La T(An)Tation D'Arthur 06

6. Si timide


Je fais couler l'eau de la douche après m'être lavé les dents.
L'eau est très chaude. Je me savonne, la tête vide.
- Arthur, tu ne fermes pas la porte, quand tu te douches ?
Je sursaute, paniqué.
Annie est là, dans la salle-de-bains ! Elle passe la tête par le rideau de douche et me regarde de haut en bas en souriant, l'air d'apprécier le spectacle.
- Tata ! Qu'est-ce que...?
Elle rit de ma gêne.
- Attends-moi une seconde.
Elle laisse le rideau entrouvert. Je la vois ôter son haut, tirer sur son soutif, baisser rapidement sa jupe, révélant ainsi son beau cul à mes yeux. Elle ne porte toujours pas de culotte...
- Voilà. Tu me fais une place ?
Elle se glisse,nue, à côté de moi et m'embrasse légèrement sur les lèvres. C'est frais. C'est mou. C'est excitant au possible. J'essaye de protester, pour la forme, mais ma bite enfle déjà.
- Annie... euh...
L'eau coule sur ses seins énormes. Je ne peux m'empêcher de mater. Il y a mieux, pour convaincre que l'on proteste... Ses tétons ont durci sous l'eau chaude. J'ai envie de les toucher. Elle le sent bien et s'en amuse.
- Tu es un vilain petit coquin.
Elle pose à nouveau ses lèvres sur les miennes.
Je jette un oeil vers la porte. Si on nous surprend... Elle lit dans mes pensées.
- Ne t'inquiète pas, j'ai fermé le verrou... (elle se colle à moi) Je comprends que tu veuilles profiter un peu de mes seins...
- Moi ? N...non...
Elle rit et m'embrasse encore, la bouche entrouverte. Nos langues se tâtent. Je tourne le visage, honteux de ressentir cette attirance. Elle me serre plus fort contre ses loches énormes. Mon érection touche sa cuisse. Je fonds intérieurement à ce contact délicieux.
Elle prend ma queue dans sa main sans hésiter et la presse fermement, l'air de découvrir mon émoi furieux.
- Si timide... si vigoureux... mmm... dommage que je sois pressée ce soir.

..
Elle att le savon d'une main et me le tend, sans lâcher mon sexe, qu'elle tient du bout des doigts, par le gland.
- Tu veux bien me savonner le dos ?
- Je... oui...
Ma pine fait un bond dans sa paume tendue.
Elle se retourne et se plaque presque contre le carrelage en me tâtant lentement la queue.
J'enduis mes doigts de savon et les lui passe sur le haut du dos en n'ayant d'yeux que pour le cul rondelet et parfait qu'elle cambre devant moi.
- Plus bas, aussi...
Je savonne les omoplates et les hanches, le creux du dos... Elle s'arc-boute et me tend les fesses que j'enduis de mousse à leur tour, émerveillé de leur douce fermeté. Elle se rince et se retourne, un sourire radieux aux lèvres.
- Tu es doué... devant, aussi ?
Je me savonne à nouveau les mains, je n'ai jamais autant bandé. Je rougis de la voir me regarder la mater comme ça. Elle me caresse la bite tendrement et m'embrasse en chuchotant:
- Touche-les, n'aie pas peur.
Je hoche la tête et tâte ses seins timidement. Ils sont énormes et lourds, leurs bouts dardent sous mes paumes, je les caresse et les soupèse, la queue en feu. Je pourrais y passer des heures. Annie semble apprécier, elle soupire et s'adosse au mur carrelé ruisselant.
Elle écarte les cuisses.
- Ici aussi...
Ma main droite parcourt son ventre et vient se perdre dans les poils noirs. Une chaleur humide l'accueille. Je suis hypnotisé.
Mes doigts butent sur un bouton énorme. Je le presse. Le caresse. Annie se tend en souriant sans jamais cesser de me fixer des yeux.
La phrase passe mes lèvres sans que j'aie jamais eu l'intention de la prononcer.
- Tata... est-ce que je peux te sauter ?
Je deviens écarlate en prenant conscience de ce que j'ai osé dire, mais elle rit et me serre contre ses seins. Mes mains passent sur ses hanches, puis sur ses fesses douces.
- Oh, tu es si mignon...
Elle se penche sur mon sexe et le goûte.
- Mmm... c'est un peu prématuré, Arthur, mais je suis... mmm... flattée que tu veuilles m'honorer ainsi...
Elle me branle sur sa langue, je ne peux pas tenir, j'explose en une minute, elle me laisse gicler partout sur son visage, sur ses lèvres, sur son cou, sur ses mamelons, je jouis et je mate et mate encore cette femme magnifique se souiller de mon plaisir liquide. Je me vide longuement, elle m'astique jusqu'au bout et me nettoie délicieusement le gland de la pointe de la langue, un air gourmand dans les yeux.
- Tu es bon...
Elle se relève, caressante, et me serre à nouveau dans ses bras en m'embrassant goulûment. J'essaye de ne pas penser au fait qu'elle vient juste d'avaler ma jute.
- Mmm... j'aurais peut-être dû te dire oui... je suis toute excitée maintenant...
Je ne sais pas si elle plaisante, mais je demande:
- Je peux faire quelque-chose ?
Elle sourit encore.
- Vraiment trop mignon. Pas tout de suite, mon chéri, je vais vraiment avoir du mal à justifier mon retard, sinon... Donne-moi ce savon.
Je ferme les yeux et la laisse me laver à mon tour. Elle insiste longuement sur ma queue et mes fesses en me couvrant de baisers qu'un neveu et sa tante ne devraient pas échanger - mais, à ce moment précis, je m'en contrefiche... Je bande à nouveau...
- Mmm... tu es encore bien dur... Dommage que je n'aie pas le temps...
Elle m'embrasse une dernière fois et sort de la douche. J'admire son cul rond et ferme, ses hanches fines, ses seins comme des melons d'eau.
- Tata ?
Elle passe un peignoir et roule une serviette sur ses cheveux bruns mouillés.
- Oui ?
Je ne sais pas comment lui dire.
- Merci... tu es vraiment belle.
Elle me sourit tendrement.
- Et bonne, certainement ?
Je souris à mon tour en rougissant un peu.
- Oui.
Elle ouvre la porte et vérifie qu'il n'y a personne dans le couloir.
Elle chuchote:
- Ne te sens pas trop désolé pour ton oncle. Je me soulage avec lui de la trop grande envie que tu causes chez moi. Il en profite bien, crois-moi. Bonne nuit, Arthur.
Elle quitte la pièce en me faisant un clin d'oeil.
Je fais couler l'eau un long moment en pensant au corps délicieux de ma tante et à ce qu'elle fait peut-être en cet instant.
La trop grande envie que je cause chez elle ?
Waw.
Une question me brûle.
Est-ce qu'elle va me laisser la sauter ?
Je me sèche finalement, l'envie au ventre, les couilles douloureuses.
Je quitte la salle-de-bains et ouvre la porte de ma chambre, la tête ailleurs.
- Tu en as mis du temps.
Mélissa est dans mon lit, sous les draps.
Son short, sa culotte, son T-shirt et son soutif sont éparpillés sur le sol.
Elle est toute nue.
J'éteins la lumière.