A Trop En Faire Pour La Conclusion D'Un Contrat (2).
Voilà la suite de l'entrevue avec l'éventuel client que j'avais rencontré (voir la première partie).
Le client ma téléphoné hier pour me donner ses impressions sur la proposition que je lui avais donné.
Il m'a fait savoir, après avoir étudié les documents que ma proposition était sensiblement identique et juste un peu moins avantageuses à celles qu'il avait actuellement et il ajoute au vu de ce constat donner moi une seule raison de venir chez vous.
Alors je lui réponds que je comprends très bien et que pour tous les biens placés je n'ai aucune prétention à lui demander de les transférer. Je suis venue vous rencontrer pour vos biens futurs.
- D'accord cela pourrait être une éventualité, mais quand bien même qu'ai je vraiment à gagner de vous confier ces futures ventes ou locations ?
Je devais bien reconnaitre que je manquais d'arguments face à sa judicieuse question. Et là, ne voulant certainement pas rester sans réponse, je ne sais pas ce qu'il m'a pris je lui réponds "eh bien moi" !!!
- Vous?
- Ben oui, lors de notre première entrevue, vous avez dit selon votre expression que j'avais une certaine ouverture d'esprit et il me semble vous l'avoir prouvé, et je peux l'être bien plus je peux vous l'assurer.
- Ah bon ! Et pour obtenir la conclusion d'un contrat vous seriez capable d'offrir vos charmes.
- Disons que cela peut aussi être un de mes atouts afin de conclure une affaire.
- En fait, cela n'est autre qu'une forme de prostitution, vous vous servez de vos charmes pour les besoins de conclure un contrat, comme une pute qui le fait pour l'oseille.
Je ne répondais pas, et à aucun moment je n'avais pu imaginer qu'il envisagerait les choses sous cet angle là. Je me rendais compte que j'étais prise à mon propre piège, et, cela pour prouver et me prouver que j'étais capable de conclure une convention avec ce client que personne n'avait pu convaincre de travailler avec notre agence.
- J'espère que vous vous rendez compte qu'il ne s'agira pas juste d'entrouvrir un peu les cuisses ou d'écarter un petit peu les pans de la veste.
A ce moment de la discussion, je ne pouvais plus faire marche arrière et je me devais d'assumer.
- Bien sur que je m'en rends compte et c'est bien pour cette raison que je ne mettrai pas mes charmes dans la balance juste pour un contrat de deux ou trois locations.
J'espérai ainsi pouvoir me sortir de cette situation dans laquelle je mettais mise.
- Je l'entendais bien ainsi, et pour tout vous dire j'étais sur le point de contacter l'agence avec laquelle je travaille pour une résidence qui vient de sortir de terre et qui comportera 32 logements. Vous voyez qu'il ne s'agira pas de deux ou trois locations.
Encore une fois de plus je me retrouvai au pied du mur et je ne pouvais qu'assumer, cette fois je n'allais pas essayer de trouver une quelconque parade.
- Il est certain qu'une telle occasion n'est pas refusable, et vous pouvez être persuadé que j'assumerai ce que je vous ai avancé.
- Je veux vous entendre dire ce que vous serez.
- Je vous confirme que je vous offrirai mes charmes.
- Non ce n'est pas ce que je souhaite entendre, dites moi ce que vous serez.
- Je serai votre pute, c'est ce que vous vouliez que je vous dise.
- Oui, parfait, mais comme il vaut mieux prendre ses précautions, une fois la convention signée je ne voudrai pas que vous ne teniez pas votre engagement, alors vous allez m'envoyer un petit mail pour me confirmer cela.
Je rédigeais rapidement le message dans lequel je m'engageais à lui offrir mes charmes à la condition de signer une convention et de confier à mon agence la gestion de ses 32 logements au tarif qu'il lui était proposé et donc accepté.
A la reprise de la télécommunication M.
- Pendant que vous m'envoyiez votre message, qui est tout à fait ce que j'attendais de votre part, j'ai effectué un petit calcul, je vous explique, au vu des tarifs de votre proposition et ceux que j'ai actuellement j'aurai une perte mensuelle d'environ 600 pour les 32 logements en location, votre prestation ne peut qu'être mensuelle et non unique à la signature, comme vous le précisez dans votre message en évoquant la gestion.
Une fois de plus Daumier tirait profit de la situation, je ne cherchais pas à le contredire, ce qui était fait était fait. Il m'indiqua qu'il allait m'envoyer par mail tout les dossiers plans et autres nécessaire à la constitution de la convention. Il me donnait aussi rendez vous le mardi suivant pour parapher les documents dans les salons de l'hôtel où nous nous étions rencontrés. Il ajoutait que je me souvienne que pour ce rendez vous j'allais endosser les deux casquettes de négociatrice en immobilier ainsi que celle de pute. Il ajouta ensuite comment il aimait voir habiller une femme.
- Donc mardi Mme Vidal, voici comme j'aime qu'une femme s'habille : au fait c'est Mme ou Melle, sans me laisser le temps de répondre il continua, toute façon votre situation familiale m'importe. J'apprécie donc qu'une femme laisse visible sa poitrine, j'ai un faible pour les jambes gainées de nylon et en cette saison les sandales à lanières et fines semelles et un talon haut et fin, ce qui donne une belle cambrure à vos pieds, et oui j'ai un petit côté fétichiste pour cela, je n'ai pas besoin de vous préciser que la jupe doit être bien courte, allez je vous autorise le port d'un petit string arachnéen par contre le soutien gorge est proscrit.
- Mr Daumier, ne pensez vous pas qu'une telle tenue dans les salons du Mercure ne sera pas quelque peu déplacée ?
- Mais pas du tout, ma chère Florence Vidal, si vous saviez le nombre de putes qui y sont venues dans des tenues bien plus osées, la votre le sera ment un peu, sinon j'en serai fort déçu et pourrait être préjudiciable à notre affaire.
Sur ces paroles on prenait congés, et je pensais déjà à ce que je porterai mardi.
Bien sur je ne disais mot à mon patron de quelle façon j'étais arrivée à décider ce client, lui tout ce qu'il regardait c'est le bonus que ce contrat apportait à son agence, pas plus que j'en touchai mot à mon compagnon.
Le mardi matin passa rapidement, tant je fus occupée à finaliser le dossier pour l'après midi. A midi je rentrais chez moi en précisant à mon patron que je serai occupée tout l'après midi à la signature de ce contrat. Je mangeais un petit encas tout en ressentant une certaine angoisse, puis je passais à la salle de bain prendre un bain relaxant. Ensuite je me séchais les cheveux m'appliquais sur le brush puis je me maquillais un peu plus qu'à l'accoutumé sans toutes fois en rajouter, le résultat me convenait avec ce côté plus sexy, un petit coup de parfum et je pouvais passer à mon habillage.
J'enfilai un petit string noir en voile très fin avec de très discrètes broderies, il ne cachait rien de mon intimité de mon petit triangle bien taillé à la totalité de ma fentine puisque le fond n'était pas doublé, je l'ajustais bien sur mes hanches, avant d'enfiler une paire de bas autofixant fait d'une maille marron fumé, la jarretelle m'arrivait bien tout en haut des cuisses. Puis je passais un tee-shirt manches longues ras de cou en voile noir, il épousait mes formes telles une seconde peau. Ensuite je glissais mes jambes dans une petite jupe droite courte de couleur crème qui moulait mon fessier étroitement, elle était vraiment courte ne m'arrivant même pas à mi cuisses, heureusement que sa matière extensible n'entravait que très peu mes mouvements. Je m'asseyais pour chausser une paire de sandales à lanières avec une bride s'attachant autour de la cheville avec des talons fins hauts de 10 centimètres, la très fine semelle et le haut talon donnait une belle courbe à mes pieds affinant ainsi le galbe de mes jambes. Pour finir j'enfilai une veste courte et cintrée, de la même couleur que la jupe, fermée que par un seul bouton se situant au niveau de l'estomac, le décolleté était donc très généreux, le revers passant au ras de mes aréoles, ce qui dévoilait donc une grande partie de ma poitrine.
J'étais prête, je regardais l'heure il n'était que 13h30 et mon rendez vous à 14h30, j'avais décidé de m'y rendre en tram l'arrêt se trouvait juste à côté de l'hôtel, j'avais juste pour un quart d'heure de trajet. Pour faire disparaitre quelque peu mon angoisse, je me servais tout en écoutant de la musique un verre de whisky que j'avalais rapidement, au second j'y ajoutais du cola. L'alcool fit son petit effet et avant de sortir je me regardais dans le miroir.
La jeune femme que je voyais était tout ce qu'il y avait des plus sexy, avec mes cheveux libre tombant sur mes épaules, ce maquillage un peu plus prononcé et ma tenue exposant mes charmes, j'avais face à moi l'image d'une femme fatale, et là je sentis au bas de mon ventre une chaleur mêlée de doux picotements fort appréciables car annonciateurs d'une excitation et de plaisir. Il fallait bien que je le reconnaisse, mes sens ne me trompaient pas, alors que j'allais offrir mon corps pour la signature d'un contrat, cela me faisait monter mon plaisir et l'idée de faire la pute m'excitait ! Je prenais ma petite mallette contenant le dossier, je laissai mon sac à main pour ne pas m'encombrer sans oublier de mettre les tickets du tram dans ma veste et je quittais mon appartement. En sortant de l'immeuble je croisais un voisin j'ai bien cru que ses yeux allaient lui tomber et qu'il ne pourrait plus fermer sa bouche, transformé en statue durant quelques secondes. Ca risquait de jaser chez mes voisins !
Durant le trajet je remarquais les regards appuyés, envieux, même réprobateurs des personnes que je croisais. Dans le tram, il y avait peu de monde, mais je restais debout, je ne souhaitais pas en rajouter en m'asseyant. Deux arrêts avant le mien un homme monta à la porte où je me trouvais, son regard me fixa, puis alla de haut en bas, je le défiais en le regardant dans les yeux. Après quelques secondes, il s'approcha de moi et me dit : vous êtes divinement tentatrice. Je le remerciais tout en lui souriant. Puis il ajouta : votre décolleté vaut largement celui de Sophie Marceau à Cannes ! Je le remerciais encore et j'ajoutais je peux même en montrer plus qu'elle ! Et de ma main libre je lui dévoilais entièrement mon sein.
- Magnifique, et on peut toucher aussi ?
- Dépêchez-vous car je descends à cet arrêt.
Le bonhomme surpris mit un temps de réaction et comme le tram freinait pour entrer à la station, il empauma mon sein le malaxa et eu juste le temps de faire rouler mon téton entre ses doigts que les portes du tram s'ouvraient et je m'échappais vers le quai en lui disant : désolée !
Il ne me fallut qu'une grosse centaine de mètres pour me retrouver devant l'hôtel. Avant de franchir la porte je défaisais le bouton de ma veste, offrant encore plus généreusement ma poitrine aux regards. J'entrais dans les salons de l'hôtel avec une boule dans le bas du ventre grossissante, non pas d'anxiété mais d'excitation, c'est en me tenant bien droite que j'avançais dans le salon d'un pas décidé. Il n'y avait pas grand monde, je repérais sans mal mon client qui était avec les deux hommes que j'avais juste croisé lors de notre dernière rencontre, au fond de la salle un petit groupe de quatre hommes plus une jeune femme ayant à peu prés le même âge que moi autour des 28 - 29 ans et du peu que j'apercevais habillée assez sexy, j'arrivais à la table de mon client qui se trouvait pratiquement au centre de ce grand salon.
Je posais ma mallette à côté d'un fauteuil inoccupé et Daumier me présentait ses deux accompagnateurs. Charles Beller architecte de son état et Deniz Burak entrepreneur et visiblement de nationalité Turque, je leur serrais la main et je fis un pas vers Daumier. Soudainement j'eu envie de le provoquer et l'enlaçant à hauteur d'épaule je collais ma bouche à la sienne pour un smack appuyé mon visage glissant ensuite vers son oreille et je lui soufflai d'une voix la plus sensuelle : à partir de cette minute et pour le reste de l'après midi et même pour la soirée je suis toute à vous si vous le souhaiter. Et je ressoudais ma bouche à la sienne pour cette fois un baiser sensuel, ma langue cherchant la sienne pour s'enrouler durant quelques secondes. Daumier en restait tout interdit et en reculant je demandais où je pouvais m'asseoir. Daumier me désigna le fauteuil leur faisant face et juste avant de m'y installer je leur demandais si ça ne les gênait pas que j'ôte ma veste, sans attendre la réponse je m'en défaisais, offrant la nudité de ma poitrine si peu voilée par le tee-shirt.
- Chère Florence souhaitez vous prendre une coupe de champagne avant de commencer ? demanda Daumier.
Je répondais par l'affirmative et m'asseyais en laissant mes cuisses entrouvertes de 10 bons centimètres. Daumier appela le serveur et demanda de m'apporter une coupe et Daumier ajouta à mon intention :
- Vous voyez la fille avec les quatre hommes et bien c'est une pute et ce soir elle devra certainement satisfaire les quatre hommes.
- Elle est payée pour ça ! Lui répondant du tac au tac.
Après avoir échangé une discussion à bâtons rompus, je sortais de ma mallette mes documents que je posais sur la table basse pour la conclusion de la convention. Je m'étais avancée au bord du fauteuil pour me rapprocher de la table basse et du coup j'avais écarté un peu plus mes cuisses, offrant une vue plus ample sur mon intimité si peu voilée par le tulle du string. Le serveur en débarrassant coupe et seau à champagne ne se priva pas de river son regard entre mes cuisses, Daumier s'en aperçu et dit au serveur :
- Adrien quand vous aurez rapporté tout ça au bar, revenez et vous amènerez Mme Vidal vous sucer, vous le méritez bien, cette salope n'arrête pas de vous allumer !
Le serveur eu tôt fait de revenir, sans un mot je me levais pour suivre le serveur tandis que Daumier me lança :
- Florence prenez votre temps pour sucer notre ami, pendant ce temps nous étudierons votre dossier, ah! Adrien n'oubliez pas la petite décoration finale.
Le serveur lui souri et je le suivi aux toilettes. En chemin je posais quelques questions sur Daumier. Adrien m'apprenait qu'il lui arrivait de venir accompagner d'une pute (c'est le terme que prononça le serveur) et très souvent il lui faisait bénéficier des faveurs de la dame et que la décoration c'était une ou deux goutes de sperme sur un sein, il me confia aussi que Daumier appréciait qu'une fille soit très docile. A son tour il me questionna il trouvait malgré ma tenue vestimentaire qui se voulait faire pute que je n'en avais pas allure. Alors je lui expliquais que je travaillais dans une agence immobilière et pour la conclusion du contrat j'avais mis mes charmes dans la balance.
Après être entrés dans les toilettes pour homme, il me poussa vers une porte saloon pour déboucher sur les urinoirs. Adrien m'enlaça chercha ma bouche que je ne lui refusais pas et m'embrassa passionnément tout en caressant d'une main mes fesses et de l'autre un sein. A la fin du baiser, il s'accroupi, retrousse ma jupe à la taille, une main sur mes fesses nue l'autre épousa mon pubis, puis ses doigts glissèrent lentement sur ma fente agaçant agréablement mon clito au travers du fin tulle. Jappréciai la caresse en feulant doucement. il s'amusait à me doigter en faisant rentrer le tulle du string entre mes lèvres. Son autre main sur mes fesses qu'il pétrissait avec envie. Ses doigts glissèrent dans ma raie, un doigt ayant trouvé mon petit illet le flattait au travers de la mince bande de tissus que forme la ficelle du string. Ayant crocheté le string, un doigt puis un autre s'enfoncèrent dans ma chatte vite rejoint par un troisième, mon gémissement lui prouvait que j'appréciais. Son doigt sur mon anus força ma rosette qui céda bien facilement et je sentais le doigt s'enfoncer de toute sa longueur dans mon cul, Adrien commenta qu'il trouvait mon cul bien souple et que pas mal de bites avaient dû passer par là, tout en se mettant à me pistonner mes deux orifices. Je feulais de plus belle, ma main jusque là sage se posait sur sa braguette, massant au travers de son pantalon de service son sexe déjà bien tendu et surement de belle taille. Et d'une voix rauque je lui demandais de me prendre et de me faire jouir.
- tu en as envie, hein salope.
- hhuum oui ! Baise moi fais-moi jouir.
- oh oui, sale pute, je vais te baiser, puis t'enculer, et je finirai par ta bouche de salope !
Adrien me poussa en arrière, je me retrouve plaquée contre un urinoir, le serveur me dit en me retroussant la jupe de prendre appuis sur le bec de l'urinoir et d'écarter mes cuisses. Il se débraguetta et sortit son sexe tendu d'un calibre nettement supérieur à la moyenne. Il écarta mon string, passa plusieurs fois ses doigts sur ma chatte en faisant pénétrer son majeur deux ou trois fois, puis guida sa queue contre ma vulve fit aller de bas en haut son gland qui ouvrait mes lèvres intimes et d'un coup me pénétra d'un grand coup de rein, il était en moi en entier, sur le coup si il ne m'avait retenue je glissais au sol manquant défaillir de plaisir, d'ailleurs on a du m'entendre jusqu'au couloir menant aux toilettes. Il se mit à me limer profondément et régulièrement. Chaque va et vient faisaient qu'empirer mon plaisir que je ponctuais par des "ah oui, vas y, encore" !
- Alors ça te plait hein salope, tu l'aimes ma bite !
- oui vas y défonce moi, plus fort !!! Jétais en ébullition secouée de spasmes, mon plaisir déboulait par vague, je me sentais ruisseler, d'ailleurs le clapotis bruyant des coups de queues entrants et sortants de ma chatte l'attestait. Il était pour le moins endurant car à présent sa cadence rapide me menait vers l'extase je ne pouvais m'empêcher de lui dire dans un râle.
- ah oui, oh putain que c'est bon, surtout ne t'arrête pas !
- toi aussi t'es bonnasse, t'inquiète pas ma pute maintenant je vais m'occuper de ton cul !
Il continua à me ramoner divinement la chatte pendant encore deux bonnes minutes, puis sortit de mon ventre laissant un vide cruel.
- Attends, lui dis je, avant que tu m'encules je veux te gouter.
Je m'agenouillais tout en caressant cette baguette qui me donnait tant de plaisir. Puis je faisais glisser lentement ma bouche sur gland avançant très lentement tout en fixant mon regard sur le sien. Ma langue venait jouer avec son méat, puis tourne autour, alors que ma bouche reprenait sa lente progression vers la base de cette colonne de plaisir. Il me dit :
- tu voudrais avoir touts les bites de l'hôtel hein salope ?
Je répondais un oui tant bien que mal déformé par le bâillon de chair que j'avais au trois quart avalé. Je savourai égoïstement cette queue je la voulais entière dans ma bouche quitte à m'en . Tout en hoquetant je touchais mon but mon petit nez arrivait dans sa toison pubienne, un dernier effort et c'était mes lèvres qui touchaient les poils. Je savourais quelques secondes mon petit exploit avant de faire ressortir de ma bouche ce mât palpitant accompagné par un filet de ma salive qui vint s'étaler à mes genoux sur le carrelage. Je reprenais ma respiration quand on entendit manuvrer la porte d'entré principale des toilettes, je voulu me relever et rectifier ma tenue, mais Adrien me fit tutu tut chut. Puis la porte partie homme des toilettes s'ouvrit et le serveur me dit allez continue de me sucer, ce que je fis aussitôt. Les portes saloons grincèrent pour laisser place à un homme de petite taille et rondouillard qui resta confus devant notre présence et bredouilla un pardon excusez moi.
- Mais non, dit Adrien, venez, si une femme est dans les WC hommes, c'est qu'elle est là pour nous sucer et se faire baiser.
- Oui certainement, mais j'ai une très grande envie d'uriner, je ne tiendrais pas.
- Vous lui pisserez dans la bouche cette salope adorera.
En riant il répondit elle ne pourrait pas tout avaler avec l'envie que j'ai. L'homme s'installa à l'urinoir tout à coté de moi et laissa s'épancher son envie. J'avais repris ma succion avec en fond sonore le bruit du jet éclatant contre la faïence. Adrien me lança :
- hé petite salope tu dois avoir soif à force de me sucer, suis sur que tas envie de boire le reste de pisse de monsieur.
N'attendant pas ma réponse il dit à l'homme de finir dans ma bouche. L'homme se tourna vers moi comme je pivotais vers lui, il ne maitrisa pas deux ou trois jets qui vinrent s'étaler sur mes cuisses trempant mes bas. Il glissait entre mes lèvres sa bite à demi molle et j'attendais la suite ... Je n'avais jamais fait ça, sachant tout de même que l'urophilie est une pratique sexuelle ayant bon nombre d'adepte. Un puis un petit jet vint m'éclabousser la palais que j'avalais sans peine. Le gout n'était pas très agréable d'une saveur âpre, acre mais je n'en étais pas écurée pour autant. A mon grand étonnement je me sentais plus qu'humide entre mes cuisses et en ce qui me concernait ce n'était pas de l'urine. Suivi juste après un flot puissant que l'homme lâcha dans un râle, cette fois le liquide ma remplissait la bouche j'avais du mal à avaler cette quantité qu'il déversa durant 10 bonnes secondes. Malgré mes efforts de déglutition, une partie s'échappa de la commissure de mes lèvres dégoulinant sur le coté de mon menton et finir par couler sur mon sein droit. Ayant tout avalé, je commençais à le sucer, il durcit rapidement de dimension modeste je m'appliquais à le pomper alors que l'homme s'adressant à Adrien :
- Quelle salope ! Je l'avais remarqué dès qu'elle est entrée dans le salon de l'hôtel, c'est une pute ?
- On ne peut pas dire mais en quelques sortes oui, vous êtes entrain d'être sucé par Florence qui travaille dans une agence immobilière et qui pour s'assurer la signature de l'affaire a mis ses charmes dans le contrat, c'est un peu une pute oui, mais ce qui est certain c'est une bonne grosse salope ! C'est sur cette dernière parole que le monsieur jouit et cracha une bonne dose de sperme que j'avalais aussitôt.
Malgré l'invitation d'Adrien à rester, l'homme s'en alla rejoindre sa négociation.
- Allez sale pute, mets toi comme ça face au mur que je t'encule maintenant.
Il me fit positionner devant l'urinoir où c'était soulagé le bonhomme et qui n'avait pas appuyé sur le bouton de la chasse d'eau, trop occupé à me pisser dans la bouche. Adrien renfila sa queue toujours aussi raide dans ma chatte, y fit plusieurs allers retour, tandis qu'il crachait sur ma rondelle et l'assouplissait de son pouce. Il vient positionner son gland tout contre mon illet qui céda sous la poussée brutale en s'enfonçant d'une traite dans mes reins, sur le coup je ne pouvais retenir un aaah douloureux. Une fois entré en entier il me laissa récupérer de la brulure en me masturbant le clito, à nouveau des ondes plaisantes inondèrent mon ventre estompant le feu de mon anus. Lentement je le sentais coulisser en moi, petit à petit la cadence s'accéléra, il me disait que mon cul était étroit tout en étant souple que j'étais aussi bonne de la chate que du cul. Je venais à sa rencontre ondulant du bassin pour mieux le sentir, je me cambrais au maximum, la tête rejetée en arrière je subissais ses assauts divins, je me tordais pour encore mieux le sentir, mon sein droit frottait le réceptacle de l'urinoir et le tulle de mon tee-shirt épongeait le petit restant de pisse qui stagnait. La déferlante de l'orgasme prenait forme et je lui criai entre mes râles :
- oh oui vas y encule moi plus fort, défonce moi, casse moi le cul !
- taime ça te faire enculer hein grosse pute.
Ce délire verbal contribuait à ma jouissance qui me terrassa, je sentais les flots de ma cyprine couler en l'intérieur de mes cuisses. Adrien continuait à me pilonner les reins et dans le lointain je l'entendis dire : OH putain ah salope tu vas me faire venir !
Il se retira, à mon grand regret, car j'avais encore envie de me sentir remplie, je fantasmais même sur une autre bite dans ma chatte, je voulais les sentir se vider en moi... je ne me reconnaissais plus, je n'étais qu'une femelle avide de sexes tendus me défonçant et crachant leur foutre.
A genoux à nouveau, je gobais sa bite, cette merveilleuse queue qui me donnait tant de plaisir, je la suçais, la léchais, je l'aspirais et je m'en délectais. Adrien grognait de plus en plus fort, sous ma langue et mes lèvres je sentais les muscles trembler, les veines gonflées par les à-coups de sang, il allait jouir. Il se retira de ma bouche et posa son gland sur mon téton gauche, une giclée sorti sous pression s'étalant sur quatre bons centimètres sur mon sein, puis aussitôt il enserra fort son gland me remis sa bite dans la bouche relâcha la pression de ses doigts et explosa en multiples jets dans ma bouche, à nouveau je sentis ma chatte se liquéfier je jouissais aussi de son éjaculation.
Après avoir repris nos esprit, je me relevais, remettais en place le string et ma jupe, dans le miroir je redonnais forme à ma coiffure et constatais, mis à part la belle trainée blanchâtre et visqueuse sur mon sein gauche que ma tenue n'avait pas souffert de nos ébats. Je retournais au salon retrouver mes hommes tandis qu'Adrien après avoir échanger un baiser enfiévré retournait à ses occupations.
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