Une Aventure Érotique : Le Cadeau

Cette histoire c'est passé durant le réveillon de Noël 2004 alors que nous étions invité mes parents et moi chez nos cousins. Comme tous les ans une partie de la famille était là, étaient également présent les voisins de nos cousins. Carine la fille des voisins avait à l'époque 17 ans quant à moi j'en avais tout juste 18. Nous nous connaissions depuis l'âge de dix ans environ et nous nous entendions à merveille. J'étais de mon côté un peu amoureux d'elle, faut dire qu'elle est particulièrement mignonne et sympa.

Carine est le genre de personne à l'aise partout, très bavarde et souriante elle met tout de suite les gens dans sa poche. Pour ma part, j'étais très timide et avait du mal avec les filles. Pour tout dire, à dix huit ans j'étais encore puceau et je n'avais même jamais embrassé une fille. Ainsi donc avec Carine j'étais un peu plus en confiance qu'avec n'importe qu'elle autre nana.

Nous étions les deux seules personnes de notre âge et nous nous retrouvions invariablement à côté à table. Durant l'apéritif qui traînait en longueur, nous nous sommes éclipsés dans le salon d'à côté pour écouter de la musique dont Carine est grande fan. Elle me demanda ce que j'allais avoir à Noël. Je lui parlais donc des bouquins que mes parents allaient m'offrir. Je lui demandais à mon tour ce qu'elle allait avoir. Une guitare, du parfum, et d'autres babioles… Elle me fit la confidence de sa nostalgie de croire au Père Noël. J'aimerai qu'il existe vraiment me dit elle, ma liste de cadeau serait un peu différente ! Intrigué je lui demandais ce qu'elle voudrait de plus !

- Et bien j'aimerais un petit ami, en ce moment je n'ai pas de copain et cela me manque. Tu as une copine toi ?

Rouge comme une tomate, le sujet que je n'aime pas aborder est en marche…

- Ben c'est-à-dire que…
- Tu n'en n'as pas ?
- Non ! Pas pour le moment…
- Philippe (c'est mon nom), je ne t'ai jamais vue avec une fille, ne me dit pas que tu es homo ?
- Non.

.. Non pas du tout, seulement je suis très timide et la timidité n'aide pas avec les meufs !
- Tu veux dire que tu n'as jamais fait ça ?
- Si ! dis-je pour crâner, mais au regard qu'elle me lança je sentis qu'elle n'était pas dupe…

Heureusement pour moi, nous devions passer à table, ce qui coupa court à la conversation.

Un repas pantagruélique fut servi. Ca parlait fort et la bonne humeur était de mise. Mon oncle Gérard taquinait souvent Carine sur ses petits amis et alors qu'il lui demandait en rigolant si ses amours se passaient bien, celle-ci lui répondit qu'elle n'en n'avait pas pour le moment et que d'ailleurs elle en avait commandé un à Noël. La pointe d'humour fit beaucoup rire l'assemblée… Quant à moi je faillis m', non pas de rire mais du geste de Carine qui tout en disant cela avait passé une main sous la table et caressait mes cuisses…

J'étais à nouveau tout rouge et ma mère me demanda si j'allais bien ? (Car quelques jours avant j'avais été grippé). Je lui répondis de ne pas s'inquiéter pour moi, que c'était sûrement l'apéritif qui m'avait donné un coup de chaud.

L'attention sur ma personne s'étant dissipée, j'en profitais pour passer une main sous la table à mon tour pour repousser la main de Carine qui me chatouillait. Mais au lieu de cela c'est ma main qui se retrouva prisonnière de celle de la jeune fille qui la dirigea vers sa propre cuisse… Carine portait une robe assez courte qui faisait que quand elle était assise une grande partie de ses cuisses étaient à nu. Sa peau douce me fit énormément d'effet et une dureté commença à poindre au bas de mon ventre. Je n'osais regarder ma voisine qui discutait et prenait part aux conversations comme si de rien n'était. Je profitais cependant de ce qu'elle m'offrait et la caressait avec délectation.

Carine continua pendant tout le repas à jouer à son jeu coquin, allant de plus en plus loin dans l'érotisme de la situation. D'abord elle fit semblant de tomber sa serviette et penchée sous la table, elle en profita pour me tâter l'entre jambe et quand elle remonta elle me fit un clin d'œil complice… Par la suite elle attira ma main de plus en plus haut sur ses cuisses… j'eu même droit à enfiler quelques doigts dans sa culotte…

La soirée se passa ensuite comme à l'habitude, on chantait, on dansait, on s'offrit des cadeaux… Vers les deux heures du matin, alors que tout le monde dansait, Carine m'attira dans une pièce déserte de la maison et m'embrassa… Mutine, elle me regarda dans les yeux et me demanda :

- Philippe, j'aimerais beaucoup que tu m'offres mon cadeau…
- Lequel lui demandais-je innocemment…
- Tu sais bien celui que j'ai commandé au vrai Père Noël…

Et je l'embrassais de plus belle, ayant perdu comme par miracle toute manifestation de timidité.
Bien au contraire c'est moi qui prenais alors les initiatives. Je lui remontais la robe et lui tripotais les fesses, lui pris une main pour la plaquer contre la bosse de mon pantalon…

- Quel beau cadeau tu as l'air de cacher dans ton caleçon, j'aimerai beaucoup le voir !

Je tombais mon pantalon et du caleçon sortit mon sexe bandé.

- Oh le beau sucre d'orge ! s'écria la jeune fille, je peux y goûter ?

Et pour la première fois de ma vie j'eu droit à une fellation…

Quelle sensation géniale que de sentir les douces lèvres de Carine sur ma verge, sa langue agile s'amusait avec mon gland tandis que ses mains tripotaient avidement mes couilles…

Pendant qu'elle me suçait, j'en profitais pour tripoter ses seins, ses fesses…

Carine nous fit mettre en 69 et chacun de notre côté nous nous sommes appliqués et abandonnés au plaisir… Après avoir jouis tout les deux, la belle m'embrassa à pleine bouche, son alène avait un goût de sperme prononcé… Elle me dit alors :

- Joyeux Noël mon chéri !

Dans ses yeux se lisait un bonheur immense, j'en fut à la fois agréablement surpris et flatté !

Le surlendemain nous nous sommes revu et j'ai pour la première fois fait l'amour avec elle…

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