Sont Vraiment Pas Pareil

Les garçons, les filles, non ils ne sont pas pareils.
Voyez, les filles que l'on rencontre, elles dorment en teeshirt-culotte. Alors que nous les garçons, toujours, on est tous nus sous la couette.

C'est dû à quoi cette différence-là ?
Certains disent discrimination !
Vous croyez-ça, vous ?


Ce soir, cette fille, en teeshirt blanc marqué désobéissante en grandes lettres rouges sur le devant tout gondolé par ses seins lourds, avec en sus culotte coton chaste, cette fille souriante encore endormie, cette fille dans mes bras tendres...

Enfin, je dis ce soir mais en fait on est déjà au matin.

Joli matin, après rencontre et longues très longues discussions philosophiques nocturnes qui avaient abouti chez moi.

Aboutissement ou bien commencement ?

Enfin, elle était là sous ma couette, dans mes bras et moi je respirais avec délice ses odeurs fortes de matin, de peau de rousse de cheveux tignasse épais d'aisselles et de cou tendre.

On avait dormi et maintenant c'était le soleil baignant la chambre qui nous avait réveillés.
Je ne dirai pas qu'elle s'était, hier soir, refusée, non, c'est plutôt que les idées de sexe, de cul, n'étaient pas venues et qu'on s'était coulés dans les draps fatigués sans idées de ça. Alors ça s'était pas fait...

Ça arrive, non ?

Les idées du monde de la vie des gens des peuples, on les avait discutées toute la nuit et l'on s'était trouvés en concordance. Alors on s'était endormis dans les bras l'un de l'autre au creux de mon lit, deux têtes sur un oreiller, chez moi, dans mon chez-moi, un peu couffe un peu douillet. Moi, je suis comme ça.

Elle dormait encore un peu et sa main était tombée sur ma bite. Enfin, sur mon bitos tout gorgé d'érection matinale, montée d'adrénaline somme toute normale. Tous les garçons vous le diront. Elle serrait compulsivement sur un rythme lent comme pour dire bonjour vous.



Moi je ne pensais rien et je la serrais encore plus fort dans mes bras et mon nez dans son cou humait sa tignasse et mes lèvres la bisaient là où les cheveux ne sont plus que fin duvet léger.

Je l'ai fait rouler sur moi et elle était lourde et moite et a voulu m'embrasser. Dieu quel baiser, muqueuses de bouche dégoulinantes de salive, langue hardie et aventureuse, je pensais, si son entrecuisse est à l'unisson, je serai au col en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

Je l'ai crochée des deux jambes comme souvent font les filles et j'ai ouvert mon bassin, bitos tendu vers son pubis, dur solide charnu. Elle écrasait sur mon poitrail ses deux seins gros et chauds et je ne sentais que ça. Que ces deux tétons pointus durs et agressifs titillant ma poitrine nue à travers son teeshirt.

Mes mains, qui la tenaient aux hanches, sont remontées entraînant avec elles le teeshirt et le troussant autour de son cou. Ses seins étaient maintenant contre moi et irradiaient leur lourde chaleur.

Elle me cherchait de son bassin, comme un garçon. Et moi j'étais tout abandonné, tout à elle.
Je sentais de mon gland le frisé à travers son slip quand elle descendait vers le fond du lit. Et aussi sur mes couilles le mouillé du creux d'elle quand elle remontait pour m'embrasser goulûment une fois encore.

Sans ouvrir ses cuisses, elle a glissé sa main entre nous et a écarté le gousset. Ses lèvres fermées étaient tellement en attente mouillées gluantes que j'y ai été immédiatement admis, sans le moindre tâtonnement. Tout au fond d'elle, elle pesant sur moi et moi la serrant encore plus fort contre moi.

Sa tête au dessus de la mienne riait.
Le soleil, complice noyait d'or ses cheveux.

Nous avons roulé, j'ai pris à mon tour initiative et nous avons trouvé ensemble bonheur et pleinitude.

Non, vraiment, les filles les garçons, c'est pas pareil
Mais Dieu que c'est bon.

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