La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 502)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°499) - De bien belles perversions humiliantes ! -

Sitôt sa bouche libérée, soumis Endymion MDE reçut un nouvel ordre. Il était dicté par une autre femme. Elle s’était installée, cuisses écartées, robe relevée, devant sa bouche en lui disant :

- Vient mon chéri me bouffer mon petit minou, il parait que tu excelles dans ce genre d’exercice !

Les lèvres intimes étaient beaucoup moins fermes et beaucoup moins charnues que les premières léchées, sa langue pouvait pénétrer aisément dans cette intimité déjà détrempée. Il se dit alors qu’il devait s’agir d’une Domina plus âgée. Il constata également ses formes, cette femme semblait plus plantureuse, plus pulpeuse, avec un fessier beaucoup plus généreux qu’il cramponnait de ses deux mains, pour rester bien en contact avec cette vulve frémissante, lui permettant aussi de tenir la posture délicate que lui avait imposée le Dominant Américain. L’esclave MDE avait déjà pris deux queues dans le fion et une troisième s’engageait. Une main caressait son dos, il l’a reconnu immédiatement, c’était celle du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans.

- Mon Chien vous satisfait-il ma chère Mathilde ?
- Oh… Oh oui, ouiii mon cher Edouard… Ouiiii encore oui, Cette langue est bien agile et il y a bien longtemps que je n’ai pas été broutée ainsi…
- Parfait alors, et toi Mon chien, tout va bien ?

L’esclave se dégagea un instant seulement de ce sexe lui ventousant la langue pour apporter réponse au Maître

- Oui Maître Vénéré, merci Maître Vénéré
- Et cette queue qui te fouraille les entrailles, j’espère au moins que tu la reconnais ?

Non, soumis Endymion MDE ne la reconnaissait pas. Elle n’avait pas une forme ou une taille très caractéristique. Elle allait et venait dans son cul avec l’énergie qu’il fallait.

- Je crains que tu déçoives celui qui t’encule, et Le Maître par la même occasion !

Le Maître se tut, soumis Endymion MDE honteux concentra ses pensées sur cette tige qui le labourait, oubliant de faire bouger sa langue.



- Alors mon mignon, que se passe-t-il, n’as-tu plus l’intention de me faire frémir ! Rétorqua la Domina
- Il va falloir que je sévices mon chien alors, non seulement tu ne reconnais pas le sexe t’enfilant de Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso venu spécialement d’Espagne pour assister à ton baptême et ta re naissance ici en Ma Demeure, mais en plus tu oublies de donner du plaisir à Madame Mathilde. N’es-tu point né et fait pour donner du plaisir Mon chien ?

soumis Endymion MDE ne lâcha pas cette fois-ci, cette vulve dégoulinante, il se contenta de faire un mouvement de la tête de haut en bas pour acquiescer.

- Tu seras donc puni tout à l’heure devant tous. Monsieur le Comte aura le privilège de te fouetter avec son « préféré », tu sais ce fouet que tu as adoré chez lui, en cuir d’hippopotame…

L’esclave MDE une nouvelle fois acquiesça de la tête, puis le Maître s’adressa à son très cher ami, Monsieur le comte :

- D’après vous, Très Cher Comte, combien cette faute mérite-t-elle de coups ?
- Je dirai seulement une vingtaine, mais bien appuyés
- J’en rajoute une dizaine ! Renchérit la Domina.
- Bien, parfait tout ça, donc trente coups, si je compte bien, que je multiplie par deux, obligatoirement…

Le Maître laissa Son chien se faire besogner, la Domina lui attrapa les tétons et les tira sévèrement pour le faire se redresser. Maintenant debout, les cuisses toujours écartés, le cul encombré par ce chibre s’agitant encore, elle attrapa la queue tendue du soumis et se l’inséra dans son sexe parfaitement lubrifié.

- Fais nous jouir le chien, mais toi, retient toi, c’est pas un conseil, c’est un ordre !

Pris en sandwich, coincé entre Monsieur le Comte par derrière et la grosse poitrine de Madame Matilde avec son sexe parfaitement coincé dans son con, par devant, soumis Endymion MDE eut ce ressenti à la fois humiliant et excitant de n’être qu’un pantin que l’on utilisait au gré des fantaisies de chacun… Etrangement, Il n’eut pas cette impression de pénétrer mais d’être lui pris et par devant et par derrière… Et c’est dans des gémissements et des râles puissants que les deux Dominants laissaient exploser leur jouissance dans ces chauds ébats pervers…

Le calme était revenu dans la Grande Salle de Réception, les participants avaient réajustés leur tenue vestimentaire.
Les trois esclaves avaient été réalignés face à eux. Pour la première fois, après que Marie leur ait ôté leur bandeau, ils découvrirent les convives de Monsieur le Marquis d’Evans. Ils étaient une trentaine, autant de femmes que d’hommes, certains étaient accompagnés de leurs esclaves, deux mâles et quatre femelles, tous nus aux pieds de leur Maître ou Maîtresse. Les Hôtes du Maître étaient tous habillés de la tête aux pieds avec une tenue blanche – un dress code souhaité par le Maître et parfaitement respecté par tous.

La Grande Salle de Réception du Château avait été magnifiquement décorée. Un grand nombre de plantes et de bouquets fleuris ornait la Vaste Pièce. Près de la verrière, l’immense table en un luxueux bois massif, longue et large, celle réservée aux grandes manifestations et réceptions, était dressée avec de grandes nappes blanches elles aussi, sur lesquelles étaient brodées en fils d’or, les Armoiries de Monsieur le Marquis d’Evans. La fine porcelaine blanche, l’argenterie sortie des écrins, les verres en cristal fins et méticuleusement ciselés trônaient sur cette table avec deux gros bouquets fleuris posés à chaque extrémité. C’était simplement superbe.

Marie la cuisinière emmena les soumises Laïs MDE et Phryné MDE en cuisine, Walter s’occupa de soumis Endymion MDE. En le houspillant, Il le fit mettre à quatre pattes, tête basse au centre d’un espace qui allait être utilisé pour servir et prendre l’apéritif. Un garde arriva avec une plaque en plexi glace de soixante centimètres de large environ sur un mètre de long, il la posa en appui sur les fesses et les épaules du soumis MDE. Celui-ci comprit bien vite à quoi on allait l’utiliser, après avoir été un simple pantin sexuel, il ne serait plus qu’une table basse, sur laquelle on déposa deux sceaux avec des bouteilles de Champagne et quelques amuses bouche, principalement des légumes crus, finement ciselés et coupés, avec des sauces aux yaourts agrémentées d’épices.

- Tu n’as guère intérêt à bouger, chien, Gare à toi si tu renverses quoi que ce soit ! Lui précisa Monsieur le Majordome.


Le soumis MDE s’immobilisa, il mit le même écart entre ses genoux et ses poignets, plaqua bien ses mains contre le sol et ne bougea plus malgré un fardeau quelque peu pesant. Les deux chiennes soumises Phryné MDE et Laïs MDE furent elles aussi mises à l’épreuve. Par un mécanisme pervers finement calculé, un petit plateau, devant leur poitrine, était fixé et maintenu par leurs tétons pincés le tout arrimé par une petite chainette métallique s’entourant autour du cou des deux soumises MDE. Les plateaux restaient parfaitement à l’horizontal, il le fallait d’ailleurs, puisque des coupes de champagne pleines y étaient déposées. Toutes deux avançaient d’un pas lent et peu sûr, près des Convives du Maître et leurs présentaient cette cuvée exceptionnelle, de cette grande maison Veuve Clicquot

Tout en faisant le service, soumise Phryné MDE et sa sœur de soumission Laïs MDE se firent peloter bien sûr, mais restèrent parfaitement stoïques. Le moindre écart aurait été fatidique et leur aurait coûté cher. Le soumis MDE eut droit également à quelques sévices bien pervers. Une femme d’une cinquante d’année, pas très belle, assez filiforme, avec un regard vicieux et une large bouche, s’approcha de cette table, attrapa deux glaçons dans un sceau à champagne et les glissa dans l’anus du chien. Lui non plus ne bougea pas d’un iota, il poussa un simple gémissement… Elle s’éloigna de soumis Endymion MDE en disant haut et fort :

- Il faut savoir éteindre l’incendie, le cul de cette salope était en feu !

Tout le monde se mit à rire. Voyant le comique de la situation, elle revint à la charge, cette fois-ci, elle cueillit sur son index une des sauces pimentés se trouvant sur cette table basse puis glissa ce doigt dans le cul de l’esclave, elle recommença trois fois l’opération pour bien imprégner l’anus de ce misérable soumis. Des picotements ressentis par soumis Endymion MDE se transformèrent rapidement en une chaleur pénible mais aussi, autant que cela puisse paraitre paradoxal, des sensations agréables.
Elle ne laissa pas réfléchir plus longtemps le soumis, elle ne voulait pas en rester là, et planta alors un ou deux morceaux de carottes dans son cul, le fit aller et venir plusieurs fois, puis le lui donna à manger ! … Des applaudissements retentirent, certains Dominants rirent même aux éclats. Humilié soumis Endymion MDE aurait voulu disparaitre. Et pourtant... sa queue s'enflammait, se redressait de nouveau et suintait tout le plaisir masochiste de l’humiliation …

Le Maître prit la parole :

- Mes chers amis, pour nous mettre en appétit, je vous propose un moment de distraction. Que diriez-vous d’assister à une flagellation avant de nous mettre à table. Mon chien, toujours en cours de dressage, doit être puni et doit recevoir soixante coups de fouet !

Ce fut une approbation générale et des applaudissements nourris….. Et une excitation puissante ressentie chez l'esclave masochiste !

(A suivre…)

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