Jules &Amp; Nathan - Saison 3 - Episode 10

NDA : Oui ! Après cette (longue) absence, je publie la suite de la saison 3. N’hésitez pas à retourner voir les épisodes précédents si vous souhaitez connaître l’histoire. Je m’excuse une fois encore pour ce délai de publication, et j’espère sincèrement que la suite vous plaira tout autant. J’attends avec impatience vos réactions et vos commentaires, et à très bientôt.


- Salut mec ! Vas-y entre, dit Max à Alban.
- Putain c’est immense !
- Cadeau de mon frère… Il a insisté pour que je loue celui-ci, parce-que “de toute façon on a les moyens, et au moins tu seras à l’aise”. Bref, mon frère quoi. Tu voulais qu’on discute ?
- Oui, répondit Alban en s’asseyant avec Max sur le sofa.
- Je croyais que tu ne voulais plus jamais me voir ?
- J’ai réfléchi. Nous deux ça marche pas, mais avant ça on a toujours été potes . Et ça me fait chier qu’on soit fâché, me taper des délires et tout avec toi ça me manque. Et puis cette révélation, enfin je veux dire le fait qu’on ait découvert notre homosexualité tous les deux, ça peut nous rapprocher et… Enfin voilà.
- Et le fait qu’on soit sorti ensemble ? Qu’on ait couché ensemble ? Que je t’ai trompé ?
- C’est sûr que ce sera bizarre au départ, mais ça peut valoir le coup non ?
- Je suis pas contre mec, mais on a déjà essayé rappelle-toi… Et ça a mal fini.
- Bah pas si mal que ça, on s’est mis en couple.
- Oui enfin je me comprends, on en est arrivé là quoi. Mais c’est vrai que tu me manques aussi mec. Enfin, en tant que pote quoi.
- Alors… amis ?
- Amis, répondit Max avant de prendre Alban dans ses bras. “Je sors ce soir, tu veux venir avec nous ?”
- Ouais pourquoi pas, faut juste que je vois avec mes parents avant.
- Ça marche. Mais en boite hétéro hein, j’ai envie de danser pas de pécho.

Alban et Max passèrent un petit moment ensemble à définir exactement comment aller fonctionner leur nouvelle amitié, et se fixèrent des règles à ne pas transgresser (du style plus de sexe, interdiction de retomber amoureux, pas de jalousie sur nos futurs mecs,etc.

), avant de prévoir aussi les futures aventures qu’ils se voyaient vivre. Reprendre toutes les conneries qu’ils avaient l’habitude de faire ensemble au lycée... Et cette première soirée en était l’occasion !



Il était dans les 21h quand Jules passa la porte de l’appart, son casque de moto à la main. Comme à son habitude il déposa toutes ses affaires sur le meuble de l’entrée, puis continua de se déssaper sur le chemin de la salle de bains ; ses boots, ses chaussettes, son t-shirt ; pour arriver torse-nu à l’entrée de la chambre, à la porte de laquelle il frappa doucement.
Ouais ? fit une voix à l’intérieur
Jules passa la tête par la porte et chuchota “Bonsoir mon coeur...”.
Bonsoir.
Je sais je suis très en retard.
Tu m’as dis que tu finissais à quinze heures. On n’en est qu’à six heures de retard…
Je suis désolé, implorait Jules en rentrant doucement dans la chambre. “J’ai eu un cas de dernière minute qu’est remonté des urgences, ils ont eu besoin de moi au bloc traumato”.
Mais bien sûr, y’a pas d’autre chirurgien dans le service. T’as juste, une fois encore, fais passer ton taf avant ta famille.
Désolé… répondait Jules en mimant un air très triste. “Et euh, Tad est chez mes parents ?”
Ouais. Je suis tout seul.
Ok ok...
Jules vint s’asseoir sur le bord du lit et fixa Nathan avec sa mine toute triste pour essayer de le faire céder. Nathan détournait de temps en temps le regard de son Mac pour le regarder, semblant se forcer à ne pas craquer.
Bon allez tu m’énerves ! J’arrive pas à te bouder.
Ouiiiiii ! s’écria Jules en sautant dans le lit.
Ils se prirent dans les bras, puis Jules vint s’allonger sur les cuisses de Nathan.
Bonne journée sinon ?
Chiante et longue. Je suis vraiment désolé de rentrer si tard...
Bah n’en parlons plus. Parfois c’est cool d’avoir un peu de temps pour soi.
Mais c’est bien aussi d’en avoir pour nous nan ? demandait Jules, qui caressait l’avant-bras de Nathan du bout de ses doigts.

Pourquoi tu crois que je t’en veux de rentrer si tard ? Depuis tout à l’heure je suis chaud bouillant, je t’attends !!
Nathan se releva et vint embrasser son amoureux tout en se positionnant à califourchon sur lui. Il entoura son cou de ses bras tandis qu’ils continuaient de s’embrasser langoureusement. Profitant de leur solitude, ils passèrent une bonne partie de la nuit à faire l’amour dans tous les coins de la chambre et à toutes les heures de la nuit.



Il était près de minuit lorsque Alban et Max arrivèrent au club, dans lequel l’ambiance était déjà démente. Max portait un débardeur dos nageur en coton gris anthracite et un skinny noir sur des Air Force One blanches montantes. Depuis qu’il s’était mis au fitness ses bras s’étaient épaissis, ses pectoraux s’étaient développés et ses abdos s’étaient dessinés. Ses longs cheveux blonds soigneusement coiffés, son teint halé de retour de vacances… Il faisait tourner bien des têtes féminines sur son passage. Mais ça ne l’intéressait pas, ce soir il était uniquement là pour fêter sa réconciliation avec Alban. Son bras autour de son cou, il l'entraînait jusqu’à la table qu’occupaient déjà tous leurs potes :
- Salut les mecs !
- Pincez-moi j’ai l’impression d’être dans un flash-back ! lança Camille en les voyant arriver.
- T’emballes pas ! On fête notre amitié ce soir !
- Ouais ! renchérit Alban en souriant, visiblement sincère.
- Du coup c’est vous qui payez nos mojitos ce soir ! lança Max
- Comptez là-dessus les pédés ! répondit Julian, qui avait pour habitude de les taquiner là-dessus, ce qui les faisait vraiment rire.



Toute la bande fit la fermeture de la boite, tantôt assis à picoler, tantôt déchaînés à danser. Alban et Max, qui reprenaient leurs jeux débiles, s’étaient lancé un concours de celui qui ramasserait le plus de numéros de téléphones de nanas, et on peut dire que Max y mettait du sien en dansant collé contre plusieurs filles durant la soirée.
Le reste de la bande était reparti et il ne restait que les deux potes à la sortie. Ils se retrouvèrent à repartir à pied, Max sous le sweat qu’Alban lui avait prêté vu qu’il avait froid. Complètement ivres ils continuaient de rire de leurs conneries de la soirée.
- Hé mec ! Quatre!
- Quatre quoi ?
- Quatre numéros ! lança Alban
- Ahah ! Je suis à sept mec… Tu me dois un verre !
- Putain !
Ils continuaient d’avancer quand une voiture de police s’arrêta à leur hauteur. Trois flics en descendirent, un très grand d’une quarantaine d’années qui était aussi large qu’une armoire, une fille blonde, et un autre mec plus jeune.
- Hé les jeunes !
- Oh merde… chuchota Max
- Bonjour, vous pouvez nous présenter une pièce d’identité svp ?
- Euh oui, balbutièrent les deux en cherchant leurs cartes d’identité.
- Qu’est-ce que vous faites ici ?
- Euh on sort de boite là, et on rentre chez moi.
- Et c’est encore loin ?
- Je sais pas, un kilomètre.
- Et vous avez bu ?
- Bah oui, on ne va pas vous le cacher… répondit alors Alban. Max avait arrêté de parler et s’était arrêté pour regarder le jeune flic face à lui. Environ un mètre quatre-vingt, les cheveux entre le brun et le châtain, courts sur les côtés et légèrement plus long sur le dessus coiffés en l’air. Ses grands yeux étaient noisettes et son regard avait quelque chose… d’hypnotisant. Son visage était fin, les traits de sa mâchoire assez droits et virils, et une très légère barbe en faisait le tour. Il ressemblait très fort à Tom Daley, le nageur britannique. Et puis cet uniforme… un t-shirt noir floqué POLICE, sous un gilet tactique noir transportant toutes sortes de trucs, un pantalon battle marine dans des rangers et un épais ceinturon sur lequel était accroché une arme, une matraque, des gants, des menottes et un tazzer, ainsi qu’un tas d’autres choses dont Max ne connaissait pas l’utilité. Le fixant avec insistance, il n’avait même pas remarqué que le flic le regardait lui-aussi, visiblement intrigué.

- Y’a un problème Monsieur ? demanda-t-il
- Pardon ? demanda Max qui sortait de ses rêveries
- Pourquoi vous me regardez comme ça ?
- C’est juste que j’ai pas l’habitude de voir des policiers, inventa Max qui avait suffisamment recouvré ses esprits pour réussir à mentir.
- Bon, reprit celui qui semblait être le chef, on va vous emmener avec nous.
- Quoi ? lança Alban
- Calmez-vous monsieur. Vous êtes ivres certes, mais c’est surtout que dans ce quartier c’est dangereux de se promener dans votre état à cette heure-ci. Vous appellerez quelqu’un qui viendra vous rechercher ou vous dégriserez jusqu’aux premiers métros.


Ils ne leurs laissèrent pas vraiment le choix et les firent entrer dans la voiture. Max se retrouva collé au jeune fonctionnaire qu’il avait maté un peu plus tôt. Ce qui ne lui déplaisait pas car en réalité, il avait complètement craqué sur lui et de là où il était il pouvait continuer ses investigations. Sous son t-shirt on devinait des pectoraux et une musculature en générale assez développée ; “après tout il est policier il doit s’entretenir” pensait-il. “Il doit être taillé comme un dieu ce mec… Je me ferais bien arrêter plus souvent. Mais bon, les flics.. c’est tous des hétéros. Voire des homophobes. Putain c’est dommage quand même…”. De temps en temps il allait jusqu’à mimer de s’endormir pour se poser un peu contre le fonctionnaire qui, visiblement gêné, remettait chaque fois sa tête droite d’un geste de la main.


Max était toujours perdu dans ses pensées quand ils arrivèrent et que les policiers les installèrent dans un bureau. Alban était terrorisé :
- Putain mec, mes parents vont me !
- On a rien fait, il l’a dit le mec c’est juste pour notre sécurité. T’inquiète pas ils comprendront. Ils seront même contents de te récupérer ici et de te ramener avec eux plutôt que de te savoir dans la rue.
- Ouais bah c’est facile pour toi, tu fais ce que tu veux avec ton frère.
- Tu crois que mon frère va venir me chercher chez les flics sans rien dire ?
- On verra. En tout cas ça fait chier je voulais dormir chez toi moi ce soir.
- Pourquoi ça ?
- À ton avis.
- Tu fais chier Alban, on avait dit quoi dans notre pacte ?
- Ça n’interdit pas les plans cul sous l’effet de l’alcool si ?
- Bien sûr que si. Je vais faire comme si je n’avais rien entendu. Putain j’ai froid.
Le jeune flic beau gosse rentra alors dans la pièce “Ça va messieurs ?”
- Mon pote a froid, lança Alban.
- Oh, euh… Tiens prends mon manteau en attendant, répondit le policier en lui tendant le blouson POLICE qui était sur le dossier de son fauteuil.
- Merci… répondit Max, un peu désorienté, avant de l’enfiler sur ses épaules.
- Ok… commença l’agent en s’asseyant au bureau. “On va s’occuper de téléphoner à une personne qui pourra venir vous rechercher.”

Alban choisit d’appeler ses parents, quant à Max il demanda à appeler son frère qui vint le rechercher trente minutes plus tard, visiblement énervé. Après quelques explications avec le policier, Max et son frère se retrouvèrent dans la voiture. Un silence pesant régnait tandis qu’il repartait, Nathan n’avait pas décroché un seul mot depuis le début.
- Oh ça va j’ai rien fait ! lança Max pour briser la glace.
- Tu as juste fini chez les flics après t’être fait ramasser ivre sur la voie publique le premier soir de ta prétendue indépendance.
- C’était juste pour notre sécurité, on avait rien fait de mal.
- Oui bah parlons-en. Qu’est-ce qui t’as pris de repartir à pied à cette heure-là ?! Tu cherchais quoi ?
- Mais j’étais avec Alban, ça va… Et puis fallait bien rentrer.
- Je t’ai dit quoi hier quand je suis parti de chez toi ? Que si tu avais un problème tu m’appelais. C’était pas une phrase en l’air, je suis ton frère. Ça veut dire que je serais tout le temps là. Je préfère que tu m’appelles à cinq heures du mat’ plutôt que tu ne repartes comme ça.
- Ça va, je ne le ferais plus. Et puis, je me suis pas fait arrêter pour rien !
- Pourquoi ?
- Le flic qui m’a ramené, un d’ces beau gosse ! En plus il doit avoir quoi, vingt ans. Putain je bavais devant lui...
- J’hallucine, y’a que toi pour réussir à penser à ça dans ces situations là.
- Non mais tu l’as vu ! Sérieux ? Il est pas trop canon ?!
- Si j’avoue qu’il est canon. Et il a l’air goalé… laisse tomber ! se mit à en rire Nathan “Je me serais bien fait arrêter à ta place !”
- Pas touche ! Il est à moi celui-là. Et puis de toute façon les flics… tous hétéros.
- Ouais pas faux, c’est dommage.
- Je crois qu’il s’appelle Thomas. J’ai cru entendre son collègue l’appeler comme ça… Enfin je crois. Mais je crois l’avoir entendu parler de sa meuf aussi… Ca fait chier.
- Je te préviens, si demain tu prévois d’aller cambrioler un Monop’ pour te faire arrêter par ton beau gosse, tu rentreras à pied du commissariat !
- Je compte pas en rentrer.
- Oui bon tu l’auras oublié en te réveillant... et quand t’auras cuvé surtout.




Max, étalé sur son lit sans même s’être déshabillé, dormait paisiblement et récupérait de sa soirée. Il était près de quatorze heures quand il émergea enfin avec l’équivalent de Dominic Howard en plein solo de batterie dans sa tête. Sa première action fût de se diriger, difficilement, vers la cuisine pour prendre un comprimé de paracétamol avant de s’étaler à nouveau sur le sofa.
Quand son mal de crâne commença à diminuer, il prit la direction de la douche, faisant sauter ses vêtements sur le chemin. Il fit couler de l’eau bouillante et se figea sous elle, profitant de cette eau qui ruisselait sur son visage puis sur son corps et faisait disparaître ses courbatures unes à unes. Puis il s’occupa de ses cheveux qu’il lava et plaqua à l’arrière, avant de savonner soigneusement son corps. Les mains pleines de mousse, il commença à s’attarder sur son sexe qui, sous l’effet de ses frictions, commençait lentement à se durcir. Fermant les yeux, il tentait de se remémorer son policier tandis qu’il entama de se branler plus vigoureusement. Dans sa tête, les images se bousculaient. Il imaginait ce qui pouvait bien se cacher sous ce t-shirt noir pas assez moulant, il se voyait en train de lui caresser le torse, d’effleurer ses tétons puis de les titiller du bout de sa langue. Se branlant de plus en plus vite, Max commença à pousser quelques gémissements tandis qu’il s’imaginait maintenant en train de chevaucher sauvagement son flic qu’il imaginait bien monté, s’appuyant sur ses pecs pour mieux s’empaler. Maintenant, c’est l’image de ce mec planté derrière lui en train de le limer à grands coups de reins qui lui traversait l’esprit, tenant fermement son bassin entre ses mains fortes tandis que le bruit du claquement de ses cuisses contre les fesses de Max retentissait et qu’il s’enfonçait chaque fois plus profondément en lui. C’était trop, et dans un dernier soupir de soulagement, Max envoya plusieurs jets de sperme sur la paroi de la douche tandis qu’il s’imaginait recevoir dans ses fesses le sperme de son amant.
Il resta encore sous l’eau près d’une demi-heure avant de sortir et de s’enrouler dans une serviette puis de retourner dans sa chambre. Alors qu’il fouillait son armoire, son téléphone vibra. Il alla jeter un oeil, c’était un message d’Alban “Putain mec dur le réveil !”. Il sourit puis se mit à répondre, lorsque quelque chose le perturba. Une pastille sur son écran qui affichait un rappel. Il afficha le menu et ne pût se retenir de lâcher un “Oh putain !” en découvrant ce qui était inscrit : “Appelle-moi. 06 - 73 - [...] Thomas”.
- Wooouuhou ! cria Max qui se mettait à danser et à sauter sur son lit dans tous les sens.
Son premier réflexe fût d’appeler son frère :
- Max si tu m’appelles parce-que tu vomis c’est pas la peine ! répondit Nathan, à peine avait-il décroché
- Le flic ! Il m’a laissé son numéro !
- Quoi ?
- Oui dans mon téléphone ! Je sais pas comment il a fait, mais j’ai son numéro !
- T’es sérieux ? Putain y’en a qu’ont de la chance.
- Ahah ! Je suis trop content ! Je te tiens au courant quand je lui aurais envoyé un message.
- Ouais bah vas-y doucement, n’oublie pas qu’il a une arme et des menottes.
- T’inquiètes, je gère ! Bon allez je te laisse.

À peine avait-il raccroché qu’il recopiait le numéro (qu’il semblait déjà connaître par coeur) dans son répertoire et qu’il composait son premier texto “Salut, c’est le blond bourré d’hier soir. J’ai trouvé ton numéro, je me demande bien pourquoi tu me l’as donné :P”.
- Non c’est nul comme accroche ça… ‘Tain je sais pas quoi écrire. Euh… Ah merde ! “Salut ! J’ai trouvé ton numéro, je ne sais pas si c’est une blague ?” … “Non trop sérieux. Oh puis merde le premier était bien !”. Il hésita encore un moment, puis appuya sur “Envoyer”.

Et là, le temps devint une éternité. Allongé en boxer dans son lit à regarder des séries en streaming, Max attendait désespérément une réponse à son message qui n’arrivait pas. Dans sa tête toutes les idées se bousculaient “C’était une blague, ou alors il a changé d’avis, ou c’est pas lui peut-être…”. Quand soudain, vers 19h, la délivrance arriva enfin “Salut. Excuse-moi je viens de sortir du taf. Je suis content que t’aies trouvé mon numéro. Si je te l’ai donné c’est parce-que je t’ai trouvé mignon, et que visiblement tu semblais intéressé aussi… :)”
- T’es sérieux ? Je croyais qu’il n’y avait que des hétéros dans la police ? :P
- Eh non… Mais mes collègues sont pas encore au courant en fait. Donc c’est un peu… secret :)
- Ok ! Je t’ai trouvé canon aussi, en fait je suis trop content d’avoir ton num. Comment t’as fait ?
- Tu étais tellement pété que tu ne savais pas composer sur ton téléphone, donc tu me l’as passé pour appeler ton frère. Et puis 0000 c’est pas terrible comme code… ;p



Max passa la soirée à discuter par messages avec son flic, et découvrit qu’il avait vingt ans et qu’il venait tout juste de commencer dans la police. Qu’il était effectivement sportif, footballeur plus précisément, et qu’ils avaient pas mal de points communs sur ce qu’ils aimaient, ce qu’ils cherchaient, sur leur façon de penser. Plus ils discutaient, plus Max craquait, et Thomas ne semblait pas indifférent non plus.
- Je vais devoir te laisser, je suis mort, je dors debout et demain je commence très tôt. Bonne nuit ;), envoya Thomas pour conclure
- Bonne nuit, pense pas trop à moi :P
- Je vais essayer

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!