Train De Nuit
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous sommes seuls dans le compartiment, tranquilles. Nous venons de louper lautre train et nous sommes très fatigués. Un groupe de cinq types ouvre soudain la porte, trois noirs et deux arabes, ils sont gigantesques, énormes et bruyants, vulgaires, ils parlent fort.
Mon mari est près de la fenêtre, deux sinstallent à côté de moi, les trois autres en face, nous ne sommes pas à laise, moi encore moins. Je porte une minijupe et en dessous des bas et une minuscule petite culotte blanche. Je sais quon peut la voir si je desserre un peu les jambes.
Je suis une femme plutôt jolie, séduisante, bien faite, je plais aux hommes et bien que je naie jamais connu dautres hommes que mon mari, je le sais, car ils me le font bien comprendre aussi. Je me maudis ce soir, dêtre habillée de façon aussi courte.
Ils nous observent, je murmure à mon mari que je voudrais sortir pour aller aux toilettes, et de venir avec moi, mais jai peur de bouger. Jai peur. Ils vont me violer, jen suis sûr. Je narrive même pas à limaginer.
Soudain un des noirs me crie :
- Ecarte tes cuisses, salopes !
Mon mari tente de protester.
- Ta gueule, PD ou je te coupe les couilles et je les fais bouffer à ta femme.
A ce moment le type à côté de moi passe son bras droit autour de mon cou et commence à me peloter la poitrine, je ne porte pas de soutien-gorge et il sen aperçoit. Il me soulève mon chandail et libère mes seins quil se met à me palper durement, en même temps, celui den face se penche et mécarte les cuisses de ses deux mains puissantes.
Jai les seins à lair et la jupe remontée haut, ils minsultent :
- Oh la salope ! quelle pute, regarde un peu ce morceau, pouffiasse, tas vu comme elle est sapée la pute, elle demande que ça, cette vicieuse, elle ne va pas être déçue.
Celui qui était en face de mon mari nous pousse, se place à ma droite et me met directement la main sur la vulve, il mécarte le slip et plonge un doigt dans ma fente, je hurle, mon mari nose pas intervenir, ils me fouillent le sexe tous les deux, désespérée, je sens que je mouille malgré moi, ils me placent au milieu du compartiment. Ils me troussent ma minijupe jusqu'à la taille et jai toujours le chandail relevé avec mes seins à lair.
Jimagine leur désir et lexcitation que je provoque avec le spectacle que je leur offre ainsi troussée, en petite culotte à demi écartée, mes jarretelles et mes bas, ma vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes déjà durcis qui dansent à chaque mouvement.
Lun deux marrache la culotte, ils me scrutent, me palpent, me tripotent, me pelotent les seins, le ventre, les fesses jai des mains partout, des doigts sortent, entrent, me fouillent, me pénètrent le vagin, lanus. Ils ont tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, bruns, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.
Je ne peux mempêcher de les comparer au sexe de mon mari qui est le seul que je connaisse, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que le sien. Je suis résignée, soumise, ouverte, consentante, jattends quils me baisent, quils memmanchent, quils me bourrent, jattends quils me possèdent, jattends le viol, je mimagine les subissant, je frissonne dimpatience, je sais que jai envie quils me pénètrent, quils me violent.
Jai envie de ces bites monstrueuses dans moi, dans mon ventre, dans mon sexe, jai envie quils jouissent de moi, en moi, quils minondent de leur foutre. Je sens que je vais jouir de leurs attouchements. Je suis devenue une femelle en chaleur. Je regarde mon mari impuissant qui sait, lui aussi par ma rougeur aux joues et la sueur qui perle sur mes seins, il sait que je suis au bord de lorgasme.
- Je murmure, « - prenez-moi, baisez-moi, violez-moi ».
Le premier me soulève et en me basculant sur lui, il me force. Son membre est trop gros, mes lèvres grasses de ma liqueur souvrent, sécartent, il me pénètre au plus profond de moi, jusqu'au fond du vagin. Je crie mais de plaisir, mes muqueuses sont envahies, écartées, mon clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite, mon vagin est rempli, plein de cette virilité dure, bousculé, malmené, il me martyrise lutérus, il me cogne délicieusement en senfonçant tout au fond, je regarde incrédule ce sexe noir démesuré qui rentre en moi, qui va et vient dans mon intimité, je suis baisée comme jamais je ne lai été, mon bassin va à sa rencontre comme sil était possible quil aille encore plus loin.
Je jouis, je jouis fort, puissamment, violemment, je jouis de cette hampe qui continue de me pilonner sans ménagement. Toute cette jouissance me fait oublier les autres, Ils sont là, ils attendent impatiemment leur tour, je sens que quelqu'un mécarte les fesses et me lèche lanus, je sens quil place son énorme gland à lentrée de mon anus, je ne veux pas, il me force, il me fait mal, il pousse, il me déchire, il entre le bout, je jouis tellement de celui qui me baise que je facilite involontairement, lintroduction, il rentre petit à petit un peu plus, je hurle de douleur, avec un grand coup de rein il sest enfoncé jusquà la garde, son ventre est collé à mes fesses, il mencule.
Jai toute la longueur de sa queue dans le rectum, je nose imaginer jusquoù il va, mon anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais il est rentré, il est dans moi, sest insensé, je suis prise en sandwich, la douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur, il synchronise ses mouvements sur celui qui me ramone le con, mon esprit chavire, je me vois de lextérieur, je me vois entre ses deux hommes qui me possèdent si profondément, je regarde mon mari et son regard amplifie mon plaisir, il ne me quitte pas des yeux, je ny peux rien, cette double pénétration, ce viol monstrueux me procure un orgasme démentiel, je veux quil me voit jouir, je crie, je gueule, lenculage doublé du baisage me procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, cest incroyablement bon, mes orgasmes se succèdent ; le premier éjacule longuement, il se vide, il se déverse en moi en puissantes giclées, il se retire mais un autre arrive immédiatement et le remplace.
je suis prise à nouveau, ma chatte et mon cul sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, il rentre tout seul, je souhaite que ça ne sarrête jamais, je suis devenue une pute, jaime ça, je jouis, ils vont finir par méventrer.
Jen entends un qui gueule quil ne peut plus attendre, quil faut quil me fourre, sinon ça partira tout seul, il monte sur la banquette me tire les cheveux pour mamener la tête près de lui, il me présente sa queue devant le visage et mordonne de le sucer, je le prend dans ma bouche mais il senfonce brusquement dans la gorge comme sil sagissait dun vagin et il décharge immédiatement une quantité énorme de foutre, jen ai partout, il me dit davaler, javale, jengloutis tout son sperme et je jouis encore et encore, je ne marrête pas.
Celui qui mencule explose à son tour et men met plein les intestins, je suis bourrée de partout, une usine à foutre, il se retire tout de suite remplacé par un autre qui me sodomise à son tour, je nai pas de répit.
Combien sont-ils ? Je crois que je vais mévanouir de plaisir. Ils me prennent, devant, derrière, dans la bouche, ils entrent, ils sortent, ils me baisent, ils me défoncent le cul, ils jouissent, éjaculent, déchargent, giclent, à trois, à deux, seuls, ils nt de moi comme ils veulent. Je suis haletante, comblée, épanouie, rassasiée, épuisée. Jai le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru dincessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, beaucoup plus tard, quand ils sont enfin partis, quils mont enfin laissée, mon mari ma dit que cela avait duré plus de deux heures et demie sans interruptions, quil y en avait toujours eu au moins un qui me besognait. Ma minijupe et mon chandail sont déchirés et maculés de sperme gluant, jen ai partout, jen suis pleine, il coule de mon sexe et de mon cul sur mes jambes, jen ai dans la bouche, dans lestomac, sur le visage, dans les cheveux, sur le corps.
Je me tais. Jai trop joui, il ma trop vu, jai vraiment trop honte.
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