Une Bien Jolie Serveuse
Je massoie à une table dun café restaurant, regarde distraitement par la fenêtre.
- Monsieur ! Vous prendrez quelque chose, Monsieur ?
Sa douce voix me fait sursauter. Je sens mon sexe se durcir malgré lui. Dingue leffet quune belle voix peut avoir sur moi. Je reprends mes esprits :
- Euh, oui. Une limonade bien fraiche.
Jaurai bien besoin de ça pour refroidir mes ardeurs. Dautant que ses seins, ne sont pas très gros mais on les devine très bien proportionnés.
- Euh, Monsieur ? Ce sera tout ?
Je sens de la gêne dans sa voix. Il faut dire que je fixais ostensiblement sa poitrine. Je croise les jambes pour essayer de dissimuler mon érection. Merde, elle me fait craquer cette fille. Quest-ce quelle est mimi ! Je la regarde, lui adresse un sourire. Elle me sourit timidement.
- Oui, merci. Vous êtes très jolie, Mademoiselle.
Elle rougit jusque aux oreilles :
- Merci. Vous êtes beau garçon vous-même.
Quest-ce que jai ? Ya même pas cinq minutes, jétais claqué après une dure journée au bureau, et là jai une pêche denfer. Elle séloigne ! Mon Dieu, ce cul !
Je ny tiens plus, je vais vite au WC et me masturbe. Trois petits coups, et, je gicle presque instantanément, jai bien fait, sinon ! Jaurai joui dans mon froc. Je sors des WC. Un homme se lave les mains, il me regarde bizarrement. Il a dû mentendre jouir, je nai pas été très discret.
Je me lave les mains rapidement et retourne à ma table. Je suis déjà servi. Je pousse un soupir de dépit. Merde je sens que je vais encore bander. Je lui fais signe, elle vient me voir :
Je la regarde passer dune table à lautre, lair pensif. Peut-être pense-t-elle à moi ? Elle vient de me regarder, non ? Elle a lair troublée, ça mexcite. Un client linterpelle, énervé :
- Mademoiselle ! Mademoiselle ! Ca fait cinq minutes que jappelle !
Elle sexcuse et se dirige vers la table.
- Tout va bien, Monsieur ?
Elle sen va sans même attendre la réponse, elle a lair davoir la tête ailleurs. Elle na même pas attendue ma réponse. Je la regarde séloigner. Cest moi ou elle roule du cul ? Ce nest pas possible, elle veut mallumer ! Non, je me fais des idées. Oh, non, il va falloir que je retourne au WC. Elle va finir par se douter de quelque chose. Une pensée me traverse lesprit : Ce serait plus agréable si elle venait me sucer. Mais à quoi je pense moi ? Bon cest décidé je vais me soulager, je déraille complètement.
Je me lève.
- Vous allez bien, Monsieur ?
Je sursaute, retombe sur mon siège. Je ne lai pas entendu approcher. Quest-ce quelle fait là, il y a dautres clients à servir pourtant. Je bafouille :
- Euh, oui ça va, merci. Un peu fatigué, mais ça va.
Elle me regarde avec une expression soucieuse. Arrêtes ça immédiatement, je vais te prendre là, tout de suite, si ça continue.
- Vous êtes sûr que tout va bien ?
- Oui, oui.
Je rajoute sans réfléchir :
- Vous faites des sucettes ou les bonbons ici ?
Elle écarquille les yeux :
- Euh, non, Monsieur, nous nen vendons pas.
Je rougis jusque aux oreilles. Pourquoi jai dit ça bon Dieu ! Jespère quelle na pas compris. Elle va me prendre pour un pervers :
- Euh
ah
Cest dommage.
Je toussote :
- Euh, je dois y aller là.
- Ah ? Mais ! Monsieur ! Vous navez pas fini votre consommation. Ok, Je vous apporte laddition ?
- Euh, non, je voulais dire. Euh
Je dois aller
Enfin, vous voyez.
A son tour de rougir :
- Oh, excusez-moi.
Elle sécarte. Je sens sa poitrine près de mon bras, me retiens de la palper, de létreindre et lembrasser fougueusement. Jentends son souffle. Jai limpression quil sest fait plus haletant, plus court.
- Arrête de rêvasser sur les garçons et va plutôt servir les clients !
- Oui, oui, tout de suite, patron.
Je sens bien quelle doit être aussi rouge de honte que moi, jai limpression de sentir de lexcitation aussi. Vite, il est temps de me vider lesprit, et surtout autre chose.
Je sors des WC, vidé, je suis mieux. Jai un peu la tête dans le coton. Je scrute la salle, je la cherche des yeux. Je laperçois à une table, elle se penche pour servir des clients. Mes yeux sarrêtent sur ses fesses, sa jupe. Je cherche frénétiquement à apercevoir la moindre parcelle de culotte.
Je bande à nouveau, je soupire ! Ce nest pas possible, ça ne va jamais sarrêter ? Jai bouffé une boite entière de Viagra ou quoi ? Je dois me sortir cette fille de la tête. Oublier son visage, ses traits qui se déforment de plaisir alors que je lui fais lamour. Oublier ses gémissements. Oublier ses seins qui se trémoussent au rythme de notre étreinte. Oublier le bruit de ses fesses qui claquent sur mes cuisses. Oublier son sourire, ses yeux brillants de désir, sa main sur ma joue.
Plus jessaie de me la sortir de la tête, plus elle sy enfonce. Et mon sexe qui me fait mal tellement il est dur. Il me hurle de le sortir de mon pantalon. Je cours presque vers ma table. Tout le monde me regarde. Elle aussi. Non, pas ces yeux, elle me tue, jai vraiment envie delle.
Jengloutis ma limonade dune traite, espérant que ça me calmera. Nouvel échec. Je sors un magazine érotique dans mon sac il maidera peut-être. Je le regarde discrètement ! Non, il ne me donne même pas envie. Ces filles à côté delle, me paraissent banales, vulgaires. Et, dun coup, tous les visages deviennent les mêmes, les corps aussi. Jhallucine ! Je la vois à toutes les pages du magazine.
Je pose le magazine sur la table, et je meffondre la tête la première sur cette dernière.
Elle sapproche. Elle a lair troublée, excitée. Mais cest surement mon imagination qui me joue des tours. Elle marche bizarrement, on a limpression que quelque chose la gêne entre ses cuisses. Elle mouille, jen suis sûr. Non, arrêtes de timaginer des trucs, espèce de pervers ! Elle me demande :
- Oui ? Vous désirez ?
Elle me regarde fixement, je la sens frissonnante de plaisir, denvie de moi ? Je la regarde moi aussi. Oh, mon Dieu, cest un ange, sa voix, son visage, ses formes. Je la veux toute entière. Nos yeux se croisent. Je narrive pas à en décrocher. Nous restons ainsi longtemps. Sa collègue finit par la pousser du coude. Elle sort de sa transe. Moi aussi par la même occasion :
- Bon alors, tu prends la commande ou tu lui sautes dessus ?
Son ton est taquin mais je sens que mon ange se sent perdue :
- Euh, désolée, jétais ailleurs.
Jai envie de gifler cette fille pour oser mettre mon ange mal à laise et en même temps envie de lui dire merci. Je vois leurs yeux se poser sur la table. Lautre fille à un sourire moqueur. Mon ange détourne les yeux en rougissant. Je me souviens alors du magazine sur la table.
Non ! Je vais passer pour un pervers fini auprès delle ! Jessaie de le ranger maladroitement, il me tombe des mains, glisse sur le sol. En plein milieu de la salle. Lautre serveuse le ramasse et me dit :
- Monsieur ! Je crois que cest à vous ?
Je sens quelle est prête à exploser de rire. Le patron gronde :
- Alors ! Tu ne vas pas te mettre toi aussi à buller quand même ? Il a quoi de spécial ce client ?
- Ok, patron.
Elle se tourne vers moi :
- Bon je vais prendre moi-même votre commande, je sens que ma collègue est pour linstant indisposée.
Je suis très étonnée dentendre la fille de mes rêves se hâter de dire en prenant le bras de sa collègue :
- Non, non, cest bon, je men occupe pas de problèmes !
Elle se fige, rougit. Lautre serveuse la regarde et lui dit :
- Comme tu veux ma jolie, mais soit rapide, car le patron te regarde, je taurais prévenue.
Elle séloigne et nous laisse seuls dans un silence gêné. Enfin elle dit :
- Euh ! Oui, commandez quelque chose, peut-être, sinon je vais encore me faire engueuler.
Latmosphère se fait pesante. Jaimerais trouver quelque chose à dire mais ma tête est vide. Ou plutôt elle est pleine de son image. Je me contente alors de dire que je veux une autre limonade. Elle note ma commande puis sapprête à partir. Jai limpression quelle ne veut pas, quelle voudrait rester là. Elle sarrête et se retourne pour me dire :
- Nen veuillez pas à ma collègue, elle aime taquiner les gens mais elle nest pas méchante.
Je lui souris. Je suis sûr que ce nétait quun prétexte pour rester un peu plus. Je respire. Je me rends alors compte de la tension nerveuse et aussi sexuelle qui régnait pour moi. Jarrive à me calmer en fixant mes mains et laisse mes pensées vagabonder.
Est-ce que je vais réussir à terminer mon boulot au bureau ? Est-ce quelle a les seins fermes, doux ? Est-ce quelle aime quon la lèche ? Ou peut-être préfère-t-elle quon lui masse la poitrine ? Ou quon lui doigte la chatte ? Je sursaute en mapercevant que je suis à nouveau en train de penser à des trucs inconvenants. Elle est si mignonne et puis elle a lair sympa, pourquoi je ne pense quau sexe ? Je murmure :
- « Pervers
Je suis un pervers »
- Pardon monsieur ?
Je sursaute à nouveau. Elle est à côté de moi. Quest-ce quelle fait là, elle mespionnait ? Elle est là pour me tenter ? Cest un test ? Elle pose ma consommation devant moi :
- Tenez.
Bien sûr. Cest pour ça quelle est là. Quest-ce que jimagine. Elle reste penchée vers moi, le verre à la main. Je ne peux mempêcher de fixer son décolleté, dimaginer les trésors qui y sont cachés.
- Vous allez bien monsieur ? Vous avez lair bizarre. Vous voulez quon appelle un médecin ?
- Javale une gorgée, et lui répond ;
- Non, non, ça ira. Merci, mon ange.
Je me fige en réalisant ce que jai dit. Elle rougit. Le nom à lair de lui plaire. Je bafouille une excuse :
- Non, mais vous comprenez vous êtes si belle. Je veux dire votre poitrine ! Euh non, vos yeux.
Je menfonce tout seul. Elle ne dit rien.
- Enfin vous savez quoi, vos cheveux, votre nez, vos lèvres, vos courbes. Euh
Mais quest-ce que je raconte ? Elle rougit de plus belle puis me murmure :
- Merci, cest très gentil.
Jessaie de sauver les meubles :
- Cest normal. Vous illuminez la salle, vous méritez ces compliments.
- Merci. Vous voulez autre chose ?
- Oui. A quelle heure vous finissez ? Jaimerai beaucoup sortir avec vous.
Mon Dieu, je lai dit, cest la fin, mon monde est suspendu à ses lèvres, prêt à sécrouler. Elle bafouille :
- Euh ! Oui pourquoi pas, on peut toujours aller prendre un verre. Mais, ailleurs quici, bien sûr.
Je souris : je naurais jamais cru quelle accepterait ! En partant elle me dit en madressant un sourire mystérieux et un peu coquin :
- Je finis à 18h30.
Elle retourne au comptoir. Elle a accepté. Je ny crois pas. Elle a accepté. Je vide rapidement mon verre et me dépêche de partir. Elle minterpelle. Je me fige. Elle a changé davis !
- A plus tard. Me dit-elle.
Ces quelques mots sont comme du miel pour moi. Je fonds. Je reste figé en travers de la porte quelques instants puis me réveille :
- Euh, oui, à plus tard.
Je pars. Elle a dit quelle heure déjà ? 18h30 ? Il est déjà 17h ? Mince je naurais jamais le temps. Je me dépêche de rentrer chez moi. Je prends une douche rapide. Je me change, passe un temps fou à trouver des vêtements. Enfin, je me décide et pars en trombe. Il faut que je trouve un truc à lui offrir, un bouquet ? Non, les fleurs cest périssable. Des bonbons alors ? Je me marre en imaginant sa tête, on oublie les bonbons ou les chocolats. Je passe devant un magasin de lingerie.
Je lui achèterai bien ce petit ensemble ! Dommage je ne connais pas sa taille. Et puis elle va peut-être mal le prendre, je ne crois pas. Je me décide à lacheter, ça peut toujours servir. La vendeuse maide à estimer pour la taille. Cela lamuse. Je men vais, range le paquet dans mon sac. Faut que je trouve autre chose. Tiens une boutique de bijoux fantaisie, il y en a des mignons. Je prends une belle barrette bleutée. Cest joli, et pas trop cher, jespère quelle aimera. 18h15, je vais être en retard. Je ne veux pas la rater.
Je me dépêche. Jarrive haletant à proximité du bar. Jai combien de retard ? 6-7 minutes ? Jespère quelle nest pas déjà partie ? Non ! Je laperçois sur un banc. Jessaie de reprendre mon calme. Je me rapproche delle :
- Salut ! Désolé pour le retard.
Je vois quelle fixe mon sac :
- Ah ouais, ça cest une de mes mauvaises habitudes. Je me promène souvent avec un sac. Une vraie bonne femme.
Je remarque alors quelle a aussi un petit sac ! Jai fait une gaffe. Elle sourit. Ouf, sauvé. Pourvu quelle ne demande pas ce quil y a dans le sac.
- Tu mets quoi dedans ? Me demande-t-elle.
Perdu ! Bon, je ne vais surtout pas dire que jai de dessous coquins pour elle et que jaimerais la voir les essayer.
- Oh divers choses pour me changer, des bas et un soutif !
Mais quest-ce que je raconte ? Elle pouffe. Elle ne ma pas pris au sérieux. Si elle savait. Je me ratt comme je peux :
- Je mets des trucs pour passer le temps dans les transports, mon baladeur MP3, une console portable, des bouquins, ce genre de trucs.
- Ah. Ok.
Je sens quelle sen fiche complètement, elle me dévore des yeux. Cest terriblement excitant :
- Oh, et aussi une jolie barrette que jai vue dans une vitrine.
Je lui tends le paquet :
- Jespère que ça te plaira.
Elle le déballe avec excitation :
- Cest très joli !
Je ne sais pas si ça lui plait mais elle fait bien semblant :
- Pas autant que toi.
Elle rougit, murmure :
- Merci cest très gentil.
Quest-ce quelle est chou ! Elle met la barrette dans ses cheveux, ça lui va très bien. Enfin, tout doit bien lui aller, de toutes façons. Je lui tends mon bras :
- Tu viens ?
Elle glisse son bras sous le mien. Je sens sa poitrine. Lexcitation monte entre mes cuisses. Je rougis, tousse un peu et lui demande :
- On va faire un tour où ? Je taurais bien proposé un bar mais je pense que tu as eu ta dose pour la journée !
Nous rigolons tous les deux. Je ressens un immense bonheur de la savoir heureuse. Pourvu que ça dure ! Nous marchons dans les rues, nous parlons de tout et de rien. Nous passons devant des vitrines, elle me dit :
- Regardes cette chemise, elle tirait bien.
Je réponds un bref oui tu crois, sans la quitter des yeux, ça la fait rougir. Nous repartons dans notre promenade. Nous passons devant diverses boutiques qui ne mintéressent pas plus. Enfin pas plus quelle en tout cas. Jai le regard braqué sur elle. Elle a lair gênée mais aussi flattée. Et peut-être même excitée. Elle me demande :
- Tu nas pas lair de beaucoup aimer regarder les vitrines ?
Je la regarde encore et réponds :
- Toi ! Tu es trop plus belle à regarder.
- Merci ! Tu voudrais aller ailleurs ? me dit-elle.
Je me retiens de répondre : On va à lhôtel ? Quest-ce quelle est craquante ! Je ne peux la quitter des yeux. Et je crois bien que je ne la laisse pas indifférente. Sa démarche, ses mouvements, sa voix, trahissent une excitation contenue. Je réfléchis un instant et répond :
- Si on allait au parc, pas loin ? Cest un coin agréable. Et tranquille, pensais-je pour moi-même.
- Oui ! Pourquoi, pas. Ça a lair sympa comme idée.
Nous arrivons au parc. Il ny a presque personne. Nous croisons juste un ou deux couples qui se bécotent. Nous rougissons. Enfin, nous nous asseyons sur un banc dans un coin isolé. Je ne peux mempêcher de glisser un regard vers sa jupe. Un silence pesant sinstalle. Je cherche vainement un sujet de conversation. Mais cest finalement elle qui brise le silence :
- Euh, tu
.
- Oui ?
Quel imbécile ! Jaurai du trouver autre chose à répondre
- Tu viens souvent par ici ?
Je la regarde encore un peu et fini par répondre :
- De temps en temps à la pose, mais pas très souvent.
Je me rapproche delle. Mon bras la frôle délicatement. Elle demande :
- Tu avais lair troublé au bar tout à lheure, quelque chose nallait pas ?
Je me retiens de la prendre par la taille, de la caresser et lembrasser. Elle est si désirable ! Elle me regarde, attendant ma réponse. Je sors alors de ma rêverie :
- Euh, je
Jétais fatigué. Une dure journée au bureau.
- Oh, désolée ! Tu veux rentrer pour te reposer ?
- Non, non, ne tinquiètes pas. Cétait plus psychologique quautre chose. Et je suis trop bien avec toi. Ta simple vue ma revigoré.
Je me fais plus entreprenant, me décide enfin à saisir son menton délicat alors que je plonge mon regard dans le sien
Ma verge me fait mal. Ma main saventure sur sa cuisse avant que je ny ai pensé. Aie, jai peut-être été trop loin. Je ferme les yeux et approche mes lèvres des siennes. Je sens ses lèvres toucher doucement les miennes. Ce premier baiser est plein dune passion contenue trop longtemps. Mais aussi très doux.
Je retire enfin mes lèvres avec une pointe de déception, jaurais voulu faire durer ce moment une éternité. Elle me sourit, je lui retourne son sourire. Elle sapproche alors à nouveau de moi et notre second baiser se fait fougueux. Je devine quelle est aussi excitée que moi, car, elle me caresse le dos. Je pose mes mains sur sa taille, lui caresse les fesses, puis les seins, elle frissonne. Je lembrasse avec plus dardeur et ma main descend entre ses cuisses. Je sens lhumidité de ta culotte. Enfin nous nous séparons et elle me demande :
- On va ailleurs ?
Je déglutis avec peine, retenant mon envie de la prendre là, tout de suite :
- Oui, allons chez moi, si tu veux bien. Ce nest pas très bien rangé mais on sera tranquille. En plus ! Jai follement envie de toi.
- Je lavais bien compris, répond-t-elle en souriant.
Sa main se pose sur mon sexe. Je suis surpris par tant daudace :
- Et je remarque que, tout ton corps me le crie
Je ne me retiens plus, caresse son téton à travers son haut. Je sens quil est durci. Je dis dun ton taquin :
- Le tien aussi parle très fort
Nous nous allongeons sur le banc. Ses mains caressent mon dos, mon torse, mes fesses. Puis elles commencent à détacher ma ceinture. Nous perdons pieds. Une de mes mains est posée sur son sein et lautre caresse son entrejambe avec délicatesse. Elle est la première à récupérer ses esprits. Elle sextrait tant bien que mal de dessous moi et dit :
- Pas ici ! Allons ailleurs. Jai très envie de visiter ton appartement.
Je sens lurgence dans sa voix. Je crois quelle ne va pas beaucoup regarder mon appartement. Je referme ma ceinture et murmure sans la quitter des yeux :
- Oui, bien sûr, je vais te faire visiter. Tu vas adorer, je suis sûre.
Nous allons directement à ma voiture. Nous y montons. Je démarre et je sens ses mains se poser sur moi. Une main qui monte doucement vers mon sexe, le caresse. Puis elle défait ma ceinture, ouvre mon pantalon et me masturbe à travers mon caleçon. Jai du mal à me concentrer sur la route, heureusement quil ny a pas beaucoup de monde. Elle me dit :
- Concentres-toi sur la route, je fais le reste.
Elle sort mon sexe. Cest une délivrance pour moi. Elle le caresse doucement, puis de plus en plus vite. Elle se penche pour commencer à le sucer pas facile avec la ceinture de sécurité. Malheureusement nous arrivons à mon appartement.
Je me gare, arrête le moteur. Elle veut se relever mais je la retiens, caressant sa chevelure, jouant avec la barrette que je lui ai offerte :
- Continues, cest si bon.
Je sens son sourire alors que ses lèvres continuent à jouer avec mon sexe. Je caresse son dos, ses fesses. Elle prend délicatement ma verge en bouche. Je sens le plaisir monter en moi, jessaie de le retenir tant bien que mal. Mes doigts remontent sa jupe, poussent sa culotte trempée. Puis ils saventurent sur sa rondelle, que je sens prête à souvrir.
Je plonge alors dans sa chatte qui est aussi humide que je le pensais. Elle pousse un petit gémissement puis me suce avec une ardeur renouvelée. Jéjacule. Mes doigts écartent sa chatte et mon majeur frotte son clitoris. Elle avale puis me branle doucement en léchant mon gland vibrant de plaisir. Une dernière giclée arrive sur son beau visage. Je lessuie du doigt et elle suce ce dernier en fermant les yeux. Je me sens honteux. Mes doigts continuent à caresser son intimité et je bafouille :
- Je suis désolé ! Je ne sais pas ce qui ma pris.
Elle sourit :
- Tu as aimé ?
- Oh, oui
Elle me caresse les bourses avec douceur, son sourire se fait coquin :
- Il yen a encore en réserve ?
- Tant que tu voudras !
- Tu me le jures ?
- Oh oui, enfin, je lespère !
Elle me branle un peu et suçote mon gland. Un râle de plaisir séchappe de ma gorge. Puis elle membrasse :
- Alors si il en reste, tout va bien, parce que moi, jai adoré.
Elle se redresse enfin. Je sens que je ne vais même pas débander. Elle rajuste sa jupe, enlève sa culotte et me la tend :
- Cadeau, de toutes-façons elle est trop humide maintenant. Et puis ça te rappellera ta promesse !
Elle sort de la voiture :
- Alors ! Tu me montres ton chez toi ?
- Oui, oui, bien-sûr !
Lexcitation se ressent dans ma voix. Je tente tant bien que mal de ranger ma queue bandée, cela lamuse. Puis je sors de la voiture et nous nous dirigeons vers la porte de mon immeuble.
Nous entrons dans le hall et appelons lascenseur. Ses mains frôlent furtivement mon entre-jambe pendant lattente. Je lui adresse un sourire. Lascenseur arrive, nous entrons et, à peine la porte refermée, nous nous embrassons à nouveau. Nous arrivons à mon étage. Nous entrons, elle jette un bref coup dil à lensemble, mais pense visiblement à autre chose. Je lui propose un verre, elle me répond :
- Quelque chose de bien frais, alors !
Quelque chose de bien frais. Je ne sais même plus ce quil y a dans mon frigo, je ne peux penser quà elle. Machinalement je demande :
- De lalcool, ça te va ?
Je peux sentir son sourire moqueur et coquin quand elle répond :
- Juste un doigt.
Je pouffe et répond, avec tout laplomb dont je suis capable :
- Ah ? Tu ne veux pas boire quelque chose avant ?
Nous éclatons de rire. Un rire si empli de désir que latmosphère devient brulante. Je lui amène un verre vide. Elle ny prête pas plus attention que moi. Nos regards forment un brasier incandescent. Je jette le verre sans y penser. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons longuement.
Le bruit du verre cassé ne nous dérange même pas. Enfin, je la porte jusquau lit, la dépose et mallonge à ses côtés. Je caresse son ventre. Elle commence à se déshabiller. Je pense alors à lensemble que jai pris pour elle. Je pose un doigt sur ses lèvres :
- Je reviens, jai un cadeau pour toi. Un cadeau pour nous deux.
Je souris et me relève, la laissant perplexe, impatiente, excitée. Je reviens avec le paquet, le lui tend :
- Tiens, cest pour toi.
Elle sapprête à louvrir :
- Non, non, va plutôt dans la salle de bain. Tu comprendras ! Je vais me déshabiller en tattendant.
Elle ne comprend pas mais sent bien que ça me plait. Elle se relève alors doucement, sensuellement et se diriges vers la salle de bain avec un petit signe de la main et un clin dil qui en dit long. Quest-ce quelle peut être érotique dans sa manière dagir ! Je me déshabille bien vite et lattend impatiemment, me retenant de me branler pour mieux pouvoir être à elle.
Quand elle ressort de la salle de bain, je constate quelle na pas fait quenfiler lensemble mais quelle aussi retouché son maquillage.
Ça lui donne un petit air de cochonne, juste ce quil faut pour me rendre fou. Elle sapproche du lit avec une démarche provocante. Je la regarde, hypnotisé. Elle me demande avec un air coquin :
- Je te plais comme ça ?
- Oui !
Elle monte sur le lit et commence à me caresser les jambes. Je me retiens et reste immobile. Ses mains remontent vers le haut de mon corps, puis elles sapprochent de mon sexe qui ne tarde pas à durcir. Elle le caresse. Enfin elle pose sa langue sur mon gland et le lèche avant davaler ma verge. Je me redresse et ladmire sactiver sur mon sexe. Je caresse ses épaules. Mes doigts frôlent ses seins à travers létoffe de son bustier. Je gémis sous les caresses de sa langue :
- Doucement ! Si tu continues comme ça je vais à nouveau partir avant quon ait pu aller plus loin.
Sa seule réponse et de sortir ma verge de sa bouche, de la caresser et de donner un long et lent coup de langue tout le long de celle-ci avant de lavaler à nouveau. Je ne peux me retenir de presser sa nuque pour me sentir bien loin en elle. Elle ne se fait pas prier pour mavaler davantage. Et même quand je commence à lui donner de légers coups de hanches, elle ne proteste pas, bien au contraire. Je me calme enfin. Je saisis délicatement son visage et la relève face à moi, lembrasse tendrement. Des larmes démotion me viennent de la savoir ici, face à moi, offerte :
- Je
Je suis désolé
Je narrive pas à me retenir.
Cette fois-ci cest elle qui membrasse, puis madresse un sourire mutin :
- Ce nest pas grave, jaime beaucoup ta queue. Et le goût de ton sperme aussi.
Je rougis, pensant à ma piètre performance dans la voiture :
- Oui, mais jaimerais tant que tu me sentes en toi.
Elle rit doucement, gentiment :
- Si ce nest que ça.
Elle sassoit sur moi, létoffe de sa culotte frotte mon sexe dressé, le tissu est déjà trempé. Elle mouille à nouveau. Ou peut-être na-t-elle jamais arrêté. Je murmure :
- Jaimerais tant pouvoir jouir aussi longtemps que toi, ne jamais avoir à arrêter de tétreindre, de sentir tes caresses.
Elle ne répond pas mais pousse un petit gémissement de plaisir. Elle à ses bras autour de mon cou, sa tête est contre la mienne, je sens son souffle, ses lèvres sur ma nuque. Jécarte délicatement létoffe en dentelle, guettant sa réaction.
Elle descend un peu plus son corps, les lèvres de sa chatte entourent la hampe de ma verge, elle me masse le sexe avec lentrée du sien.
Je dégage un sein de son bustier, lui suce le téton. Je finis par arracher son haut pour pouvoir prendre sa poitrine à pleines mains. Elle laisse alors mon sexe entrer en elle en poussant un gémissement. Jaccélère de plus en plus ma pénétration et elle mencourage. Puis elle gémit. Je fais de mon mieux pour la satisfaire mais elle a lair den vouloir toujours plus
Je sens que je vais à nouveau éjaculer. Je lui dis alors :
- Je ne peux pas me retenir ! Je suis désolé, je nen peux plus ! Je vais jouir !
Elle se retire alors et lèche le bout de mon gland. Jai honte ! Je lai prise comme un sauvage. Mais cétait tellement bon ! Et maintenant la sensation de sa langue sur ma queue. Je jute abondamment. Elle en reçoit sur le visage, les seins, dans la bouche. Je me masturbe violemment et de nouveaux spasmes parcourent ma verge. Je suis complètement vidé, essoufflé.
Un râle sourd sort de ma gorge, ma nuque se contracte et mes yeux se ferment. Je sens ma bite ramollir entre mes mains alors que je reste ainsi, figé. Quand je sors de ma transe elle est face à moi, un sourire satisfait sur les lèvres.
Une envie soudaine de la prendre à nouveau en lui disant des mots crus.
Je résiste tant bien que mal. Déjà que jai abimé la lingerie que je lui ai offerte ! Mais mon sexe parle pour moi et je vois son regard plein de désir alors quelle fixe ma main qui se remplit à nouveau de ma hampe qui se dresse.
Elle me suce alors de plus bel et je ne tarde pas à être aussi raide quavant. Je caresse sa chatte trempée alors quelle me suce avec vigueur. Jenfonce mes doigts en elle. Elle pousse des gémissements assourdit par mon sexe. Elle se relève. Je la saisis alors et lallonge sur le dos avant de la pénétrer avec fougue. La culotte quelle porte toujours ne supporte pas nos assauts elle est prête à craquer. Je veux marrêter pour lui ôter mais elle latt, la déchire et me lance :
- Continues, vas-y, plus fort, plus loin, plus vite !
Je scrute son corps, le regardant se mouvoir de façon très érotique au rythme de notre étreinte. Je pétris ses seins, caresse son clitoris du doigt. Et je la prends toujours plus vigoureusement alors quelle hurle de plus en plus fort. Ma main glisse sur son flanc, sa hanche, ses fesses. Je commence à caresser doucement sa rondelle, testant sa réaction. Je ne sais si elle aime lanal.
Elle devine sans difficulté mon intention. Elle se met en levrette. Mon sexe reste en elle alors quelle se tourne. Je lui donne de petites claques sur les fesses. Elle pousse de petits cris, elle a lair daimer. Enfin je la serre dans mes bras, lui embrasse la nuque, saisis un de ses seins. Sa main me caresse les cheveux alors quelle tourne la tête pour membrasser.
Nos lèvres ne se touchent pas mais nos langues se mélangent. Enfin, ma main vient prendre la place de mon sexe en elle. Je la sens frémissante. Je lallonge alors sur le ventre, je veux lempaler en bonne et due forme
Et elle ne semble pas contre lidée. Je caresse son anus et lui souffle à loreille :
- Tu es prête ? Tu veux ?
Son corps ma déjà répondu mais je veux lentendre le dire, le demander, lexiger, me supplier. Je veux sentir son désir ressortir par tous les pores de son être. Elle crie :
- Oui ! Oui ! Mais doucement ! Oui ! défonce- moi la rondelle !
Je lui doigte alors rapidement lanus pour la préparer et entre doucement mon sexe en elle. Elle me dit :
- Naies pas peur, prends-moi. Entre juste doucement.
Je lui donne alors un violent coup de rein, ma verge la pénètre presque entièrement. Elle lâche un cri de plaisir. Je suis soulagé de te voir prendre autant ton pied. Jaccélère alors mes mouvements et la prend de plus en plus profondément. Jagrippe ses seins, les pétrit.
Nous repassons en levrette et je saisis ses hanches pour la marteler aussi profond que possible. Ses hurlements de plaisir retentissent. Elle en veut toujours plus, elle est insatiable ! Je change de rythme, pose mes mains sur ses épaules et donne de grand coup de rein. Je ressors chaque fois très lentement avant de replonger violemment quand seul mon gland est encore en elle :
- Oui, vas-y encore, cest bon.
- Tu aimes, bien ma petite cochonne ? Tu as lhabitude de te prendre des bites dans le cul ?
- Non, cest la première fois, mais jadore.
Je suis en train de lui défoncer le cul comme un sauvage pour sa première fois. Je ralenti.
- Non ! Ne tarrêtes pas, cest trop bon.
Je cesse de me poser des questions et la défonce de plus bel. Je lui bloque les poignets dans le dos dune main et plaque sa nuque sur le lit. Je sens lhumidité couler sur ses cuisses :
- Continu ! Prends-moi, prends-moi ! Oui ! Plus vite.
Je ne me fais pas prier. Je lallonge à nouveau sur le ventre et me laisse tomber de tout mon poids. Elle hurle de douleur mais je sais quelle a adoré. Je me retire alors et mallonge sur le dos. Je lui laisse linitiative, je veux voir à quel point elle aime la sodomie.
Elle positionne ses jambes de chaque côté de mon ventre puis prend ma bite en main pour la placer devant son anus déjà bien dilaté. Elle se laisse ensuite tomber et mon sexe entre tout entier en elle. Elle pousse un cri de plaisir. Je souris et lui demande :
- Tu aimes, petite cochonne ?
- Oui ! Jadore sentir ta queue profond en moi !
Elle continue ses va et viens avec toujours plus dampleur. Je la sens complétement ailleurs, proche de lorgasme. Elle accélère encore. Mes hanches bougent pour accompagner ses mouvements. Elle en redemande encore et encore. Je saisis alors ses hanches et la force à accélérer encore plus. Elle sépoumone. De plaisir ? De douleur ? En tout cas elle na pas lair de vouloir que ça sarrête !
Je maltraite ses seins de la main, des dents. Je sens sa mouille couler sur moi. Je plonge une main dans sa chatte, resserrant son anus. Je tourne mes doigts en elle. Elle pousse un cri de jouissance et des tremblements parcourent son corps alors quelle atteint lorgasme. Je sors alors de son corps et elle reste
Allongé sur le dos, vidée. Je me branle au-dessus delle.
Elle reste étourdie quelques instants puis redresse la tête. Elle regarde ma queue et me sourit. Je jute alors sur son visage. Puis elle me reprend en bouche pour suçoter les dernières gouttes qui sen écoule. Elle lèche méticuleusement ma verge, mon gland. Puis elle se lèche les lèvres pour avaler le sperme qui était atterri là. Enfin elle sallonge, épuisée.
Je la contemple, allongée. Jaimerais bien rebander, mais là, je suis vraiment à bout. Je mallonge à ses côtés. Je caresse ses seins, ma verge frôle ses fesses. Je lembrasse dans le cou. Elle réagit à peine. Je susurre :
- Je crois que je taime.
Elle ne répond pas, sourit faiblement. Puis je rajoute dans un murmure :
Tu sais que jai une grande baignoire dans mon appart ? Elle se retourne, ses yeux se remplissent de désir. Elle me caresse la queue et dit :
- Il faudra que tu me montres ça.
Je souris, lembrasse puis elle sendort dans mes bras
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