Une Aventure Érotique : La Manif.

Le premier mai c'est la fête du travail et comme chaque année Corinne se rend à la manif organisée par les syndicats ouvriers de sa ville. La jeune fille de vingt cinq printemps n'est pourtant pas issue de ce milieu, bien au contraire, dans sa famille c'est plutôt « vieille France » avec des idées bien encrées du côté droit de l'échiquier. Mais Corinne s'est toujours sentie différente des siens, attirée par ces hommes et ces femmes qui travaillent dans la sueur plutôt que dans les bureaux climatisés des salles de direction.

Corinne ne travaille pas, elle est rentière, elle pourrait n'avoir rien à faire de tout cela mais c'est plus fort qu'elle, l'ambiance des manifestations elle adore… Elle raffole surtout de ces hommes virils, musclés par le labeur. Elle aime leurs tatouages, leurs pectoraux saillants et leurs visages burinés. Les entendre parler avec leurs blagues salaces l'émoustille et elle s'encanaille volontiers parmi eux. Elle n'a d'ailleurs pas de mal à être acceptée dans leur cercle… Faut dire que la jeune fille a tout pour plaire : une taille de guêpe, de longues jambes galbées mises en valeur par une jupe courte, des seins arrogants moulés dans un tee shirt, une longue chevelure bouclée, des yeux de biche bleu turquoise et un visage adorable. Ajouté à cela une façon de se tenir et de marcher qui lui donnent des airs aguicheurs, vous comprendrez aisément que la belle à un succès certains avec les hommes.

A chaque manifestation elle se fond dans le cortège et hurle à tue-tête les slogan, déclame à pleine voix les chants partisans. Elle se faufile là où la foule est le plus dense pour sentir les corps plus proche d'elle, il lui est déjà arrivé plusieurs fois de se faire palper par des mains vicieuses et elle a adoré cela… Cette fois-ci les choses sont allées plus loin, elle s'est retrouvée coincée par un groupe d'hommes d'une cinquantaine d'années qui parlent forts, visiblement grisés par l'alcool… A la vue de cette minette les phrases graveleuses fusent et les rires se déploient.

Loin d'effrayer Corinne tout cela lui fait au contraire monter son excitation. Les propos égrillards lui font rosir les joues…

S'apercevant que la jeune fille au lieu de s'échapper reste là sourire aux lèvres, minaudant, les cinquantenaire poussent plus loin la chose et se font plus pressants. Quelques mains aux fesses, quelques caresses furtives sur les seins, sur les cuisses, sur les bras… La situation devient plus sensitive et érotique pour Corinne.

Un gros barbu la prend par les épaules et l'attire contre lui, Corinne sent le gros ventre contre ses seins, un de ses doigts épais se faufile dans la petite culotte de la jeune fille…

- Oh oh les gars, mais c'est tout mouillé entre les cuisses !

- Oh la salope ! Dit un autre ouvrier.

- Quelle petite putain ! Rajoute un autre.

Les mots orduriers loin de vexer Corinne, l'émoustillent… Elle soulève alors sa jupe et leur dit :

- Allez y les gars, je n'en peu plus…

Le gros barbu la soulève alors et lui dit :

- Allez viens avec nous, on ne va tout de même pas faire cela là en pleine rue.

Et voilà que Corinne est amenée dans l'arrière salle du troquet du coin.

Ils sont sept à lui faire face : Le gros barbu, le patron du bistrot, un type à la tête rasée et au bras remplis de tatouages, un maghrébin petit mais costaud, un grand noir hyper baraqué au visage sévère, un ancien travailleur visiblement retraité et enfin un mec quelconque.

Couchée sur une table, les jambes écartées, la jupe relevée, Corinne se sent à la merci des ouvriers, son fantasme qu'elle avait toujours espéré malgré elle est en train de se réaliser…

Les hommes sortent leur sexe, ils sont un peu de toutes les tailles mais ils plaisent tous à la jeune fille… Le gros barbu, toujours le plus entreprenant, s'approche d'elle et présente son membre de longueur moyenne mais extrêmement épais à sa bouche. Goulûment elle le gobe et s'en délecte. Pendant ce temps elle sent des mains la palper de partout et une bouche, celle du petit vieux, lui brouter le minou. Corinne est alors tellement excité qu'elle jouit immédiatement. Ses soubresauts n'échappent pas à ses amants qui redoublent de vigueur à la vue de la salope qu'elle est.

S'ensuit une partie de jambes en l'air mémorable, un véritable gang bang est offert à Corinne. L'un après l'autre les hommes la saillissent. Elle ne compte plus les orgasmes que cela lui procure. La table devant son minou est trempée de sa mouille, comme si elle y avait pissé dessus !

Pour finir les sept hommes se présentent autour d'elle et éjaculent sur son corps parfait en poussant des cris de bêtes…

La journée et la chatte de Corinne ont été bien remplies… Elle ne regrette rien de tout ce qui c'est passé. Le plaisir a été immense, jamais elle n'avait ressentis de tels orgasmes… C'est juré, à la prochaine manif elle remet ça !