Quand J'Ai Fêté Mon Bac !

Mon fils vient d'avoir son bac, cela me ramène longtemps en arrière, il y a vingt neuf ans de cela et je venais également d'obtenir mon baccalauréat… Dans les années soixante dix, le nombre de bacheliers était bien moindre qu'aujourd'hui et il y avait un certain prestige à obtenir ce diplôme. Ainsi, à la fête que nous avions organisé le soir des résultats, les filles n'avaient d'yeux que pour nous les nouveau diplômés. Faut dire qu'à cette époque avoir le bac et même poursuivre ses études en université augurait non seulement de l'assurance d'un travail, mais d'un travail bien payé.

Hors donc, j'avais tout juste dix huit ans et l'avenir s'ouvrait devant moi. J'avais un moral d'acier et pour tout dire les quelques apéros m'avaient fait tomber toute inhibition. De tempérament plutôt réservé et timide, je ne sais pas ce qui me prit ce soir là mais j'étais tout le contraire à savoir affable, dragueur et même charmeur…

Je fis bien vite quelques touches et plusieurs filles semblaient se battre mes faveurs… Mais moi plutôt que d'en choisir une, je jouais de mon nouveau pouvoir de séduction pour en attirer plusieurs à la fois. Je ne préméditais rien, j'étais quand même pas mal grisé par l'alcool…

Christine, une grande blonde baba cool fut la première à ouvertement me faire des avances, elle me coinça dans un couloir pour m'embrasser vigoureusement. Elle se laissa toucher de partout et ne se priva pas non plus pour tâter de mes attributs. Je ne voulais pas m'embarrasser d'une fille pour toute la soirée, je voulais en profiter, danser, rigoler entre potes etc… Pourtant lors d'une danse c'est Anne, une brunette aux yeux de biche, qui se jeta sur moi pour m'embrasser… On s'enlaça quelques minutes puis je repartis de mon côté boire quelques verres avec des copains. Mais là croyez vous que je restais tranquille ? Bien entendu que non et je trouvais le moyen de draguer et d'embrasser Julie une sœur d'un ami ! Trois filles en environ une demi heure… Pas mal !

Malheureusement pour moi, avec les filles ce n'est pas simple et ce qui devait arriver arriva, elles furent mises au courant de mon triptyque ! Je me retrouvais donc au milieu de trois filles en colères m'expliquant que ce que j'avais fait n'était pas bien… Je ne savais pas comment me dépêtrer de ce piège et dis tout simplement qu'elles étaient aussi belles les unes que les autres et que je ne savais pas laquelle choisir…

Cela n'eu pas l'air de leur plaire mais Julie me pris au mot… Tu ne sais laquelle choisir ? Et bien permet moi de te donner un bon critère d'appréciation et elle me susurra à l'oreille : Je suis la meilleure suceuse de la soirée… Aux grands yeux que j'ouvris les deux autres filles furent piquées au vif.

Elles ne voulurent pas se retrouver en reste et c'est Christine qui se baissa à son tour vers moi pour me chuchoter : J'ai la chatte la plus chaude et la plus humide qu'il te sera donné d'essayer… Puis c'est Anne qui me murmura : J'ai le petit cul le plus ouvert et gourmand de la région !

Un sourire au coin des lèvres, les trois jeunes filles me regardaient amusées de leur petit jeu. Moi je n'en menais pas large… Ecoutez, dis je, vous avez l'air d'avoir des talents extrêmement intéressants toutes les trois… je ne demande que de les essayer mais je ne voudrais pas choisir avant d'y avoir goûté !

Elles éclatèrent de rire et me dirent que je ne manquais pas de culot ! Je n'espérais tout de même pas qu'elles allaient accepter que je les essaye l'une après l'autre ?

Et je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais je leur ai répondu : Non pas l'une après l'autre… Plutôt toutes les trois ensembles...

On peut dire que je les ai scotché en leur proposant cela ! J'en ai rougis tant cela me surpris moi-même ! T'es dingue me dit Christine, tu es sacrément cochon renchéris Julie, quel gourmand ajouta Anne…

Ben… Qui ne tente rien n'a rien !

Tu ne manques pas d'air mais je suis partante dit Julie.

Anne aussi accepta et Christine, peut être un peu plus coincée hésita mais pour ne pas perdre la face se joignit à nous…

Et c'est ainsi que vers les quatre heures du matin je me retrouvais dans une chambre avec trois superbes filles pour moi tout seul ! Elles me déshabillèrent et me complimentèrent sur mon physique musclé. Elles s'extasièrent aussi devant mon pénis en érection… Julie déclara qu'elle m'avait dit qu'elle suçait à merveille et que donc elle se devait de ce mettre au travail.

Devant ses deux copines, Julie se pencha sur ma verge et la pris entre ses lèvres… Que c'était doux et bon et que c'était excitant de voir les deux autres jeunes filles, les joues rouges et le regard vitreux, comme hypnotisées pas la scène. Julie avait perdu toute notion de pudeur et tout à son acte elle osa poser une de ses mains entre ses cuisses pour se masturber… Ce fut comme un appel pour les deux autres qui à leur tour se masturbèrent en profitant du spectacle.

Bien bandé, je décidais d'en faire profiter : Christine qui m'avait dit un peu plus tôt avoir une chatte fort accueillante... ! Et c'était vrai, quel bonheur de m'enfoncer dans un petit con aussi confortable et chaleureux… De son côté, Julie, décidément grande amatrice de sensations buccales osa poser sa bouche sur le sexe d'Anne qui, bien qu'étonnée de ce geste se laissa faire… Christine était tournée et ne voyais pas ce que faisaient ses amies et je lui dis de tourner la tête ! Elle eut un oh de surprise ! Mais à son regard vicieux je compris que cela l'excita énormément.

Nous étions tout quatre partis dans des délires lubriques et vicieux… Nous faisions tomber les limites et les barrières l'une après l'autre. Anne m'offrit son cul, ce qui intéressa fortement Christine et Julie, vierge de tout rapport sodomites…

J'ai déchargé dans le fondement d'Anne et c'est Julie qui vient bouffer l'anus ainsi maculé de sperme…

Quelle soirée et quels souvenirs ! Nos corps se mélangèrent et je fus surpris à quel point ces trois filles prenaient plaisir aux attouchements et actes lesbiens ! Pourtant elles m'avouèrent être complètement novices en la matière… Elles n'y avaient même jamais vraiment pensé…

Heureusement pour moi, à dix huit ans on est en pleine forme et je réussi à tenir la route de façon avantageuse. Nous ne dormirent pas cette nuit là, nous avons baisé et câlinés jusqu'à onze heures du matin.

Tout l'été qui suivis nous avons remis ça au moins trois fois par semaine ! C'était comme une frénésie et notre quatuor s'entendait à merveille… Puis je dus entrer à la Fac à quelques deux cents kilomètres de là… Nous nous revîmes à Noël puis un peu l'été suivant pour finalement nous perdre un peu de vue car les aléas de la vie firent que géographiquement parlant la chose devint trop compliquée. Julie partis travailler en Espagne et Anne à Paris.

J'ai eu quelques nouvelles d'elles. Julie est œnologue dans un grand restaurant à Madrid, elle est mariée et à trois s. Anne à une fille d'un premier mariage et vie désormais avec une copine lesbienne. Christine est restée au pays, elle a épousé un notable de la ville et d'après les potins est un peu volage….

Quand à moi je suis également marié et père de trois s. Je ne suis pas nostalgique de mes jeunes années et suis très heureux de ma vie présente… Mais je dois avouer qu'il m'arrive de temps en temps de me remémorer cette soirée qui suivit l'obtention de mon bac !