Un Collocataire De Rêve
J'ai quand même réussi à baiser mon colocataire au bout de six mois et j'ai été bien surpris de voir que ce jeune homme timide au premier abord est en fait une véritable chienne.
Adrien, nouveau dans la région, cherchait un logement. Fraîchement débarqué de sa campagne natale a atterri chez moi et, sans perdre de temps a postulé dans les boîtes d'intérim à la recherche d'un emploi.
La différence d'âge entre nous le poussait au vouvoiement, faut dire que trente ans nous séparaient. Malgré mes nombreuses demandes il s'acharnait à ne pas me dire "tu", à la fin j'en ai eu marre et je l'ai laissé faire.
Très gentil comme personne, serviable, poli, rien à dire. Il participait même aux tâches ménagères et préparait des petites spécialités de sa région que nous dégustions ensembles. Assez rapidement il a trouvé du travail dans une entreprise d'informatique. Avec sa première paye il a acheté un ordinateur et l'a branché dans sa chambre, ainsi connecté il pouvait discuter avec sa famille, ses amis, il n'était plus seul.
Un beau jour, juste avant le repas du soir que je venais de préparer, j'ai entendu des sanglots venant de son espace personnel. J'ai frappé à sa porte, il m'a laissé entrer. Il était assis sur le bord de son lit à pleurer la tête entre ses mains. Il m'a fait peine à voir, je me suis assis à côté de lui, j'ai passé mon bras sur ses épaules pour le réconforter en lui demandant si je pouvais l'aider, machinalement ma main s'est posée sur sa cuisse et il m'a avoué que son copain l'avait quitté. Merde ! Il était homo et je n'avais rien remarqué, je l'ai pris dans mes bras lui frottant le dos pour le consoler comme je pouvais, il a relevé ses yeux, nos regards se sont fixés un bref instant et sans m'y attendre m'a embrassé à pleine bouche.
J'étais surpris mais j'ai répondu à son fougueux baiser. Sa main a glissé sur mon torse pour se poser sur mes parties génitales. Je ne suis pas de bois, de suite j'ai attrapé une érection.
J'ai une cinquantaine d'année, je suis divorcé, c'est ma première expérience homo, je ne me vois pas le sucer par contre ça ne me dérangerais pas de le culbuter, et c'est ce que j'ai fait!
- Relève-toi et déshabille-toi, je vais te consoler à ma manière.
Moi aussi je me déshabille, j'ai en tête de faire ce que mon ex épouse n'a jamais voulu!
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit et écarte tes fesses avec tes mains, comme ça oui c'est bien.
Sa tête repose de côté sur l'oreiller, il s'offre entièrement, sa rondelle prête à m'accueillir. Je m'installe derrière lui, je commence en lui bouffant le cul. Mes mains l'aident à s'écarter davantage, ses reins se creusent, et je l'entends couiner :
- Ho oui c'est bon, allez-y, continuez, bouffez-moi le cul j'adore ça !
Pas besoin de ses encouragements, sa jeunesse et sa croupe me donnent une trique pas possible. J'humecte deux doigts pour les introduire, ça rentre tout seul, il est large le coquin ! J'en rentre un troisième puis un quatrième, sa croupe remonte d'un cran, ses mains ont empoigné l'oreiller qu'il sert de toutes ses forces en roucoulant !
- Baisez-moi ! Je veux sentir votre grosse queue dans ma chatte ! Baisez-moi comme une pute !
C'est demandé si gentiment qu'il serait impoli de ma part de refuser. Je lui ai démonté la rondelle sauvagement au point que les lames du sommier ont lâché. Qu'importe j'ai continué en lui écrasant la tête dans l'oreiller tout en lui assénant de fortes claques sur ses fesses.
- C'est ça que tu veux salope ? T'en veux encore petite pute ?
- Ouiiii, comme ça, encore encore, je veux encore la fessée, allez-y je suis une pute.
Il était entrain de se branler, je ne voulais pas qu'il jouisse avant moi, alors je me suis retiré, je l'ai attrapé le moins brutalement possible par les cheveux, dirigeant sa tête vers ma queue et je lui ai planté dans la bouche.
- Bouffe ma queue salope et t'as intérêt à tout avaler !
J'ai toujours voulu dire ça, enfin je pouvais me libérer. Je le tenais encore par les cheveux quand j'ai éjaculé.
Putain quel pied de jouir dans une bouche consentante, il a tout avalé puis a continué de me sucer encore un peu.
J'étais crevé, en nage, allongé sur le dos, il me léchait les couilles comme un chien lèche le fond de son écuelle, je n'ai même pas remarqué s'il avait joui ou pas, c'est son affaire, moi j'étais comblé.
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