Vente Avec Bénéfices

- Récit fictif -



Agent immobilier depuis une quinzaine d'années, j'ai une vie plutôt confortable. A quarante ans, j'ai une belle femme que je chéris et avec qui je partage ma vie depuis dix ans maintenant. Nous vivons dans une belle maison que nous espérons bientôt peupler avec des s, le premier étant d'ailleurs déjà en route.
Les préparatifs pour la venue du bébé ne m'empêchent cependant pas de continuer à exercer mon métier avec un certain professionnalisme, jusqu'à aujourd'hui.

Soyons clairs dès le début: la vie avec ma femme est formidable en tout point. Nous nous aimons, les disputes arrivent rarement et la future venue du bébé nous a unis encore plus. Quant au plan sexuel...Je n'ai pas à me plaindre. Moi qui adore faire l'amour et baiser, je suis totalement satisfait. J'ai eu la chance d'être avec une femme qui aime ces activités presque autant moi: nous parvenons à maintenir la fameuse petite étincelle dans notre relation, malgré le risque de "routine" sexuelle. A vrai dire, si je devais trouver un seul défaut par rapport à nos rapports intimes, je dirais que certains de mes fantasmes demeurent irréalisés, chose frustrante mais qui ne m'empoisonne pas la vie non plus, habituellement en tout cas.

Habituellement, oui..Car depuis quelques mois, les rapports s'espacent de plus en plus. C'est compréhensible: l'état de ma femme constitue un obstacle difficilement surmontable. Je suis donc condamné pendant encore de longues semaines à l'abstinence. Et je dois dire que mes fantasmes et désirs se font de plus en plus pressants.


Revenons au présent: aujourd'hui se passe comme d'habitude. Je me lève, me prépare pour aller travailler, embrasse ma femme et pars au bureau. J'y reste jusqu'à environ dix heures et demie, heure à laquelle je pars faire visiter une maison à une cliente.
J'arrive en avance pour préparer la visite et mes arguments; je suis bientôt rejoint par trois femmes.

La première, ma cliente, est une femme d'une cinquantaine d'années, pas franchement à mon goût d'un point de vue physique. Elle n'en demeure pas moins une femme charmante. L'accompagnent deux jeunes femmes d'environ vingt ans: la première, blonde à en faire pâlir le soleil, arbore des yeux d'un bleu envoûtant. Sa tenue l'est tout autant: T-shirt et jean ultra-court moulants, ils font ressortir de façon presque obscène ses attributs; un corps mince, surmonté par une poitrine généreuse et de longues jambes, le tout relevé par des bottes à talons et...Que vois-je ? Des bas que laisse apparaître la courte longueur de son mini-short..
La seconde jeune femme est habillée plus sobrement, mais ne m'attire pas moins: un pantalon long, un débardeur noir qui montre sur le côté son soutien gorge, noir également, tendu quasiment à l'extrême par une poitrine plus imposante encore que celle de son amie. Un corps avec plus de formes que l'autre, le tout dominé par un très joli visage: cheveux roux longs lui arrivant dans le dos, de beaux yeux bleus et un sourire charmeur.

En bref, il semble que le destin s'est décidé à me frustrer plus que d'ordinaire. Troublé, je m'approche et salue mes clientes, discute avec elles un moment et commence enfin la visite. Tandis que je leur montre les différentes pièces de la maison, j'apprends avec intérêt que la jeune blonde est la fille de la cinquantenaire, et que la belle rousse est sa meilleure amie vivant avec eux à cause de problèmes de famille. Elles me révèlent également leur nom: Anne pour la première, Jane pour la meilleure amie.
Au bout d'un certain temps, les trois se déclarent satisfaites. Nous convenons d'un prochain rendez-vous pour finaliser la vente et la mère repart, laissant les deux jeunes femmes avec moi. Celles-ci prétextent une envie de revoir le jardin avec piscine de la maison pour m'entraîner avec elles.

Elles redécouvrent avec émerveillement le petit coin de paradis: jardin d'une trentaine de mètres carrés, grande piscine bordée par des chaises longues qu'elles s'empressent d'aller tester. Je m'éclipse quelques minutes pour passer un appel à ma femme. Lorsque je reviens, je retrouves ces deux beautés en sous-vêtements, étendues langoureusement sur les fameux sièges. Déstabilisé, je m'approche tandis qu'une bosse commence à déformer mon pantalon...
Lorsque j'arrive à leurs côtés, la rousse se décale d'un siège pour m'indiquer celui sur lequel elle était. Je m'y installe et me retrouve entre ces deux magnifiques créatures. Nerveux, je reste assis et tente de penser à tout sauf à mon érection grandissante.
Je sursaute quand je sens une main caresser mon dos. Je me retourne et vois la blonde, qui s'était faufilée derrière moi à mon insu. Visiblement amusée de mon sursaut, elle arbore un sourire un poil moqueur, tandis que mon regard glisse vers sa poitrine. Je ne suis pas assez discret: la rousse rejoint la blonde et me dit:
Vu comme tu en meurs d'envie, je vais libérer ces deux captifs..
Elle embrasse la blonde et lui enlève son soutien-gorge, laissant apparaître ses seins enfin sortis de leur prison. La rousse, toujours derrière la blonde, saisit les obus à pleines mains et commence à les malaxer, si bien que son amante émet bientôt des gémissements. Pétrifié, je me contente de regarder, mon érection cette fois bien visible. Anne décide apparemment de prendre les commandes et se penche vers moi, rapprochant ses attrayantes lèvres des miennes. Le baiser fougueux qu'elle me donne me libère de ma paralysie: mes mains viennent se poser sur ses hanches, tandis que les siennes commencent à s'affairer sur mon pantalon. Je me mets debout pour qu'on me l'enlève: en boxer ne cachant rien de mon pénis, j'admire la blonde qui vient s'accroupir devant moi pendant que Jane enlève à son tour son haut, dévoilant son opulente poitrine qui attire aussitôt mon regard. Mon boxer rejoint rapidement mon pantalon près de la piscine, et mon sexe se retrouve dans la bouche d'Anne, visiblement experte en la matière: mes gémissement envahissent le jardin, tandis que la belle rousse, désormais totalement dénudée, se caresse à toute vitesse en face de moi, assise les jambes écartées sur la chaise longue. Mais elle en a bientôt assez: elle rejoint sa copine et m'embrasse le torse, avant de remonter jusqu'à ma bouche qu'elle bénit d'un long baiser. La blonde se redresse et les deux femmes commencent à s'embrasser à leur tour, se caressant d'abord doucement, puis, de plus en plus excitées, elle sont bientôt en train de se caresser mutuellement leur sexe. Fasciné, je me contente de me masturber en admirant le spectacle. Jane pousse alors son amante sur le siège, sur le dos, et elle se met au-dessus d'elle, continuant leur baiser et ses mains malaxant rapidement les seins de la belle blonde. Je saute sur l'occasion: je m'approche et frotte mon sexe contre celui d'Anne, puis je m'enfonce d'un coup en elle, lui arrachant un cri étouffé par leur baiser. Je commence mes va-et-viens, d'abord doux, avant de soudainement la pilonner, mon corps claquant contre son corps et les délicieuses fesses de ma rousse, dont j’att les seins: gros, bien fermes, tout ce que j'aime. Jane se déplace, elle vient se placer au niveau du visage de la blonde et se penche vers moi pour m'embrasser, une de ses mains se joint à mon pénis sur le vagin de sa copine, tandis que les miennes reprennent contact avec son énorme poitrine. Ce contact cesse quand la magnifique rousse se penche un peu plus pour finir en 69 avec l'autre, léchant le vagin que je continue de baiser sauvagement. Anne arrive d'un coup à l'orgasme, son cri de plaisir résonnant dans le jardin. Je me retire, mon pénis n'a rien perdu de son érection. Jane en profite pour me faire une fellation du même niveau que celle octroyée par sa copine; sur le point de jouir, je réussis à me contrôler et ôte mon membre de la très accueillante bouche de la jeune femme, et la mets à quatre pattes sur la chaise longue. Je la pénètre brutalement, sans préambule. Ses cris s'élèvent jusqu'à ce que la blonde vienne mettre son sexe sous son nez, les jambes bien écartées. Un concert de gémissements commence: la rousse, baisée sauvagement par derrière, le cou enserré par une de mes mains, offre un cunnilingus de première qualité à son amante, qui se caresse les seins les yeux fermés. Cette scène dure longtemps, les cris de ma belle rousse ne cessent de gagner en puissance, comme les coups de boutoir que je lui assène. Excité comme jamais, je lui claque plusieurs fois les fesses et, penché près de son oreille, lui murmure des mots salaces qui font visiblement leur effet, tant son fourreau se resserre autour de mon épée: elle ne veut pas me laisser partir. Sans me retirer, je passe mes bras sous ses genoux et la soulève: je la pilonne ainsi, debout, la portant dans mes bras et ne cachant rien de son sexe et de comment mon pénis le pénètre. Anne se décide à riposter: à son tour, elle vient lécher le vagin de la belle rousse qui hurle cette fois son plaisir décuplé par les multiples attouchements dont elle est la victime. Lorsqu'elle atteint l'orgasme, je me retire et la repose sur le siège, toute tremblante. Aussitôt, la blonde avale à nouveau mon membre: elle me masturbe en même temps avec une main tandis qu'elle se caresse de l'autre. Je vais jouir: elle ne s'arrête pas, elle accélère même, décidée à me finir. J'explose dans sa bouche: elle avale toute ma semence, mais en garde dans la bouche. Elle se précipite vers Jane et lui donne un baiser brutal, lui transmettant ainsi ce qu'elle avait gardé en réserve. Épuisé, je me remets de mes émotions, mais mes deux amantes du jour n'en ont visiblement pas terminé: leur baiser continue, tandis que leurs mains retournent explorer des lieux intimes. Au bout d'un certain temps, elle se positionnent en ciseau et commencent à se frotter l'une contre l'autre; mon pénis reprend peu à peu du volume alors que j'observe ces deux merveilles se donner du plaisir l'une à l'autre. Leurs gémissements m'excitent à nouveau, jusqu'à ce qu'elles jouissent toutes deux dans un grand cri. Satisfaites, elle s'embrassent une nouvelle fois avant de remarquer mon érection revenue. Elles se relaient alors pour accueillir mon membre dans leur bouche, l'une après l'autre, sans répit. Vient le tour de la rousse, qui m'accueille cette fois entre ses fantastiques et énormes seins: encore plus excité, je commence à les baiser sauvagement, émerveillé par cette poitrine. Je ne délaisse pas la jolie blonde: je me tourne vers elle et lui fait le même sort. C'est à mon tour d'alterner entre ces deux merveilleuses poitrines, jusqu'à ce que je sente la jouissance revenir: je jouis sur leur visage et leurs seins et m’assois, éreinté. J'observe mes deux clientes lécher ma semence éparpillée sur leur corps, puis se donner un dernier baiser.
Elle partent peu après, après m'avoir évidemment remercié pour ce très bon moment. Elles m'ont également donné leur numéro, "au cas où". Je flotte sur un petit nuage, et rentre chez moi auprès de ma femme.