnai à la porte de mon amant si sexy.
La porte s'ouvrit.
- Bonsoir Beaugosse...dit-il avant de m'embrasser sauvagement. Il ne portait qu'un slip étonnamment sexy qui avait bien du mal à contenir son énorme sexe. Ta surprise est là.
- D'habitude ce sont tes muscles qui sont serrés dans tes vêtements, mais bon j'aime bien aussi cette version. Je crois que tu vas avoir besoin d'aide pour te débarrasser de cette érection.
- Eh bah je n'aurais jamais cru vous entendre dire ça un jour. J'espère que ça vaut aussi pour mon érection à moi aussi.
Avant de voir précisément qui avait parlé, je ne voulais pas croire que cette voix appartenait à celui que je pensais avoir reconnu. Arthur était debout dans l'escalier derrière Anthony. Son long corps fin et sculpté comme une statue grecque se tenait à quelques pas de moi, uniquement couvert par un caleçon moulant où disparaissait le V si sexy de ses abdos. Il s'avança, mit une main dans son caleçon et vint s'arrêta à côté d'Anthony.
- Euh...Anthony, pourquoi il est là? dis-je à la fois excité et effrayé par sa présence.
- Ton élève? Aujourd'hui c'est ta surprise...crois-moi tu vas l'apprécier.
- Oh que oui, et puis je suis majeur sur tous les plans, légaux et sexuel ah ah, rit-Arthur avec son si beau sourire. Et puis la Loi des Rendements Décroissants n'interdit pas les plans à trois non?
- Mais attend, tu es gay?
- Gay? Vous aimeriez ? Disons que j'ai essayé et vu comme c'est bon, quand Anthony m'a proposé cette surprise j'ai tout de suite dit oui. Mais bon ni vos abdos ni vos sexes ne vaudront l'attirance pour les femmes chez moi.
En disant cela il c'était avancé vers moi avec une démarche féline. Malgré les questions qui se bouleversaient dans ma tête l'excitation faisait son chemin doucement en moi. Je pouvais voir du coin de lil que ma chemise moulant laissait voir mes tétons qui pointaient. Arthur se dirigea vers le salon où le canapé-lit était déplié et où Anthony c'était installé. Celui-ci l'enserra et l'embrassa à pleine bouche. Ses mains caressaient l'ensemble de son si beau corps. Encore une fois l'excitation monta encore même si c'était étrange de voir ces deux potes s'embrasser alors qu'au lycée ils en étaient loin. Lorsqu'Anthony arrêta leur baisé, il me lança "Bon alors Beaugoss tu nous rejoins?"
Je m'étais fait au fait de coucher avec un élève du lycée vu qu'il n'était pas dans la classe, mais Arthur...il l'était. Mais l'excitation était trop forte, et puis à présent de profil je pouvais deviner la taille du sexe dArthur...et personne n'y aurait résisté.
Je les rejoint alors. J'enlevai ma chemise. Anthony m'embrassa langoureusement comme il savait si bien le faire. Nos mains parcouraient toutes les parties de nos corps. Je sentis deux mains se rajouter : Arthur s'y était mis aussi. Pour un hétéro il connaissait très bien le corps des hommes vu comment il nous caressait.
Anthony désolidarisa sa bouche de moi et m'embrassa le corps tout entier. Le cou, les pecs, les tétons, descendant toujours plus bas. Arrivé à mes abdos il descendit mon pantalon et mon caleçon libérant les 19 cm qui vinrent même le bifler au passage. Dans un même mouvement il enleva le dernier vêtement d'Arthur. Son sexe ressemblait au mien, assez long et fin. Il était à l'image de son corps. C'est à ce moment-là qu'Arthur se décida à m'embrasser passionnément une main sur les abdos. Lui lancé j'en profitai pour prendre possession de son corps. Pendant ce temps l'Apollon a genou avait pris le sexe d'Arthur en bouche. Il l'avala puis goûta au mien et ainsi de suite. Le sexe qu'il n'avait pas en bouche il le branlait. Nos deux bouches soudées nous gémissions sous les coups de langues et les sucions d'Anthony. Il tenta et réussit même à prendre nos deux sexes en bouche pendant quelques minutes et a les sucer ainsi. C'était délicieux.
Arthur s'accroupie lui aussi ré embrassant Anthony et se mit lui aussi à lécher mon sexe. Il partageai avec Anthony. A un moment il l'avala entièrement à ma surprise, allant jusqu'à la gorge profonde. Lorsqu'il sorti mon sexe de sa bouche, il dit le sourire aux lèvres "j'ai toujours rêver de faire une gorge profonde". Anthony lui dit que pour cela les 69 étaient mieux. Arthur prit le conseil et s'allonge sur le lit. Je vin m'allonger sur lui et prit son sexe en bouche la tête entre ses jambe. Son sexe était long et avait le gout délicieux de celui qui sait en prendre soin. Effectivement Arthur voulait vraiment faire une gorge profonde : il laissa mon sexe pénétrer entièrement sa bouche lorsque je me couchai sur lui. Moi de mon côté entre deux vagues de plaisirs que sa bouche me procurait, je faisais des vas et viens le long de sa hampe que je sentais se raidir de plaisir.
Anthony ne voulait rester sur le côté pendant que je m'amusais avec son pote. Il sorti une capote, la mit sur son gros sexe et le présenta devant mes fesses, juste au-dessus d'Arthur qui avait alors arrêté la fellation le temps de respirer et profiter de celle que je lui faisais. Lorsqu'il compris ce qu'Anthony allait faire il dit " Bah dit donc tu pers pas de temps toi" et repris mon sexe en bouche. Il mettait étonnamment beaucoup de soin à me sucer pour un hétéro.
Une fois prêt et mon anus dilaté par un savant doigtage, je senti le gland d'Anthony me pénétrer. Dans cette position j'étais quasiment en levrette, sa queue pue donc me pénétrer de toute sa longueur. Je sorti le sexe d'Arthur de ma bouche le temps de profiter des premiers lents vas et viens de cet énorme sexe que je connaissais maintenant si bien. Puis il commença à me pilonner de plus en plus vite. La bite que j'avais reprise en bouche masquait un peu les gémissements que je poussais. Tout mon corps était en extase : à l'intérieur Anthony me baisait avec force et application m'emmenant plus près de l'orgasme à chaque coup de reins, et dans le même temps la langue d'Arthur jouait avec mon gland lorsque celui-ci n'était pas au fond de sa gorge. J'essayais d'ailleurs temps bien que mal de continuer à le sucer mais les coups de reins de la montagne de muscle qui me prenait faisait bouger tout mon corps. Du coup en plus de le sucer, j'avais commencé à lui doigter l'anus. Au début il sembla surpris mais se laissa aller rapidement. D'autant que les coups de butoirs d'Anthony ne changeait pas la manière dont je le doigtait.
Apres 5 ou 6 minutes de ce double traitement je finis par jouir. A ce moment là je ne suçais plus Arthur, transporté par le plaisir je ne pouvais plus que le doigter d'une main et le branler de l'autre. Lui en revanche avait ma queue au fond de la gorge. Il n'eut pas le temps de réagir lorsque je lui dis que j'allais jouir et reçu mon sperme au fond de sa gorge. Apparemment la surprise fut telle pour lui qu'il en jouit aussi, quelques jets de spermes vinrent arroser mon visage. Il quitta notre 69 et se leva. Moi je m'allongea sur le dos pour reprendre mon souffle.
Arthur se posa derrière Anthony qui se cambra prêt à recevoir la longue queue de son pote. Celui-ci y pénétra violemment faisant gémir un Anthony qui ne ressentait plus que du plaisir depuis longtemps au début des sodomies. Arthur prit les choses en mains et baisa l'étalon qui venait de me prendre.
Voir ces deux Éphèbes se faire l'amour sous mes yeux me donna des forces. Le temps que mon sexe rebande je suçai Anthony et caressais son corps tant aimé. Puis lorsque mon membre eut reprit toute sa vigueur. Je me levai et me colla au dos d'Arthur, le sexe contre la partie du sien qui n'était pas dans le corps d'Anthony.
- Se faire prendre quand on prend quelqu'un est divin...
- Il a raison...dit Anthony dans un soupir.
- Pour que je te le montre il me faut ton accord, après tout t'es mon élève.
- Décides toi vite, j'ai trop envie que tu recommence là rajouta Anthony.
- Allez y monsieur baisez moi, je suis venu pour ça ah ah.
Je mis donc une capote et lubrifia la rondelle d'Arthur. Il c'était penché pour faire ressortir et écarter ses fesses pour que j'y rentre plus facilement. Lorsqu'il fut assez ouvert j'y fis entrer mon gland. Puis au fur et à mesure que ses couinements devenaient ceux du plaisir, j'avançais en lui. Complètement entré je ressorti et re-rentra lentement le temps qu'il s'habitue à la taille et à la largeur de mon sexe. Ceci fait. Je commençai des vas et viens doux et profonds, ces vas et viens imprimèrent aussi ceux qu'il faisait lui-même en Anthony. Nous commençâmes a gémir tous les trois, et ça ne fit qu'augmenter à mesure que j'accélérai en Arthur. C'est lui qui gémissait le plus de nous trois. Il se laissait complètement allé au plaisir et se laissait porté par mes coups de reins et par les siens en Anthony.
Apres une dizaine de minute de ce traitement, Arthur me dit d'arrêter et de le laisser faire. Il reprit le contrôle et dans un mouvement de balancier il venait à chaque aller pilonner le con d'Anthony, et à chaque retour s'empaler sur mon sexe. Il semblait vraiment apprécier de reprendre le contrôle tout en continuant cette position. Nous re-jouîmes ainsi, dans un glissement plus grand que les autres. Arthur dans son préservatif au fond d'Anthony, moi de même mais en lui et Anthony qui avait enlevé sa capote projeta son sperme sur le lit et sur son torse.
- Si j'avais su comme c'est bon de se faire baiser je serais devenu bi plus vite, et puis d'être au milieux comme ça c'est vraiment génial. Merci les gars ! Dit- après quelques minutes prises pour reprendre nos esprits.
- Tu seras toujours le bienvenu pour ça avec nous, un David?
- Maintenant on est plus à ça près et puis maintenant je peux te le dire, t'es vraiment sexy, et t'as une très belle queue en plus vu comment Anthony a jouit elle doit être très bien utilisée.
- Si tu savais...dit Anthony.
- Je pense ne jamais avoir eue d'orgasme aussi fort que quand j'étais au milieux tout à l'heure.
La conversation continua comme ça pendant une vingtaine de minute puis nous nous endormîmes, tous trois nus sur le lit.
Pendant la nuit je me réveilla et quitta les bras d'un Arthur solidement enlassé à mon buste pour aller dans la salle d. Bain. Apparemment Anthony y était aussi.
- Alors Beaugoss elle était comment ma surprise ?
- Surprenante, et délicieuse, dis- je avant de l'embrasser et de lui mettre une main au paquet. Mais dis-moi comment mon cours de mardi t'y a fait penser?
- C'est quand tu as parlé d'une orgie avec le nombre suffisant sans être trop grand de participant. Apres restait plus qu'à troubler un mec prêt à participer.
- Dis donc, on attend pas Arthur? Je dormais confortablement couché sur les abdos de mon prof d'eco quand mon oreiller chaud et sexy a disparu, vous l'auriez pas vu ? Demanda un Arthur encore un peu endormit mais dont l'humour comme la gaule du matin était déjà là.
- Tu rebandes déjà toi?
- Et oui qu'est-ce que tu veux après ce que m'avez fait hier, croyez pas vous débarrasser de moi, et puis j'ai l'impression que je suis pas le seul à vouloir un deuxième round.
Effectivement Anthony et moi étions nous aussi en érection.
- Ça tombe bien, dit Anthony donc le sexe grandissait à chaque mot excité par avance de ce qu'il allait dire. Il y a quelque chose que j'aurais voulu essayer, et pour ça j'ai besoin de vous deux.
- Ah moi je suis partant pour t'aider, surtout si ça veut dire te reprendre comme tout à l'heure, ton con est juste génial ! S'exclama Arthur.
- Tu ne crois pas si bien dire, je voudrais que vous me preniez tous les deux...en même temps.
- Je comprends pourquoi tu bandes comme ça, pourquoi pas il parait que c'est génial la double péné, dis-je une main sur ma queue et mes bourses.
Nous nous installâmes donc : Arthur s'allongea sur le lit. Il prétexta un doute sur son érection pour se faire sucer par Anthony quelques minutes. Pendant ce temps-là je commençai à le dilater avec mes doigts et ma langues. Puis Anthony vint s'empaler en poussant des gémissements de plaisir sur le long chibre d'Arthur.
- Tu es sur qu'on y passera tous les deux? Me souffla Arthur alors qu'il faisait coulisser son sexe en Anthony.
Je répondis en levant les épaules, en fait je n'en savait rien, mais c'est vrai que vu qu'Arthur et moi avions des sexes longs sang être énormément large il y avait un chance pour qu'on y arrive.
Anthony gémissait doucement à chaque petit vas et viens d'Arthur. Dans le même temps avec du lubrifiant je glissai mes doigts autour du sexe d'Arthur pour écarter la rosette d'Anthony. Ce dernier semblait aussi apprécier ce traitement et gémissait de plus en plus.
- Vas y David, tes doigts ne me font plus mal, j'ai envie de vous avoir tous les deux en moi !
Puisqu'il se sentait prêt je présentai mon gland, dans sa raie très écartée, le collant contre le sexe d'Arthur puis tenta de renter. Il me fallut plusieurs essais pour pouvoir y rentrer. Une fois a l'intérieur j'enfonçai mon sexe entièrement. Anthony semblait souffrir au départ, du coup je ressorti, Arthur aussi puis nous ressayâmes, cette fois ses gémissements étaient de plaisir.
Arthur était donc allongé, Anthony empaler sur son sexe face moi, et moi installé à mi genou pour rentrer en lui. L'énorme sexe d'Anthony sembla explosé de plaisir tout comme son maitre lorsque je commençai à faire des vas et viens. Arthur me suivit et dans un rythme plus lent du fait de sa position donna lui aussi des coups de reins.
Se sentir aussi serré dans un con avec en plus un deuxième sexe qui coulissait contre le sien provoquait des sensations incroyables de plaisir. Ainsi Arthur et moi jouissions aussi fort qu'Anthony. Après quelques minutes d'orgasme total et de gémissements sauvages, Anthony éjacula de longs jets sur son torse et le mien. Son orgasme si fort lui fit serrer ses muscles internes rendant nos sensations plus fortes en lui. Arthur et moi profitâmes donc de ces instants délicieux pour pilonner un Anthony dont l'orgasme ne faisait que se prolonger et qui semblait ailleurs, totalement abandonné à nos sexes en lui et à son plaisir. Ça ne dura pas encore très longtemps tant c'était bon et Arthur et moi jouissâmes quasiment en même temps remplissant nos préservatifs de tout le sperme qu'il nous restait dans un dernier gémissement de plaisir.
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