Marc Le Soumis 3
Nous avons vécu comme ça trois mois, Sophie découchait deux fois par semaine et dormait chez Sélim. Chaque fois elle me racontait dans le détail leur nuit de baise, j'étais à chaque fois très excité et Sophie me branlait et me suçait pour me donner du plaisir.
Depuis sa relation avec Sélim, nous ne faisons plus l'amour avec Sophie ou plus exactement je ne la pénétre plus, elle me dit Sélim et toi vous êtes complémentaires, il est mon mâle alpha qui me donne tant de plaisir avec sa queue et toi tu es mon petit soumis si doué avec sa langue et ses doigts. Je vous veux tous les deux.
Elle m'a dit ça naturellement en souriant et je n'ai pas répondu car c'était la réalité, j'avais accepté par amour d'être cocu et qu'un vrai mâle la comble et quand elle le souhaitait elle me sollicitait pour la faire jouir de ma langue, je n'avais plus la main et c'est elle qui décidait tout.
Puis début 2020 est arrivé la pandémie et le confinement, le covid 19 a fait basculer notre vie et surtout la mienne. Un soir Sophie m'a dit d'un ton solennel «Marc il faut qu'on parle»
Tu as entendu à la radio le confinement se précise, je ne veux à aucun prix mettre ma relation avec Sélim entre parenthèses, donc il y a deux solutions : soit je vais vivre chez lui pendant le confinement, soit il vient vivre ici. Je ne veux pas te laisser seul mais je ne veux pas non plus t'imposer Sélim alors prend le temps de la réflexion et tu me diras ce que tu souhaites.
C'était comme un ultimatum, soit je perdais ma Sophie, soit j'acceptais de vivre sous le même toit que l'homme qui baisait ma femme. La deuxième hypothèse revenait à dire à Sélim, Sophie est à toi, tu es le mâle alpha de la maison et je suis le cocu qui se soumet.
Jusque là je n'avais pu qu'imaginer leurs ébats amoureux grâce aux récits de Sophie, dès lors qu'ils seraient là tous les deux ce ne serait plus imaginaire mais concret.
Ma décision a été vite prise car je ne pouvais pas imaginer perdre Sophie, je l'aimais trop et le soir même j'annonçais ma décision à Sophie.
Elle m'embrasse langoureusement puis prend son téléphone et écrit frénétiquement un message à Sélim « bébé demain soir tu dors à la maison »
Et presque tout de suite elle me dit froidement : « tu vas t'installer dans la chambre d'amis »
Je reste interloqué, je n'avais pas envisagé ça, devant la surprise sur mon visage Sophie dit « tu pensais quoi ?» tu n'es vraiment pas réaliste par moment mon chéri.
Cette fois c'est vraiment concret, plus que cocu, je suis déchu du lit conjugal. Mais d'un autre coté c'est logique, je ne suis pas capable d'honorer ma femme avec mon petit sexe et c'est naturel que le mâle alpha qui me remplace la rejoigne dans sa couche.
La journée du lendemain m'a paru interminable, j'allais accueillir le soir même celui qui depuis plusieurs mois faisait jouir ma Sophie lui offrait la plénitude sexuelle que je n'avais pas su lui donner.
Sophie est rentrée plus tôt ce soir là, elle a pris une douche et s'est habillée très sexy chemisier blanc largement ouvert, un wonderbra faisait gonfler sa poitrine et une jupe noire très courte et des bas noirs.
Elle avait commandé des souchis au restaurant Japonais du quartier ainsi qu'un gâteau au chocolat, c'était la fête...
On a sonné à la porte chéri va ouvrir.
C'est tout penaud que j'ai ouvert la porte à Sélim, je ne savais pas l'attitude à avoir. Bonjour Marc je suis Sélim et il me tend la main avec un léger sourire.
Sélim est un beau mec d'un mètre quatre vingt cinq environ mince, cheveux courts et très noirs et les yeux marron, il est vêtu d'un polo et d'un jean et porte à la main un gros sac de voyage. Il me tend le sac comme à un domestique, je ne sais pas trop quoi faire et Sophie arrive à ce moment là et bien Marc ne reste pas planté là va poser le sac dans la chambre.
Elle lui saute au cou et lui roule une pelle amoureuse, quand je reviens de la chambre ils sont toujours enlacés, Sélim me voit arriver et pour me tester il pose ses mains sur les deux fesses de Sophie et les serre.
Je baisse les yeux, il sait maintenant qu'il est le mâle de la maison et que j'accepte cette nouvelle hiérarchie.
Sers nous l'apéritif Marc, champagne c'est la fête ce soir dit elle !
Durant l'apéritif et le repas, nous avons échangé des banalités sur notre travail respectif. Sophie était à coté de Sélim et passait sa main dans ses cheveux.
Nous sommes ensuite passés au salon et Sophie était, l'alcool aidant, très caline avec Sélim, elle l'embrassait régulièrement et lui caressait sa cuisse en remontant la jupe déjà très courte, j'étais dans le fauteuil en face de Sophie, je pouvais voir sa culotte en dentelle transparente qui laissait voir le ticket de métro laissé par lesthéticienne. Mon petit sexe se réveillait doucement dans mon boxer.
Puis d'un coup Sophie se lève prend la main de Sélim et me lance un « chéri on te laisse, on va se coucher »
Sélim me regarde droit dans les yeux en souriant et me dit bonne soirée Marc.
Je les ai entendu monter en riant ( sans doute à mes dépends).
Je sais qu'ils vont baiser, je me sens humilié mais je suis en même temps très excité.
Je monte dans ce qui est maintenant ma chambre qui est mitoyenne à la suite parentale. Je n'entends que des voix feutrées et donc mon imaginaire travaille à fond, il doivent se déshabiller en s'embrassant sur tout leurs corps, se caresser de partout, je commence à bander dans mon boxer.
Après un silence de quelques minutes il me semble entendre Sophie gémir, et j'imagine la scène elle est nue sur le lit les jambes écartées et lui est au bord du lit à genou et lèche sa chatte sûrement déjà trempée il la penetre avec ses doigts et flagèle de sa langue son clito excité.
Je baisse mon boxer ma petite queue est dressée et mon gland commence à laisser echapper quelques gouttes de mouille, de l'autre cote de la cloison j'entends « oui Sélim comme ça c'est trop bon »Sophie parle plus fort maintenant au fur et à mesure que l'excitation augmente
je branle mes 11cm avec deux doigts en massant mes couillettes
maintenant c'est la voix de Sélim que j'entends « oui comme ça ne t'arrete pas » elle doit le sucer comme elle sait si bien faire.
J'ai chaud je me branle fort je mamène à la limite et arrête d'un coup de m'astiquer.
Les choses s'accélèrent dans la pièce voisine, j'entends maintenant Sophie gémir très fort en disant « oui comme ça, plus vite » et de temps en temps j'entends un bruit de claquement, il doit la prendre en le vrette et lui claquer le cul
je recommence à branler mon petit sexe ramolli il ne tarde pas à se dresser, je me branle à fond, à coté j'entends des éclats de voix qui ne laissent pas de doute, il viennent de jouir tous les deux, le silence s'installe.
Je jouis sur mon ventre seul en bon cocu soumis.
A suivre
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