Sous Les Pins
Installés sous les pins pour un pique-nique bucolique dans le massif des Alpilles, nous somnolions après ce repas léger et fin.
Ma compagne alanguie sur le plaid avait dégrafé quelques boutons de son petit short en jean pour mieux se détendre, la tête posée sur ma cuisse.
Malgré la chaleur encore bien présente en ce milieux de septembre je n'avais pas réussi à la convaincre d'abandonner son débardeur. Alors je me contentais de suivre du doigt la lisière du tissu sur sa peau. Ces douces caresses devaient lui plaire à en juger par le sourire qu'elle affichait. Évidement que ma prospection devint plus indiscrète par les larges ouvertures aux bras qui découvrait la naissance de ces ogives mammaire. Un spectacle ravissant dont je ne me lasse jamais.
J'ai quand même réussi à le lui remonté au-dessus du nombril pour caresser le bas de son dos et les reins. Du fait de sa cambrure je distinguais nettement les arrondis parfaits de ses fesses entourées d'un string dentelé.
Si ce n'est pas de la provocation ça, alors moi je n'y comprends plus rien!
Comment résister? Sachant que ma coquine dormait sûrement assommée par le petit Bandol rosé bien frais qu'elle à siroté sans modération.
Noyé dans mes rêveries, je suis redevenu attentif à mon environnement, alerté par des bruissements diffus. J'ai pensé à un sanglier ou un renard très présent dans la région.
Finalement ce sont deux paires de bottes qui se sont rapprochées de notre bivouac.
-Service départemental de prévention des incendies. On est étudiants, cest un job dété. J'espère qu'on ne vous à pas effrayé? Me disent-ils pour se présenter.
-Non regardez, ma femme ne s'est même pas réveillée.
Et en effet, ils reluquaient ma belle qui en se tournant dans son sommeil lourd, avait fait glissé son short découvrant un peu plus la dentelle de sa petite culotte. Son tee-shirt tirebouchonné laissait s'échapper un sein provocant.
Si vous n'êtes pas trop pressé je peux vous proposer de partager une bière ou deux au frais dans ma glacière, leurs dis-je, curieux de tester leur hardiesse. Ils me remercient et viennent s'assoir devant moi, de part et d'autre de ma chérie.
J'ai repris mes câlins sur ma belle tout en causant avec mes deux compères. Nous avons été bien surpris quand les yeux fermés elle s'est débarrassé de son petit short pour se retrouver sur le dos toujours inconsciente. Son mont de vénus saillant à peine voilé par un tulle léger était une incitation, une invitation pour chacun d'entre nous. Je me demandais le quel résistera à la tentation de s'emparer de ce bijou vivant pour le faire vibrer.
Mes deux compagnons fébriles faisaient des efforts désespérés pour suivre une conversation sensée.
A force de dorloter ma dormeuse j'ai fais remonté son marcel et en un mouvement agile je le lui ai retiré.
A présent ma coquine exposait son imposante poitrine que je recouvre de mes mains, rassurez-vous, non pour les masquer mais pour prolonger le massage. Je m'attarde délicatement sur les tétines qui se durcissent alors que les mâchoires de mes voisins manquent de se décrocher de leurs têtes.
-Messieurs, après la bière, je vous offre une liqueur sacrée que vous viendrez boire à sa source. Sitôt rassasié, je compte sur vous pour vous retirer et ne pas insister.
Le plus déluré devient audacieux et se place aux pieds de ma belle. En les séparant bien, il se faufile assez pour se retrouver le menton à la hauteur de sa vulve.
Ne constatant aucune opposition, il décide de retirer prestement la précieuse étoffe qui l'empêchait encore de coller sa bouche sur la chatte lisse tant convoitée.
Le voilà qui l'aspire, la lèche, lui bouffe le con sans retenue, elle, remonte ses jambes pour faciliter la besogne du gredin bientôt remplacé par le deuxième.
Je la vois se tortiller et me sourire pendant que les deux freluquets se relaient à sa fontaine de jouvence.
Comme convenu mais à regrets ils conviennent à se retirer en respectant notre accord.
-Ah mais non, mon chéri! Maintenant que je suis toute chaude il va falloir me faire l'amour et ces deux jeunes hommes me semblent très prometteurs.
- Pas de problème ma chérie, tes désirs sont des ordres! Les voilà ravis et de retour.
Le plus rapide à se défroquer viens s'agenouiller derrière ma belle dévergondée positionnée à quarte pattes, la croupe cambrée, augurant la saillie du jeune étalon qui brandit son braquemart trapu sur un abricot rutilant. Peut-être pour la prévenir de la charge qu'elle va devoir accepter.
Son membre dressé s'engage dans le sillon des fesses depuis l'intérieur des cuisses jusqu'après la rosette vierge puis n'y tenant plus, conduit par sa main, se présente contre le vagin de la mignonne et s'introduit sans hésitation pour la remplir entièrement. Sous la poussée du jeune mâle, elle ne peut réprimer un grognement rauque preuve de son exaltation.
Ses paluches enserrant les flancs de la chipie et il s'applique maintenant à la baiser dans une cadence fougueuse.
Le corps du garçon se tend, les traits de son visage révèlent les spasmes orgasmiques qui le traversent alors que son jus se répand pas jets puissants dans le ventre de la belle.
- Putain qu'elle est boooonnne! Profère-t-il en se retirant.
- Bouge! Viens vite me défoncer la chatte, mon chérubin! Dit-elle au suivant.
Le voilà aussitôt qui remplace son collègue. Il semble, par son rythme effréné, encore plus pressé que l'autre de conclure. Je perçois le clapotis de sa hampe dans le conduit du joli petit puis à foutre de ma putain. Apres quelques mouvements rapides il se colle à elle et tire sa crampe en feulant.
- Ouiiiii! La salope elle m'a vidé les couilles.
Lorsqu'il se détache, une coulée abondante s'échappe du con de ma femme et se reprend le long de ses cuisses.
Tous le temps qu'a duré cette culbute, je caressais lentement mon sexe bandé en attendant de pouvoir moi aussi, rajouter ma semence aux éjaculations des garçons.
Après ces hors-d'uvres je me positionne à mon tour au cul de ma chaudasse adorée pour rajouter du plaisir au plaisir déjà pris. Mon gourdin est englouti dans sa grotte d'amour et coulisse allègre, dans une matrice bouillonnante. Dans un rodéo fougueux c'est à mon tour de dominer la bête. Tenue par le cou, les cheveux je la dirige vers des sommets de réjouissance charnel quelle atteint accompagné de soliloques incompréhensibles.
Je décharge également de longues giclées, dans et sur ma chienne en chaleur préférée.
J'avais oublié les deux oiseaux emboités toujours présent et de nouveau au garde-à-vous, volontaire pour une deuxième tournée avec ma chipie toujours déchaînée.
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