Agnès, Jeune Infirmière Rurale
Une fois encore Jacques venait de me rater... Depuis quelque temps il était fatigué, soucieux et cela lui provoquait des problèmes d'éjaculation précoce. Au début je m'étais dit que les choses allaient s'arranger... A un moment, il y avait même eu un léger mieux mais cela faisait maintenant plusieurs semaines qu'il ne parvenait plus à me baiser suffisamment longtemps pour que je jouisse au moins une fois... Depuis peu c'était même encore pire... A peine quelques mouvements en moi et il partait sans pouvoir se retenir... Evidement il avait conscience de son "insuffisance" de ce côté-là et afin d'éviter l'humiliation d'un échec, il préférait me baiser de moins en moins souvent... Ce qui n'arrangeait évidemment en rien son problème, ni le mien... Car se faire baiser par un homme une fois par mois, ce n'est pas le pied !...
Ce soir là encore, malgré ses efforts, il échoua lamentablement et après moins de trente secondes de va-et-vient (modéré qui plus est...), il éjacula sans pouvoir se retenir... L'abondance de la giclée qu'il libéra me troubla bien un peu (après un mois d'abstinence, c'était la moindre des choses qu'il ait les couilles pleines !), mais pas suffisamment pour me permettre d'arriver jusqu'à un orgasme, même limité...
J'étais tournée sur le côté, à me caresser discrètement le clitoris pour " me finir ", tout en me demandant si cela valait la peine que j'essaie de le faire rebander. En effet, même lorsque j'y arrivais, le résultat était souvent identique, voire pire, lorsque le téléphone sonna brusquement... Il était près de 22 heures, mais avec le mauvais temps que nous avions depuis deux semaines, les urgences n'étaient pas rares... Effectivement, c'était le Père Delisle, qui m'appelait car le médecin qu'il était allé consulter pour sa femme, l'après-midi à Alès avait demandé que les injections qu'il prescrivait soient commencées le soir même. Le père Delisle était un robuste paysan d'une cinquantaine d'années environ qui habitait à une bonne vingtaine de kilomètres de là.
C'était même l'un des guérisseurs les plus connus dans cette région où ils sont très nombreux; ce qui nempêchait évidemment pas sa femme d'être très asthmatique, et comme il aurait été très nuisible à son " prestige " qu'il consulte un médecin de la région, il l'emmenait souvent jusque chez un médecin dune grande ville. Sa femme m'aimait bien et elle avait obtenu de son mari qu'il fasse appel à moi en tant qu'infirmière, bien que je sois la femme d'un médecin de la région... Au téléphone, le Père Delisle me dit avec son ton bourru habituel, que sa femme n'allait pas bien du tout et qu'il fallait que je me dépêche, aussi je m'habillais très succinctement, ne passant rapidement qu'une jupe, un corsage et un chandail.
Il me fallut presque une demi-heure pour parvenir à la ferme des Delisle, car les routes n'étaient pas très bonnes. Le Père Delisle m'attendait sur le devant de sa maison.
- " Elle est en haut " me dit-il, " à la chambre...", aussi je ne perdis pas de temps et montai rejoindre sa femme. Je lui prodiguais les soins prescrits par son médecin, ce qui me demanda presque une demi-heure puis je redescendis à la salle où m'attendait le Père Delisle.
Au premier coup d'il il me sembla bizarre... Un je ne sais quoi... L'il plus brillant, et puis je vois la bouteille qu'il avait sorti... Une bouteille de "gnôle" qu'il m'avait déjà montrée et qu'il distillait lui-même clandestinement.
- " Vous prendrez bien un petit verre?" me dit-il.
- " Oh non, je vous remercie" répliquais-je, "votre eau-de-vie, elle est trop forte pour moi ! "
- " Bah !, mais non, allez ne vous faites pas prier... Un petit verre pour la route, histoire de vous réchauffer
"
- " Ah ça c'est vrai, il ne fait pas chaud " répondis-je, cherchant à orienter la conversation dans une autre direction.
- " Vous ne devez pas avoir si froid que ça aux fesses, pour ne pas mettre de culotte ma jolie !..."
Je blêmis et fus soudain submergée par la honte car je venais de réaliser qu'avec l'escalier à claires-voies, il n'avait rien raté du spectacle et avait pu se rendre compte de mon absence de culotte aussi bien à la montée qu'à ma descente de l'escalier. J'aurais pu me fâcher mais je savais que c'est rarement la bonne solution avec ces paysans butés, aussi je jouai la plaisanterie, bien que je fus au plus profond de moi, gênée et honteuse, et lui dis :
- " Vous voyez Monsieur Delisle, je suis partie si vite de chez moi pour m'occuper de votre femme que j'en ai oublié de..."...Mais je sursautai soudain car tandis que je sortais mes feuilles de soins pour commencer à les remplir, le Père Delisle s'était avancé derrière moi et, au travers de mon chandail et de mon corsage, il avait soudain brusquement empoigné mes seins, nus eux aussi sous mes vêtements... Je lâchais brusquement ma sacoche et mes mains vinrent agripper les siennes pour essayer de lui faire relâcher leur étreinte sur mes seins. Mais il tenait ferme et que pouvaient mes deux fines menottes contre ses grosses paluches d'homme de la terre... Sans le voir puisqu'il était derrière moi, je devinais un sourire amusé sur ses lèvres.
Cette fois je me fâchai :
- " Ah cette fois ça suffit ! " lui dis-je, "Lâchez-moi !... Espèce de vieux cochon !...". Mais cela ne sembla pas le troubler davantage, et sans doute désinhibé par l'alcool qu'il avait bu, il me répondit :
- " Alors nous serons deux, parce que, d'après ce que l'on raconte dans la région, il paraît que tu en es aussi une de cochonne... C'est vrai ça ?...". Ce disant, il n'avait pas relâché son étreinte mais au contraire, ses grosses mains me pelotaient et malaxaient mes seins sans vergogne... Je ne répondis pas, car sans attendre ma réponse, il me retourna et je me retrouvais face à lui, coincée entre son corps massif et la grande table de ferme.
- " Hum... Je ne voyais pas tes nichons comme ça..." grommela-t-il. Piquée au vif car j'ai toujours été assez complexée et honteuse de mes seins qui bien que pas très gros, ont presque toujours été, même assez jeune, lourds des bouts, en poires, nettement trop... pendants... pour une jeune femme, je m'entends encore ne pas pouvoir m'empêcher de répondre :
- " Déçu ?..."
- " Beuh...non " grommela-t-il à nouveau, " Ça fait vieille salope, mais ça me fait bander..." Et ce disant, comme pour me le prouver il colla son bas ventre contre le mien. Adossée comme je l'étais à la lourde table de ferme, coincée entre celle-ci et lui, je ne pouvais guère me dérober à ce contact démonstratif !... Et le fait est que ce qu'il pressait contre mon ventre semblait à la fois bien raide et de proportions plutôt flatteuses... Mais je n'eus pas le temps de me poser davantage de questions que déjà ses mains avaient saisi le bas de ma jupe, et en un instant je fus troussée jusqu'à la taille. J'avais à cette époque une pilosité des plus luxuriante, un véritable fourré brun, épais, dense, qui remontait à la fois haut sur mon ventre, et m'envahissait les aines... (Photo 1) Cette pilosité locale très développée me complexait aussi un peu et il m'était arrivé à plusieurs reprises de la tailler à des proportions plus raisonnables, mais très occupée par mon travail en cette période, j'avais quelque peu négligé cet entretien capillaire un peu particulier... J'avais d'ailleurs découvert en d'autres occasions similaires que ce contraste entre mon allure ment BC-BG, à cause de ma profession et ma chatte velue, excitait beaucoup d'hommes.
Le père Delisle n'échappa pas à cet effet de surprise :
- " Putain de salope !" s'exclama-t-il, "ce que t'es poilue du con, toi
Et brune comme y a pas !" et sans plus attendre il me souleva comme un fétu de paille pour m'asseoir, les fesses sur le bord de la table, et de ses deux mains m'obligea sans ménagement à écarter largement les cuisses. L'une de ses deux mains abandonna alors ma jambe et vint se coller à ma vulve ainsi exhibée. Très vite deux de ses doigts noueux se glissèrent dans ma fente. Je fus surprise moi-même de constater avec quelle facilité ils s'y enfoncèrent malgré leur rudesse ; et puis je réalisai... Jacques m'avait baisée ce soir-là et partie en urgence, je n'avais évidemment pas pu faire la moindre petite toilette... Le père Delisle ne le savait pas et il s'exclama :
- " Cochonne, ça te plaît, hein ? Tu es trempée comme une fontaine...", et il se mit à me doigter sans ménagement. Je dois avouer que dans l'état de manque dans lequel m'avait laissé Jacques, cette caresse, bien que rude, ne me laissa pas indifférente... Presque malgré moi je gémis, et fermai les yeux. Lorsque je les rouvris, je constatais que le père Delisle n'avait pas perdu de temps car il avait profité de sa main libre pour détacher son pantalon, qui était tombé à ses chevilles... Et comme il ne portait apparemment aucun slip, il m'exhibait son membre dressé... Oh!, pas un sexe monstrueux mais de celles que l'on peut appeler une belle queue !... Un beau membre nettement plus long que la moyenne, de grosseur normale mais avec une tige très noueuse, toute striée de grosses veines gonflées et surtout un très gros gland, bien plus large que le sexe lui-même et qui lui donnait un peu l'allure d'un champignon... Je dois dire que malgré l'âge et le niveau intellectuel du bonhomme, je me sentis troublée... et tentée. Je me dis qu'après tout, personne ne le saurait jamais ; et que malgré le physique vraiment très rustre du père Delisle, ce serait sans doute quand même mieux que de me "finir" avec mes doigts, comme j'avais commencé à le faire après que Jacques m'ait laissée sur ma faim...
- " Je vais te montrer comme on sait y faire par ici !", me dit-il, " On est peut-être que des paysans, des bouseux comme on dit à Paris, mais tu vas voir comment je vais te faire chanter ma belle !"
Je le trouvais un peu vantard, mais je me dis que cela devait être dû à l'alcool qu'il avait bu, et je ne répliquais pas. Le père Delisle s'approcha sans hésiter, jusqu'à venir coller son gros gland turgescent contre ma vulve humide et un peu molle du bref coït de Jacques. En le pressant légèrement, il le fit un peu glisser contre celle-ci. Mes grandes lèvres charnues, humides, s'écartèrent sous la pression du gland... Hum !... Il ne m'avait pas encore pénétrée mais cela promettait...
- " Tu es bien trempée cochonne ! " me dit-il, "Ah ! Ça fait longtemps que j'avais envie de te la mettre..." Et ce disant, il agrippa chacune de mes cuisses et poussa cette fois fermement son sexe en moi. Bien que je ne sois pas particulièrement étroite, ce serait même plutôt le contraire, le passage en force de son énorme gland me fit me crisper et gémir malgré moi, ce qui ne fut pas pour lui déplaire...
- " Je parierais que ton mari en a pas une si belle, pas vrai ?... Tu vas voir, je vais te montrer ce que c'est qu'une belle bite... Laisse toi bien aller, tu vas voir comme c'est bon ".
Ce n'est qu'à ces mots que je réalisai tout l'incongru de la situation : cétait lui le guérisseur, le "charlatan" rejeté et dénigré par les médecins, qui s'envoyait la femme du toubib !... Ah, il avait de quoi être fier et rigoler intérieurement... Malgré ses vantardises, ou peut-être à cause de celles-ci, je sentis très vite le plaisir monter... Il est vrai aussi que j'étais en manque, "sur ma faim", que la bite du père Delisle était efficace, et puis il y avait aussi ce sentiment de me conduire comme une véritable salope, qui m'excitait au plus haut point... Dès qu'il commença à aller et venir, j'eus un premier orgasme tant je sentais bien le va et vient de cet énorme gland. Je me crispais, tremblais un peu et mes cuisses se resserrèrent un moment autour de lui tandis que je gémissais malgré moi... (Photo 2)
Le père Delisle sourit ; ça lui plaisait de me sentir à sa merci... Il continua son va et vient... Un va et vient efficace, terriblement efficace qui me fit à nouveau jouir plus de trois fois en cinq minutes ; et chaque fois avec une intensité croissante. Je sentis alors ses grosses mains m'agripper plus fermement et il se mit à me baiser plus vigoureusement, régulièrement, à grands coups de reins. Manifestement il était très excité par la situation et prenait plaisir à me planter son gros membre raide et tendu... Je sentais qu'il éprouvait une réelle délectation, lui l'homme de la campagne, plus très jeune, à montrer sa vigueur à la jeune femme très BCBG, venue de la ville, que j'étais alors, car non seulement il avait plus du double de mon âge, mais il pouvait ainsi me montrer, à moi la "Parisienne" censée tout savoir, que les paysans ne sont pas bons qu'à baiser des fermières incultes, mais qu'ils peuvent aussi faire chialer de plaisir des petites bourgeoises un peu bêcheuses... Car c'étaient bien des larmes qui ruisselaient maintenant sur mes joues tandis que le père Delisle me limait sauvagement. Il me plantait son membre si fort qu'à chaque coup de bite, la base épaisse de son membre venait forcer et me meurtrir la vulve. Mais cette douleur ne faisait qu'accen mon plaisir et quand je jouissais, c'était tout autant mon vagin qui lui comprimait le gland, que ma vulve qui étranglait sa grosse bite, ce qui ne faisait qu'augmenter mes propres sensations... A un moment, le père Delisle se retira... Je pensai qu'il était satisfait car cela faisait déjà au moins quinze bonnes minutes qu'il me pistonnait mais il me prit par la main et m'entraîna vers une chambre située à l'écart et où, en saison, il hébergeait parfois un ouvrier saisonnier agricole.
- " On sera plus tranquilles ici..." me dit-il, et sans attendre il me fit me coucher, toujours sur le dos, en travers du lit, et se coucha entre mes cuisses pour me baiser plus vigoureusement encore... Sachant que là, personne excepté lui ne pourrait m'entendre, je me laissai aller et me mis à gémir sans retenue, haleter, et même crier sous ses poignardant coups de bites...
- " Tu aimes ça... Hein, c'est bon ? ", me disait-il, les yeux brillant d'excitation, " Tu la sens bien ma bite, hein ? Elle est bonne...Elle te ramone bien... Tu vois que tu n'as pas perdu ton temps en venant t'installer chez nous, au village... Je ne sais pas si tu gagneras des sous comme infirmière par ici, mais tu pourras toujours y gagner quelques bons coups de bite, parce que les infirmières ça fait bander tous les hommes dans le coin..."
Ce vieux salaud m'excitait tout autant par ses paroles que par le pilonnage de son sexe en moi... J'étais si excitée que mon vagin trempé était complètement dilaté et presque béant ; au point que le va et vient du membre du père Delisle faisait un bruit obscène, une sorte de bruit humide vraiment ignoble et humiliant...
- " Et bien dis donc " s'exclama-t-il, " Pas la peine de te demander si tu aimes ça, toi ! Tu es une vraie salope, oui !... Tu mouilles comme une fontaine... Un vrai marécage... Ecoute ça comme je patauge là-dedans..."
C'est alors que sans hésiter, il saisit mes jambes et les releva sans rien me demander jusque sur ses épaules. Puis très vite, il sortit son pénis de mon vagin inondé et vint me le mettre entre les cuisses. J'eus un sursaut :
- " Non ! Nnoonn !...", mais il s'y attendait et m'avait solidement empoigné les hanches de ses grosses mains. J'eus beau tenter de me débattre un peu, je sentis le gros gland presser déjà ma rondelle brune... Non! Il ne pouvait pas si vite... Malgré moi !... Jamais je n'aurais cru qu'il puisse me sodomiser contre mon gré mais j'avais oublié que trempée comme je l'étais, la mouille qui ruisselait de mon sexe dilaté avait abondamment inondé mon entre-fesses... Résultat : D'un coup de reins assez sec il venait déjà de me forcer le sphincter et son gros gland était passé... Je sentis la honte m'envahir... Non ça je ne l'avais pas voulu, mais c'était trop tard ! Même si seul le gland m'avait pénétrée pour le moment, j'étais bel et bien ENCULEE !... D'ailleurs, le reste ne tarda pas... Il poussa et toute la longueur de sa bite s'enfonça dans mon cul... Je vis le visage du père Delisle s'illuminer, radieux... Et je fermai les yeux pour cacher la rage qui m'animait...
C'en était trop!... Etre enculée par ce vieux cochon était trop humiliant... Je restai un moment passive. Il en profita pour me faire me retourner et m'encula à nouveau mais cette fois par derrière en levrette, moi la croupe offerte, les épaules collées au lit, la tête de côté, les yeux inondés de larmes. Je mordais l'oreiller et mes doigts s'agrippaient rageusement aux draps tandis qu'il me ramonait l'anus de toute la longueur de son membre noueux, sans me faire grâce du moindre centimètre... Il retirait en effet son membre jusqu'à ce que son très gros gland reste coincé par le sphincter , puis il le replantait vigoureusement, m'enfonçant sa bite à fond, jusqu'à la garde, si brutalement que ses grosses couilles pendantes venaient cogner contre ma vulve déjà très sensible et que son ventre claquait contre mes fesses... (Photo 3)
- " Ah putain de salope !" s'exclama-t-il, " tu es bien enculée hein ?... Tu la sens ma grosse bite dans ton cul !... Tu la sens bien hein ?... Tu fais moins la bêcheuse !... Tu as beau être de la capitale, ça ne m'a pas empêché, moi, de te mettre la bite au cul... Salope !"
Il exultait. Je ne sais pas ce que lui avait fait les Parisiennes, mais il était évident que je payais pour tous les citadins, vacanciers, touristes qui depuis peu étaient venus s'installer dans la région... Une femme dici, il aurait essayé de lui faire un peu la cour, de la séduire, même maladroitement, à la manière d'un paysan, mais moi je n'étais QU'UNE SALOPE QUE L'ON BAISE ET QUE L'ON ENCULE !... Sans doute aussi cherchait-il à se venger à travers moi, des médecins de la région, qui ne le portaient pas dans leur cur...
Soudain le père Delisle se retira complètement et me dit :
- " Tourne toi, salope ! ". J'obéis... Au point où j'en étais... Je m'allongeai en travers du lit, cuisses ouvertes... Il s'enfonça d'un coup dans ma fente offerte. La sodomie qu'il m'avait infligée avait beau m'avoir terriblement troublée et humiliée, c'est en sentant son gros membre investir à nouveau mon vagin que le plaisir physique me submergea à nouveau. Je jouis une nouvelle fois, très vite et très fort, comme après un orgasme longtemps retenu... Le père Delisle se mit à me baiser de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment... Je me mis à crier, à haleter... Plusieurs orgasmes se succédèrent, chacun d'eux, plus fort que le précédent, et puis soudain je sentis son gros membre se tendre encore davantage, durcir puis vibrer en moi...
Le père Delisle me planta alors son pénis au fond du ventre et ne bougea plus. Il y eut comme deux ou trois secondes d'immobilité et de silence absolu, qui mirent tous les sens de mon corps en état de réceptivité maximum, si bien que soudain, lorsque le père Delisle se libéra et que son membre cracha au fond de mon ventre, je poussais une véritable plainte de bête... Sans bouger, pesant de tout son corps sur le mien, m'immobilisant, son membre raide entièrement en moi, il se mit à son tour à grogner tandis qu'il se vidait et éjaculait tout au fond de mon sexe... Il devait avoir les couilles drôlement pleines car quatre giclées se succédèrent, m'inondant et me remplissant... (C'était il y a quelques années... Le sida n'était pas si préoccupant, surtout dans une région aussi rurale). Il eut quelques halètements essoufflés, puis il sourit, content de lui :
- " Ah !... Salope !... Je t'ai mis la dose hein ?... Putain, j'en avais dans les couilles !...". C'était le moins que l'on puisse dire car lorsqu'il se retira, une partie du sperme dont il m'avait inondé me dégoulina de la fente (photo 4). J'hésitais à me relever, craignant que ce ne soit encore pire. Pourtant il le fallait bien... Comme je m'y attendais, je sentis les coulées de sperme rouler à l'intérieur de mes cuisses lorsque je me relevais... Et je n'avais aucune culotte à mettre en boule en guise de "bouchon"... Je n'osai pas non plus lui demander à aller faire un peu de toilette car dans cette ferme je m'attendais à tout sur la propreté de l'endroit... Je remis prestement jupe et chandail et rentrai chez moi. Dès mon retour je me précipitai dans la salle de bain pour une toilette complète... Et je ne résistais pas au plaisir de me caresser en pensant à ce qui venait de se passer... Mon sexe était encore si sensible...
Je rejoignis enfin Jacques... Il dormait...Tant mieux car je vis qu'il était déjà trois heures du matin !...
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