Deux Gars, Deux Filles, Quatre Raisons De Se Faire Du Bien

Valentin et moi, Paul, avons tous les deux dix neuf ans, nous nous connaissons depuis toujours et ne nous quittons pas d’une semelle, pour ne pas rompre cette complicité il nous est difficile de trouver des copines qui veuillent bien accepter cette proximité
Récemment nous avons eus une chance incroyable en dénichant ces deux filles qui comme nous ne se séparent jamais, de plus elles se ressemblent physiquement a tel point qu’il n’a pas été facile de choisir celle qui serait ‘sienne’
Finalement c’est Manon qui a tranché en faisant un pas vers moi, Noémie a donc échangé un tendre baiser avec Valentin
Ces fille se connaissent sur la pointe des seins, nous nous entendons très bien tous les quatre a tel point que nous ne nous gênons pas pour échanger des caresses furtives parfois très intimes même faire l’amour tout prés les uns des autres ne nous dérange pas
C’est ce qui nous a décidé à partir tous les quatre sous une toile de tente commune dans un camping situé au bord de l’océan a deux pas d’un terrain naturiste mais nous n’avons pas osé sauter le pas, bien que nous nous soyons promis d’aller faire un tour sur leur plage réservée

Placés entre des haies de troènes nous avons un sentiment d’indépendance, ce qui facilite nos échanges de baisers passionnés et caresses de seins, pour le couchage un grand matelas gonflable sert de lit unique, évidement pour plus de décence les filles sont placées au milieu
Ce qui ne nous empêche pas le soir lorsqu’elles viennent se coucher dans la pénombre d’essayer de percevoir la naissance de leur seins sous le top très court et le dessin du sexe bien moulé par la flanelle de leurs shorty, de toute façons le matin il fait jour et ont voit tout ! …
Pour faire l’amour ? Pas de problèmes majeurs ! Les deux filles couchées sur le coté se regarde, les mains parfois viennent peloter le sein de l’autre, et même ne se privent pas d’échanger un baiser furtif entre deux gémissements tandis que nous les prenons le shorty baissé suffisamment pour permettre une pénétration, donc pas de positions a ‘décoiffer’ ! cette situation de promiscuité nous fait vachement fantasmer
Mais ça c’était avant cet après midi où le ciel était couvert l’orage est prévus pour la fin de soirée, nous avons décidés de ne pas nous allonger bêtement sur nos serviettes mais d’aller plutôt nous balader, mais où ???

- Et si nous allions voir chez les tout nus ?
- Bonne idée, mais vous savez qu’une fois le panneau de délimitation franchi nous devrons nous mettre a poil
- Et alors ?
- Nous ne nous somment jamais vraiment bien vus tous les quatre à poil
- Hé bien c’est l’occasion de comparer vos quéquettes messieurs !!
- Alors là pas de soucis, nous avons quasiment la même, n’est-ce pas Valentin ?
- Je confirme, nous avons suffisamment de fois pissé cote à cote pour le vérifier
- Vous ne vous êtes jamais masturbé face à face ?
- Et vous ?
- D’abords vous …
- Une fois ou deux pour comparer la quantité de sperme, et vous ?
- De nombreuses fois, pour comparer nos clitoris et jouer à celle qui jouira la première
- Avec vos doigts personnels ?
- … Nous avons souvent échangés nos doigts, c’est super ! vous le ferez devant nous un jour ?
- On verra, ah, nous voilà arrivé au panneau
- Ooooh ! regardez le mec là sous le panneau, il est nu et vachement bronzé !
- Il a ses grosses couilles qui luisent
- Y’a pas que les couilles, il est bien monté le gars, quelle belle bite noire, même le gland est bronzé !
- Hhhhhhhuuuuuummmm j’aimerais bien la voir en érection
- Eh bien mesdemoiselles ont se dévergonde ? déshabillez vous nous allons nous baigner a poil

Sans en avoir l’air chacun détaille chacun, leurs toisons sont différemment épilées, leurs poitrine d’une légère différence, décidément même aujourd’hui le choix serait difficile !

- Vous avez dit la vérité, vos verges sont quasi-identiques !
- Mon mec a quand même des bourses plus grosses !
- C’est pas ça qui compte !
- Arrêtons-nous là, plus loin c’est les familles avec des tas de gosses qui foutent la pagaille
- Si nous jouions au cheval de bataille dans l’eau ?
- C’est quoi ce jeu Noémie ?
- Eh bien nous grimpons sur vos épaules et nous essayons de faire chuter l’adversaire
- Ok, tu monte sur mes épaules Manon ?
- Pas question, nous allons changer de partenaire pour une fois

Quel effet surprenant et envoutant de sentir dans son cou les poils pubien de la copine de Valentin, en plus elle se trémousse pour trouver la bonne position, en moi-même je me dis que si elle était a l’inverse je pourrais lécher sa chatte !
En poussant des cris stridents les filles commencent à se cramponner pour déstabiliser l’autre, plusieurs fois nous tombons tous dans l’eau, dans la confusion la plus totale des mains se baladent, la chaleur ajoutant au trouble érotique qui règne personne ne s’offusque de se faire toucher par quiconque, finit la bataille nous somment pèles-mêles, nos queues sont dressées, c’est les filles qui d’un commun accord décide que l’ont regagne la toile de tente prétextant que l’orage monte, elles n’ont pas torts les premiers grondements se font entendre
Rhabillés en vitesse nous courons au camping, l’averse arrive, sous l’auvent fermé, essoufflés, nous suons a grosses gouttes, le trouble qui nous unissait sur la plage n’est pas retombé ….



- Maintenant que nous nous somment découverts nus, pourquoi ne pas nous mettre a poil, il fait trop chaud là-dessous !
- Tu as raison Maud, c’est ni plus ni moins
- Par contre vous allez nous réconforter les garçons, nous avons une peur bleu de l’orage, tu as entendu ce grondement ?
- Allons vite sur le lit …

Chacun allongé sagement à coté de sa chacune, nous ne somment pas beaucoup plus rassurés que les filles qui s’enlacent pour oublier les éclairs et le tonnerre et ce qui devait arriver arriva …Maud découvrant mon érection se glisse au pied du matelas pour me sucer mais reste le cul tourné vers moi, sa chatte me fait de l’œil ! Copie conforme Noémie en fait autant pour Valentin, il me regarde souriant mais quelque chose dans son regard me fais supposer qu’il va se passer quelque chose ….il avance une main sur une croupe…sur celle de Maud qui ne s’aperçoit pas de ‘l’erreur’ ou fait semblant, au contraire, sans même un regard pour demander un assentiment elle se positionne afin d’être accessible, pourquoi me priverais-je d’en faire autant avec Noémie ?
Maud continue de me pomper consciencieusement tandis qu’elle se fait doigter par mon pote, je reproduis la même chose sur Noémie qui se donne à fond, son jus dégouline entre mes doigts, tout ça sans aucune jalousie de part et d’autre, soudain les filles recrachent nos bittes, elles se font un signe avant de basculer sur nous
Maud sur Valentin et Noémie sur moi, des bisous font place au baiser passionné, tandis que l‘orage fait rage et que la pluie tambourine sur la toile elle s’embroche elle-même sur mon membre, a cet instant peut importe ce qui se passe a coté, nous baisons comme des amants de toujours, elle jouis bruyamment couverte par le tonnerre, je la suit de peu, mais ce n’est pas terminé, elle se roule de dos sur le matelas et m’accueille les cuisses grandes ouvertes, je replonge avec délice dans cette chatte béante, je la pilonne comme un pro du X, après une troisième éjaculation sa moule déborde de sperme, demain il faudra changer les draps
Entre les bras de Valentin ma Maud chérie hurle dans un ultime orgasme, puis comme a son habitude lorsqu’elle est rassasiée de bite elle se met en positon fœtale et s’endort aussitôt profondément

- Nous somment trop sales, il faut que nous allions à la douche, je la réveille ?
- Aucune chance, a moins d’un tremblement de terre, allons y tous le trois
- Nous mettons juste une serviette ? a cette heure et par ce temps personne ne traine dans les allées
- T’as raison Noémie, dit donc qu’est-ce que t’as mis a ma copine, elle en a jusqu’aux chevilles !
- Je ne préfère pas vérifier chez Maud salaud ! mais qu’est-ce que c’était bon !
- Allez les garçons ont y va ? il ne pleut plus
- Nous allons aller tous dans la douche handicapé, y’a de la place pour trois
- Tu te lave avec nous ?
- Bien sûr

Une nouvelle tension étrange monte, nous entourons la fille de prés pour aller aux douches, personne ne nous voit entrer, les serviettes accrochées au porte manteau Noémie ouvre l’eau et par malice nous asperge … et c’est repartit ! La voilà coincée entre nous deux, les mains, les doigts, les bouches, tout est en action, même nos verges dressées vers le ciel, sans plus tarder elle se plie en deux pour me prendre en bouche tandis que mon copain l’enfile par derrière, ses plaintes sont étouffées par ma queue
Petit à petit il là fait reculer vers le siège en plastique fixé au mur sur lequel il s’assied avec la fille toujours bien enfilée, face a lui les bras en collier autour du cou

- Trouve-toi un passage Paul, baise là avec moi
- Ça ne va pas être facile de trouver la chatte, elle est trop basse
- Prend moi le cul, je suis ouverte de partout ce soir
- Tu l’as déjà fait ?
- Non, mais c’est particulier, nous somment tous les quatre en osmose
- Sauf que Maud ne participe pas
- Demain matin elle vous accompagnera a la douche, vous lui feraient subir tous les outrages !
- Finalement ont ne sait plus qui fréquente qui ? !
- Et alors ? faire ménage à quatre c’est super ! personne n’est jaloux
- Prépare toi, je viens de me frictionner la bite avec du gel douche
- Allez-y mes amours baisez-moi, défoncez-moi les trous

Je n’avais jamais sodomisé une fille et encore moins un mec, plus je m’enfonce dans son anus plus il me semble que ma queue est laminée, broyée, j’ai peur de la retrouver en ‘bec de canard‘, pourtant c’est à peine si Noémie se contracte, preuve qu’elle en avait vraiment envie, vu sa position assise Valentin ne peux pas bouger, c’est elle et moi qui produisons les mouvements nécessaires a notre jouissance
Noémie pousse une sorte de lamentation de plus en plus sonore, elle s’agite plus fort sur la queue du copain et en même temps sur la mienne, c’est trois gémissements qui annoncent notre jouissance simultanée, deux flots de sperme lui lave simultanément les entrailles rincés par son jus abondant
L’orage est passé nous revenons a la toile de tente où Maud ronfle paisiblement, au petit matin elle me réveille en malaxant mon sexe par la jambière du bermuda en murmurant…

- Baise-moi chéri j’ai trop envie de ta queue, ils dorment encore …vient entre mes cuisses
- Tu a la chatte encore collée par le sperme de valentin !
- C’était un moment de folie, nous ne recommenceront pas… n’est-ce pas ? vous vous êtes endormis tard hier soir ?
- Eeeeuuuuuhhh non, nous avons étés a la douche
- Avec Noémie ? elle n’a pas eu peur seule dans une cabine la nuit avec cet orage ?
- … elle était avec nous dans la cabine handicapé…
- Aaaahh je vois, vous avez remit ça ?
- Oui …
- Vous l’avez baisée tous les deux ? attend un peu ! Valentin ? … Valentin réveille toi !
- QUOI ? QUE ? que veux-tu Maud ?
- Accompagne nous aux douches, laisse dormir Noémie elle en a besoin
- Maintenant ? nous trois ? et pourquoi faire ?
- La même chose que vous avez faite avec Noémie !

Nous nous somment regardés et d’un commun accord nous avons pris le chemin des sanitaires encore désert a cette heure ci, rien n’a bougé dans la douche handicapé , le ménage n’a pas encore été fait, il reste même des traces de foutre séchés sur le carrelage
, Maud s’est débarrassée de sa serviette et s’accroche à mon cou

- Valentin ?
- Oui Maud ?
- Qu’attends-tu pour te joindre à nous ? caressez moi les garçons, cajolez-moi, pelotez-moi, faites moi subir les pires outrages
- C’est d’accord Paul ?
- Puisqu’elle le veut …

Quatre mains parcourent son corps elle devient alanguie, les yeux fermés la bouche ouverte elle sépare ses pieds, plus ça va plus nous devons la soutenir, aussi décidons nous de l’allonger sur le carrelage humide, j’insère ma tête entre ses cuisses d’où émane des relents d’amour, ce n’est pas les restes du foutre de mon copain qui vont me retenir de lui lécher le minou, Maud fait un ciseau de ses cuisses autour de mon cou, je suis pris dans un étau de douceur, ma langue décolle les poils afin de pouvoir atteindre sa vulve, d’un regard vers le haut je vois que valentin tète ses bouts de seins, d’une main elle lui écrase le visage sur sa poitrine de l’autre elle cherche sa queue déjà raide
Maud se tortille comme une anguille sur le sol, les traits déformés elle est prête à se faire baiser, je réfléchis à la meilleure façon de la prendre, tandis que je m’arrache a sa moule qui est devenue liquide je murmure un ordre a Valentin …

- Fait-là basculer sur toi …
- D’accord …

En douceur il prend ma copine par les épaules et l’entraine avec lui, d’où je suis je vois leurs deux sexes accolés a ‘un poil’ de l’accouplement

- Soulève-toi un peu ma chérie… c’est bien, le temps de positionne la bite de Valentin et tu peu te laisser descendre
- Et toi Paul ?
- Je vais te sodomiser
- Ooooooooohhhhhoooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiii défoncez-moi mes chéris
- Faites d’abords quelques mouvements que je me régale de cette vue, ma chienne se faire baiser par mon meilleur pote c‘est divin
- Enfonce-moi des doigts dans le cul …
- Il palpite comme une bouche affamée
- Gave-le ….
OOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHH ! ça fait drôle tes doigts qui bougent dans mon cul
- Je sens la queue de valentin qui te bourre la chatte
- Vient maintenant …
- Laissez-moi pointer ton anus, je vais entrer en douceur …
- Je suis ouverte par le plaisir, encule-moi à fond ! ahahahahahahahoooooouuuuuuuiiiiiii, c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn
- Ne crie pas Maud sinon nous allons nous faire déloger par le vigile
- C’n’est pas facile, vos queues sont tellement merveilleuses !
- En alternance Paul ?
- Commence, je te suis
- C’est la première fois que nos verges se côtoient
- Et ce n’est certainement pas la dernière

Maud, ivre de plaisir, coincée entre nous deux exprime sa jouissance en mordant et griffant son amant pour atténuer ses cris libérateurs, son entrejambes n’est qu’un marécage de sève vaginale et de foutre
Nous l’avons baisée a tour de rôle jusqu'à ce que des gens essaient de loqueter la porte en râlant, rincés a la va-vite nous somment revenus a la tente où Noémie préparait le petit déjeuner

- Vous en avez mis du temps pour vous laver …huuummm, tu as une petite mine chérie, je suppose que ces messieurs ne t’ont laissés aucun répit ?
- Toi aussi tu y est passée hier soir non ? !
- Je ne te fais aucuns reproches car dorénavant nous couchons tous ensembles sans distinction de partenaire
- C’est bien comme ça que je vois la chose ! prêts les garçons ??????
- Pas sous la tente ! prenons des couvertures et allons dans les dunes !
- Chouette ! y’auras des voyeurs ????

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