Mon Premier Job, Ma Premiere Amante 1/2

Dès mes dix huit ans j’ai voulu travailler et quitter la maison familiale où je me sens étouffée, surtout par mon père qui ne veut me voir qu’en pantalons, interdiction d’avoir copains et copines et ma mère obligée de lui emboiter le pas ne fait rien pour me défendre
Mon premier job est serveuse dans un fastfood, rien de glorieux mais au moins je suis indépendante avec ma chambre de bonne, dès l’embauche ma vie a basculé, j’ai tout de suite trouvé une complicité avec ma patronne, une belle femme de trente ans qui m’a prise en mains.

- Laure, pas question de rester en jean pour le service, je t’ai préparé ton ‘uniforme ‘ viens avec moi pour l’essayage, il s’agit d’une jupe et d’un corsage
- La jupe est bien courte non ?
- Tu as l’air délurée, il faut être sexy pour inciter la clientèle masculine à revenir, plus tu sauras les aguicher plus je te récompenserais si mon chiffre d’affaires progresse
- Bien madame...
- Appelle-moi Juliette et passe cette jupe sur toi
- Maintenant ? ici ? devant vous ?
- Et alors ? je ne vois pas d’hommes dans cette chambre !
- C’est que mes dessous ne sont pas folichons …
- Ah, je vois, ne te fais pas de soucis je vais pourvoir à tout... oui c’est vrai que ton slip ‘petit bateau’ n’est pas de la première jeunesse je vais t’en donner un, rassure-toi il est neuf
- Il est très mini …
- Je sais, c’est un string, si par hasard un client aperçoit ta petite culotte elle doit également l’échauffer, je vais prendre très vite rendez-vous chez l’esthéticienne, cette toison hideuse brune doit en partie disparaitre, elle déborde de chaque côté du string
- Ah bon ?
- Regarde la mienne !
- Mais vous êtes totalement épilée ?
- Et je trouve ça très bien, tu y viendras toi aussi, à présent passons au corsage, enlève le soutien-gorge aussi
- Vous allez m’en donner un ?
- Pas du tout, ta poitrine n’a absolument pas besoin de support, j’aimerais encore posséder la même, mais on ne peut être et avoir été
- Pourtant votre corsage a l’air bien garni
- Tu veux que je te montre ? attends, ne mets pas ton corsage nous allons comparer

Je suis de plus en plus troublée par cette femme aux mœurs libres qui pense que je suis ‘délurée’ alors que je suis encore vierge, mais je suis en totale confiance

- Qu’en penses-tu Laure ?
- Elle est peut être un peu lourde mais ça vous va bien
- Elle me plaît ! et aux hommes aussi, c’est le principal ! touche mes seins …
- Alors palpez les miens dans ce cas !
- Ils sont très durs, comme les miens autrefois, tu as vu tes tétons comme ils sont allongés ? !
- Ça me fait des choses, jamais personne ne me les a touchés
- Tu veux dire que tu n’as pas de petit copain ?
- Avec mon père c’est chose impossible ?
- Mais alors ?
- Oui, je suis encore pucelle, tous les six mois je dois faire examiner mon hymen par un gynéco
- Mais c’est magnifique… je veux dire, cet examen tu ne le feras plus !
- C’est bien terminé, je veux profiter de la vie
- Compte sur mon mari et moi pour te soutenir
- Merci, vous êtes ma nouvelle famille… oh ! je crois que j’ai tâchée ma culotte !
- Rassure-toi moi aussi je viens d’avoirs des pertes naturelles ! reprenons-nous ! tiens, voilà du rechange

La première journée a été difficile, il me semblait que j’étais nue avec cette jupe courte qui laissait passer l’air sur ma minette à peine cachée par une étroite bande de tulle transpercée par les quelques poils ras qui me restent, il est certain que je fais de l’effet aux hommes accompagnés ou non, même à certaines femmes, aussi ai-je pris de l’assurance, j’ai défait un bouton de plus à mon décolleté qui dévoile à présent l’étroite vallée entre mes seins et fait un tour à la taille de ma jupe qui montre un peu plus mes cuisses, je ne dis rien lorsque je me fais frôler les fesses en débarrassant les tables, les allées sont pourtant assez larges pour passer à deux, je prends cela pour un hommage à ma tenue et à ma silhouette, à me voir aussi osée qui pourrait deviner que je suis vierge ! et , la clientèle se fidélise de plus en plus.



- Je suis très satisfaite de toi Laure, tu fais cela si naturellement et intelligemment que j’en suis bluffée ! aussi je vais t’augmenter et t’inviter à notre prochaine soirée entres amis
- Je n’ai rien à me mettre …
- Pas besoin de toilettes onéreuses, je te prêterais ce qu’il faut
- Merci Juliette… vos amis sont âgés ? il y a des célibataires ?
- Viens dans mon bureau, je vais t’expliquer ce qui s’y passe

Sa voix est devenue grave, son regard s’est troublé lorsque je me suis assise dans ce grand fauteuil confortable, je n’ai réalisé que trop tard que mon entrecuisse était bien visible je n’ai rien fait pour rectifier ma tenue. Juliette se tord les doigts ne sachant pas par où commencer.

- Vous vouliez me parler de vos soirées ?
- Oui, c’est exact, donc, nous nous retrouvons en petit comité le jour de notre fermeture, ce sont des gens triés sur le volet à qui j’accorde une entière confiance, leurs âges ? disons de vingt-deux à cinquante ans, certains sont effectivement célibataires mais ça n’a aucune espèce d’importance, tout le monde se mêle dans une ambiance formidable
- Se mêle ?
- Eeeeuuuuuhhh, voilà : nous sommes libertins mais personne n’est obligé d’accepter quelque contrainte que ce soit, je te propose de venir en simple spectatrice
- J’accepte volontiers Juliette !
- Formidable ! je veux te faire la bise ma chérie… reste où tu es …

J’ai laissé mes bras sur les accoudoirs lorsqu’elle s’est penchée pour m’embrasser sur la bouche qui s’est ouverte naturellement, sa salive mentholée est très agréable et les doigts qui cherchent à écarter l’élastique de mon string m’hypnotisent, comme une automate ma main cherche son entrecuisse, un instant surprise par son absence de culotte mes doigts trouvent sa fente en ébullition

- Avance-toi au bord du siège, je vais te manger l’abricot
- Oui Juliette …

A regrets je ressors les doigts que j’avais enfoncés dans sa chatte pour soulever mon derrière, elle a profité de ce court laps de temps pour tirer sur ma culotte, mes talons sur le coussin, les fesses à moitié dans le vide, écartelée, je sens son souffle chaud sur ma motte trempée, je porte mes doigts encore humides de son sexe à mon nez… ils sentent la femme, la vraie, je les suce avec gourmandise, comme je fais pour les miens lorsque je me masturbe tandis que sa langue sépare mes lèvres pour laper ma vulve.

Le dos arqué j’att sa tête pour qu’elle reste au bon endroit, c’est inutile, Juliette sait parfaitement où insister pour déclencher mon orgasme qui arrive très vite, j’ai l’impression d’uriner dans sa bouche sans qu’elle ne cherche à éviter le déluge odorant.

- Excuse-moi Juliette je n’ai pas pu m’arrêter
- Merci pour ce nectar virginal ma chérie !
- Je peux te poser une question ?
- Tout ce que tu voudras
- Je ne connais rien sur le sexe masculin …
- Évidement … suis-moi, inutile de remettre ta culotte trempée

Juliette m’a entrainée dans sa chambre insolite, des miroirs sont collés au plafond plus une grande armoire à glace, impossible de se soustraire aux reflets de nos personnes, je me suis assise sur le bord du lit très bas, tandis qu’elle sort un album d’un tiroir

- Tu vas faire la connaissance de Samuel, il a quarante ans
- Je connais ton mari !
- Pas sous cet angle-là ! aussi je te demande la plus grande discrétion
- Bien sûr… wouuuuuaaaaaaaaah …
- Comme tu dis ! il est beau hein ?
- Sa … son …
- Sa queue ? elle te plaît ?
- Elle est grosse
- Disons qu’elle est dans une bonne moyenne, dans nos soirées y’en a de plus imposantes, si tu veux nous pouvons organiser une entrevue tous les trois à la maison … tu pourrais ainsi découvrir sa verge à ta guise
- Il me dépucellerait ?
- Uniquement si tu y consens
- Je ne sais pas … ça fait mal ?
- C’est que du bonheur une bite comme la sienne !
- J’hésite, nous verrons …
- Laure ? tu aimerais me lécher ?
- J’allais te le proposer mais je ne savais comment m’y prendre !
- Tu es formidable ! allonge-toi entre mes cuisses je vais te guider
- Inutile, c’est inné, une femme sait faire !
- Alors surprends-moi !

Avec mes pouces j’ai séparé les deux pétales de sa chatte, c’est la première fois que je vois d’aussi près l’intérieur d’un vagin, des filaments limpides relient de nombreux picots, son clitoris est nettement plus gros que le mien, je décide de le cerner entre mes dents protégées par mes lèvres afin de ne pas la blesser, ma langue le bouscule de bas en haut, elle ondule du bassin, c’est gagné ! Deux doigts enfoncés dans sa chatte finalisent mon premier cunnilingus et font monter son orgasme.


- Petite peste, tu sais mieux faire que Samuel !

Inutile de répondre, stopper compromettrait tout mon travail, je vais la faire décoller vite fait, j’intensifie les frottements de sa paroi vaginale trempée et mordille carrément son bouton, elle se cabre et cherche à se soustraire à mes investigations, c’est gagné, je reçois en plein visage un long jet doré et salé, je me jette à sa tête pour l’embrasser et lui faire partager son odeur intime.

- Petite salope tu vas faire une bonne recrue ! Zut ! Il est déjà l’heure d’aller bosser !
- Je ne remets pas de culotte !
- Inutile ! ce soir je te prêterais des vêtements appropriés

L’après midi a été long, excitée, je boue intérieurement sachant que ce soir j’allais faire un grand pas en avant en ayant à disposition une belle verge, comment aurais-je pu gifler l’homme qui m’a furtivement caressé mes fesses nues lorsque je déposais les plateaux sur le chariot ! Je l’ai bien cherché en me baissant plus que de raison, sitôt les derniers clients partis Juliette me fait signe de la suivre.

- Samuel nous attend, tu vas revêtir ceci
- C’est quoi ?
- Un porte-jarretelles, des bas, un mini slip et son soutien gorges assorti
- C’est tout ?
- Tu vas être encore trop habillée ! Samuel est en slip sous sa robe de chambre, soyons à armes égales ! c’est toi qui va lui retirer son boxer
- Je n’oserais jamais …
- Que si ! moi je vais mettre qu’un paréo, regarde comme tu es excitante …
- Je ressemble à une pute !
N’emploie pas ce mot-là, une pute se fait payer, allons-y, soit naturelle, comme tu sais l’être en salle

A SUIVRE ...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!