Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Partie 1
Je mappelle Morgane. Je suis brune aux yeux marrons, de taille moyenne et plutôt mince. Lhistoire que je vais vous raconter à commencé en 2010 lorsque javais 21 ans et que jétais étudiante. Je navais pas de petit copain et jétais une fille plutôt réservée, pas du genre à enchainer les garçons. Je navais vécu quune seule histoire sérieuse mais cela faisait maintenant un an que jétais célibataire. Je vivais à Paris chez mes parents dans un petit immeuble tranquille au dernier étage et cela faisait des mois que les deux autres appartements de notre palier étaient vides. Mes parents étant rarement à la maison à cause de leur travail ou pour partir en week-end en amoureux, je restais souvent seule dans lappartement mais ça me plaisait.
Un matin doctobre, alors que je sortais de chez moi avec mes parents, nous rencontrâmes un couple et leur fils sur le palier : cétait nos nouveaux voisins. Je ne pus mempêcher de remarquer que le père était vraiment très séduisant. Le soir même nous les invitâmes à manger à la maison pour faire plus ample connaissance. Nathalie, la mère, était une blonde de 45 ans. Cétait une très belle femme plutôt petite de taille. Elle était gérante dun petit magasin de vêtements et passait sa vie au travail. Il y avait son fils Lucas, 22 ans et étudiant. Il était grand, blond comme sa mère et très beau. Et pour finir, Philippe, 50 ans, le mari de Nathalie et le beau-père de Lucas. Il était grand et avait de magnifiques yeux gris. Ses cheveux couleur poivre et sel étaient plaqués sur le coté et légèrement bouclés au dessus. Il travaillait dans une maison dédition mais il bossait très souvent de chez lui. Ils étaient mariés depuis 15 ans et Philippe ne pouvant pas avoir ds, il avait légalement adopté Lucas et le considérait comme son propre fils. De toute ma vie je navais jamais été attirée par les hommes dâges mûres mais en voyant Philippe, je fus envahie dune chaleur sortie de nul part et qui se dirigeait tout droit vers mon entrejambe.
Cela faisait maintenant quelques semaines que nos nouveaux voisins avaient aménagé. Nos deux familles sentendaient très bien et mon attirance pour Philippe navait pas flanché. De son côté, Lucas avec qui jétais devenue amie et qui était très charmeur et du genre à enchainer les filles, me draguais outrageusement. Un soir où Nathalie nous avait invité à diner chez eux, Philippe nous avait même vu alors que Lucas, me prenant par surprise, mavait embrassé, appuyés contre le mur de sa chambre, sa main sur lune de mes fesses. Jétais très embarrassée.
Le mois de décembre arriva et je ne métais toujours pas sorti Philippe de la tête. Je me surprenais à penser à lui par moment et je nous imaginais en train de faire des choses que nous ne devrions pas. Il était devenu lobjet de mes fantasmes sans que je puisse y faire quelque chose. Un jour, alors que jétais seule chez moi, prétextant vouloir leur emprunter un plat de cuisine, je sonnai à leur porte. Je savais que ni Lucas et ni Nathalie nétaient présent car je les avais vu partir. Déboutonnant un peu trop ma chemise afin de laisser apparaitre mon 85C, jattendis quon mouvre.
-Bonjour Morgane, rentre, je ten prie, me dit Philippe.
Le sourire aux lèvres, je le suivi à lintérieur jusquau salon.
-Je me demandais si vous pouviez me prêter votre moule à savarin, lui demandai-je timidement.
-Je ne sais pas trop ce que cest !
-Cest un plat à gâteaux avec un trou au milieu.
-On en a plusieurs je crois, me dit-il en souriant. Viens, tu pourras choisir celui que tu veux.
Je le suivi dans la cuisine et il me proposa quelque chose à boire. Tout en cherchant le moule à gâteaux, nous discutâmes un peu de tout et de rien. Du coin de lil, je le voyais mater ma poitrine, ce qui mexcitait énormément.
Deux jours plus tard, Lucas minvita chez eux pour quon regarde un film. Malgré ce quil sétait passé la dernière fois avec lui, jy retournai quand même, un peu plus dans lespoir de revoir Philippe, même pour une minute. Une fois dans la chambre de Lucas, son portable sonna, jen profitai donc pour aller nous chercher quelque chose à grignoter dans la cuisine. Je pris un saladier et voulu attr les chips en haut du placard mais elles étaient trop hautes pour moi.
-Besoin daide peut-être ?
Philippe venait darriver dans la cuisine vêtu dun jean et dune chemise blanche. Mon dieu quil était séduisant.
-Non ça va, je suis sûre que je vais y arriver, dis-je en essayant de me concentrer sur les chips.
Je me mis sur la pointe des pieds, mais rien à faire, je narrivai pas à les attr. Soudain, il se colla à moi. Délicatement, il sappuya contre moi, posa une main sur ma hanche et, de son autre main, attrapa les chips au dessus de ma tête. Jétais à la fois surprise et aux anges. Puis je senti une bosse au niveau de mes fesses. Je nétais pas folle, Philippe avait une érection et je pouvais la sentir contre moi. Un peu choquée, je mappuyai sur le rebord de la table qui était en dessous de moi afin de reprendre mes esprits et je me figeai. Philippe en profita pour frotter son sexe dur contre mes fesses. Il mexcitait et je commençai à savourer ce moment. Sans men rendre compte, javais fermé les yeux et ouvert la bouche et il en profita pour y glisser lun de ses doigts.
-Tes une vraie chaudasse
, me susurra t-il à loreille.
Je rouvris les yeux dun coup. Je nétais pas une chaudasse, jétais sage et réservée
en principe ! Pendant que jétais perdu dans mes réflexions, Il retira son doigt et je senti sa main se glisser sous mon tee-shirt pour venir caresser lun de mes seins. Cétait trop bon. Jen avais presque oublié que nous nétions pas seuls. Après sêtre attardé sur ma poitrine, Philippe dirigea sa main vers mon entrejambe. Lorsque sa main arriva sur mon pubis, sous mon string, je repris enfin mes esprits. Mais quest-ce que je faisais ? Cet homme était marié et son beau-fils était juste à côté. Brusquement, je me dégageai de son emprise, puis sans dire un mot, je pris le saladier et les chips et je retourna dans la chambre de Lucas. Ce qui sétait passé me hanta toute la journée et même le lendemain. Même-si je savais que ce nétait pas bien, constater que Philippe avait envie de moi mexcitait et je voulais absolument continuer ce petit jeu de séduction avec lui, cependant je ne savais pas jusquoù jarriverais à garder le contrôle de la situation. En effet, il y avait une différence entre un petit bisous un peu trop près de la bouche et une main dans les sous-vêtements. Mais même si ce quil avait fait était complètement déplacé, je ne lavais pas arrêté plus tôt non plus.
Le week-end suivant, mes parents étaient parti en amoureux jusqu'au lundi. Javais donc la maison pour moi et jen profitai pour mimproviser une séance épilation et gommage pendant ma douche. Alors que jétais en train de me rincer, on sonna à la porte. Curieuse, je menveloppai dans ma serviette afin daller regarder par lilleton : cétait Philippe. Pendant une seconde de lucidité, je me dis que cétait une très mauvaise idée douvrir cette porte, surtout en étant en serviette, mais guidée par mes pulsions, je lui ouvris.
-Bonjour Philippe, lui dis-je, entrez ! Excusez-moi, jétais sous la douche.
Après quil mait regardé de la tête aux pieds sans bouger, je pensai quil mavait prise pour une folle et quil allait faire demi tour, mais finalement il rentra.
-Bonjour Morgane ! Tes parents sont là ?
-Non, ils sont partis pour le week-end.
Je voyais bien comme il me dévorait du regard, moi toute mouillée et enveloppée dans une serviette de bain qui marrivait à peine au ras des fesses, et jaimais ça. Finalement, je rompis le silence :
-Euh
quest-ce que je peux faire pour vous ?
-Oui euh
ton père mavait dit quil me prêterait ses outils quand je voudrais et comme je suis seul à la maison, je me suis dit que jallais bricoler un peu.
-Oh bien-sûr ! Je vous en prie, installez vous dans le salon. Vous voulez quelque chose à boire le temps que je vous les apporte ?
-
non ça va merci ! Mais tu devrais peut-être
thabiller. Tu es toute
enfin
mouillée !
Je le savais, jétais allée trop loin, même lui était mal à laise.
-Vous avez raison, répondis-je en rougissant de honte. Excusez-moi !
Je le laissai dans le salon et je courrai jusquà ma chambre.
Debout au milieu de la pièce, je séchai mes longs cheveux noirs, me demandant ce qui avait pu me passer par la tête. Jétais une fille plutôt sage, je navais eu quune seule histoire damour sérieuse et navais couché quavec deux garçons dans toute ma vie. Jamais je navais eu envie de braver les interdits et voilà quun homme marié me faisait tourner la tête. Je ne me reconnaissais plus. Perdue dans mes pensées, je navais pas entendu la porte de ma chambre souvrir. Soudain, quelquun me plaqua contre le mur. Cétait Philippe qui mavait suivi. Jétais déboussolée, mais quest ce quil faisait là au juste ?
Ses yeux rivés sur ma poitrine et sans dire un mot, il mattrapa les mains et les colla contre le mur au dessus de ma tête. Son corps collé contre le miens, je ne pouvais pas bouger.
-Mais quest ce que vous faites ? lui demandai-je à bout de souffle.
-Hum
Morgane, me dit-il en serrant les dents, mais quest ce que tu mas fait.
Mes jambes étaient en coton. Je navais plus le contrôle de la situation.
-Jai envie de toi Morgane, reprit-il, depuis le premier jour ou je tai vu jai eu envie de toi. Tu mobsède.
Jessayai de me libérer, mais il me tenait fermement, je ne pouvais pas méchapper. Jamais je naurais pensé que ça aurait pu aller plus loin quun jeu de séduction entre Philippe et moi. Alors que jessayai de réfléchir à la situation, je sentis une bosse se former sous son pantalon. Tout en me dévorant du regard, il commença à frotter son sexe dur contre le mien, à travers la serviette. Lexcitation était en train de monter, jarrêtai de me débattre et je ne tardai pas à mouiller. Cétait si bon, je narrivai plus à penser correctement. Guidée par mes pulsions, japprochai mes lèvres des siennes, mais brusquement, il recula, les mains posées sur sa tête.
-Non mais quest ce que je suis en train de faire ? dit-il.
Quest ce quil se passait encore ? Je mapprochai de lui.
-Philippe
commençai-je.
-Non chut ! coupa t-il. Je suis marié et toi tu nes quune gamine !
Cen était trop, jexplosai de colère :
-CEST VOUS QUI ETES VENU CHEZ MOI, DANS MA CHAMBRE !
-Mais tais-toi, chuchota t-il avec rage. Tu veux que tout limmeuble nos entende ou quoi ?
Il avait raison. Je ne voulais surtout pas que ça se sache. Si mes parents apprenaient que javais été seule dans ma chambre avec un homme de cet âge et marié, ils me aient.
Je me demandai ce quil allait faire. Puis sans rien dire, il fit demi tour et se dirigea vers la porte. Javais honte. Jétais prête à me donner à cette homme mais lui trouvait que jétais une gamine. Mais soudain il sarrêta et se retourna vers moi.
-Et puis merde ! lança til.
Philippe me poussa violemment sur mon lit et il sallongea sur moi. Dune main, il bloqua mes bras au dessus de ma tête puis il commença à membrasser le cou. Ma respiration saccélérait, cétait sur le point darriver.
-Jai trop envie de toi, murmura t-il.
De sa main libre, il dénoua ma serviette et je me retrouvai complètement nue devant lui. Il approcha sa bouche de mon sein droit et commença à sucer mon téton, puis il sattaqua au deuxième. Toujours en me tenant les bras, il me caressa la cuisse. Je ne pus mempêcher de soupirer de plaisir.
-Je vais te défoncer la chatte Morgane, me susurra t-il.
Jamais quelquun ne mavait parlé comme ça et étrangement cela mexcitai davantage. Après avoir léché chaque centimètre carré de ma poitrine, il se redressa un peu puis écarta mes cuisses. De sa main libre, il déboutonna son jean et sorti son sexe en érection de son caleçon. Je fût surprise de la taille de son pénis. Elle devait au moins faire 20 cm et elle était énorme. Jétais stressée. Comment un sexe si large pourrait-il rentrer en moi ?
Philippe attrapa son membre et avec son gland, il effleura mon clitoris.
-Oh mon dieu
murmurai-je.
Je me mordis la lèvre pour mempêcher de crier pendant que Philippe continua à passer son sexe sur le mien. Cétait une vraie . Après une bonne minute de caresse, il dirigea son gland à lentrée de ma chatte toute mouillée. Puis dun coup sec, il menfila. Jen eu le souffle coupé. Doucement, il se retira, puis violemment, il senfonça en moi le plus loin possible. Je hurlai de douleur et de plaisir en même temps. Je hurlai si fort quil plaqua sa main sur la bouche. Son sexe prenait tellement despace en moi que javais limpression de reperdre ma virginité. Il était en train de me démonter. A chaque fois quil me pénétrait, il le faisait avec une telle violence, cétait la première fois quon me baisait aussi brutalement. Mais plus il y allait, plus la douleur sestompait pour ne laisser place quau plaisir. Jétais en extase. Pendant quil massenait de ses coup secs et violents, il me regardait dans les yeux et à chaque coup quil me donnait, il gémissait. Cétait féroce, presque animal. Jamais je navais ressenti un tel plaisir. Je nallai pas tarder à jouir. Je fermai les yeux.
-Regarde-moi, mordonna t-il, je veux te voir jouir pour moi.
Je rouvris les yeux, un peu mal à laise. Il continua à gémir tout en accélérant ses va-et-vient. Il était sur le point déjaculer. Soudain, la bouche ouverte, il sarrêta, poussa un cris sauvage, et je le sentis se déverser en moi. Au même moment, je jouis. Jamais je navais eu un orgasme pareil. Nous restâmes allongés sur mon lit, son sexe toujours dans le miens. Puis quelques instants plus tard il se retira de ma chatte en feu, reboutonna son jeans puis sen alla, me laissant seule, sur mon lit, toute nue et son sperme sécoulant de mon sexe.
Le lendemain, je me rendis chez Philippe. Cest Lucas qui mouvrit et il mentraina dans sa chambre. Nathalie nétait pas là mais je ne savais pas comment parler à Philippe seul à seul. Prétextant vouloir aller lui dire bonjour, je sorti de la pièce pour le trouver. Il était dans le salon. Lorsquil me vit, il me prit par le bras, mattira dans leur salle de bain et ferma la porte. Je mapprochai de lui pour lembrasser mais il me repoussa sèchement.
-Quest ce que tu fais là ? me demanda t-il froidement.
-Je voulais te voir, répondis-je étonnée. Après ce quil sest passé hier
-Oublie ce quil sest passé, chuchota t-il. Cétait une connerie, tas compris ?
Jétais sous le choc.
-Quoi ? Mais
-Ya pas de mais, cétait une connerie je te dis.
Jétais folle de rage. Javais envie de pleurer.
-Cétait pas une connerie hier quand tu prenais ton pied, lui répondis-je en colère.
Il se mit à rire.
-Ah Morgane ! Ne fais pas ta gamine. Tu as eu ce que tu voulais, moi aussi. Tas pris ton pieds mais là cest fini.
-Tes quun salaud Philippe
-Ça fait des semaines que tu mallumes petite pute.
-Tu es venu chez moi, dans ma chambre
-Cest toi qui te promenais à moitié à poil devant moi comme une salope. Je voulais ta chatte, toi tu voulais un coup de bite. Tu las eu, maintenant tu dégages !
Puis il sorti de la salle de bain. Moi je restai là abasourdie par ce que je venais dentendre. Cétait la première fois quun homme avait éveillé un tel désir en moi. Je métais offerte à lui et il sen fichait ? Je narrivais pas à croire quil avait osé me traiter de pute.
Lorsque je réussi à me calmer, je sorti de la salle de bain à mon tour et retournai dans la chambre de Lucas. Puis après avoir inventé une excuse, je rentrai chez moi bien décidée à trouver un moyen doublier ce connard de Philippe.
À SUIVRE
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