Ton Retour 5
Ton rire clair résonne dans la pièce, je ferme les yeux pour savourer ce moment de calme avant la tempête. Tu profites de ce nouveau moment de faiblesse pour passer la main doucement dans mes cheveux. Je grince des dents et tu me réponds alors : « faut que tarrête de flipper ma puce, je ne te veux pas que du mal
». A moitié rassurée, je me détends et tu promènes tes lèvres sur mes joues, effleurent de nouveau le coin de mes lèvres, mon cou pour arriver vers ma poitrine. « On va enlever ça, ça te gène non ? ».Sans pouvoir dire un mot, tu tires mon t-shirt vers le haut mais ma main menottée tempêche de me lenlever complètement. Je te regarde alors en souriant « bah faut me détacher si tu veux me lenlever
» - « Tu me prends vraiment pour un con ma puce
Maintenant que tu es là, je ne vais pas risquer à te voir partir
Ton t-shirt servira à soulager ta pauvre petite main
». Tu fais glisser mon t-shirt jusquà ma main menottée et tu lenroule autour de mon poignet. « Mais tu sais KL, elles sont fragile ces menottes et je ne voudrais pas les casser
IL faut me détacher et promis, je serais sage
». Tu te redresse dun bond et me dit « Tu as raison, on va pas prendre le risque de casser ces petite choses. Tu mas pas dit que tu avais du scotch de chantier ? Tu sais , le orange ? ». Cette phrase me fait bondir et je me redresse dun bloc sur le lit. « Pourquoi tu me demande ça ? » - « cest pour te faire une surprise ma puce
». Jhésite à te répondre, je ne sais pas ce que tu pourrais faire avec. Te voilà maintenant debout et tu me dis dune voix à peine perceptible « Si tu ne me réponds pas, tu prendras 10 fessés pour la peine
». Ta voix dordinaire si apaisante ma fait leffet dune bombe. Je sais que mon compteur est djà chagé donc je me dépêche de te répondre tout en regrettant déjà : « Dans le meuble blanc, dans la cuisine, tiroir de droite. » - « Bien, je reviens. ». Ta voix séloigne et jentends le tiroir grincer « Et tu ne bouges pas bien entendu.
Hein ma puce ? ». Je suis déjà après essayer douvrir ses menottes. Elles font beaucoup de bruits et sous laffolement, je ne tentends pas revenir. Je suis sur les genoux face à la tête de lit « Ca me faisait mal et de toutes façons, tu mas dit que tu voulais les enlever, je tav
. ». Tu me tire violemment le pied et je me retrouve sur le flan gauche. Tes genoux viennent bloquer ms jambes et une 1ère claque vient résonner dans toute la pièce. Sous la surprise, aucuns sons ne sort de ma bouche. « Je tavais demandé gentiment de ne pas bouger ma puce
. ». Une deuxième vient réveiller le feu encore non éteint de la 1ère sentence. « Ah ! » puis un soupir de douleur. « Autant te donner lensemble de ta punition tout de suite
» Une pluie de tes mains viennent sabattre sur ma croupe. Une fois de chaque côté, je ne peux mempêcher de cacher mon visage pour hurler de plaisir et de douleur. Tu magrippe les cheveux et me redresse la tête : « Je veux te voir ma puce » - « Salaud ! » Jai du mal à articuler et les coups continuent de pleuvoir sur mes fesses brûlantes. Je gémis, pleure, couine et me tords dans tous les sens. Tu jubile et jentends ton rire. Quand enfin, tu me lâche et libère mes pieds je me recroqueville en haletant. Tu tassois sur le lit et tu tires de nouveau mes jambes pour les allonger. Je nai pas la force de me débattre et me laisse faire en craignant la suite. Tu me chevauche et une lueur despoir apparaît dans mes yeux quand tu approches tes mains au-dessus de ma tête pour toccuper des menottes. Je respire alors longuement ton parfum et essaie dembrasser ce torse qui se présente à moi mais tu es trop loin
. Jentends le cliquetis de la menotte signifiant ma libération et je soupire de soulagement. Tu membrasse alors avec une fougue brûlante. Je laisse mes mains à labandon et tu en profite pour glisser tout doucement ta main vers le peignoir qui était resté à ta droite. Tu me le mets sur le visage et sous la surprise, je te demande ce que tu fais.
Tu saisis loccasion de mon aveuglement temporaire pour enlever la ceinture du peignoir et la poser vers ma tête. Tu enlèves le peignoir de mon visage et ton regard sombre me dit que tu prépares quelque chose. Tu te redresse sur tes genoux et menlève définitivement mon t-shirt. Tu vois mon soutien-gorge qui ne ressemble à rien et tu me dis à demi furieux « Enlève moi cette horreur ! ». Je mexécute et mon torse retombe lourdement sur le lit libérant mes seins injustement enfermé toute la journée. Je veux mettre mes mains devant mais tu le devance et tu saisis la ceinture de ta main droite. Tu exécute rapidement un changement de main et tu te saisis de mes deux mains que tu attaches avec la ceinture et lespace dans le lit.
admin
Jan. 31, 2023
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