Pour Son Plaisir (15)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
15 Cauchemar au Maroc
Petit résumé de la situation :
Je mappelle Cédric, jai maintenant 21 ans. Depuis deux ans, je suis sous la coupe de Jacques avec lequel je vis. Je suis à son service tant professionnel que personnel. Il ma fait circoncire, ma fait suivre un stage dans une école un peu spéciale et a réussi à me dégager de mes obligations militaires. Je suis un garçon dun mètre quatre vingt, châtain mais actuellement épilé et rasé. Depuis que je connais Jacques jai un anneau à loreille gauche. Je me retrouve aujourdhui dans le désert marocain parce que nous étions en voyage daffaires et que je me suis fait enlevé, sans savoir pourquoi. Nous sommes trois captifs qui devons être échangés ce matin.
Six hommes entrent dans la pièce en criant très fort. Younes se lève et nous fait signe de limiter. On nous retire nos chaînes et nos bracelets qui nous retenaient ensemble. Nous devons mettre les mains sur la tête et ne pas bouger. Trois des hommes sont ceux qui nous gardaient depuis notre arrivée. Les trois autres nous sont inconnus. Ils savancent directement vers Jimmy et lobservent : ils lui palpent les muscles des bras, regardent ses jambes. Le plus grand, un noir plutôt bien bâti, lui ouvre la bouche et met sa main à lintérieur, sans doute pour examiner les dents. Puis il lui soulève la djellaba et tire sur sa bite, à faire crier Jimmy qui reçoit en échange une paire de claques qui lassomme presque. Ils le retournent ensuite et sans ménagement observent ses fesses. Le grand noir lui met un doigt dans le cul et le ressort sale. Il sessuie avec la djellaba de Jimmy. Cest à mon tour. Le même cérémonial mattend. Dabord les bras et les mollets. Ils commentent, en plaisantant sur ma peau sans poil. Ils me prennent pour une fille ! Enfin, sans poils
Depuis une semaine la barbe et quelques poils du pubis ont repoussé ! Quand le grand noir me prend la bite, je mefforce de ne pas crier pour ne pas avoir le même sort que Jimmy.
Le Pick-up roule. Nous discutons de ce qui peut nous arriver. En fait, nous nen avons aucune idée. La route est très accidentée et nous ressentons les secousses. La chaleur est très forte et la soif se fait ressentir. Au bout de deux heures, je pense, jai terriblement mal, je narrive pas à dormir tandis que Jimmy sest assoupi, je ne lentends plus.
Le Pick-up sarrête enfin. Deux gardiens viennent nous sortir. Nous devons retirer notre vêtement et cest tout nu quils nous emmènent sous une tente où nous sommes attachés, ensemble, les mains dans le dos. Jimmy demande au gardien ce quil va se passer. Aucun ne répond à sa question.
On nous donne enfin quelque chose à manger et surtout à boire : du pain quelques fruits et un bol de lait au goût étrange. Japprendrai plus tard quil sagissait de lait de chamelle. Lun des gardiens, celui qui semble le plus jeune, nous regarde très souvent. Pour le moment il ne nous parle pas, mais je sens quil veut nous interpeler. Jaimerais bien men faire un allié, on ne sait jamais. Il quitte la tente un moment puis revient, avec des dattes quil nous fait manger chacun notre tour. Il noublie pas de nous essuyer la bouche avec un chiffon plutôt sale. Je fais semblant de m. Le jeune gardien parle un mauvais français : « tu veux boire ? ». Je luis fais signe que oui.
Nous allons passer la nuit ici. Notre jeune gardien nous apporte une couverture et des coussins. Il nous détache les mains mais cest pour nous attacher les pieds. Ma jambe droite est reliée à la jambe gauche de Jimmy. Il nous apporte également un seau et nous fait signe que cest pour pisser dedans. Enfin, il dépose la gourde contenant de leau. Il veillera toute la nuit à lextérieur de la tente, comme si on pouvait séchapper ! La nuit est très fraiche et la mince couverture est visiblement insuffisante. Jimmy tremble de froid et moi-même je ne suis pas fier. On appelle. Cest notre gardien que nous avons réveillé et qui nous amène une peau qui pue mais qui nous réchauffe un peu. On finit par sendormir, épuisés.
Le lendemain, notre jeune gardien entre dans la tente avec un pot rempli dun produit gluant.
- Cest pour les coups de soleil, nous dit-il dans son français.
Je traduis à Jimmy. Il nous enduit le corps de cette crème, noubliant aucune partie, y compris notre sexe sur lequel il semble sattarder. Cest un de ses aînés qui vient mettre fin à la séance. Il nous fait monter Jimmy et moi sur un chameau, entièrement nus, juste avec un « chapeau maison » qui nous protège la tête. Cest donc à dos de chameau que nous reprenons la route. Nous sommes attachés, nus, sur lanimal. Nos pieds sont attachés lun à lautre et mes bras encerclent Jimmy, mes poignets sont attachés. Jimmy, lui, a les mains attachées à un support sur le chameau. Il nous est quasiment impossible de bouger. Lorsque le chameau se relève, nous avons failli tomber et lorsquil a démarré, nos culs semblaient sélargir à chaque pas. De plus mes mains frôlaient la bite de Jimmy à chaque mouvement. Il est très tôt, le soleil est encore très bas.
La chaleur grandit progressivement. Jimmy transpire, moi aussi dailleurs mais la crème semble bien nous protéger. Par contre, son odeur nest pas très ragoûtante ! On doit sentir le fauve.
Pour notre seconde nuit de captivité, les hommes ont dressé trois tentes et ont étendu des couvertures. Nous avons droit à quelques fruits et de leau. Un dénommé Hassan, qui était sur place à attendre la caravane, est chargé de nous. Il nous emmène un peu en retrait pour les besoins naturels. Un gardien nous surveille, un fusil à la main. Les gardiens se partagent deux tentes. Ils dorment tout habillés. Hassan, Jimmy et moi avons la dernière tente. Jimmy et moi, nus, sommes attachés par les jambes comme la veille puis nous recevons une couverture. Jimmy tremble de froid et se love, en boule, contre moi. Hassan se rapproche de nous puis nous frictionne le dos. Je sens les mains dHassan me frotter les fesses. Jen bande, même si mon humeur nest pas à ça.
Je sens la main dHassan sattarder sur la bite de Jimmy. Il joue avec le prépuce ce qui a pour effet de faire bander Jimmy, qui semble-t-il sest réchauffé. La situation dégénère un peu. Jimmy semble maintenant excité se branle ou plutôt guide la main dHassan. Hassan remonte sa djellaba pour montrer quil bande lui aussi. Sa queue est courte mais très épaisse. Son gland est volumineux. Il veut que je lui présente mon cul. Comme nous sommes attachés je ne peux que mallonger et relever une jambe. Hassan approche alors son gland de mon cul. Il y rentre péniblement, mais y arrive. Lorsquil est enfin en moi, ses couilles cognent sur mes fesses. Il se retire pour éjaculer, membrasse et nous laisse Jimmy et moi. Jimmy nen pouvant plus, me demande de le sucer. Nous finissons par jouir presque en même temps. Hassan rejoint lentrée de la tente et nous nous endormons, presque réchauffés.
A laube, nous sommes réveillés par les gardiens. Nous allons reprendre la route, cette fois en Pick-up. Ce sera moins douloureux que le chameau. Nous sommes à lair libre, à larrière du véhicule. Nous pouvons voir le paysage : le désert à perte de vue. Le ciel blanchit à vue dil et la chaleur est de plus en plus intense. Le chef a lair de mauvaise humeur. Je lentends discuter dune tempête de sable et demande à deux autres de nous attacher à plat ventre dans le coffre.
Une heure plus tard, la caravane reprend sa route. La tempête de sable est bien au rendez-vous. Nous sommes piqués par le sable quand on nous extirpe du pick-up. Le chef décide dattendre. Nous sommes à labri du vent, nus, derrière le véhicule. Jai limpression de sentir très mauvais, ce que me confirme Jimmy.
Enfin, deux jours après, la caravane atteint son but : un « palais » construit en plein désert, au milieu dune oasis. Nous entrons dans le parc entourant le palais. Il y a des arbustes et un parterre fleuri, arrosé en permanence. Nous avons les mains attachées dans le dos, et sommes tenus en respect par deux gardiens qui nous guident. Ils nous emmènent dans une cour et nous passent au jet deau. Leau froide nous surprend tout dabord, mais cest finalement assez agréable. Ils nous emmènent ensuite dans un somptueux salon rempli de tapis, de canapés couverts de dizaines de coussins. Un jeune homme vêtu dun pantalon blanc très large et resserré aux chevilles, torse nu, nous fait attendre, debout, nus, devant lun des canapés. A chaque porte de la pièce je remarque un jeune homme avec juste un pagne, très court. Après une vingtaine de minutes dattente interminable, le maître de maison fait son entrée. Cest un homme dune quarantaine dannées, vêtu dune longue djellaba dun blanc immaculé. Il porte un collier sans doute en or et un bracelet à chaque poignet. Il a aussi plusieurs bagues. Il sapproche, puis prend place face à nous. Il commence à nous tripoter, regarde nos dents, décalotte le sexe de Jimmy, tâte nos fesses et nos muscles. Il semble satisfait. Dans un arabe que je comprends, il dit que laffaire est faite. Nous venons dêtre vendus ! Les gardiens nous laissent alors seuls dans la pièce avec le valet et le maître des lieux qui les remercie et leur dit de passer à son secrétariat récupérer leur dû. Il indique ensuite au valet quil faut nous laver parce que nous puons le chameau ! Le valet nous emmène alors, toujours les mains attachées dans le dos. Le palais est dun luxe inouï avec tout le confort contemporain, des caméras de surveillance partout. Nous sommes emmenés dans une grande salle de bain où nous devons nous mettre dans une baignoire, à deux. La baignoire peut contenir au moins quatre personnes. Le valet se met en caleçon et vient nous laver comme la demandé son maître. Il insiste sur le cul, en entrant ses doigts. Une fois lavés, il nous a délivré de nos liens et nous a emmené dans une autre pièce : le harem du prince.
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