La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°516)
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°515 -
Lesclave Thaïs MDE est dailleurs prête à accepter de bon cur par pure soumission D/s et sans rechigner la sanction décidée par le Marquis dEvans, qui naura que lapparence dune « punition » au sens vrai du terme car elle na fait que respecter les ordres du Dominant. Madame D
. qui ne veut pas baisser la garde renchéri.
- Mais pourquoi ces marques de brutes sur son dos. Seriez-vous sadique comme cet autre Marquis de Sade ?
- Ce nest pas un jeu cruel car je ne suis absolument pas sadique par nature, même si vous êtes en droit de penser le contraire. Ce sont pour certains des plaisirs masochistes quils/elles recherchent et quil me plait aussi de pouvoir leur apporter lorsquils ont été méritants, mais parfois ce sont des sanctions utiles salvatrices et réparatrices de la faute commise. Mon esclave avait fait preuve ce matin devant tous mes collaborateurs dune impéritie inexcusable pour celle qui prétend au titre de Mon associée mais qui reste avant tout mon esclave-soumise. Il était normal que je ne laisse pas cela se passer ainsi. Cest dailleurs elle-même qui a imploré cette punition. Vous pouvez le lui demander si vous ne me croyez pas.
- Sur ce point, je vous crois car cest ce quelle mavait indiqué, mais jestime que quelque soit ce quelle a pu faire ou dire ce matin, ce nétait pas une raison de la maltraiter et de risquer de la blesser gravement en lui laissant des séquelles.
La businesswoman voudrait bien pouvoir fusiller des yeux si elle en avait la possibilité le Président Directeur Général qui se tient droit devant elle sans la moindre honte, gardant Son regard directif plongé sur le décolleté plongeant et le début de la poitrine saillante quelle ne peut dérober vu la coupe des vêtements, mais son trouble intérieur la trahi. Si elle baisse les yeux, elle aperçoit Isabelle qui est toujours immobile prosternée avec la tête au sol, ce qui réveille en elle des images de ses propres fantasmes.
- Madame D
, Je suis un Maître D/s reconnu. Je ne maltraite jamais mes esclaves, Je les traite comme ils doivent et désirent être traités, avec fermeté et justesse. Jajouterais en outre, que contrairement à ce que vous pouvez imaginer étant ignorante de ce que représente une saine relation de Domination/soumission, il nest nullement question de blesser Mes soumis et Mes soumises qui sont tous et toutes sous Ma protection, et cela que ce soit dans le cadre dune pratique sécurisée de jeux D/s ou même lors de lapplication dun châtiment. Seules quelques zones du corps peuvent être fustigées sans danger et il faut une bonne expérience pour manipuler certains instruments cinglants, avec des heures de pratiques avant de se hasarder à jouer du fouet habilement sur un corps humain au risque sinon effectivement de le lacérer.
- Monsieur dEvans, nétiez-vous pas, au dire de Votre secrétaire-soumise, pressé de reprendre nos négociations daffaires.
Aurélie se rapproche de la porte dentrée, voulant échapper à lémoi qui sest emparé de son corps et de son esprit. Elle sent son bas-ventre qui la titille et ne peut détacher ses pensées de labsence de petite culotte, ce qui la trouble encore plus.
- Jajouterais également, quil vaudrait mieux garder votre petit laïus pour vos soumises lubriques et toutes les putains en chaleur dont vous devez profiter. Je ne suis absolument pas tentée par ces petits jeux pervers, Moi !!! Vous narriverez pas à me convaincre que ce que Vous faites avec Isabelle est naturel et normal, et surtout plaisant pour elle.
- Madame D
, je vous propose de laisser tout cela pour linstant, nous en reparlerons au diner si vous le souhaitez. Pour linstant, je voudrais pouvoir vous entretenir dans un contexte plus professionnel et dans un lieu plus adapté.
- Seriez-vous opposée à ce que mon associée soit présente pendant cet entretien, puisque le terrain va être acheté par la filiale dont elle est la gérante. Sa discrétion est totale, cest aussi un avantage davoir comme collaborateurs et collaboratrices des esclaves MDE qui me sont fidèles et dévoués, et cest même indispensable dans le cadre dune associée-gérante telle quIsabelle.
- Gérante de pacotille, ce me semble, puisque cest vous qui tirez les ficelles derrière, mais après tout cela nest pas mon affaire. La seule chose qui mintéresse est de savoir si vous arriverez à obtenir un consensus sur la vente, car nous sommes trois parties en présence avec des intérêts divergents. Votre associée de parade peut se joindre à nous, si vous en voyez lutilité.
- Isabelle, debout immédiatement ! Et tu nous suis avec laccord de Madame D
La soumise Thaïs MDE se relève sans attendre pour obéir aux ordres du Maître, gardant la tête et le regard baissé, tout en joignant les mains dans le dos.
- Et bien Madame D
, allons-y, Je vous en prie. Permettez-moi de vous précéder pour vous montrer le chemin.
Le Marquis dEvans att lanneau qui pend au collier de Son esclave qui est toujours nue.
- Mais, Vous ny pensez pas !!! Vous nallez pas laisser votre associée dans cette tenue et en plus en la trainant par le cou comme un vulgaire bestiau que lon conduit à la foire. Laissez-lui le temps de se vêtir et de nous rejoindre.
- Je nai pas de temps à perdre avec ces menus détails. Ne jouez pas loffusquée maintenant que vous lavez vue nue, cela ny changera plus rien. Allons-y sans tarder car jai dautres rendez-vous derrière.
Le ton ferme du Marquis dEvans ne laisse pas de place à la discussion, et Aurélie se dit quelle doit se concentrer sur le seul but de sa venue en ces bureaux faisant abstraction de tout ce qui sy passe de bien peu professionnel ou traditionnel. Le Noble entre dans le salon et propose à la femme daffaires de sinstaller dans un grand canapé autour dune table basse sur laquelle ont été déposés les différents éléments concernant le dossier en cours de tractation. Le Maître Vénéré pointe du doigt le coin de la pièce qui se trouve sur le côté arrière du canapé sur lequel sest assis Aurélie.
- Toi ! Là-bas ! Et que je ne tentende pas avant que je tordonne de venir. Au coin, en punition ! Tu ne mérites pas mieux. A genoux, la tête baissée et les mains dans le dos jointes en prière inversée. Tu peux méditer tout à ton aise sur ta maladresse et plus généralement sur ce quil en coûte de ne pas obéir aux ordres du Maître Vénéré qui sait punir lorsquil y a désobéissance, mais récompenser à terme lorsque Ses ordres ont été impeccablement suivis.
La soumise Thaïs MDE sait très bien quelle ne va pas au coin en punition, mais bien parce quil sagit dun nouvel ordre qui entre dans le plan affairiste du Maître Vénéré auquel elle se soumet avec encore plus de bonnes grâces.
- Ecoutez, « Marquis » vous ny pensez pas !
- « Monsieur le Marquis », ne vous en déplaise ; et même « Monsieur le Marquis dEvans » si vous voulez être plus correcte. Il me semble que je me répète.
- Arrêtez ! Je suis sérieuse, vous nallez pas obliger cette pauvre fille à rester là au coin, comme on le faisait avec les s pas sages, mais tout cela cétait il y a bien longtemps. Ce sont des méthodes qui ne sont plus autorisées de nos jours dans les écoles, et dont on ne sait si elles avaient ou non fait leurs preuves éducatives sur de jeunes cerveaux.
- Mon esclave est très bien où elle est ! Cela va lui donner loccasion de réfléchir pendant notre petite discussion. Ici, ce nest pas une école primaire et Isabelle nest pas une . Il sagit de Ma soumise qui est sous Mon Joug de son plein gré pour y être dressée et Maîtrisée. Je suis dailleurs certain quelle est très excitée de ce quelle vit et quelle doit mouiller de la chatte. Si vous en doutez, je vous laisse aller vérifier par vous-même.
- Vous ny pensez pas et vous dîtes nimporte quoi.
- Et bien nous allons voir, Madame D
.. ! Vous êtes un peu comme Saint-Thomas qui avait eu besoin de voir pour croire.
Aurélie est de plus en plus estomaquée par ce qui se passe de bien peu professionnel, qui la trouble et lexcite de plus en plus, ayant du mal à garder sa contenance et à ne pas rougir tant les émotions la submergent. Elle serre les cuisses car elle se doute que sa chatte à elle est largement trempée ne pouvant oublier un seul instant quelle ne porte pas de petite culotte et se disant quelle risque de tâcher la jupe sur laquelle elle sest assise, voire pire le canapé dessous, ce qui la conduirait vers la déchéance suprême, car une tâche de café renversé par inadvertance sur sa tenue passe encore, mais une tâche de cyprine sur ses habits neufs serait du plus mauvais goût lorsquelle va devoir se relever. Elle se demande ce qui lui fait le plus deffet, la prestance du Marquis dEvans dont elle ne peut nier tout ce qui émane du charme de sa personne Dominante et de son regard captivant, la nudité impudique de la soumise femelle qui soffre à son regard avec lubricité comme le fruit de la tentation, la relation de Domination/soumission dont elle découvre peu à peu les enjeux dans une réalité qui rejoint les fantasmes quelle a toujours tenté de chasser de son esprit. Le Châtelain enjoint à Thaïs MDE dapprocher sur le champ, qui arrive à quatre pattes en baissant la tête.
- Ecarte les cuisses !
encore plus large !
Thaïs MDE sexécute. Le Marquis dEvans trempe sa main dans la fente humide de la soumise qui laisse échapper un petit soupir de bien-être. Les doigts du Noble, couverts dune pellicule de cyprine onctueuse, sont luisants de la mouille de la femelle qui est très excitée par le jeu que lui fait jouer le Dominant. En tant que Son esclave, elle aime particulièrement pouvoir obéir à toutes les exigences du Maître de son mieux et servir tous Ses intérêts personnels ou professionnels. Le Châtelain sapproche de Madame D
, la main en avant, pour lui montrer leffet sensuel quIL produit sur Sa femelle.
- « brute et sadique », nest-ce pas vos propres mots, ceux que vous aviez pensés et utilisés tout à lheure dans la salle de bains. Je pense que je mérite dautres qualificatifs plus positifs, ne trouvez-vous pas ?
Aurélie est gênée, troublée, émoustillée. Elle ne peut sempêcher de renifler les effluves du désir féminin qui sont venues se poser sur les doigts du Marquis dEvans. Ses joues sont en feu, tout comme son bas-ventre excité. Elle aimerait tant quune main ou une langue vienne sans tarder recueillir son propre jus sur son petit bouton damour gonflé de désir sexuel. Mais elle se refuse à laisser transparaître sa fragilité, sa féminité, sa sensualité. Et dun ton presque agressif, elle rétorque sans attendre.
- Suffit, Monsieur dEvans, je suis là pour affaires et pour affaires seulement. Je ne suis pas là pour voir un mâle excité, affublé dune queue que cela doit faire gonfler de doigter une salope. Au moins avec une associée, vous ne risquez pas de poursuites pour harcèlement sexuel, cest bien calculé !!!
- Je pense, Madame D
, que vous êtes encore dans lerreur. La soumission D/s na rien à voir avec un quelconque harcèlement sexuel, cest librement que ma chienne soffre à moi totalement et quelle en retire les plaisirs jouissifs que je lui consens, quand il me plait de les lui accorder. La supériorité hiérarchique du monde professionnel na rien à voir avec notre monde BDSM qui fonctionne sur dautres critères. On peut être un très bon Maître D/s sans avoir besoin dêtre en haut de léchelle sociale, et de nombreux soumis ou soumises sont des dirigeants dentreprises ou des personnes ayant de lourdes responsabilités dans leur vie personnelle. La D/s est un Art de vivre qui se partagent entre deux personnes qui ont des besoins intimes et des pulsions internes complémentaires, de Domination pour lUn et de soumission pour lautre.
Le Châtelain est conscient quil doit savoir manuvrer avec habileté, au risque sinon de braquer Aurélie en la poussant trop vite dans ses retranchements, surtout si elle nest pas encore prête à assumer ses penchants intérieurs dont il ne doute pas. En tant que Président Directeur Général de la Holding MDE, il est également conscient que si le Dominant veut arriver à ses fins pour révéler la soumise qui se cache derrière la businesswoman sur la défensive, ce nest pas au détriment de Ses affaires et de la réussite de la négociation qui reste Sa priorité. Il se retourne vers Thaïs MDE
- Lèche ma chienne lubrique ! Comment veux-tu que je puisse travailler sérieusement dans de telles conditions avec ma main souillée par tes sécrétions féminines ? Je ne peux même pas attr mon dossier en cours avec le projet de protocole.
La soumise Thaïs MDE prend un malin plaisir à lécher Le Maître goulument et longuement doigt après doigt, laissant se manifester toute sa volupté sur son visage radieux, dont le regard ne quitte pas un seul instant Madame D
qui sempourpre à nouveau à vue dil. Le Marquis dEvans avec des gestes symboliques à connotation phallique quil nentend pas dissimuler possède profondément la bouche de Son esclave-femelle laissant exprimer sa fierté de Dominant et de Mâle. Il retire sa main, sessuie sur la masse de cheveux de Sa soumise quil renvoi à la place à laquelle il la assignée pour lheure.
- File au coin, que je ne te vois plus pour linstant !
(A suivre
..)
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