Drôle De Voisinage, Épisode Huit

Je me retrouve dans une situation que j’ai peur de ne pas contrôler. En effet, avec l’accord de Florence, nous avons accepté de dîner avec Michel. Robin étant occupé pour des raisons professionnelles, autant en profiter pour passer un moment avec le sexagénaire qui est aussi mon amant.

Pendant qu’il prépare le repas, la sonnette de la maison retentit, il s’agit de Roland.
Ce monsieur est un ancien collègue de Michel, il est plutôt charmant, assez carré des épaules, habiller de façon très chic, mais je sens que la soirée peut prendre une tournure particulière.

Deux filles, deux hommes, je n’ai pas besoin de faire de dessins comme on dit.

Le sexagénaire me sort de mes pensées, et cri assez fort que c’est l’heure de l’apéritif. Tout y passe, les olives, les cacahuètes, quelques verres de vin blanc ou de whisky. L’ambiance est plutôt sympathique, puis nous passons à table. Entre les blagues, les anecdotes professionnelles, nous rions tous de bons cœur.

Michel nous propose de rejoindre le salon, allume sa chaîne hi-fi d’où sortent quelques notes de musiques, puis il nous offre un digestif italien assez connu.

C’est généralement le genre d’alcool qui fait soit vomir, ou alors qui assomme pour le reste de la soirée. Je suis assise sur le sofa avec Florence qui commence à avoir la tête un peu dans les nuages. Roland est posé sur un fauteuil en cuir, et nous regarde avec des yeux pétillants.
N’hésitant pas à chercher ce qui se cache sous la jupe de ma copine ou dans mon débardeur lorsque je me penche pour prendre mon verre. Puis au bout de quelques minutes, Michel arrive.

Il se met entre Florence et moi, et me présente comme son amante à son collègue. Celui-ci le félicite, il dit qu’il me trouve très sensuelle, et très charmante. Il indique par la même occasion que l’autre jeune fille est sa voisine.

Après ces brèves présentations, Michel commence à m’embrasser, puis à me peloter les seins.

Il s’amuse à faire tomber les bretelles de mon débardeur que j’essaye tant bien que mal de remonter.
De son côté, Roland se lève, et va en direction de Florence.

Il se met à genou face à elle, ayant les jambes un peu écartées, elle doit certainement laisser paraître la lisière de son shorty, puis il commence à lui faire des bisous le long de ses jambes.

J’essaye de me défaire des mains de mon sexagénaire, expliquant que ce n’est pas correct, car elle a déjà son compagnon, et qu’il serait souhaitable qu’elle reste fidèle à celui-ci.
Puis, je pars quelques instants dans mes pensées, et je me dis que j’aurais un moyen assez clair de faire chanter celle-ci afin d’obtenir le Graal suprême, celui de faire l’amour rien qu’une fois avec Robin son compagnon qui me tente tant.

Pendant ce laps de temps, Roland continue de lécher les jambes de ma chère Florence, il est clairement remonté plus haut puisqu’il est au niveau de ses cuisses. Elle semble prendre du plaisir puisque sa tête est en arrière et que ses jambes s’écartent de plus en plus. De mon côté, j’ai les seins à l’air, Michel me les mordille, me les pince, me les avale puis je me lève pour me défaire de mon jean, qui est à présent de trop.

Me voilà en string, il a aussi enlevé son pantalon, et son caleçon. Je revois enfin cette verge que je m’empresse de sucer. Avec ma langue, fais des allers-retours assez rapides.
Nous changeons de place avec Michel, je m’assois sur le sofa, il écarte l’élastique de mon sous-vêtement puis me fait un cunnilingus. Dans le même temps, je tourne la tête en direction de Florence qui semble prendre du plaisir, puisque Roland est complètement sous sa jupe. J’entends des bruits de succion, puis il se relève, la bouche brillante de cyprine.

Il lui soulève les fesses, puis lui enlève le shorty. Il fait de même avec ses vêtements du haut, et laisse apparaître une poitrine généreuse que je connais bien.
Je n’hésite pas d’ailleurs à la caresser quelques instants avant d’être prise de convulsions par le plaisir que m’offre Michel.

Roland se déshabille, puis présente son membre entre les seins de Florence, il se branle clairement dedans, puis elle le saisit pour lui offrir une fellation. J’essaye dans le même temps de caresser sa vulve, pendant que mon sexagénaire commence à me prendre en levrette sur le sofa.

Rolland de son côté, n’hésite pas à me peloter les seins, et à me présenter son membre que je suce avec plaisir. Il positionne Florence à genou face à moi, soulève sa jupe, et la pénètre avec son membre de taille raisonnable. Nous sommes toutes les deux face-à-face, nous nous caressons la poitrine, nous nous embrassons pendant que nos partenaires respectifs nous martèlent les fesses.

La vision de cette scène me rend complètement folle, je commence déjà à envoyer mes premiers jets de cyprine sur le membre de Michel, qui propose à Rolland d’échanger les places.
Ce qu’ils font sans hésitation. Je vois ma chère Florence prendre du plaisir avec le sexagénaire qui ne se fait pas prier pour la démonter.

Puis nous changeons de position, nous sommes à présent en chandelier sur nos compagnons du soir, j’ai pour ma part retrouvée Michel. Celui-ci me caresse l’anus pendant le même temps, puis prend mes genoux pour me porter à sa bouche non pas pour me lécher la vulve, mais bel et bien, mon petit trou.

Après quelques instants de préparation, je retourne en direction de son sexe, puis il invite Roland à le rejoindre.
Je connais alors ma première double pénétration. Florence de son côté, m’embrasse et me pelote les seins. Avec autant de sensations fortes en peu de temps, je pousse un grognement puissant, et je jouis dans le même temps.

Roland de son côté, retrouve sa partenaire du soir, il la sodomise, la reprend en levrette, je vois dans son regard qu’elle est proche de l’extase. Michel quant à lui, est proche de la rupture, je sens son gland grossir dans mes entrailles, et en quelques secondes, il m’électrise avec de puissants jets de spermes.

Son collègue ne tarde pas à faire de même avec Florence qui pousse un bruit strident lors de l’explosion finale.

Après avoir pris une douche, et repris nos esprits, nous rentrons à la maison dans un silence extrêmement dérangeant.