Le Chemin De L'École, Partie 8
Le gérant de la salle vient nous annoncer que ce soir on a gagné le gros lot : on a le spot central pour nous. C'est celui que l'on peut voir de presque toute la boîte. Les gens se battent presque pour être devant. Il dispose non seulement d'une table et d'une barre de poledance comme les autres, mais aussi d'un lit dont la tête était constituée de barreaux desquels pendaient des menottes. Les shows proposés par les clients ne sont pas payants pour les autres clients et ne sont pas payés par la boîte, mais bien souvent des habitués nous glissent quelques billets.
Sandrine part chercher notre sac qu'elle pose au pied du lit. Elle en sort un bandeau de soie rouge dans qu'elle me met sur les yeux puis passe ses mains autour de ma taille pour que nous dansions.
Elle se colle contre moi et frotte son bas ventre contre le mien. L'excitation qu'elle a fait monter en moi sur son canapé est toujours bien ancrée et refait vite surface qu contact du tissu frottant sur ma vulve. Je sens sa main droite remonter le bas de ma robe pour dévoiler mon cul aux spectateurs massés autour de nous et leur montrer le bijou placé entre mes fesses. Elle invite certains d'entre eux à venir les embrasser et d'autres à me frapper à l'aide d'une cravache. Ces petits coups me font pousser des cris à la fois de douleur mais surtout de plaisir. Elle les renvoie dans l'assistance et appuie sur le strass du plug pour le faire vibrer.
Je sens alors qu'elle ouvre la fermeture éclair de ma robe et la fait tomber à mes pieds. J'entends ensuite des bruits d'étoffe que l'on laisse tomber au sol : elle vient de se faire déshabiller par quelqu'un qui en a certainement profiter pour embrasser ses seins comme nous avons l'habitude de le faire pour augmenter l'excitation générale.
Elle devant moi et appuie sur ma tête pour que je me mette à genoux devant elle. Je m'exécute en prenant soin de garder les fesses serrées pour ressentir au mieux les vibrations du plug dans mon cul.
Elle me pousse ensuite sur le lit et m'attache les mains aux barreaux du lit avec les menottes allongée sur le côté, les jambes le plus écartées possible. Je l'entend fouiller dans le sac. Quelques instants plus tard elle me pénètre avec un objet en verre froid : c'est le double dong. J'aime quand on utilise cet objet : on ressent les choses en même temps. On baise ainsi un long moment sous les demandes des spectateurs qui veulent plus de violence. Sandrine appelle deux hommes à qui elle demande de baisser leur pantalon et de se mettre à genoux devant nous pour que nous les sucions, qu'ils nous bifflent et qu'ils nous giclent sur les seins. Une fois fait nous nous léchons mutuellement nos poitrines.
Puis elle me détache et me fait me placer en levrette. Elle place ensuite des pinces à seins vibrantes lestés au bout de mes tétons et une sur mon clitoris. Mon corps est parcouru de vibrations, je sens l'orgasme monter en moi. Elle cherche à nouveau quelque chose dans le sac puis je sens une vive douleur sur mon petit cul : elle me frappe avec une règle de plus en plus fort, des larmes coulent sur mes joues en même temps que la cyprine coule de ma chatte. C'est une douleur divine. Elle retire le plug de mes cesses et l'enfonce dans mon minou humide. Soudain elle pénètre mon petit trou de cul déjà bien dilaté par le plug. Elle utilise pour cela un double gode ceinture gros modèle qui lui permet d'être pénétrée en même temps. Je jouis dans un cri avant de m'écrouler sur le lit. Elle se retire, m'embrasse les fesses et se penche à mon oreille :
- Tu as étais géniale ! Je t'aime.
Elle retire le bandeau de mes yeux. Je vois les gens s'éloigner. Les derniers pervers sont poussés vers la sortie par le videur. Sandrine se rhabille déjà et me tend ma robe.
- Quand on rentre, je ferai du bien à ton corps meurtri ma jolie petite catin !
J'aime quand elle me parle comme ça, qu'elle me traite comme son jouet sexuel. Il nous arrive d'échanger les rôles dans ce genre de scénario, mais elle est plus douée que moi pour la domination. Le sexe brutal n'est pas toujours que plaisir mais c'est tellement bon quand le tortionnaire devient doux pour alléger les souffrances. Je sais qu'après les coups j'ai le droit aux caresses, aux baisers, aux massages. Elle ne pense plus qu'à mon plaisir unique. Elle fait alors tout ce que je lui demande du moment que je jouis autant que je le désire.
Dans la voiture elle m'annonce que nous avons sept-cents euros de dons. Cet argent nous l'utilisons principalement pour acheter des tenues, de la lingerie et des accessoires. Il nous arrive aussi d'en mettre côté pour nous payer des week-ends coquins dans des lieux magiques.
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