La Fille Du Maire
Mon village du midi n'est pas très grand: à peine 350 âmes. J'y suis revenu, fatigué de la vie du chef lieu. Situé à seulement 15 kilomètres de mon travail, j'ai opté pour cette vie champêtre. Je possède ma maison au centre pratiquement du village, pas loin de l'église avec son clocher bizarre avec ses 6 trous et 5 sans cloche. Elle donne sur une place où des commerçants viennent chaque semaine: bouger, vêtement et autres. J'emploi une voisine âgée comme femme à tout faire. Elle est veuve depuis toujours: je ne l'ai connue qu'en deuil.
Je suis un homme qui aime bien les femmes. Par exemple la fille du Maire. Elle est belle, sexy et semble-t-il douée pour ce que je veux en faire.
Allez draguer une fille dans un si petit village, surtout la fille du maire.
Il arrive des occasions inattendues un soir, elle passe chez moi, en plein jour, bien sur pour faire taire d'avance les mauvaises langues pour me demander si le lendemain je ne pourrai pas l'emmener, elle et son père en ville. Je donne mon accord et le lendemain au moment de partir arrive le maire à demoiselle/ Le maire demande de l'excuser il ne peut pas venir. Seule sa fille est du voyage: pensez donc 20 minutes de routes..
Nous voila embarquer dans la voiture. Nous bavardons pour passer le temps. Je commence à la draguer un peu: elle se laisse faire en souriant. Je l'interroge sur ses aventures sentimentales: elle en a peu. Pourtant elle aimerait bien franchir le pas. Ah bon, franchir le pas. De quel pas s'agit-il ?
Je ne le pousse pas trop. Après tout elle peut vouloir travailler en ville, trouver un amant (je suis prêt pour le rôle) ou simplement quitter le pays.Je la laisse à ses affaire: nous prenons rendez-vous pour 17 heures.
Je la remmène au village: elle me demande d'arrêter quand nous traversons la "forêt" à mi chemin. Cette forêt est connue de tout le monde pour abriter des amours plus ou moins chastes. Elle m'étonne un peu. J'entre dans un sentier, arrête la voiture à quelques mètres de la route.
Elle ne dit rien: elle m'embrasse, comme ça, bien fait. Elle en fait trop ou pas assez. Je lui reprends la bouche: nos langues ne se gênent pas pour entrer dans la bouche de l'autre. Elle pose une main sur ma jambe en remontant très lentement vers mon bijou. Cette fois, enfin je sais ce qu'elle veut: je pose un main sur sa cuisse, la passe entre les deux, monte assez vite vers son entrejambe. Elle écarte les jambes comme ça, vite. Je sens qu'elle me mordille la langue. J'arrive sur sa culotte: elle est trempée. J'écarte le slip pour venir sur sa chatte. Je passe mes doigts entre ses lèvres et monte pour atteindre son petit paradis: je caresse lentement son clitoris. Elle gémit. Plus j'avance mes caresses plus elle semble en vouloir, en tout cas elle le dit
- Oui, oui, comme ça, encore, oui, plus vite, plus vite, pour finir par je jouis.
Elle s'écroule dans mes bras. Je l'embrasse encore. Elle attend un momentané digérer son orgasme pour venir à la recherche de ma queue. Elle arrive en forçant à mettre dehors mon engin. Elle en caresse le pourtour la laisse se débrouiller seule.
Elle semble savoir ce qu'elle fait: elle me branle un moment: sa masturbation est faire dans les règles de l'art. Heureusement qu'elle arrête rapidement j'aurais jouis rapidement.Elle se penche sur moi. Prend ma bite dans la bouche: elle ne me suce pas elle se contente de l'avoir sur la langue. Elle me lèche bien un peu, sans plus. Je la relève pour l'embrasser encore. Je lui demande si elle est vierge: elle me regarde étonnée de ma question
- Si je fais tout ce que je te fais, tu crois que ru est mon premier type.
- Non, mais pour le reste ?
- Je ne suis plus vierge depuis longtemps. Si ru ne me crois pas: mets moi la.
- Maintenant ? Ici,
- Oui maintenant, ici.
J'avoue que la baiser me tente énormément Par contre je n'aime pas du tout cet endroit où je risque de rencontrer des clients.
- Et si tu veux aller dans un hôtel, nous serions mieux que dans la nature.
- Baiser dans un hôtel, pourquoi pas: ce serait plus confortable.
Je la mène vers un formule 1 où pour un prix dérisoire on peut avoir un abri parfait. Nous montons dans une petite chambre. Je la prend dans les bras pour la première fois: nos lèvres sont encore collées. Nos langues sont déchaînées. Je la déshabille rapidement. Je la couche. Je l'embrasse encore: elle ne veut plus: il faut que je sois moi aussi tout nu. J'obéi et revient vers elle. Je l'embrasse à nouveau. En même temps je caresse un sein qui durci un peu. Je lui caresse le flanc en descendant vers son pubis. Elle le tend vers moi. Je caresse sa petite fourrure. Et je l'embrase dans le cou, je descend ma bouche vers un sein, descend encore sur son nombril. Ma mouche rejoint ma main et la dépasse: ma langue sortie cherche et trouve son clitoris. Je le lèche calmement avec le désir de lui faire du bien. Elle ouvre ses cuisses à fond. Je me retourne pour être plus à même de lui donner un bel orgasme. Je passe ma langue partout dans sa foufoune. J'y trouve d'abord un goût légèrement salé, avec un petit quelque chose en plus. Tout l'intérieur de son sexe est très doux sous ma langue. Je passe entre ses lèvres pour d'abord mettre ma langue dans son vagin: j'y entre presque tout. (Elle n'est pas vierge). Je prends son clitoris entre mes lèvres, la lèche de plus en plus vite. Je lui mets trois doigts dans le vagin et un autre dans l'anus. Je ne sais ce qui la fait réagir quand elle se tend en disant fortement qu'elle jouit.
Elle voudrai que je lui donne ma pine à sucer: je m'y refuse: je vais essayer de la baiser et de la sodomiser. Après nous verrons bien.
Je me mets sur elle, entre ses jambes. Elle sait ce que je vais lui faire: elle lève les jambes pour avoir les pieds presque contre ses fesses: elle est ouverte au maximum. Je ne vais pas seul pour lui mettre ma bite: elle la prise en main et me guide tout en me branlant un peu.
Je ne la laisse pas trop réfléchir: je la mets en levrette. Elle semble savoir ce que je vais lui faire: elle écarte ses fesses, se mouille un peu l'anus. Elle prend encore ma bite pour la mener là où il faut. Elle le fait après un détour sur son clitoris. Elle en jouit d'abord. Enfin je suis dans son cul extrêmement accueillant.
- Mets moi la à fond
- Attends un peu.
- Vite j'ai envie.
Si elle a envie, c'est bien, je l'encule comme elle veut. Je sens ses fesses contre mon bas ventre quand je suis au fond de son cul. Cette fois elle accompagne les allers et venues. Je sens son sphincter se fermer et s'ouvrir plusieurs fois. Enfin je jouis à mon tour. Je ne pensais pas avoir autant de sperme à lui donner.
Nous reposons un moment quand elle me demande aller me laver la queue. Il lui manque quelque chose de très important pour elle: ma bite dans la bouche. Elle m'accompagne: c'est elle qui me lave la pine, me faisant bander encore plus. Une fois couchée nous commençons à nous embrasser. Elle m'enjambe, pose sa moule sur ma bouche, se penche sur moi pour prendre, cette fois totalement ma queue. Sa fellation est très excitante; trop peut-être: elle risque de ma faire partir à tout moment. Fine baiseuse, elle sait quand il faut cesser tout, pour mieux le reprendre par la suite.
Notre 69 se conclu par deux jouissances simultanées. Pour elle c'est la première fois qu'elle jouit en même temps que son amant.
Nous rentrons au village, lentement: elle n'arrête pas de trouver des solutions pour que nous puissions encore baiser sans nous faire remarquer au village. Je lui propose la plus sage: attendre munit pour venir chez moi: personne ne sort à cette heures là.
Son père, le maire, nous attend devant chez lui: je lui raconte la fable d'un client de dernière minutes, le plus collant. Il gobe mon histoire. Pour me remercier d'avoir emmener sa fille, il m'invite à dîner safille n'ose pas me regarder, alors que dans quelques minutes noue baiserons encore.
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