Le Chemin De L'École, Partie 12

Je ramasse ensuite les vestiges de nos ébats et range mes jouets. Puis je file à la douche. L'eau chaude détend mes muscles. En sortant de la cabine, je me sèche et en enfile un mini short en jeans et un débardeur de sport.

En guise de repas, j'avale un bol de soupe et un yaourt. Une fois ma vaisselle faite, je m'installe sur le canapé avec un bouquin, de la musique en fond. Il est vingt heures quinze.

J'ai à peine lu deux lignes que quelqu'un toque à ma porte. Certainement un voisin venu se plaindre de ma musique.

J'ouvre la porte et je vois Thomas, une bouteille de vin blanc dans la main.

- Un voisin m'a laissé entrer quand il est sorti.
Et ça m'arrangeait bien vu que je voulais te faire une surprise.

Je reste bouche bée dans l'encadrement de la porte.

- On peut rester là mais je pense pas que ce soit des plus agréable, mais tu veux que je parte y a pas de problème, je veux pas m'imposer...
- Ben non rentre. C'est juste que je ne m'attendais pas à te voir débarquer chez moi en fait...

Il retire sa veste en cuir et je la prend pour l'accrocher au porte-manteaux. Je l'invite à s'asseoir sur le canapé. Je le rejoins, deux verres à vin et l'ouvre-bouteille à la main. Il s'occupe de déboucher la bouteille et remplis les deux verres. Il m'en tend un.

- Merci. Sandrine m'a dit que c'est elle qui a lâché l'info pour Romain. Tu t'es trouvé une alliée.
- Je vais pas me plaindre d'avoir un peu d'aide, tu as l'air difficile à convaincre.

Je ne sais plus quoi dire : en sa présence, je perds tous mes moyens. Il me plaît bien plus que ce que je veux bien avouer.

Comme s'il sentait mon malaise, il change de sujet :

- Il est chouette ton appart'.
- Tu veux que je te fasse visiter ?

Il acquiesce. Je lui faut faire le retour du propriétaire, et je me détends un peu.

De retour sur le canapé, il pose une main sur ma cuisse.

J'aime le contact de sa peaux.

- Mathieu est fan de toi je crois. Il n'a pas arrêté de parler toi en rentrant de l'école.
- C'est gentil. Je l'aime beaucoup aussi. Il est comme toi, il a toujours le sourire. A la récréation il vient me faire des câlins et des bisous.

Quelques instants de silence.

- Tu es très jolie comme ça. Ça te va bien les cheveux ondulés. Tu devrais les laisser plus souvent comme ça.

Il se penche alors vers moi et chuchote à mon oreille :

- J'ai eu envie de toi toute la journée. J'avais meme peur que ça se voit à l'école avant.

Il passe une main sous mon top dans mon dos pour me rapprocher de lui. Je suis une nouvelle fois vaincue, incapable de lui résister.

- J'ai jamais autant eu envie de quelqu'un ! Je crois que je ne pourrais jamais je lasser de ton corps, de t'embrasser, de sentir ta chatte humide se serrer autour de ma queue et de t'entendre jouir.

Ces mots obscènes dans sa bouche sont incroyablement sexys. Ses lèvres viennent à la rencontrer des miennes. Il m'embrasse tendrement. Ça contraste avec le langage cru qu'il vient d'employer.

Je le repousse en arrière pour qu'il s'installe contre le dossier de mon canapé et m'installe à califourchon sur lui. Il m'enlève mon débardeur à travers lequel mes tetons pointent de manière indécente. Il en att avec ses dents et tire dessus. Je pousse un petit cri de plaisir et sens la chaleur monter dans mon bas ventre. Je lui retire sa chemise en ouvrant les boutons un à un, très lentement en prenant soin de laisser traîner mes doigts sur les muscles de son torse.

- Sadique !
- Moi ? Pas du tout, dis-je en ondulant du bassin pour frotter ma chatte sur la bosse que forme sa queue dans son pantalon.

Il se mord la lèvre de plaisir en fermant les yeux. Je pose ma bouche sur la sienne et att sa lèvre inférieure avec mes dents pour tirer dessus. Il gémit et je sens sa bite gonflée encore un peu. Il me fait descendre de sur lui pour m'ôter mon short et mon tanga. Il dépose un baiser sur ma vulve. J'ouvre son jeans, lui enlève ainsi que son boxer. Il s'assied à nouveau. Je me remets sur lui lentement pour bien sentir sa queue me pénétrer. De son pouce, il caresse mon clitoris tout en suçant mon sein droit pendant que j'ondule sur lui.

Il insère ensuite son index et son majeur dans ma chatte le long de sa verge. Les sensations sont exquises. Il appuie sur la paroi délicate de mon vagin avec la pulpe de ses doigts. Je mouille de plus en plus et sens l'orgasme monté en moi. Il accentue la pression exercée par ses doigts. Mon orgasme explose tel un ouragan. Mon corps se cambre avant d'être pris de tremblements, je hurle mon plaisir, sens ma mouille déferler de ma chatte inondant sa queue et ses doigts.

Il ne me laisse pas le temps de me remettre de cette jouissance fulgurante que je sens qu'il retire ses doigts et les amène jusqu'à mon anus. Il commence par le caresser doucement puis il insère son index et le retire plusieurs fois. Voyant le plaisir que cela me procure, il rajoute son majeur et augmente la cadence des va et viens de ses doigts. J'adore les sensations de la double pénétration.

- Y a une pièce que tu ne m'as pas encore montré... si tu le faisais maintenant...

Je l'emmène dans ma chambre. Il m'allonge sur le lit et positionne sur moi.

- Dis moi, est-ce que tu as des jouets pour adulte ?
- Dans le tiroir sous le lit, dis-je dans un soupir empli de désir.

Il ouvre le tiroir et me demande si je lui fais confiance. D'un hochement de tête je lui dis que oui. Il prend alors un foulard de soie rouge et me le noue devant les yeux.

- Mets les bras au dessus de ta tête.

Je m'exécute et il m'attache les poignets ensemble à l'un des barreaux de la tête de lit grâce à un lien de bondage.

- J'avais remarqué que tu étais à l'aise avec le sexe mais je te devinais pas si cochonne.
- Et tu n'as pas tout vu, dis-je d'un ton provocant.
- J'ai hâte d'en découvrir plus alors. Maintenant mets toi sur le ventre et ensuite à quatre pattes.

J'aime l'entendre me donner des ordres. J'obéis et m'applique à bien tendre ma croupe. Il me donne une petite fessée puis frotte mes fesses.

- J'adore ton cul bien rond. J'avais déjà envie d'en profiter d'avantage l'autre nuit... ce soir je compte bien te donner tout le plaisir que tu mérites. Mais d'abord je vais te détendre un peu.

J'entends qu'il craque une allumette puis la souffle. Quelques instants plus tard, je sens la cire chaude couler dans mon dos. Je comprends que c'est la bougie du paquet que j'ai mise dans le tiroir tout à l'heure. La cire se transforme en huile de massage avec la chaleur de la flamme. Il masse le creux de mes reins longuement. C'est agréable. Puis ses doigts glissent entre mes fesses et il en enfonce deux dans mon trou de cul. Après quelques minutes, il m'en met un troisième. Quand le mouvement devient aisé, il les retire et fouille dans le tiroir.

Il insère mon rabbit violemment dans ma chatte en active les vibrations les plus fortes. Je gémis. Il embrasse mes fesses. J'entends qu'il pose quelque chose à côté de moi mais impossible de savoir quoi. Il m'agrippe par les hanches et enfonce sa queue d'un seul coup. Je gémis un peu plus fort.

- Tu me dis si tu as mal. Tout ce que je veux c'est que tu prennes ton pied. Alors n'hésites pas à demander si tu veux que ce soit plus fort, brutal, lent... je suis à tes ordres.

Je lui réponds d'un mouvement de fesses pour qu'il reprenne ses vas et viens. Il me baise violemment. Les vibrations dans ma chatte et le fait de ne pas voir ce qu'il se passe augmente mon excitation. Je sens que je vais bientôt jouir. Ses doigts qui pincent mon téton finissent de faire monter le plaisir : je hurle à nouveau de plaisir, mouillant les draps de mon jus. Il profite de ma cambrure pour me pilonner plus fort.

Puis il se retire, enlève le rabbit qui continue de vibrer dans ma chatte et sur mon clitoris. Il enfonce ensuite un objet froid dans mon anus qui se met à vibrer : c'est mon plug anal en acier, celui qu'il a du poser à côté de moi un peu plus tôt. Il entre sa queue dans ma chatte et nous jouissant en même temps après de longues minutes.

Il me détache et retire le bandeau de mes yeux. Il s'allonge sur le dos et me prend dans ses bras. Il passe longuement sa main dans mes cheveux.