La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 507)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°506) - Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien !
Sitôt après, une salve dapplaudissements retentit. Tous les hôtes de Monsieur le Marquis dEvans étaient là, en cercle autour de cette table
Ils avaient assistés en silence à lincroyable enculade du soumis et à lorgasme puissant de Monsieur CharlEd. soumis Endymion MDE ne les avait point remarqué, trop concentré par limage se reflétant dans la glace de Monsieur le Vicomte CharlEd le besognant, sur sa propre image du soumis haletant, grimaçant parfois, à chaque assaut. Etranges sensations que de se regarder se faire marteler et pilonner. Cétait peut-être une première, il sétait vu soumis, chien, jouet, salope, esclave
. Soumise Phryné MDE avait été attachée en levrette, sur un chariot à roulette. Un épais gode entravait son superbe cul relevé. Elle fut poussée sur ce chariot tout près de son frère de soumission. Monsieur CharlEd accroupit, lattrapa par les cheveux, lui fit relever la tête, la regarda droit dans les yeux. Elle, quelque peu apeurée, se mordait les lèvres. On eut dit une petite fille fautive
Elle leva son regard dans celui du neveu du Marquis, ses paupières ne cessaient de papillonner. La main libre de Monsieur le Vicomte CharlEd lui caressait le visage, comme pour la rassurer. Deux doigts sarrêtèrent aux commissures de ses lèvres.
- Montre-moi ta langue chienne ! lui intima-t-il.
Fébrile, elle sortit timidement cet organe de sa bouche, la tendit craintivement. Le neveu, Charles-Edouard dEvans lui fit de beaux compliments : une belle langue bien rose et frétillante, sans doute agile et experte, une langue faite pour nettoyer le parquet des souillures échappées du cul du CharlEd MDE. Soumise Phryné MDE lapa les traces de sperme puis fut reconduite par un couple Dominant hors de portée du regard de soumis Endymion MDE. Lui, toujours vautré sur cette table, vit dans la glace, arriver derrière lui, un couple.
- Mais tu es tout trempé ! Susurra Monsieur à loreille du soumis tout en lui malaxant la queue. Cest encore pire que ma femme
- Tiens, regarde ! reprit-il.
Il retira sa main et exhiba sous le nez de lesclave ses doigts tout poisseux de sa propre excitation.
- Vas-y, lèche-les, nettoie-les bien.
Il les posa sur les lèvres du soumis, appuya doucement pour en forcer le passage. Ce nétait guère nécessaire, lesclave les écarta pour accueillir dans sa bouche ses gros doigts moites et les lécher goulument avec application. Madame, elle, sappliquait à cueillir le long des cuisses de lesclave, du bout des doigts, les gouttes de sperme de Monsieur le Vicomte dEvans, que le cul du soumis navait pas pu et su retenir
Avec application, elle réintroduisait la semence, dans cet orifice distendu en faisant remarquer à lesclave quil était inadmissible quun chien- soumis de son espèce ne retienne pas ce don précieux, si généreusement offert !
- Ecarte-lui le cul ! Dicta-t-elle à son mari.
Il sempara des lobes fessiers de ses deux mains, lui les écarta, dégageant ainsi la raie de lesclave. Tandis que Madame prit dans sa main une longue et épaisse bougie vite allumée. soumis Endymion MDE laissa échapper un long gémissement, ses muscles se raidirent, La chaleur et le picotement que créaient la cire de la bougie sur sa peau le firent frissonner de douleur et de plaisir. La cire coulait dans ce sillon maintenu écarté, saccumulait sur cet orifice entrouvert. Du bout de son index, Madame appuyait légèrement sur la cire encore tiède pour colmater la brèche
- Voilà salope, plus rien ne séchappera de ton trou !
Sa main glissa entre les jambes de lesclave à la recherche de cette virilité toujours tendue, elle tira la nouille, vers larrière et le fit remonter entre les cuisses du soumis, la maintenant exposé dans la paume de sa main. La position était douloureuse tant soumis Endymion MDE était bandé et bondé, il devait plus encore cambrer ses reins et lorsquil se vit dans la glace, dans cette posture grotesque et outrancière, parfaitement impudique, son excitation redoubla dintensité. La cire ne calmait pas ses ardeurs, au contraire même, elle aiguisait et exacerbait sa soif et sa détermination. Il se donnait telle une chienne en chaleur, se lâchait, au diable les préjugés et les soient disant valeurs morales, lui avançait dun pas ferme, assuré, implacable, linéluctable était en marche et linéluctable sonnait comme un compte à rebours
Il senlisait volontairement dans la débauche et la perversité, la quintessence de la douleur et de la souffrance jouissive. Rien ne calmait les ardeurs de ce chien- soumis en rut, ni même la cire sur ses couilles, ou sur son gland décalotté, ni même la flamme de cette bougie passée furtivement à proximité de son chibre tendu, ni même les coups de cravache sur cette queue raide qui lui étaient pourtant infligés. Rien
! Monsieur le Marquis dEvans était là, près de Son soumis, il sétait rapproché et lui caressait les omoplates, la nuque, lui passait une main dans les cheveux.
- Un peu de silence sil vous plait ! Intima le Maître.
Et le calme revint immédiatement.
- Mes trois chiennes vont nous offrir un petit spectacle avant de passer à table ! Elles vont se branler et se masturber devant nous tous réunis. Je veux les entendre gémir de plaisir et Je les autorise à jouir.
Les trois esclaves de Monsieur le Marquis dEvans sexécutèrent sans attendre. Les deux femelles se caressaient avec douceur longuement et soigneusement, sintroduisaient un doigt puis deux dans leur vagin, puis frottaient leur clitoris gorgé de désir. Elles enfonçaient un peu plus les doigts dans leur intimité brûlante et câlinaient lintérieur de leur vagin en poussant soupirs et gémissements. Elles remontaient leur mouille vers leur clitoris quelles tournaient en le pinçant délicatement. Soumise Phryné MDE tout en se masturbant plus énergiquement se caressait les seins, alors que la chienne soumise Laïs MDE de son autre main senfilait un doigt dans le cul. Elles étaient là toutes les deux, bouches ouvertes, langues sorties à se branler de plus belle
Le soumis lui avait saisi sa nouille déjà turgescente et si excitée de tant de perversité et de la sodomie quil reçut précédemment par le neveu de Monsieur le Marquis dEvans. Son poignet sagitait par des vas et viens délicats. Il sentit cette sourde chaleur, ces vagues insaisissables, ces irradiations suaves entre son cerveau et son ventre : lascension du désir, son amplification, son extension, sa propagation en sourdine, en cachette. Lui aussi gémissait. Son regard dans le vide percevait malgré tout la présence et ces regards dhommes et femmes Dominants posés sur lui.
- Que ces doigts couverts de cyprine soit lécher par ce chien lubrique !
Les deux soumises MDE obéirent, soumis Endymion MDE ouvrit la bouche et avala ces sécrétions intimes tout en continuant à sastiquer. Etrange sensation pour le soumis
il se branlait maintenant énergiquement mais narrivait pas à jouir ! Pourtant son excitation nétait plus à démontrer. Cela faisait près dun quart dheure quil se masturbait, mais toujours rien... Cest alors quil vit arriver face à lui, le Maître. Il baissa son regard honteusement
Il reçut deux fortes claques en plein visage en une belle volée.
- Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien !
Les doigts du Maître lui pincèrent sévèrement les tétons et là
soumis Endymion MDE sentit la force du flux épais qui se mit à jaillir, en saccades, une marée crémeuse qui giclait et se répandait, sétalait et coulait en rivière nacrée, soumis Endymion MDE avait joui sur ordre du Maître et seul cela comptait pour lui
(A suivre
)
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