Ashley - 39 Bordello.

J'avais un but : devenir une star, puis être riche et vivre avec Summer. Maintenant j'en ai un troisième : supprimer Madame cochon !
Sarah me prend par le bras et m'amène dans la grande salle. Il y a une dizaine de filles nues qui font du pole dance.
Putain !! Je commence à regretter d'avoir accepté les 15000 $... Enfin, non, quand même pas. Elle m'amène devant un gros homme qui se trouve à côté du bar. Elle lui dit :
— Monsieur Brown vous envoie cette fille qui...euh...
L'homme lui montre son téléphone en disant :
— Je sais, je viens de recevoir son message. D'accord, elle danse et fait des pipes, mais je dois d'abord me rendre compte de ce qu'elle vaut. Viens derrière le bar petite et suce -moi...
Il y a des rires autour de nous
J'y vais et, d'accord avec vous, Madame Obama ne l'aurait pas fait. C'est pas le bout du monde non plus, j'ai fait ça à Atlanta. Je me mets à genoux. Les deux barmaids me regardent en souriant, ravies d'avoir une remplaçante pour sucer le patron ! L'homme se met devant moi et ne bouge pas. C'est moi qui dois tout faire ? Je descends la tirette de son pantalon et quelques kilos d'abats me sautent à la figure. C'est-à-dire une grosse saucisse molle et deux énormes couilles. L'homme me regarde. Il a un verre à la main et il me dit :
— A tu salud pequeña
Ce qui veut dire "à ta santé petite" comme vous vous en doutez. Je réponds :
— Je peux boire un peu avant de sucer votre bel engin M'sieur ?
Il boit, puis il me donne son verre. C'est fort ! Je tremperais bien son gland dans le verre, genre petite toilette. Je vide le verre et lui rends... Ensuite, je tire la peau pour dégager le gland et j'ouvre grand la bouche pour l'accueillir.  Je le suce et je réfléchis en même temps...
Si quelqu'un lisait ces lignes, il se dirait, "C'est de la folie tout ce qu'elle raconte. Une Première  Dame des Etats-Unis, à genoux derrière le bar d'un bordel à sucer un gros Mexicain, c'est quoi ce truc ?!?!" D'accord, avec le lecteur imaginaire.

Et, pourtant ma tête va et vient sur une grosse bite, tandis que ma langue titille un gland... Je continue à penser tout en suçant. Mon mari m'a promis une somme proprement scandaleuse s'il était réélu. Ensuite je divorce et je vais vivre de mes rentes avec Summer. On se débarrassera d'abord du couple cochon ! Ouch ! Le sexe grossit dans ma bouche et le senor grogne en me caressant la tête, en clair, ça veut dire "je vais tout te lâcher dans le gosier". Ça y est : une douche tiède et saccadée envahit le fond de ma bouche, j'avale tout....
J'avale son sperme et je ravale ma frustration et ma rancoeur. Il faut que mon mari soit réélu, ensuite bye. On ira où Summer voudra et on  achètera des esclaves.
En attendant le patron est bien disposé à mon égard. Ça arrive souvent avec un monsieur que vous venez de sucer. Il me dit :
— Tu es douée petite. relève-toi.
Je me mets debout. Les clients me regardent en souriant. C'est gênant. Le patron me donne un verre de Tequila... Ça pique la bouche mais ça fait du bien... Je le bois en 3 gorgées. Il me désigne une table de jeunes occidentaux en disant :
— Va danser pour eux
Je m'approche de la table... Les jeunes gens ont l'air d'être des étudiants plutôt propres sur eux. Il y a 4 garçons et 3 filles, des étudiantes aussi, pas des putes. Quand je suis près de la table, un garçon me met la main sur les fesses. Difficile de jouer les pucelles quand on vient de sucer la bite d'un Mexicain de 100 kg. Je leur dit :
— Vous avez demandé que je danse ?
C'est une fille qui répond, une brune bien en chair, jolie. Elle me dit :
— Qu'est-ce qu'une fille aussi belle que toi fait dans un bordel de Tijuana.
Je pourrais dire "et vous qu'est-ce que vous y faites ?", mais à mon avis, il cherche de la dope spéciale. Je réponds :
— C'est que... mon... euh... ami...
La fille me coupe :
— Ton mac.
— Oui...mon mac en avait marre que je me plaigne des clients pas très nets, alors il m'oblige à passer quelques jours ici.

Ça leur convient.  La brune dit même :
— Il a raison ! Tu es une esclave ?
— Euh... non, mais...
— Aucune importance. Allez grimpe sur la table et danse.
Il y a quelques semaines, je dansais à poils sur une table à la "House of Pussies" et aujourd'hui, je danse à poils dans un bordel mexicain ! Je vais changer ça... même si je devais m'allier à Dany Prince, l'adversaire de mon mari ! En attendant, je suis debout sur une table dans le simple appareil d'une pute dans un bordel. Je remue mes fesses, balance mes seins et je me penche en avant pour que tout le monde puisse constater que je suis bien une fille. Ici, ce n'est pas Atlanta, les clients font ce qu'ils veulent. Tandis que je virevolte autour de la barre, les mains des garçons et des filles me caressent. Il y a des clients qui se sont levés pour mieux me voir et bientôt, il y a un petit attroupement autour de la table. Au Grauman's Chinese Theater ou ici, c'est moi la star.
Après une dizaine de minutes de danse un des garçons dit :
— Je bande comme un phoque.
Les autres garçons et même les filles aussi. La brune  dit :
— Tournée générale de pipe et de cunni...
— En me regardant elle ajoute :
— Tu auras 10 $ par personne.
Mon Dieu, quelle générosité, mais je jure devant Dieu que ce sont les dernières pipes que je fais sous la contrainte.
Ils sont sept,  ça fait quatre pipes et trois cunnis. C'est beaucoup ! Un garçon me dit :
— Commence par moi.
Il est un peu affalé dans son fauteuil.
Je m'agenouille entre ses jambes et il dégage son sexe de son pantalon. Je suce cette bite le mieux possible tout en pressant les couilles juste ce qu'il faut. Le mec est jeune, pas trop bourré et puis moi j'ai de la technique. Aussi, quelques minutes plus tard la bite molle devenue dure jouit dans ma bouche. Il me dit :
— Avale !
Ils me regardent tous, impossible de cracher en douce, alors j'avale tout. Je ferai régime demain, mes fesses sont assez rebondies comme ça, d'après Madame cochon ! Et les siennes, elles sont comment ?
Le gars suivant est moins propre, alors pour ne pas l'avoir sous le nez, je mets vite son gland dans la bouche.
Oui, c'est un truc de pute ! Dingue, non ? Moi, une star de cinéma et...
— Suce plus énergiquement !
Le gars s'impatiente. Je le suce, je joue avec ses couilles, il jouit. Il m'att par le cou et me maintient pour jouir dans ma bouche. Je dois tout avaler. Je souhaite qu'il rate ses examens !
La suivante est une fille. Une chatte, ça me change, même si elle n'est pas lavée de frais... Je vois un peu de lassitude dans les yeux du lecteur imaginaire et je suis d'accord avec lui, on va raccourcir tout ça :  Ashley fait des fellations et des cunnis à des étudiants et des étudiantes pas mal physiquement mais pas trop soignés. Je fais quatre fellations et deux cunnis...
Quand, je me relève, j'ai un sale goût en bouche et les genoux douloureux.
Sarah dit aux clients :
— Elle reviendra dans 10 minutes et dansera pour tous ceux qui veulent.
Ça convient aux clients. On sort de la salle et elle me tend ma robe en disant ;
— Dépêche-toi.
On monte dans la voiture et je lui demande :
— Qu'est-ce qu'il se passe, Mademoiselle ?
— Ton mari a eu de mauvaises nouvelles, il doit  rentrer d'urgence.
On se tait jusqu'à l'aéroport. Un garde nous attend et règle les formalités. On monte dans le jet et on décolle. Mon mari est déjà là et il ne quitte pas son écran  des yeux. A un moment, je lui demande :
— C'est grave ?
— Ça va s'arranger.
Ouf ! Je bois un cocktail et je somnole. On atterrit à Washington et on part à la Maison Blanche. Là, il va s'enfermer avec ses conseillers. Moi, je prends deux esclaves au passage et je vais dans ma chambre. Je les fouette un peu parce que... je suis énervée. Ensuite, elles me lèchent mais bien et partout, c'est la magie des esclaves fouettées....
***
Le lendemain, quelqu'un tire les lourdes tentures et tandis que le soleil inonde la pièce, on arrache le drap qui me recouvre. Je crie :
— Non mais ça ne va pas la tête !!
Deux hommes et une femme me regardent en souriant, tandis qu'un cameraman nous filme.
La femme me dit :
— Vous êtes bien Ashley Stirland ?
— Oui mais...
— Je vous arrête !
— Mais vous êtes folle, je suis la Première Dame ! Mon mari vous fera...
— Mais oui...
Les hommes m'empoignent et me mettent debout. Ensuite, ils me mettent des menottes aux poignets dans le dos. Je dois être en plein cauchemar !

A suivre.

Vous avez envie de voir à quoi ressemble votre auteur favori (on fait semblant, hein ?), envoyez moi et je vous enverrai des photos mia.michael@hotmail.fr
 

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