La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 503)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°502) -
La flagellation fut terrible, les soixante coups distribués furent donnés par Monsieur le Comte sans la moindre concession, sans palabre, dans laustérité, la sobriété, la sévérité absolue et sans aucun bruit, hormis le sifflement et claquement du fouet sur le fessier exposé et tendu du mâle soumis puni. Lui-même fut remarquable, ni plainte, ni gémissement, ni même le moindre soupir naltérèrent ce silence à la fois pesant, et empreint de solennité ! Seul son corps parlait, par des soubresauts, des saccades, des secousses, des sursauts et surtout il avait beaucoup dexcitation mentale imputée à son profond masochisme, chaque coup lui était mentalement jouissif. Son excitation était-elle, quil avait une extraordinaire érection rarement si développée. soumis Endymion MDE avait fauté, il en était juste quil soit puni, il est était pleinement conscient. Et puis chez lui, une décision du Maître ne se discutait pas. Lui seul état capable de savoir ce qui était bon pour le soumis quil était, Son chien ! Était-ce de lorgueil, une forme dimpertinence, dinsolence de cette décision prise une fois placé sur ce chevalet, cul relevé, à la vue de tous, de ne pas dire émettre un seul son, tout le temps de cette correction ? Non certainement pas. Il voulait simplement montrer son acceptation, sa volonté de progression dans cette soumission qui lui était devenue indispensable, dextérioriser par ce silence sa fierté dappartenir. Lesclave était tellement heureux de subir ce fouet afin de vivre pleinement son masochisme profond et son entière dévotion au Marquis dEvans. Et le Maître le perçut comme tel, il félicita son soumis, sobrement bien sûr, par une caresse sur son fessier zébré et boursouflé et par quelques mots :
- Je suis fier de toi mon chien !
Et cette fierté exprimée, donna un relief tout particulier à cet événement, soumis Endymion MDE laissa à son tour exprimer son émotion et ne put retenir de grosses larmes, si bien que certains Dominants sen inquiétèrent et vinrent le caresser
Pourtant ces larmes nétaient autres que du bonheur dans cet asservissement voulu, souhaité et désiré.
- Mon chien, je veux maintenant que tu ailles exprimer devant les pieds de chacun de mes Hôtes, tes plus humbles excuses, je veux tentendre parler haut et fort, avec respect et une totale servilité. Tu entends chien !
Le Maître voulait que cette ultime humiliation permette à soumis Endymion MDE deffacer ses émotions, de reprendre pied, de retrouver du plaisir, dans laffront et labaissement.
- Madame, je vous présente humblement mes plus plates excuses, je vous remercie de pardonner mes erreurs et mes égarements !
Et ainsi de suite le soumis MDE passa de pieds en pieds, se prosternant et les baisant à chaque fois, puis en dernier lieu, ce fut autour de ceux du Maître
Plus encore, soumis Endymion MDE montra son humilité et sa dévotion totale.
- Cest bien mon chien redresse toi maintenant et attends ici sagement.
Les Dominants prirent encore une coupe de champagne servie par les soumises Laïs MDE et Phryné MDE et discutèrent encore entre eux. Ils semblaient tous prendre un plaisir certain dêtre ici. Il y avait ceux que se connaissaient, dautres qui restaient plus en retrait. soumis Endymion MDE, resté dans un coin, là où le Maître lui avait indiqué dêtre, en posture dattente debout, et vit approcher un couple. Ils étaient jeunes tous les deux, la trentaine, Elle était belle et élégante, avec un corsage blanc échancré dégageant sa belle poitrine, une jupe de la même couleur, courte. Ses cheveux foncés et ondulés étaient posés sur ses épaules. Elle avait les yeux clairs, dun vert émeraude. Lui était grand, élancé, les cheveux blonds courts, le regard bleu vif et pétillant. Il était vêtu dun costume et dune chemise blanche. Lui sintéressa au postérieur du soumis, regarda les belles traces rouges et les quelques hématomes laissés par la lanière du fouet.
- Mes chers Amis, désolés de vous interrompre, mais Marie, ma charmante cuisinière me dit quil va falloir cette fois-ci passer à table ! Intervint Monsieur le Marquis
- Mais pas de problème mon cher Oncle, nous arrivons. Lui répondit lhomme qui pelotait lesclave MDE
Mon cher oncle ? Avec un prononcé et un accent américain
Voilà qui surprenait soumis Endymion MDE. Était-ce ce Dominant qui lui avait imposé cette posture si pénible à tenir, alors quil était si doux et tendre maintenant ? Était-ce lui qui avait été le premier à lenculer ? Était-ce Elle qui avait donné à lécher cette vulve délicate et doucement parfumée ? Le soumis MDE ne pouvait trop le savoir, mais bien des éléments lui permettaient den être à peu près sûr, dailleurs, Elle, parlait anglais !
Tous les Dominants avaient pris place à table selon un protocole minutieusement préparé par le Maître, et Walter son Majordome. Il avait à côté de Lui sur sa droite celui qui était son neveu, à sa gauche sa nièce par alliance, face à Lui, Monsieur le Comte entouré de deux Dominas plantureuses. Lorsque tous furent assis, Walter et Marie, tenant par leur collier les soumises Laïs MDE et Phryné MDE, les obligèrent à monter sur cette immense table.
Le menu était princier, un vrai festin servi par des femelles serviles au service du Maître, vêtues seulement dun petit tablier blanc. Tout dabord du homard, de la lotte à larmoricaine, une multitude de petits légumes frais et croquants cultivés sur les Terres de Monsieur le Marquis, un plateau de fromages impressionnants et des desserts à ne plus compter, le tout arrosé avec des vins sublimes et rares venant des terroirs français les plus prestigieux. Au cours du repas, soumis Endymion MDE, comprit que Elle sappelait en fait Ella, prénom donné en hommage à Ella Fitzgerald, cette chanteuse de jazz que ses parents adulaient ! Ella était issue dune excellente famille de la bourgeoisie New Yorkaise, son père était un célèbre avocat, sa mère médecin. Ella avait marché sur les pas de sa mère, elle était une brillante obstétricienne et exerçait elle aussi à New York. Lui se nommait Charles-Edouard, (en hommage à son fameux aïeul de 1784, lire les Origines de la Saga
) vicomte dEvans. Il était le fils du frère Cadet de Monsieur le Marquis dEvans. Il était donc bien effectivement, le neveu de Monsieur le Marquis, mais aussi son filleul, doù aussi ce prénom Edouard accolé à celui de Charles. CharlEd, ainsi le nommait le Maître, avait rencontré Ella pendant leurs études de médecine, lui était urologue. Ella et Charles-Edouard venaient tout juste de se marier, ils étaient en plein voyage de noce. Ils avaient fait un tour dEurope et terminaient leur voyage par une halte en Terres Beaujolaises, un retour aux sources indispensable pour Lui, afin quElla puisse connaître le Château, son Oncle et Parrain tant aimé !
La fin de repas sannonçait, les soumises Phryné MDE et Laïs MDE, toujours immobiles au centre de la table, vécurent une épreuve bien pénible.
Les chiens et chiennes soumises du Maître, et les six autres esclaves purent manger : une gamelle abondante et nourrissante permettant aux esclaves de reprendre des forces. Sitôt leur repas terminé, ils furent ramenés près des Dominants, prenant un café dans le grand salon. Leur conversation allait bon train, tous parlèrent de leurs expériences BDSM de leur pratique. Le thème principal abordé était celui du bondage et de limmobilisation parfaite.
- Jadore regarder une chienne ficelée et la sentir à ma merci ! dit une Domina
- Cest effectivement très excitant. Lui répondit une autre
- Jaimerai bien suivre quelques cours pour approfondir mes notions toutes relatives au Shibari. Fit une troisième.
- Savez-vous très cher que nous avons ici un expert ! lui répondit le Maître.
- Vous me lapprenez très Cher Marquis.
- Oui mon neveu est un grand amateur et un spécialiste de cordes. Peut-être, si vous en êtes tous daccord, pourrait-il nous faire quelques démonstrations et nous donner quelques enseignements précieux.
Ce fut un oui général. Mais CharlEd se fit un peu prier. Certes Il aimait immobiliser les salopes disait-il, il adorait les voir attachées dans des tenues obscènes et perverses mais de là à en faire un spécialiste. Son Oncle, Monsieur le Marquis dEvans insista :
- Peut-être pourrions-nous passer dans Mon Donjon, tout léquipement nécessaire se trouve en ce lieu.
Demblée, tous se levèrent et suivirent le Maître, traînant derrière lui Ses trois chiennes-soumis (ses) tirées en laisse et marchant à quatre pattes.
(A suivre
)
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