Ton Retour 2
Tu me dis alors doucement : « ah et si tu ne mobéis pas, tu seras punie aussi ma puce
» Ton sourire de dominateur est revenu sur ton visage mais cette fois-ci, je ne veux pas tomber sous ton emprise. Je me dégage et passe rapidement à côté de toi, je marche vite pour essayer de me libérer de toi, ton aura, ta puissance
Tu me rejoins et nous allons jusquà la voiture sans un bruit. Je suis vraiment contente de te revoir mais je déteste être aussi faible quand tu es dans les parages. Je monte dans la voiture et ferme la porte assez violemment. Tu es en train de charger tes sacs dans le coffre et tu glisses sur le siège passager en soupirant : « ouh il est bas ton siège ! » - « Juste pour infos, il est réglable et toi par contre quand tu râles
» Je marrête aussitôt car je me rends compte de ce que je suis en train de dire. Tu rigole un « et de cinq ma puce ». Jinspire profondément et jallume le moteur. Le ronronnement et le cliquetis caractéristique de la BMW me fait oublier ta remarque. Nous faisons une bonne partie de la route en écoutant la radio, et en arrivant au péage ; une voiture sengage dans la zone 30. Je la suis doucement et au bout de quelques minutes, elle met les warning. Je peste alors : « Putain mais cest pas possible dêtre aussi con !!! Quand tu tengages ici, cest parce que tu as le télépéage !!! » Jengage alors mes warning et jenclenche la marche arrière. Je soupire en sifflant « ah là là putain mais cest pas vrai je te jure
». Quand je mengage dans une autre voie de péage et nous réussissons enfin à sortir du péage et du rond-point, nous entamons une longue ligne droite et tu poses ta main sur la mienne en serrant légèrement. Je tourne la tête et te sourit. Tu me dis : « Tu sais que tu en es à 6 là ? » - « Mais
! ». Je veux retirer ma main mais tu serres plus fort et tu me dis : « Laisse la ici ! Elle est bien là ! ». Sous la surprise du ton de ta voix, je sursaute puis me détends. Je laisse donc ma main sous la tienne et la chaleur de ta main ferme me fait du bien.
Nous finissons la route en silence et cest seulement quand je coupe le moteur que je dis : « Nous voici maintenant à Thoissey City ! Ville pourrie remplie de cons mais jai pas le choix ! ». Tu atts tes sacs dans le coffre et quand je veux taider, tu me gratifie dun « Tu rigoles ou quoi ! » - « Et ben va te faire voir ! » - « Jy compte bien !! ». Je prends une nouvelle inspiration et pense alors « tiens, il ne la pas compté celle-là ! » Nous arrivons devant la porte den bas et je te fais un mini cours dhistoire car jhabite dans un bâtiment historique. Nous montons les 1ers escaliers en pierre et commençons à attaquer les escaliers en bois mais un de mes voisins descends. Je recule alors pour le laisser passer mais tu nas pas vu que je reculais, tu avais un pied dengagé. Jai alors sentis ton genou à larrière de ma cuisse et cela mas fait perdre léquilibre. Tu as très vite laissé un de tes sacs tombé lourdement sur le sol pour passer une main autour de ma taille et me ramener à toi en descendant de lescalier. En reposant mes pieds que le palier, jai sentis ton sexe dur à travers le tissu et cela marrache un hoquet de surprise. Le voisin descend, tu ramasse ton sac et nous nous décalons pour le laisser passer. Je monte sur la 1ère marche et au moment ou jai posé un pied sur la marche, tu me claque les fesses dune force impressionnante en disant : « cest pour le va te faire voir de tout à lheure ! ». Tiens , je me suis trompée, tu tiens bien tes comptes
Je monte alors les marches et je suis surprise de la vague de chaleur qui menvahit. Nous arrivons alors au 2ème palier, et je cherche un interrupteur. Je sais que le 1er ne fonctionne pas alors je continue à avancer jusquà en trouver un valide. La lumière sallume et dès que tu aperçois le couloir, tu dis : « cest le couloir de la mort ou quoi ? » -« Presque ! ». Et je chuchote alors « et le bourreau est juste là ! » en te désignant lappart de mon proprio juste à côté. Tu rigole et je sors alors les clefs.
Je les insère dans le barillet, tu fais remonter doucement tes doigts le long de mon bras et tes lèvres effleurent mon cou juste au dessous de loreille, tu chuchote : « hmmmm continue, ça me donne des idées
». Ta voix et ton souffle dans mon cou me font battre le cur à toute vitesse, je me dépêche de rentrer les clefs et de pénétrer dans mon chez-moi. Je te presse de rentrer car mon chat essaie toujours de senfuir quand jouvre la porte. Javance de quelques mètres dans le salon et tu te dépêche de bloquer la porte avec ton pied gauche. Tu poses tes sacs tu me regarde car jai les clefs. Jai alors une idée : « il faut tenir la porte car il y a un courant dair et elle souvre en permanence.. » -« ok, bah donnes-les clefs alors pour la fermer ! Ton chat ne pourra pas senfuir ! ». Javance alors doucement en souriant et mapproche de toi mais pas trop pour pas que tu puise attr les clefs. Tu me regarde surpris et tu commences à tapprocher mais mon chat en profite pour glisser entre ton pied et la porte.
admin
Jan. 31, 2023
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