Élise (4Ème Partie)
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Les mains toujours posées fermement sur la poitrine de Martin, Élise nen finit décidément pas de jouer de son corps. Elle modifie sa position et recolle son corps contre celui de lhomme. Là. Cest comme ça quelle a envie dêtre. Le plaisir continue de monter en flèche en elle. Elle est toute proche
Elle le sait. Et quand elle jouira, ce sera toute contre son jeune amant quelle sera. Cest ce quelle désire. Elle y tient tout particulièrement. Elle a envie de partager avec lui sa jouissance. Elle désire quil soit aux premières loges lorsquelle aura lorgasme. Cest comme si elle était allongée sur le jeune guide-conférencier
Ses seins effleurent sa poitrine. Limite, ses tétons particulièrement tendus touchent les mamelons percés. Et ça, ça lexcite
Elle prend un coup de chaud. Cest comme si on lui avait injecté un shoot dadrénaline.
La femme mûre halète. Elle ne tient plus. Elle est survoltée, il faut dire. Poitrine contre poitrine, corps-à-corps, ça ne peut pas plus émoustiller la femme. Ce nest pas possible, ça. Elle presse son corps contre celui de Martin. Elle a son sexe profondément enfoncé dans le sien. Elle aime particulièrement ça. Toute contre Martin, Élise nest que sérénité. Cest là quelle prend conscience quelle a la tête contre celle de son amant. Elle va lembrasser! Elle le veut. Elle prononce son prénom. Là. Elle le lui dit. Martin lui tend le bout des lèvres. Élise ne se fait pas désirer. Elle a le cur qui pulse si vite. Elle a de plus en plus de difficultés à respirer correctement. Elle ne sait que trop bien ce que ça signifie, ce quil va se passer très
très bientôt. Elle prononce de nouveau le prénom. Elle a la voix tremblante, éraillée, cassée par le désir. Et pourtant
Elle SAIT ce quelle VEUT. Elle lui demande de la «prendre plus fort». Elle ne surprendrait pas Martin si son langage était plus
cru. Ni une, ni deux, elle lui dit de «prendre ses grosses fesses à pleines mains».
Martin sadapte aux mots que la quadragénaire vient de prononcer. Sa rousse de partenaire veut quil la lui «mette bien profond». Les fesses de la femme dans ses mains, Martin, désormais chaud lapin, a bien entendu Élise. Il sen donne à cur joie. La délicatesse et la prudence font désormais place à la violence
modérée et à leffervescence. La femme gémit, elle crie. La femme lencourage, le supplie. Son cul est entre les mains de son amant. Elle le laisse la baiser, la besogner. Cest ce dont elle a envie, là. Elle qui sétait «plainte» intérieurement tout à lheure quil nétait aussi fougueux quil ne le disait
Là
Elle est servie
Et sil continue comme ça
Mais elle nose même pas imaginer lorgasme quelle va avoir
! Parce quelle va jouir, cest sûr
! Quil continue
Là. Comme ça. Il sy prend bien, elle se dit. Cest comme ça quelle le veut. Là. Elle le lui fait on-ne-peut-plus savoir
Ses seins lourds ballottent. Elle sait quils plaisent beaucoup à ce bel homme qui est désormais SON amant. Elle a vu comment était Martin tout à lheure, quand elle sest emparée de ses mains et quelle les a déposées tout doucement sur sa grosse poitrine au papillon tatoué côté droit. Et là, elle a une idée, une illumination. Il aime ses seins
Il le lui a dit
Il ne peut plus lui mentir
Là. Elle se penche sur lui. Ses gros seins sont mis en avant. Martin ne peut quapprécier
jouir, même, de la vue. Elle lui parle. Les yeux dans les yeux, elle lui dit quil les aime, ses seins. Plus particulièrement quand ils sagitent au-dessus de lui parce quils sont énormes
Elle se penche encore un peu plus. Là. Ses monts pendent juste au-dessus du visage de Martin. Elle continue de lui parler. Elle lui dit quils sont désormais autant à lui, ses seins
Elle lui susurre
quelle aimerait bien
quil en prenne un dans sa bouche. Quil enfouisse
son visage
entre eux deux. Toute raison a définitivement quitté la MILF.
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Martin sent, sait désormais quil est fatigué désormais, lui aussi. Pourtant, il sent, sait aussi que sa maîtresse est toute proche de lorgasme. Le jouir nattend plus quelle. Les gémissements quelle émet le touchent. Ils lencouragent. Il sait que si elle sexprime autant de cette manière, cest parce quelle est libérée, tout simplement, et quelle prend é-nor-mé-ment de plaisir à faire lamour avec lui. Elle lui parle, elle soupire. Elle lencourage, elle gémit. Elle est insatiable, elle crie, même. Elle a les seins qui vont et qui viennent tout contre son visage. Elle le voit. Elle adresse un sourire des plus explicites à son amant. Elle glousse. Linstant daprès, elle soupire. Martin la regarde attentivement. Là. Il veut garder cette image delle pour le restant de ses jours.
Les mains toujours posées sur les fesses généreuses, Martin fait en sorte que Élise aille et vienne sur son membre, mais il revient à un rythme lent, à des pénétrations plus
profondes. Là. Il calme le jeu. Élise reprend son souffle. Il le veut. Sa respiration est une jolie musique, une sorte de berceuse et ça lapaise. Lui aussi est bien en compagnie de la femme. Les choses sont dailleurs nettes, claires et précises pour lui: il VEUT quelle soit bien à ses côtés. Quelle passe un agréable week-end, sous le signe de la sensualité et de la luxure. Et, par-dessus tout
il VEUT quelle jouisse
comme jamais elle na joui. Cest pour cela quil calme le jeu et que le rythme a baissé. Élise est étonnée, elle qui commençait à shabi et à raffoler de ce côté fougueux chez le jeune homme
Elle le regarde, justement étonnée. Elle lui demande pourquoi. Martin retire ses mains du postérieur généreux de sa partenaire. Une main posée sur le bas des reins, il dépose lindex de son autre main sur les lèvres de sa maîtresse. Là. Un son jaillit de ses lèvres à lui. «Chut.
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Ils reprennent tous les deux un peu leur souffle. Ils profitent de cette baisse de rythme dans leurs ébats fougueux pour se regarder dans le blanc des yeux
et pour se sourire. Les mains posées sur la chute des reins de la femme, il létreint, la caresse. Toujours à califourchon sur lhomme, elle tend une main vers lui et la pose sur sa joue. Là. Elle lui parle. Elle lui dit quil est beau et quelle adore ça, coucher avec lui. Du tac au tac, il lui dit quelle est émoustillante et quil gardera bien au chaud dans sa mémoire leur aventure pour le restant de ses jours. De lentendre lui dire ces mots-là, Élise prend chaud dun coup. Elle rougit. Mais pincez-la! Ce nest pas
possible! Cest un rêve! Encore une fois, à tous les coups, elle a rêvé et elle a pris ses rêves pour la réalité. Ce ne serait pas la première fois
Une voix prononce son prénom. Cette voix est calme, douce. Apaisante, suave. La voix lui demande si tout va bien. Élise sort de ses pensées et saperçoit que Martin la regarde. Mais surtout
Elle remarque quil ne la lâche pas dune semelle. Elle sent que Martin est tendre et quil lui passe les mains sur le bas des reins. Elle retient son souffle. Il est tellement attentionné. Bon
sang! Quon ne fasse que des hommes comme lui! Bon
Cest vrai que ce nest pas possible, ça
Elle le sait. Encore une fois, les rêves ne doivent pas être pris pour des réalités. Elle entend de nouveau son prénom. Martin passe doucement les mains dans son dos. Il la caresse. En fait
Ça ressemble plutôt à un massage tant les doigts malaxent, palpent et pincent sa peau. Élise ny est pas insensible. Elle laisse séchapper un soupir de satisfaction. Elle y prend bien du plaisir. De plus, il lui parle. Il continue de la mettre en confiance. Ah ça
On ne donne pas naissance à des Martin tous les jours.
Élise se penche un peu plus sur Martin. Sa poitrine tressaute, elle sagite.
Toujours aussi espiègle, elle lui dit quelle aime être coquine, quelle aime surprendre ses amants pendant lamour. Elle est apaisée. Elle se laisse aller. Elle donne libre cours à la sensualité qui prend possession de son corps et de son âme. Elle prononce le prénom de son jeune amant. Elle y tient. Cest LUI. Il est tellement gentil avec elle. Une crème. Ah
Sils avaient plus ou moins le même âge
Et sils se connaissaient depuis plus de temps encore. Elle voudrait sortir avec lui, être SA compagne. Elle voudrait vivre avec lui, rêver de plus encore. Dun autre côté
Elle se raisonne, se modère et se dit que cest déjà beaucoup, ce quils sont en train de vivre en ce moment. Elle émet un bruit sexy. Cest parce que Martin fait quelle se sent comme ça. Sex-y. Martin la voit reprendre son souffle, respirer. Les beaux melons de Élise sagitent. Ça lui plait, ce joli «petit» spectacle. IL ny résiste pas. Et Élise le voit que les mouvements frénétiques de ses seins ne le laissent pas indifférent. Tiens
Une nouvelle idée lui vient
Elle est persuadée que ça devrait lui plaire. Ni une, ni deux, elle ose
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Les mots de Élise restent dans lesprit de Martin. Et ils ne vont pas y partir de sitôt. Oh
non. À ses côtés, Élise fait abstraction de tout. Elle-même ne se reconnaît pas à vrai dire. Mais cette femme espiègle, sensuelle lui plaît. Elle EST cette femme. Et alors quelle se remet à onduler sur son amant et quelle fait aller et venir la queue en elle, elle réalise quelle est devenue CETTE femme. Elle sempale sur la queue et elle bouge sur elle. Ça lui plaît
Mais que ça lui plaît
Elle chevauche Martin de plus belle et elle sen donne à cur joie. Du bout des doigts, elle maintient son emprise sur le jeune homme. Le rythme sest de nouveau accéléré. Leurs souffles et leurs bruits se mélangent et sunissent. Elle prend beau-coup de plaisir à faire lamour avec ce monsieur, cet après-midi. Elle prend même carrément son pied. Elle ne peut pas le nier, Élise. Et si ça continue sur ce tempo, elle ne répondra de rien quand elle jouira.
Martin, les mains de nouveau arrimées fermement au derrière généreux, aide la quadragénaire à aller et venir sur lui. Et pendant quils font lamour, Martin pense et repense à ce quil vient de se passer. Il ne peut pas sen empêcher. Il faut le comprendre. Il ne simaginait pas Élise aussi espiègle. Autant coquine. Et quand elle sest penchée sur lui et quelle sest quasiment allongée, il avait ses seins énormes contre son visage. Ah
Le 115E de Élise
Il le sait parce quelle lui a révélé ça, la fois où il lui avait envoyé une photo de son mamelon gauche percé. Émoustillée au plus haut point, libérée, elle navait pas pu sempêcher de lui envoyer en retour un cliché, de profil, de sa poitrine. La réaction du guide avait été immédiate et sans appel: ça lavait é-nor-mé-ment émoustillé, lui aussi. Il le lui avait écrit. Et quand il sest rendu compte que les deux vallons le touchaient, il a tendu le bout des lèvres et il a embrassé la peau ferme, rosée. Élise en a soupiré de plaisir. Presque dans un murmure, elle lui a confié quelle voulait ses lèvres, sa langue. Cest alors quelle a glissé lun de ses tétons entre ses lèvres
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Et alors donc que Élise ondule sur lui généreusement et quil laide à rester empalée sur son sexe, une part de Martin est ailleurs. En effet
Élise a beau avoir repris sa position
Ses mains ont beau être reposées fermement sur la poitrine de lhomme
Elle, elle est de nouveau dans le vif du sujet
Elle, elle bat le fer tant quil est encore chaud
Martin, lui, en fait, pense et repense à ses beaux seins
À ses gros tétons tout durs, allongés
Les deux, il les a pris entre ses lèvres. À ce moment-là, ils avaient ralenti le rythme mais leur ardeur, elle, navait pas diminué en intensité. Oh
non. Et on aura beau dire
Lui aussi, il sen est donné à cur joie. Alors quelle le chevauche, elle y pense. Ses lèvres qui lui suçaient les tétons, qui les aspiraient
Sa langue qui leur donnait des petits coups, qui les titillait
Elle y pense, à ce moment. Ça lexcite. Elle nen finit pas de mouiller. Cest
incroyable. Et cest tellement agréable alors quils font lamour comme des fous. Il a été délicat quand elle lui a tendu ses mamelons. Elle a pris encore plus de plaisir quand il a tendu la bouche. Cest fou comme on peut se sentir particulièrement bien quand on fait lamour
Là, cest le cas. Ni plus, ni moins. Ils se parlent. Ils émettent des bruits. Leurs voix sunissent. Ils soupirent. Ils gémissent. Elle comme lui, ils perdent haleine. Elle, elle a de plus en plus chaud. Elle a de plus en plus de mal à reprendre son souffle. Elle mouille comme elle na jamais mouillé à ce point. De par son expérience, elle sait quelle est proche
Toute proche
Elle le lui dit
Elle narrête plus de lui parler. Elle le supplie de la «prendre»
Elle le supplie dy «aller franchement dans sa chatte»
Elle est soudain plus crue dans ses propos. Elle est déchaînée. La queue va et bien si bien dans son vagin. Cest parfait. Elle va jouir
Elle va jouir.
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