Un Rendez-Vous Formidable
Un rendez-vous formidable
Je métais réveillée avec joie et bonne humeur pour un rendez-vous très important. Marc mavait fait une forte impression et jattendais avec impatience notre deuxième soirée. Tout était allé très vite. Jamais je ne mettais montrée aussi avenante avec un homme que je venais juste de rencontrer pour moffrir sans retenue sur son balcon cela mavait procuré des sensations uniques que javais envie dapprofondir.
Marc avait réveillé en un soir une facette de ma libido jusqualors laissée en friche par tous mes précédents amants, des fantasmes cachés refreinés surtout au nom des candira tons. Mexhiber et me montrer vicieuse sous le regard dun inconnu ma procuré un plaisir intense et je voulais linciter à continuer sur cette voie.
Pour notre deuxième rendez-vous je lavais invité chez moi. Je souhaitais le recevoir dans mon univers, lui faire découvrir mon intimité et lui montrer bien sûr que ma porte lui était grande ouverte.
Jai commencé par chercher une robe très sexy qui lui fasse comprendre que jattendais beaucoup de notre soirée et que javais beaucoup aimé le caractère très sexuel chez lui de notre premier rendez-vous.
Je voulais linciter à continuer sur sa lancée et jai arpentée les boutiques de longues heures avant de trouver une petite robe blanche que je naurais pas assumée la veille.
Elle se nouait derrière mon cou pour déposer sur ma poitrine deux triangles de tissu et laissait un décolleté outrageusement ouvert entre mes seins. Dès que je lai enfilée jai su avoir trouvé la robe que je cherchais. Jai été envoûtée par ses pouvoirs érotiques au premier coup dil dans la glace de la cabine dessayage.
La robe englobait tant bien que mal ma poitrine et malgré léclairage feutré je pouvais parfaitement voir la pointe de mes seins sous le tissu fin et élastique. De face comme de dos elle était faite pour mette en valeur le corps quelle habillait, ne couvrant que lessentiel.
Le dos entièrement dénudé très bas sur mes reins elle napparaissait que pour attirer lattention sur mes fesses galbées. Il a fallu que la vendeuse simpatiente et vienne aux nouvelles pour que je mextirpe de ma contemplation et que je la rejoigne.
A ce moment précis je savais que ma tenue était provocante mais je nétais pas spécialement préoccupée par ce qui se passait autour de moi, jétais tout simplement à lécoute de la vendeuse, de ses réactions.
Cest cette sensation étrange dêtre observée qui ma intriguée. Jai regardé autour de moi et en un tour dhorizon jai constaté que leffet escompté était au rendez-vous. Jamais je navais autant été dévorée du regard. La vendeuse a examiné la robe dun il très professionnel et sest approchée pour me guider devant la glace centrale.
Elle a ajusté correctement ma tenue en deux ou trois gestes précis et ma conseillée de faire attention à ce que je porterais dessous. Je nai compris la portée de cette remarque et les regards masculins que lorsque je me suis mise face à la glace. Sous léclairage vif du magasin le string bleu nuit que je portais nétait absolument pas discret.
- Je nai pas de culotte blanche à vous proposer mais vous pouvez repasser en cabine si vous le désirez.
Son regard était direct, il ny avait pas la moindre hésitation ou gène. Elle ma fait cette proposition pleine de sous-entendus très naturellement. La surprise passée jai dû admettre quelle avait raison, je serais peut-être nue sous la robe mais ça ne se verrait pas et ma tenue actuelle était de ce fait bien plus indécente que sans culotte.
Lorsque je suis ressortie de la cabine jai retrouvé à peu de choses près les mêmes personnes devant les mêmes rayons, comme si pour certains le temps sétait arrêté. Quelques couples avaient disparus mais les hommes seuls navaient pas bougé. La majorité dentre eux devait attendre leur femme qui farfouillait quelques rayons plus loin et les savoir en train de fantasmer sur moi sous le nez de leur femme mamusait.
De retour devant la glace sétait effectivement bien mieux, mes fesses étaient moulées mais on ne pouvait que les deviner sans pouvoir réellement les voir. Jétais obligée dadmettre quêtre observée dans cette robe qui cachait presque rien par des hommes que me savaient maintenant nue dessous ne me laissait pas indifférente. Face à moi les hommes me souriaient ouvertement mais il est vrai quils partageaient avec moi le secret de ma nudité. Une culotte blanche devrait faire laffaire, ou une épilation.
Cette fois-ci je neue pas besoin de décodeur et sous le sourire de la vendeuse je me suis immédiatement replacée face à la glace pour mapercevoir, un peu honteuse, que pour une fois jaurais aimé être une blonde. Non seulement je ne pouvais plus ignorer que la pointe de mes seins trahissait mon excitation, mais en plus il était définitivement impossible de porter quoi que ce soit de foncé sous cette robe. Le fait quon devine mes poils pubiens rendait ma tenue vraiment indécente.
- Moi jopterais pour lépilation.
Cette fois la voix était masculine et jai cherché mon interlocuteur pour lui faire face.
- Monsieur semble être un connaisseur mais il me semble aussi que lépilation intégrale est un choix intime et je ne pense pas quil se justifie simplement pour porter une robe.
- Pensez à votre homme. Quel homme napprécierait pas de voir une femme tel que vous avec le sexe entièrement nu et lisse ?
- A priori pas vous mais votre choix intéresse probablement plus votre femme que moi. Je suis convaincue quelle se fera un plaisir de répondre à tous vos désirs. Vous navez quà lui offrir cette robe et lui demander dêtre nue dessous.
- Non merci, je préfère la voir sur une autre femme.
- Dommage, vous ratez peut-être quelque chose. Personnellement je nachète cette robe que pour le plaisir à mon amant et jespère que ça lui donnera envie de réaliser avec moi ses désirs les plus fous.
Jétais contente davoir réussi à soutenir cette discussion et je nétais pas peu fière davoir un peu déstabilisé mon interlocuteur.
Trois heures plus tard Marc sonnait à ma porte et jétais encore devant une glace avec la robe, mais cette fois-ci dans ma salle de bain. Je me caressais et je perdais chaque seconde un peu plus le contrôle de la main glissée sous ma robe quelques minutes plus tôt. Cétait inhabituel pour moi qui me caresse généralement le soir dans mon lit ou sur le canapé du salon, mais là jétais particulièrement excitée.
Je suis allé ouvrir à Marc ses yeux et son grand sourire mont vite rassuré, mon plaisir ne tarderait pas. La porte à peine ouverte il ma déshabillé lentement du regard, de la tête au pied, sattardant à son gré sur certains détails de la robe et se moquant visiblement éperdument de la gêne que jaurais pu ressentir. Ses premiers mots nont pas été « bonsoir » mais une invitation à tourner sur moi-même. Jai aimé ça, cest ainsi que je voulais quil soit ce soir.
Jai croisé mes bras derrière ma tête et je me suis bien cambrée pour faire ressortir mes fesses et mes seins avant de commencer à tourner sur moi-même en prenant tout mon temps. Je voulais quil comprenne que jétais disposée à jouer et à me montrer vicieuse. De retour face à lui je me suis avancée lentement et je lui ai offert un baiser humide en gardant mes mains derrière la tête.
Il marrive encore souvent de repenser à mon aventure avec lui et ce baiser est un des moments que jaime me remémorer. Pour moi il avait une signification bien précise, je moffrais totalement à lui. Jarrive encore à me rappeler la sensation que jai ressentie lorsque je me suis collée contre lui pendant que sa main glissait sous ma robe. Je sentais la chaleur de nos corps, la douceur de nos lèvres et surtout le désir brûlant qui menvahissait.
Jai gardé mes mains hautes derrière ma tête et jai fait durer notre baiser pour lui laisser tout le loisir de me caresser selon son bon plaisir. Il nétait pas arrivé depuis plus de deux minutes que je ressentais déjà lexcitation de la veille, que je retrouvais déjà le garçon entreprenant que jattendais.
Marc ne mit fin à notre baiser quaprès avoir caressé la moindre parcelle de mes fesses, mais il sut aussi ne pas aller trop loin. Jai compris plus tard que cétait une de ses plus grandes qualités, il savait sans que jintervienne ce quil pouvait me demander et quand il fallait sarrêter.
Je lai invité à rentrer chez moi et à découvrir mon appartement. Tout dabord ma cuisine, petite et très fonctionnelle, puis le salon, la dernière pièce que nous avons visitée ce jour-là. Marc ma demandé de retirer ma culotte avant même que jarrive à lencadrement de la porte du salon. Hé oui ! Finalement javais optée pour lépilation et le string blanc.
Je me rappelle avoir été surprise par une demande aussi directe mais je les fais sans hésitation, là où jétais, et sans me retourner. Pour moi il ne sagissait pas uniquement dôter mon string, il sagissait surtout de lui montrer que ce soir jétais acquise à ses caprices.
Je me suis appliquée à bien remonter ma robe pour atteindre mon string et à garder les jambes bien droites pour le faire glisser à mes chevilles. Je voulais lui offrir une vue imprenable sur mes fesses et mon vagin nouvellement épilé. Je me sentais particulièrement vicieuse et je me désirais ainsi.
Le string abandonné à même le sol jai réajusté ma robe en toute simplicité et jai repris mon chemin. Mon salon est à la fois épuré et spacieux et il en fit un rapide tour dhorizon. Le meuble de la chaîne stéréo avec sa télé, la large baie vitrée, le bar, le canapé et sa petite table, et enfin le petit recoin avec un lit dappoint dans lequel jaime lire.
Lorsque je lai senti se coller derrière moi pour membrasser dans le cou, je me suis appuyée contre lui et je lai laissé me caresser à volonté, glisser ses mains à plat contre mon bas ventre. Mon corps était réceptif à ses moindres mouvements et lui malgré son excitation évidente faisait preuve dune parfaite maîtrise de soi.
Très calme, il me guida de nouveau de la voix :
- Avance doucement vers le lit. Maintenant, relève lentement ta robe, un peu plus à chaque pas. Exhibe-toi. Rien que pour moi.
Ce soir-là Marc a pris ses marques. Il a su memmener là où il le désirait et pour lui je me suis montrée vicieuse et docile. Il a aussi compris que malgré les apparences je nétais pas une femme soumise et que cétait mon plaisir personnel qui me guidait.
Après avoir essayé un cours instant les insultes et la domination gratuite il a eu lhabilité de vite comprendre les limites de notre jeu. Il a réadapté son langage au contexte et utilisé des mots comme « ma petite salope » uniquement lorsque jagissais effectivement de la sorte.
Ce fut dailleurs le cas plus tard dans la soirée, alors que jétais à genoux devant lui en train de lui prodiguer une fellation appliquée au beau milieu de mon salon. Alors que son éjaculation était imminente il ma demandé de lui montrer mon plus beau regard de belle vicieuse et de ne pas marrêter. Non seulement lidée de marrêter avant quil jouisse ne mavait pas effleuré lesprit.
Jai donc goûté son sperme et mon regard de « vicieuse » lui a permis de comprendre que cette pratique ne me déplaisait pas. Son éjaculation nétait pas spécialement abondante, et si au goût le sperme est parfois un peu amer ce nétait pas son cas, il était plutôt agréablement sucré.
Deux heures plus tard nous en étions encore aux préliminaires et jétais dans un tel état dexcitation que je me sentais capable de céder à ses moindres demandes. Cette capacité à me maintenir aussi longtemps dans un tel état dexcitation était la deuxième grande qualité de Marc.
Il savait pouvoir r progressivement de mon excitation. Ce sont ces petites différences qui ont fait quil a réussi à memmener bien plus loin que mes précédents amants. Il savait me tenir au bord de la jouissance suffisamment longtemps pour que mon envie soit plus forte que ma raison.
Cest ainsi que lorsquil ma demandée de minstaller gentiment à quatre pattes sur ma petite table de salon jai accepté sans rechigner. En me dirigeant docilement vers la table jai su que je ne lui refuserais rien mais que notre relation serait limitée dans le temps.
Mais je savais maintenant quelle ne serait basée que sur le sexe. Jai aussi su que ce nétait pas lui qui me dominait mais moi qui avais trouvé le moyen de donner libre cours à mes fantasmes sans en prendre linitiative et men trouver honteuse. Jai surtout eu la confirmation que jy prenais énormément de plaisir.
Toujours habillée, je suis montée à genoux sur la petite table face à mon canapé et je me suis lentement positionnée de manière à ce que mes fesses dépassent légèrement. Je savais où il voulait en venir. Jai relevé ma robe sur mes hanches de ma propre initiative avant de minstaller à quatre pattes et décarter largement mes cuisses.
- Pose ta tête contre la table et écarte tes fesses.
Ça allait un peu loin ou trop vite pour un deuxième rendez-vous, mais jai pourtant obéi. Je me suis penchée pour poser ma tête sur la table et jai visualisé limage que je lui renvoyais, un peu comme si je pouvais me voir à travers ses yeux. Je me voyais écarter mes fesses avec mes mains, cuisses largement ouvertes. Je me voyais obscène et offerte.
Ensuite, il est arrivé derrière moi et il a caressé mon dos avec sa main avant de glisser son sexe tout en douceur dans mon vagin. Il sest enfoncé lentement en moi, millimètre par millimètre, pour ne sarrêter quune fois bien au fond de moi. De là jai senti un doigt humide se poser contre mon anus et le titiller, louvrir.
Peu de femmes doivent lavouer ouvertement mais je pense que nous sommes nombreuses à aimer sentir un doigt aller à la rencontre de la queue qui nous comble. Marc a ainsi joué quelques minutes avec son doigt quil faisait aller et venir entre mes reins, mais il na pas bougé dun millimètre son sexe.
Lorsque je lai senti se reculer ce nétait que pour se retirer et venir prendre place contre mon anus, senfoncer en moi lentement et précautionneusement. Ce nest quensuite quil sest montré beaucoup plus vigoureux, madministrant des pénétrations profondes en faisant claquer son ventre contre mes fesses offertes.
Comment vous expliquer la sensation que jai ressentie ? Javais déjà pratiqué la sodomie mais celle-ci a vraiment été une révélation. Très vite jai été obligée de maccrocher à la table qui oscillait sous ses assauts. Javais limpression que mes sens me trahissaient, cétait divin.
Nos ébats se sont terminés plus tard, dans le lit et calmement. Cela me confirma quil savait aussi être tendre et faire la part des choses. Nous avons fait lamour avec beaucoup de tendresse et nous sommes resté de longues minutes lun contre lautre.
Japprécie beaucoup ces longs moments où je me blottis contre mon amant, dans un lit ou dans le canapé. Jy ai dailleurs développé un goût prononcé pour les fellations. Jaime profiter de ces instants pour faire glisser sur ma langue le sexe doux et chaud de mon amant, pour jouer avec longuement.
Je ne cherche pas à le faire jouir, cest juste un « doudou » que je taquine pour mon plaisir. Le plaisir de la sensation provoquée par le glissement dun objet entre mes lèvres humides.
Marc est reparti combler, enfin je le pense et lespère. En fermant la portière de sa voiture il ma fait convenir de ne plus mettre de sous-vêtement et de ne porter en sa présence que des jupes ou des robes courtes. Ce fut le cas surtout pendant les trois premier mois de notre relation, des mois riches dexpériences et qui dure toujours.
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