Drôle De Voisinage, Épisode Six

Je suis à présent dans mon lit, je regarde le ciel à travers le Velux, je pense, je me demande pourquoi tout va si vite dans ma vie, pourquoi j’ai changé à ce point. Est-ce le changement de ville et la prise de confiance ? Est-ce que ce sont les mots de Michel et de Florence sur mes qualités physiques ? J’ai un peu de mal à répondre à ces questions.

Puis, soudain, j’entends des pas dans l’escalier menant à ma chambre, alors je fais mine de dormir.
Je suis allongé sur le ventre, j’entends un léger grincement de porte, et je sens une main parcourir le long de ma jambe. Elle remonte jusqu’à la lisière de mon shorty, ce qui me fait frissonner.

Puis ce geste se reproduit régulièrement. Je ressens des picotements dans le bas de mon ventre, j’ai le souffle qui s’accélère, puis cette main remonte sous ma nuisette et me caresse le dos. J’en ai la chair de poule, de plus je ne sais pas qui cela peut-être.

Dans la pénombre, j’aperçois très vite, les courbes d’un corps féminin. C’est bien Florence qui me fait ces attouchements, j’adore cette fille, elle me procure beaucoup de plaisirs à chaque fois que nous échangeons des plaisirs charnels, et je crois que ce soir va être l’occasion de retrouver cette activité délicieuse.

Je retrouve une nouvelle fois le goût de ses lèvres, puis elle descend petit à petit les bretelles de ma robe de nuit. Elle caresse mes seins, me titille, me mordille, me pince les tétons, je suis en extase et eux aussi, ils pointent de désir. J’essaye de prendre le dessus sur elle, mais rien n’y fait pour l’instant, je suis sa soumise.

Elle continue de descendre en direction de mon puits d’amour, puis elle commence à me faire un cunnilingus. Elle joue avec mon clitoris, l’aspire, le mordille, ce qui a tendance à me faire monter très vite dans les tours, puis elle met deux doigts dans mon vagin. Elle fait plusieurs aller-retour, je ressens alors des contractions dans le bas de mon ventre, un cri strident sort de ma bouche, je viens d’inonder de cyprine la main de ma partenaire ainsi que les draps.



Florence se lève, enlève sa culotte, puis se met à califourchon au-dessus de ma bouche.
Je lui fais une sorte de cerise, c’est le mot qu’elle a employé pour décrire cette position que
je ne connaissais pas jusqu’à maintenant. Je saisis ses fesses, puis savoure son nectar. Je laisse même ma langue se promener sur son anus, je viens à présent de reprendre le dessus sur ma partenaire. Avec mes doigts, j’imite les dents d’une fourchette, puis je la doigte dans un premier temps la vulve, puis ensuite le petit trou magique.

Elle part alors dans une extase extraordinaire. Puis s’écroule sur moi. Elle essaye de retrouver ses esprits, la tête dans le matelas et les fesses à l’air. Et ce qui va se passer va être complètement jouissif. En effet, Robin le compagnon de Florence a entendu les bruits que nous venons de faire, et à ma grande surprise, il est là dans la pièce, le sexe dans la main.

Pour être franche, il est réellement bien membré, je n’en doutais pas, mais là, je suis plutôt surprise. Je ne dis rien, je le vois s’approcher de sa compagne, il soulève légèrement ses fesses, il présente son pénis à l’entrée de sa vulve, puis d’un coup de rein commence des allers-retours saccadés. À la fois rapide et lent, personnellement, je ne peux pas m’empêcher de me caresser en voyant cela.

Elle ne lui en fait pas le reproche bien au contraire son sourire en dit long sur le plaisir qu’elle ressent, puis elle se retrouve en position du missionnaire, elle est si belle lorsqu’elle prend du plaisir. C’est à ce moment-là, que je décide de me remettre à califourchon sur sa bouche.

Je le sens donner des coups de plus en plus forts, puis d’un coup, il jouit sur le ventre de sa compagne. Je reçois quelques gouttes de spermes sur les fesses. Les souffles sont saccadés, l’émotion est intense dans la pièce, ça se ressent. Florence allume la lumière.

Et nous nous voyons complètement nus à la lumière. Elle essuie son ventre et mes fesses avec du papier, puis nous nous succédons à la douche.
Lorsque je me retrouve seule avec Robin sur le canapé, nous discutons de tout et de rien, mais je ne peux m’empêcher de regarder son membre luisant de plaisir.

Je tente une approche, au moins pour une fellation, mais il ne veut pas, il veut rester fidèle à sa compagne, et agira que si celle-ci l’autorise. Cela ne jette aucun froid, j’accepte cette condition, puis nous retournons chacun dans nos chambres respectives.

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